• (216) Cléopâtre (désignation internationale (216) Kleopatra) est un astéroïde de la ceinture principale qui a été découvert par Johann Palisa le 10 avril 1880.

    Sa forme bilobée a été découverte par l'optique adaptative du télescope de 3,6 mètres de l'ESO à l'Observatoire de La Silla. Une observation radar par le radiotélescope d'Arecibo a permis d'en révéler la morphologie inhabituelle rappelant celle d'un os1. L'explication la plus vraisemblable est que Cléopâtre est un système binaire de contact : deux astéroïdes de tailles similaires orbitant ensemble ont fini par entrer en contact et se sont soudés au lieu de se désagréger.
    De nouvelles observations à très hautes résolution2, réalisées en septembre 2008 avec le télescope de 10-m de l'observatoire Keck, ont révélé l'existence de deux petits satellites en orbite autour de Cléopâtre. Le suivi de leur mouvement a permis de « peser » l'astéroïde grâce à la 3e loi de Kepler : la masse ainsi mesurée, rapportée au volume de l'objet, donne une masse volumique de 3,6 grammes par centimètre cube pour Cléopâtre dont les analyses spectroscopiques le classent parmi les astéroïdes de classe M, c'est-à-dire à composition métallique (densité du grain comprise entre 5 et 7 g/cm3). L'intérieur de Cléopâtre serait donc constitué de vide pour près de 40 % de son volume.

    Satellites

     
    Cléopâtre et ses deux lunes.

    Deux satellites sont connus, ils ont été découverts par Franck Marchis, Pascal Descamps, Jerome Berthier et Joshua P. Emery en 2008 :

    • Alexhélios3,4, officiellement (216) Cléopâtre I Alexhélios, désignation provisoire S/2008 (216) 1, a un diamètre de 5 km et orbite à un demi-grand axe de 775 km5.
    • Cléoséléné (ou Cléosélène3,4), officiellement (216) Cléopâtre II Cléoséléné, désignation provisoire S/2008 (216) 2, a un diamètre de 3 km et orbite à un demi-grand axe de 380 km5.

    Ils ont été nommés en 20116 d'après les deux enfants de Cléopâtre : Alexandre Hélios et Cléopâtre Séléné

     

    (216) Cléopâtre
    (216) Kleopatra

    alt=Description de l'image 216 Kleopatra 3D.gif.
    Caractéristiques orbitales
    Époque 30 janvier 2005 (JJ 2453400,5)
    Basé sur ? observations couvrant ?, U = ?
    Demi-grand axe (a) 417,796×106 km
    (2,793 ua)
    Aphélie (Q) 523,049×106 km
    (3,496 ua)
    Périhélie (q) 312,544×106 km
    (2,089 ua)
    Excentricité (e) 0,252
    Période de révolution (Prév) 1 704,704 j
    (4,67 a)
    Vitesse orbitale moyenne 17,82 km/s
    Inclinaison (i) 13,136°
    Nœud ascendant (Ω) 215,672°
    Argument du périhélie (ω) 179,099°
    Anomalie moyenne (M0) 55,259°
    Catégorie ceinture d'astéroïdes
    Caractéristiques physiques
    Dimensions 217 × 94 × 81 km
    Masse (m) ? kg
    Masse volumique (ρ) ? kg/m3
    Gravité équatoriale à la surface (g) ? m/s2
    Vitesse de libération ? km/s
    Période de rotation (Prot) ? j
    (5,385 h)
    Classification spectrale M
    Magnitude absolue (M) 7,3
    Albédo (A) 0,116
    Température (T) ~166 K
    Découverte
    Découvreur Johann Palisa
    Date 10 avril 1880
    Nommé d'après Cléopâtre VII (reine d'Égypte)
    Désignation A905 OA, A910 RA

     

     


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    Robert Doisneau

     

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    Robert Doisneau

    Description de cette image, également commentée ci-après

    Robert Doisneau, photographié par Bracha L. Ettinger
    dans son studio de Montrouge, en 1992.

