• Découverte un premier Janvier, Ceres , qui va ouvrir la porte de la conscience collective à des milliers d'asteroides

    Découverte un premier Janvier, Ceres , qui va ouvrir la porte de la conscience collective à des milliers d'asteroides

    Cérès

    " Cérès rime avec Sert "Es" , celle qui sert la spécialisation , le tri dans la conscience , pour permettre une authenticité de l'individu individué , capable ainsi de rencontrer l'autre en s'enrichissant par lui, sans se perdre. Maitresse de la Maison 6 et de la Vierge , elle est entrée dans la conscience collective pour féminiser la conscience sociale enfermée dans une logique très masculine.

    Elle arrive , première de toutes les asteroides , sur les pages de la culture humaine , ouvrant une porte phénomènale  de bouleversements dans la connaissance astronomique, en ramenant le mental mercurien perché dans les hauteurs du pouvoir très masculin vers une humilité très terre à terre .... Elle vient ouvrir les portes d'un nouveau rapport au pouvoir , c'est pour cela que le jour où elle se révèle à la vue du monde, le Soleil l'éclaire depuis le 1 degré Capricorne ! " 

     

    Béatrix Viard

    Extrait de mon livre

    Du métissage au Métis Sage

    Tome 1 Journal de la Petite Princesse des Etoiles

     

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    Découverte

    L'idée selon laquelle une planète inconnue puisse exister entre les orbites de Mars et Jupiter fut proposée pour la première fois par Johann Elert Bode en 1768. Ses suggestions étaient basées sur la loi de Titius-Bode, une théorie désormais obsolète proposée par Johann Daniel Titius en 1766. Selon cette loi, le demi-grand axe de cette planète aurait été d'environ 2,8 ua. La découverte d'Uranus par William Herschel en 1781 accrut la confiance dans la loi de Titius-Bode et, en 1800, vingt-quatre astronomes expérimentés combinèrent leurs efforts et entreprirent une recherche méthodique de la planète proposée. Le groupe était dirigé par Franz Xaver von Zach. Bien qu'ils ne découvrissent pas Cérès, ils trouvèrent néanmoins plusieurs autres astéroïdes.

    Cérès fut observé pour la première fois le 1er janvier 1801 par Giuseppe Piazzi, alors directeur de l'observatoire de Palerme en Sicile. Cérès fut découvert par accident. Piazzi cherchait à observer une étoile listée par Francis Wollaston sous le nom de Mayer 87 et qu'il ne trouvait pas à la position indiquée dans le catalogue zodiacal de Mayer (il s'avéra par la suite qu'il s'agissait en fait de Lacaille 87). à la place, il observa un objet se déplaçant sur la voûte céleste, qu'il prit d'abord pour une comète.

    Piazzi observa Cérès 24 fois, la dernière fois le 11 février. Le 24 janvier 1801, Piazzi annonça sa découverte par des lettres à plusieurs collègues italiens, parmi lesquels Barnaba Oriani à Milan. Il la décrivit comme une comète, mais remarqua que "puisque son mouvement est lent et uniforme, il m'a semblé à plusieurs reprises qu'il pourrait s'agir de quelque chose de mieux qu'une comète". En avril, Piazzi envoya ses observations complètes à Oriani, Bode et Lalande à Paris. Elles furent publiées dans l'édition de septembre 1801 du Monatliche Correspondenz.

    Peu après sa découverte, Cérès s'approcha trop près du Soleil et ne put être observé à nouveau ; les autres astronomes ne purent confirmer les observations de Piazzi avant la fin de l'année. Cependant, après une telle durée, il était difficile de prédire la position exacte de Cérès. Afin de retrouver l'astéroïde, Carl Friedrich Gauss développa une méthode de réduction d'orbite basée sur trois observations. En l'espace de quelques semaines, il prédit celle de Cérès et communiqua ses résultats à Franz Xaver von Zach, éditeur du Monatliche Correspondenz. Le 31 décembre 1801, von Zach et Heinrich Olbers confirmèrent que Cérès avait été retrouvé près de la position prévue, validant ainsi la méthode.

     

    Statut

    La classification de Cérès a changé plus d'une fois et a été le sujet de controverses. Johann Elert Bode pensait que Cérès était la "planète manquante" dont il avait postulé l'existence entre Mars et Jupiter, à une distance de 2,8 UA du Soleil. Il lui fut attribué un symbole planétaire et Cérès demeura listé comme planète dans les livres et tables d'astronomie (avec Pallas, Junon et Vesta) pendant un demi-siècle jusqu'à ce que d'autres astéroïdes soient découverts.

