• Découverte un 18 février, l'astéroide Hertha, DEESSE DE L'ECOLOGIE

     

     

     

    DECOUVERTE D'HERTA , PACHA MAMA DU MONDE NORDIQUE ET CELTIQUE

    DEESSE DE L'ECOLOGIE

     

    CARTE HELIO CENTRIQUE AVEC SA RS POUR LE 15 FEVRIER 2014

     

    Découverte un 18 février, l'astéroide Hertha, DEESSE DE L'ECOLOGIE

    CARTE GEOCENTRIQUE AVEC SA REVOLUTIO SOLAIRE 2014

    Découverte un 18 février, l'astéroide Hertha,

     

     

    Herta ou Hertha, dite également Hertus ou Herte, Herthe, mais aussi nommée Erda, Nertha, Nerthus, voire Njörd ou Njördr spécifiquement nordique, est une divinité de la mythologie germanique. Cette divinité au sexe variable, tantôt féminine, tantôt masculine, tantôt ambivalente, symbolise la "Terre Mère", elle apparaît sous des formes mineures ou marginales dans le monde gaulois. Suivant différentes légendes germaniques tardives, cette première créature, sous sa forme féminine, aurait épousé Tuisto, le fils de Tis ou Tuis, considéré comme le premier être. Ce couple s'apparente à l'Ève et l'Adam biblique.

    Ce dieu et/ou déesse illustre animant les cycles des saisons et de la vie, éternellement recommencés, semble exister dès les temps néolithiques. Cette divinité ambivalente fêtée au printemps et en automne est connue des peuplades celtes. Elle s'associe aux Dieux vanes ou vanir des peuplades nordiques. Elle est parfois associée aux grands espaces terrestres, mais aussi à la mer ou à l'océan, où se déroulent les cycles fondamentaux de la vie, selon les croyances anciennes. Elle préside aux transports et aux migrations.

     

     

    Culte en Gaule[modifier | modifier le code]

    Le culte semble d'ordre mineur, mais très commun. Le cycle de l'eau est souvent pris en référence. Ses petits temples solitaires se situent au voisinage de fontaines ou de sources remarquables, par exemple une source insolite, au milieu de l'eau (courante, marécageuse), dans une île, ou encore au milieu d'un milieu sec. Le premier christianisme l'a ici associée à des figures chrétiennes plutôt féminines. Par exemple, le nom Claire, Clara, Chiara ou Kiara apparaît dans les toponymes Clairefontaine ou Clarafontana. La plupart des saints chrétiens féminins ou masculins associés à la découverte de l'eau ou à une fontaine emprunte un aspect de cette divinité commune. N'oublions pas non plus les fontaines de jouvence des légendes.

    Mais aussi, tous les saints chrétiens aux fonctions influencées par des génies protecteurs des grains et des récoltes peuvent être rapprochés de cette divinité. Les enfants de la divinité, à l'instar des jumeaux nordiques, Freyr et Freya, représentent plus volontiers les cycles de génération et d'abondance animale, par exemple l'élevage porcin. Ces divinités de seconde génération présentent une nette connotation sexuelle de lubricité et de luxure, qui a été éliminée par les strates successives de la christianisation.

    Herta entretient un rapport singulier avec la nature végétale et animale. À l'instar de Njördr, elle symbolise le cycle de migration des saumons et leur fin dans les frayères des petites rivières ou ruisseaux qui les ont vus naître.

    Culte en Germanie[modifier | modifier le code]

    Elle faisait l'objet d'un culte notamment de la part des Semnons, des Neudinges en Thuringes, des Avions, des Angles, des Eudons, des Varins, des Suardons, des Nuitons ainsi que des Lombards, Goths, Sarmates et Scythes.

    Une île appelée Chaste lui est consacrée au milieu de la mer des Suèves". La statue de cette divinité était placée sur un char, au milieu d'une forêt appelé Castum nemus, toujours couvert d'un voile; ce char, traîné par deux génisses blanches, se promène, à des temps marqués, au milieu des nations germaniques. Il n'était permis qu'au seul prêtre de le toucher, car celui-ci savait le temps que la déesse qu'on y adorait, venait en ce lieu. Il suivait le char. "Les inimitiés (étaient) suspendues, et pour un moment les forêts du nord (cessaient) de retentir du bruit des armes[1], Le char était reçu avec beaucoup de solennités, les hommes pensant que la déesse interviendrait dans leurs affaires. Une fois la déesse rassasiée de la conversation des hommes, le char repartait vers le temple, en compagnie du prêtre. Alors on lavait le char dans un lieu secret, et les étoffes et la déesse elle-même; on se servait pour cela d'esclaves, qui étaient aussitôt après jetés et engloutis dans un lac voisin.

    D'un point de vue agro-pastorale, la divinité préside à l'irrigation des prairies, à l'amendement des terres, aux migrations saisonnières et à la transhumance des éleveurs et de leur bétail. Dans les mythologies nordiques tardives, Herta et ses émanations ou sa descendance se fondent dans les entités vanes qui animent les cycles réguliers de la vie.