     
    Naissance 14 avril 1912
    Gentilly (France)
    Décès 1er avril 1994 (à 81 ans)
    Montrouge (France)
    Nationalité Française
    Activités Photographie
    Formation Arts graphiques (École Estienne)
    Maîtres André Vigneau,
    Mouvement artistique Photographie humaniste
    Récompenses Prix Kodak 1947, prix Niepce 1956, grand Prix national de la photographie 1983.

    Œuvres réputées

    Le Baiser de l'hôtel de ville

    Robert Doisneau (né le 14 avril 1912 à Gentilly - mort le 1er avril 1994 à Montrouge) est un photographe français, parmi les plus populaires d'après-guerre. Il fut, aux côtés de Willy Ronis, d'Édouard Boubat, d'Izis, d'Émile Savitry et d'Yvette Troispoux, l'un des principaux représentants du courant de la photographie humaniste française.

     

     

    Biographie

    Robert Doisneau est né dans le sud de la banlieue parisienne au sein d'une famille bourgeoise. Il étudie les Arts graphiques à l’École Estienne et obtient son diplôme de graveur et de lithographe en 1929.

    Un an plus tard, il réussit à intégrer l’Atelier Ullmann en tant que photographe publicitaire. En 1931, Robert Doisneau rencontre Pierrette Chaumaison avec qui il se marie trois ans plus tard ; il devient cette même année l’opérateur d’André Vigneau avec lequel il découvre la Nouvelle Objectivité photographique.

    En 1932, il vend son premier reportage photographique, qui est diffusé dans l’Excelsior.

    En 1934, le constructeur automobile Renault de Boulogne-Billancourt, l’embauche comme photographe industriel, mais, du fait de ses retards successifs, il se fait renvoyer cinq ans plus tard, en 1939.

    Désormais sans emploi, Robert Doisneau tente de devenir photographe illustrateur indépendant. Il rencontre, peu avant le début de la Seconde Guerre mondiale, Charles Rado, fondateur de l’agence Rapho. Son premier reportage, sur le canoë en Dordogne, est interrompu par la déclaration de guerre et la mobilisation générale.

    Après la Seconde Guerre mondiale, Robert Doisneau devient photographe indépendant en intégrant officiellement, dès 1946, l’agence de photographie Rapho. C'est sans doute à cette époque que se manifeste l'influence réciproque entre lui et Jacques Henri Lartigue.

    Il se met alors à produire et à réaliser de nombreux reportages photographiques sur des sujets très divers : l’actualité parisienne, le Paris populaire, des sujets sur la province ou l’étranger (URSS, États-Unis, Yougoslavie, etc.). Certains de ses reportages paraîtront dans des magazines comme Life, Paris Match, Réalités, Point de vue, Regards, etc.

    En 1947, il rencontre Robert Giraud, chez l'antiquaire Romi, c’est alors le début d'une longue amitié et d'une fructueuse collaboration. Doisneau publiera une trentaine d’albums dont La Banlieue de Paris (Seghers, 1949), avec des textes de Blaise Cendrars. Il travaillera un temps pour Vogue, de 1948 à 1953 en qualité de collaborateur permanent. Il est aussi ami de Jacques Yonnet et ses photos illustrent son fameux Enchantements sur Paris (Denoël, 1954) devenu La ville des maléfices (Biblio).

    Son talent de photographe sera récompensé à diverses reprises : le prix Kodak en 1947, le prix Niepce en 1956. En 1960, Doisneau monte une exposition au Musée d'art contemporain de Chicago. En 1975, il est l'invité d'honneur du festival des Rencontres d'Arles (France). Une exposition lui y est consacrée. Il recevra d'autres prix pour son travail : le Prix du Livre des Rencontres d'Arles pour L'Enfant et la Colombe (1979) et pour Trois secondes d'éternité en 1980, chez contrejour, le Grand Prix national de la photographie en 1983 et le prix Balzac en 1986. En 1986, le festival des Rencontres d'Arles présente une exposition intitulée De Vogue à Femmes, Robert Doisneau. En 1992, Doisneau présente une rétrospective au Musée d'art moderne d'Oxford. Ce sera la dernière exposition de ses œuvres organisée de son vivant. En 1994, le festival des Rencontres d'Arles présentait Hommage à Robert Doisneau.