    Au fur et à mesure que de nombreux autres objets furent découverts dans la région, les astronomes réalisèrent que Cérès n'était que le premier d'une classe de corps similaires. Ils se révélèrent très petits, ne présentant aucun disque observable, et William Herschel inventa en 1802 le terme d'"astéroïde" (c'est-à-dire "ressemblant à une étoile") afin de les désigner, écrivant qu'"ils ressemblent tellement à de petites étoiles qu'il est difficile de faire la différence, même avec de très bons télescopes". Cérès étant le premier astéroïde découvert, il fut désigné par (1) Cérès dans le système moderne de numérotation des astéroïdes dans les années 1850.

    En 2006, le débat concernant le statut de Pluton et la définition du terme planète a conduit à reconsidérer le statut de Cérès. L'une des propositions de définitions présentées devant l'Union astronomique internationale pour la définition d'une planète (un corps en équilibre hydrostatique en orbite autours d'une étoile et n'étant ni une étoile, ni un satellite d'une planète) aurait fait de Cérès la cinquième planète à partir du Soleil. Cette définition ne fut pas adoptée. La définition finale fut annoncée le 24 août 2006, ajoutant qu'une planète devait avoir "nettoyé son voisinage". Cérès fut alors catégorisé comme planète naine.
     

    9669-Télescope voir de l'eau dans l'astéroïde Cérès

     
     
     
     
     
     
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    Cérès, l'astéroïde, en orbite entre Mars et Jupiter, a l'eau sur sa surface, le télescope spatial Herschel images indiquent, qui peuvent voir infrarouge. Ce serait une découverte banale si ce n'était le fait que les théories physiques interdisent les objets humides d'obtenir un diplôme d'études secondaires, il.
    L'étude de ce petit monde-habitant de la région connue comme astéroïde de la ceinture – serait en principe pas la capacité de déstabiliser les théories astronomiques importantes. La nouvelle découverte de Cérès, cependant, peut conduire encore à l'examen des théories de pourquoi la terre elle-même contient de l'eau.

    Les molécules de H2O présentes dans la planète naine sont sous forme de vapeur, qui émane de deux sources différentes, selon l'étude sur la découverte, publiées dans l'édition d'aujourd'hui du journal « Nature ». Est relativement peu d'eau – six litres étant libérés par seconde – mais est suffisant pour stimuler les astronomes pour réviser les théories sur la formation du système solaire.
    Dans le centre de la discussion est la question de la différence entre un astéroïde et une comète. Une comète, par la définition classique, est un corps céleste d'orbite allongée, capable de voyager aux confins du système solaire et avec un peu de glace d'eau dans sa composition. Un astéroïde est déjà un corps sec et rocheux, avec des orbites confinés à la partie intérieure du système solaire, avant de Jupiter.

    Vol au-dessus d'un nid de coucou
    On a cru que Cérès, mis à jour pour nain planète juste à cause de sa taille (voir tableau à droite), serait essentiellement un astéroïde. Il habite, qui plus est, une région orbitale appelée la ceinture d'astéroïdes.
    Dans cette région, la chaleur du soleil est trop forte pour que ce soit possible l'accumulation de glace sur la surface d'un petit corps. Fixation d'objets sous forme d'H2O seul principe sur des orbites plus lointaines.
    « Cérès, en théorie, censée être rocailleux et sec, » il a dit Michael Küppers Sheet, l'astronome de l'Agence spatiale européenne qui a conduit à la découverte annoncée aujourd'hui. « Peut-être que Cérès est apparu dans sa propre ceinture d'astéroïdes, mais puis collectionne les objets qui proviennent du système solaire externe et l'a frappé. »
    Une autre hypothèse est que Cérès formé à l'abri du soleil et ensuite été englouti de près. Quelque chose capable de faire cela serait l'orbite de Jupiter d'une « migration », le deuxième plus gros corps du système solaire, capable de déstabiliser des objets plus petits.
    « Un premier indice que les planètes géantes du système solaire peuvent souffrir de migration drastique est venu en 1995, avec la découverte de certaines exoplanètes géantes orbitant autour des étoiles à une distance inférieure à la Sun à distance mercure-orbitale où ils ne pouvait pas avoir formé, » écrit Humberto Campins de l'University of Central Florida, commentant la découverte de Küppers.
    La terre formé également relativement près du soleil et de comètes qui pourrait "remplir", ne pouvait avoir de l'eau. Nos océans, cependant, peuvent avoir été semées par astéroïdes « humides » – objet d'existence interrogés jusqu'à présent.
    On ne sait pas où la vapeur que Cérès respire. Küppers suspecte sont ou des glaçages au fond des cratères ou « criovulcanismo » d'évaporation-volcans alimentés par de la glace au lieu de la lave. La sonde spatiale Dawn, qui visitera Cérès en 2015, pourrait résoudre le mystère.

    ceres

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    Classé dans les astéroïdes, astrophysique, astronomie, biologie, Science, Encyclopédie, exobiologie, News

     

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