    Assimilation gréco-romaine[modifier | modifier le code]

    Herta sous ces formes variées ne peut être anthropisée, humanisée ou assimilée adéquatement à un dieu du panthéon gréco-romain. Demeter est une puissance influencée par l'événement, par exemple la perte régulière de sa fille adorée Proserpine. Herta correspond, elle, à la description des multiples cycles de la vie. Comment représenter pêle-mêle l'apport d'alluvions par les crues régulières de fleuves, l'aller et retour des grandes espèces migratrices, l'éveil printanier de la végétation ou la coloration fanée autumnale des herbes et des feuillages ?

    La signification d'Herta est bien plus à corréler aux cycles temporels, aux mouvements généraux des êtres dans l'espace, aux calendriers anciens ou à la terre géographique et écologique actuelle qu'à la terre ou glèbe paysanne. Les maîtres des domaines christianisés de l'ancienne Gaule à partir du Ve siècle ont fait perdurer sous une forme rituelle admissible ou adaptée les modestes hiérophanies impliquant des aspects traditionnels associés à Herta.

    Vossius, conjecture que cette déesse Hertus, doit être la Cybèle romaine dont le culte est importé d'Asie mineure; mais il est plus vraisemblable qu'il s'agisse de la Terre.

    Signification du nom[modifier | modifier le code]

    Herta, Herte ou aussi Herthe, herth, signifiant dans les langues anglaise, allemande, suédoise, runique, arabe et hébraïque ( faux eretz en hébreu mais ce nom n'a aucun lien avec Herta) le mot: terre.

    Dénomination savante de lieux de culte solaire[modifier | modifier le code]

    Il existe dans la plaine anglaise du comté de Salisbury, des amas de pierres circulaires, que plusieurs savants croient avoir été un temple de la déesse Herte[réf. nécessaire]; on nomme ces pierres: Stone-henges, c'est-à-dire : pierres pendues, parce qu'elles sont mises les unes sur les autres, de manière qu'elle paraissaient être en l'air. Aucune preuve ne vient appuyer cette interprétation qui n'est que le fruit de l'imagination[réf. nécessaire]. Les anciens appelaient cette espèce de monument du nom de Chorea gigantum

    Le culte de cette déesse se propagea jusqu'en Celto-Lygie.

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    1. Auteur des Poèmes de la maçonnerie, cité par le Dr Vassal, dans Cours complet de maçonnerie ou Histoire générale de l'initiation, Paris, 1832.

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

    • Tacite, Mœurs des Germains, chap:XL.
    • Diderot et d'Alembert, Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, t.XVII, Lausanne et Berne, 1782. p 394.
    • François-Joseph Michel Noël, Dictionnaire de la Fable, 3 éd. Le Normant, t. 1, Paris, 1810.
    • Béranger-Féraud, Contributions à l'étude des vestiges des pratiques religieuses de l'antiquité à nos jours chez les Provençaux, immersion de la statue du saint, dans Bulletin de la Société d'anthropologie de Paris, 1891, vol.II, n°2. pp. 305-312.

     

    SOURCE WIKEPEDIA

    H

     il est interessant de fiare le rapprochement de sonorité entre Herta et Hathor deesse egyptienne de l'amour ! AVEC UN COTE UNIVERSEL REMARQUABLE : Deeesse des pays étrangers !

    Hathor

     

     

      HATHOR ou  Hwt-Hr

    Autres noms: Het-Hert, Het-Heru, Hout-Hert, Hethara

    Fonctions: déesse de l'amour, déesse de la joie, déesse du sycomore, dame de la musique, dame de l'ivresse, maîtresse des ballets et gais refrains, dame de Byblos et de Pount, maîtresse des pays étrangers, maîtresse de la turquoise, protectrice de Thèbes. Son nom signifie: "demeure d'Horus"

    Représentations: vache au corps étoilé, femme à tête de vache, femme à tête de sistre surmontée d'une paire de cornes portant le disque solaire, femme portant des cornes enserrant le disque solaire, visage de femme à oreilles de vache.

    Lieu de culte: son sanctuaire principal se trouvait à Denderah. Elle était vénérée dans tout le pays et chaque année, à la fête de la "Belle Rencontre", elle venait en barque de Denderah à Edfou, pour s'y unir à Horus.

    Liens "familiaux": Hathor est tantôt la fille de Rê, tantôt son épouse. Elle est aussi la fille de Noun. Elle est également la femme d'Horus d'Edfou. Avec ce dernier, elle a conçu Harsomtus. Elle a encore un autre fils, Ihy (dieu musicien), dont le père est Horus d'Edfou ou Tatenen.

    pour savoir tout...ou presque

     

     

    "ABC des déesses"
    Religion                                           SOURCE : http://www.maatdebelgique.be/deesses.h.html             

     

     

     

     

     

     

     

     


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