    Sa femme Pierrette meurt en 1993 alors qu'elle souffre de la maladie de Parkinson et d'Alzheimer. Robert Doisneau meurt lui six mois plus tard, le 1er avril 1994, à Montrouge. Il est enterré à Raizeux, aux côtés de sa femme.

    Son œuvre

    Robert Doisneau (à gauche) et André Kertész, Arles, 1975

    Robert Doisneau est l'un des photographes français les plus connus à l'étranger notamment grâce à des photos comme Le Baiser de l'hôtel de ville. Ses photographies noir et blanc des rues de Paris d'après-guerre et de sa banlieue ont fait sa renommée…

    Doisneau est un passant patient qui conserve toujours une certaine distance vis-à-vis de ses sujets. Il guette l'anecdote, la petite histoire. Ses photos sont souvent empreintes d'humour mais également de nostalgie, d'ironie et de tendresse.

    Il travaillait sur Paris, ses faubourgs et ses habitants  : artisans, bistrots, clochards, gamins des rues, amoureux, bateleurs, etc. Il enregistra pendant près d'un demi-siècle des milliers de portraits du petit peuple de Paris.

    Il a participé au Groupe des XV aux côtés de René-Jacques, de Willy Ronis, de Pierre Jahan, dans les années (1950)

    Ses appareils photo, des Rolleiflex format 6x6, Nikon F et Leica format 24 × 36.

    Œuvres

    • 1936 : Le Déjeuner sur l'herbe
    • 1939 : La Six Chevaux des vacances
    • 1940 : Lâcher de tracts"
    • 1944 : Amour et barbelés & La Voiture fondue[1]
    • 1945 : Le plongeur du pont d'Iéna
    • 1950 : Le Baiser de l'hôtel de ville[2]
    • 1951 : Rue Mouffetard
    • 1956 : Les Écoliers de la rue Damesme
    • 1956 : Le Timide à lunettes
    • 1958 : La Transhumance
    • 1959 : La Récréation, rue Buffon, à Paris
    • 1959 : Les Sables d’Olonne
    • 1959 : Les Grandes Vacances
    • 1960 : Le Passant avec un béret
    • 1971 : Devant la laiterie
    • 1982 : Le Parc Monceau, 30,5 × 39,6 cm, Musée d'art de Toulon

    Expositions

    • Doisneau : Doisneau sur Lot (été 2004), Casino de Saint-Céré.
    • Doisneau : Paris en liberté (19 octobre 2006 - 17 février 2007), Hôtel de ville de Paris.
    • Doisneau Vintage (15 novembre 2007 Pierre Loup - 15 décembre 2007), Galerie Christophe Gaillard, Paris.
    • Imprimer pour résister ? (6 octobre 2008 - 10 et 11 novembre 2008) école Estienne, Paris XIIIe. Avec la collaboration de l'artégraf, l'atelier Robert Doisneau, l'Éducation nationale, l'Institut d'histoire sociale du livre parisien, la mairie de Paris, le musée national de la résistance de Champigny-sur-Marne.
    • L'Alsace de 1945 par Doisneau (25 novembre 2008 au 25 janvier 2009), à la Filature de Mulhouse et jusqu'au 30 janvier 2009 au parc des Expositions de Strasbourg).
    • Robert Doisneau 1945, un voyage en Alsace (28 août 2009 - 27 septembre 2009), Relais culturel régional de Thann[3].
    • Robert Doisneau, Du métier à l'œuvre (13 janvier - 18 avril 2010), Fondation Henri Cartier-Bresson, Paris.
    • Robert Doisneau, Palm Springs 1960 (1er avril 2010 - 1er juin 2010), Galerie Claude Bernard, Paris.
    • Robert Doisneau, le temps retrouvé (juin 2010- 30 septembre 2010), la médiathèque, Dinan.
    • Robert Doisneau, rétrospective (10 avril - 28 août 2011 ), château de Malbrouck à Manderen, site du conseil général de la Moselle.
    • Doisneau / Paris / Les Halles (du 8 février au 28 avril 2012 ), Salon d'accueil de la Mairie de Paris.
    • Les Alpes de Doisneau (16 novembre 2012 - 1er septembre 2013), musée de l'Ancien Évêché, à Grenoble.
    • Robert Doisneau, en passant par le Limousin (21 juin - 22 septembre 2013), Galerie des Hospices, Limoges.
    • Les Halles de Robert Doisneau (1er juillet - 31 août 2013), Forum des Halles, Paris.
    • Robert Doisneau, Paris en liberté (29 septembre 2013 - 26 janvier 2014), Palazzo Ducale, Gênes.
    • Robert Doisneau, clin d'oeil au quotidien (18 janvier 2014 - 20 avril 2014), Salle du carreau Cergy.
    • Bibliographie
    • 1944 : La Semaine héroïque - Éditions S.E.P.E, avec certaines photographies de Robert Doisneau
    • 1945 : Imprimeries clandestines - Le point
    • 1947 : Le Bestiaire de la tapisserie du moyen âge. Genève, Éditions Pierre Cailler. Texte de Jean Lurçat, photographies de Robert Doisneau
    • 1949 : La Banlieue de Paris - Blaise Cendrars et Robert Doisneau - Éditions Seghers
    • 1951 : L'Automobile de France - Régie nationale des Usines Renault, Imprimerie Draeger Frères
    • 1951 : Les Travaux et les Jeux - R. Doisneau et W. Ronis
    • 1952 : Picasso - Le Point
    • 1952 : Sortilèges de Paris - François Cali - Éditions Arthaud
    • 1952 : Métiers curieux de Paris - Albert Fournier avec photographies de Robert Doisneau - Éditions Jehebe
    • 1953 : Braque - Le point
    • 1953 : Paul Léautaud - Le point
    • 1954 : Les Parisiens tels qu'ils sont - Robert Giraud, Michel Aragon et Robert Doisneau, Éditions Robert Delpire
    • 1954 : Paris - publié par le ministère des travaux publics, des transports et du tourisme
    • 1954 : Lyon - Jean Deniau avec plusieurs photographies de Robert Doisneau - Éditions Arthaud
    • 1955 : 1, 2, 3, 4, 5 - Albert Plécy et Robert Doisneau, Éditions La guilde du livre & Éditions Clairefontaine
    • 1956 : Pour que Paris soit - Éditions Cercle de l'art
    • 1956 : Gosses de Paris par Jean Donguès. Photographies de Robert Doisneau - Éditions Jeheber, Paris.
    • 1956 : Le Ballet contre l'opéra - Le Point - Revue artistique et littéraire
    • 1960 : Bistrots - Le point - J. Prévert, R. Giraud, R. Doisneau
    • 1960 : Vacances des quatre saisons - Millaud et R. Doisneau, F. Germain, R. Schall et Y. Dieuzaide
    • 1962 : Cognac - Rémy Martin, Louise de Vilmorin et Robert Doisneau
    • 1963 : Bien vivre - Vendée (11e année), plusieurs clichés légendés en page de couverture et illustrant des articles
    • 1963 : Nicolas Schöffer - Guy Habasque, Dr Jacques Ménétrier et Robert Doisneau- Éditions du Griffon
    • 1965 : Épouvantables Épouvantails - Robert Doisneau et les Éditions Hors Mesure
    • 1966 : Métiers de tradition - Réservé aux amis du Crédit lyonnais - Roger Lecotté, André Desvallées, Jacques Dubois et Robert Doisneau avec emboîtage
    • 1966 : Enchantement sur Paris - J. Yonnet et photographies de Robert Doisneau - Denoël
    • 1966 : Catherine la Danseuse - Robert Doisneau et Michèle Manceaux - Éditions Nathan
    • 1971 : Témoins de la vie quotidienne - Réservé aux amis du Crédit Lyonnais - avec emboîtage
    • 1974 : Le Paris de Robert Doisneau et Max-Pol Fouchet - Les éditeurs français réunis
    • 1978 : L'Enfant et la Colombe - Éditions du Chêne
    • 1978 : La Loire - collection Journal d'un voyage- Éditions Filipacchi-Denoël
    • 1979 : Trois secondes d'éternité - Éditions Contrejour
    • 1980 : Le Mal de Paris - Clément Lepidis et Robert Doisneau - Éditions Arthaud
    • 1980 : Vitrines de Paris - André Barret, Olivier Garros, Dominique Souse et Robert Doisneau
    • 1981 : Passages et galeries du XIXe siècle - Le piéton de Paris - Éditions ACE
    • 1981 : Ballade pour violoncelle et chambre noire - Maurice Baquet et Robert Doisneau - Éditions Herscher
    • 1982 : Portraits - Fondation nationale de la photographie
    • 1983 : Vin des Rues - Roland Giraud avec les photographies de Robert Doisneau (l'édition originale de 1955 ne comporte pas de photographies de R. Doisneau même si l'ouvrage lui est dédié)
    • 1983 : Robert Doisneau entretien avec Sylvain Roumette - collection Photopoche
    • 1983 : Doisneau par Jean-François Chevrier - Éditions Belfond
    • 1985 : Les Photographes de Dubout - Éditions Hoebeke
    • 1986 : Le Paris de Robert Doisneau et Max-Pol Fouchet - Éditions Messidor
    • 1986 : Un certain Robert Doisneau - Édition du Chêne
    • 1987 : Pour saluer Cendrars - Jérôme Camilly et Robert Doisneau - Actes Sud
    • 1988 : Doisneau - avec logo Renault - Étui rouge en métal - Éditions Hazan
    • 1988 : Nationale 7 - Christian Louis
    • 1988 : Marchés passion - Colette Ellen, Sylvie Girard, Monique Houssin et Robert Doisneau - Éditions Londreys
    • 1989 : Les Doigts pleins d'encre - Doisneau et Cavanna - Éditions Hoëbeke
    • 1989 : Paysages photographiés - Mission DATAR - Éditions Hazan
    • 1990 : La Science de Doisneau - Éditions Hoëbeke
    • 1991 : La Compagnie des Zincs - Caradec et Doisneau - Éditions Seghers
    • 1991 : Portrait de Saint Denis - Éditions Calmann-Levy
    • 1991 : Les Grandes Vacances - Doisneau et Pennac - Éditions Hoëbeke
    • 1993 : Les Enfants de Germinal - Cavanna et J.P. Charbonnier, Robert Doisneau et Willy Ronis
    • 1993 : Question de lumières - Robert Doisneau et Henri Alekan - Éditions Stratem
    • 1994 : De la Résistance à la Libération - Robert Doisneau - Éditions Hoëbeke
    • 1996 : Robert Doisneau, introduction Brigitte Ollier - Éditions Hazan
    • 1999 : Les Auvergnats - Éditions de la Martinière
    • 2000 : Pour la liberté de la Presse - Reporters sans frontières
    • 2003 : Travailleurs - Éditions du Chêne
    • 2004 : Le Mariage de Paul et Odette - Éditions Alain Beaulet-Mango
    • 2005 : Doisneau chez les Joliot-Curie - Éditions Romain Pages Éditions
    • 2006 : Doisneau rencontre Cendrars - Éditions Buchet-Chastel
    • 2012 : Les Alpes de Doisneau - Éditions Glénat

    Notes et références

    Annexes

    Sur les autres projets Wikimedia :

    Articles connexes[modifier | modifier le code]

    Liens externes[modifier | modifier le code]

     

    Robert Doisneau : astrologie et thème astral

    Né le : 14 avril 1912 à 21h15
    à : Gentilly (France)
    Soleil : 24°33' Bélier AS : 23°28' Scorpion
    Lune : 23°05' Poissons MC : 12°24' Vierge
    Dominantes : Bélier, Scorpion, Poissons
    Saturne, Pluton, Mercure
    Maisons 5, 8, 4 / Eau, Feu / Cardinal
    Astrologie Chinoise : Rat d'Eau
    Numérologie : chemin de vie 22
    Popularité : 8 768 clics, 2 648e homme, 4 520e célébrité
     
     

    Célébrités ayant la même date anniversaire : Veronica Zemanova, Sarah Michelle Gellar, Adrien Brody,Louisy Joseph, Julie Christie, Richie Blackmore, Loretta Lynn, Robert Carlyle, Alexandre Jardin, Erich von Däniken, Chadli Bendjedid, François Duvalier... Voir toutes les célébrités nées un 14 avril.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Michèle Bernier : astrologie et thème astral

    Née le : 13 avril 1956 à 03h25
    à : Paris 14e (France)
    Soleil : 23°08' Bélier AS : 3°58' Verseau
    Lune : 18°47' Taureau MC : 1°56' Sagittaire
    Dominantes : Sagittaire, Taureau, Capricorne
    Mars, Uranus, Saturne
    Maisons 2, 12, 10 / Feu, Terre / Cardinal
    Astrologie Chinoise : Singe de Feu
    Numérologie : chemin de vie 11
    Taille : Michèle Bernier mesure 1m75 (5' 9")
    Popularité : 11 693 clics, 1 167e femme, 2 773e célébrité
     
     

    Célébrités ayant la même date anniversaire : Gary Kasparov, Thomas Jefferson, Jacques Lacan, Samuel Beckett, J. M. G. Le Clézio, Catherine de Médicis, Ron Perlman, Jonathan Brandis, Christopher Hitchens, Reshad Feild, Courtney Peldon, Ivy Goldstein Jacobson... Voir toutes les célébrités nées un 13 avril.

     


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  •  

    Andrew John Wiles (né le 11 avril 1953 à Cambridge, Angleterre) est un mathématicien britannique, professeur à l'université de Princeton, aux États-Unis. Il est surtout connu pour avoir démontré le dernier théorème de Fermat en 1994, résolvant ainsi l'un des problèmes les plus célèbres de l'histoire des mathématiques.

     

     

    Biographie

    Il entre au Clare College en 1974 pour y préparer un Ph.D. en mathématiques sur les lois de réciprocité et la conjecture de Birch et Swinnerton-Dyer, qu'il obtient en 1979. Il devient professeur à Princeton en 1982.

    En ce qui concerne la démonstration du dernier théorème de Fermat, l'odyssée de Wiles commence en 1985 quand Kenneth Ribet, partant d'une idée de Gerhard Frey, démontre que ce théorème résulterait de la conjecture de Shimura-Taniyama-Weil qui affirme que toute courbe elliptique est paramétrable par une forme modulaire. Bien que moins familière que le théorème de Fermat, cette conjecture est plus significative, car elle touche au cœur de la théorie des nombres.

    Cependant, personne n'a la moindre piste de travail pour la démontrer. Travaillant dans le plus grand secret pendant huit ans, et faisant part de ses idées et progrès à Nicholas Katz, un collègue de Princeton, Wiles démontre la conjecture de Shimura-Taniyama-Weil et, par conséquent, le théorème de Fermat.

    Comme toute démonstration de cette ampleur, elle est un tour de force riche en nouvelles idées.

    Pour expliquer (par Wiles) et vérifier (par Katz), pas à pas, cette démonstration sans éveiller les soupçons, Wiles et Katz ont l'idée d'organiser un cours de doctorat intitulé Calculs sur des courbes elliptiques, ouvert aux étudiants et professeurs. Peter Sarnak (en) avait lui aussi été mis dans le secret. Wiles annonce donc trois conférences (les 21, 22 et 23 juin 1993) sans en donner l'objet, ce qu'il ne fait que lors de la dernière en précisant que le grand théorème de Fermat est un corollaire de ses principaux résultats.

    Dans les mois qui suivent, le manuscrit de sa démonstration circule auprès d'un petit nombre de mathématiciens. Plusieurs critiques sont émises contre la démonstration que Wiles a présentée en 1993, presque toutes de l'ordre du détail et résolues rapidement, sauf une, qui met en évidence une lacune. Avec l'aide de Richard Taylor, Wiles réussit à contourner le problème soulevé, en octobre 1994. Son travail met ainsi fin à une recherche qui a duré plus de 300 ans.

    Il est aussi l'auteur d'autres travaux importants en théorie des nombres. Avec John Coates (qui fut son directeur de thèse), il a obtenu plusieurs résultats sur la conjecture de Birch et Swinnerton-Dyer et a collaboré avec Barry Mazur sur les extensions cyclotomiques.

    Il est fait chevalier commandeur de l'Ordre de l'Empire britannique (KBE) en 2000[1].

    Bibliographie

    Notes et références

    Liens externes

     

     

    Andrew Wiles et le théorème de Fermat

    BLOG DONT EST EXTRAIT CET ARTICLE

     

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    Portrait d’Andrew Wiles

    En octobre 1994, un mathématicien anglais, Andrew Wiles, met la touche finale à la démonstration du dernier théorème de Fermat.

    Revenons sur ce mathématicien d’exception, honoré par la médaille Fields en 1998.

    À l’âge de 10 ans, en 1963, Andrew Wiles est déjà fasciné par les mathématiques. Un jour à la bibliothèque il découvre une conjecture énoncée en 1641 par le mathématicien Pierre de Fermat. L’apparente simplicité du problème fascine le jeune Andrew. Habituellement, en mathématiques, la moitié de la difficulté consiste à comprendre la question. Mais ici, même un garçon de 10 ans pouvait bien la comprendre ( voir encadré ). Andrew s’affaira alors naïvement à appliquer son bagage limité en mathématique à la résolution de ce problème. Ce fut en vain il va s’en dire, mais ce problème ne devait plus le quitter.

    - – -

    Le théorème de Fermat

    On sait que 3^2+4^2=5^2 ou encore que 12^2+5^2=13^2. Il existe une infinité de tels triplets d’entiers. Par contre on ne trouve aucun triplet d’entiers a, b et c non nuls tels que a^3+b^3=c^3; c’est la même situation avec la puissance 4 et les suivantes.

    Le théorème de Fermat s’exprime ainsi :

    L’équation a^n+b^n=c^n n’a pas de solution entière non nulle pour n>2

    Ce problème facile à comprendre porte le nom de Pierre de Fermat un mathématicien toulousain du XVIIème siècle. Dans un ouvrage énonçant cette conjecture, il laissa cette note mystérieuse :

    "J’ai une démonstration véritablement merveilleuse de cette proposition, que cette marge est trop étroite pour contenir"

    350 ans de recherche pouvait commencer…

    - – -

    En 1986 Wiles abandonna tout travail qui n’intéressait pas directement le dernier théorème de Fermat. Chaque fois que possibles, il évitait les distractions attachées au fait qu’il était un membre de la faculté et travaillait chez lui, où il pouvait se retirer dans son grenier. Là, il essayait de développer les techniques connues, espérant bâtir une stratégie contre la conjecture. Dès lors qu’il s’était attaché à la démonstration, Wiles prit la décision surprenante de travailler dans l’isolement et le secret complet.

    Pour trouver une solution, Wiles recourut à son approche ordinaire des problèmes difficiles. Il griffonne, il gribouille. Comme outil, une feuille de papier, un crayon et son esprit. Au bout d’une année de contemplation, Wiles décide de la stratégie à adopter. Voila comment il décrit sa demarche :

    "On entre dans la première chambre et elle est obscure. Complètement obscure. On se heurte aux meubles, on finit par connaître leur emplacement. Après quelques six mois, on finit par trouver le commutateur et soudain, la pièce est éclairée. On peut voir exactement où l’on se trouve. Puis on passe à la pièce suivante, et l’on affronte de nouveau six mois d’obscurité. Donc, chacune des percées qui ont été faites et qui sont parfois brèves, ne durant qu’un jour ou deux, sont l’accomplissement des mois de tâtonnements dans le noir, sans lesquels il n’y aurait jamais eu de lumière."

    Au bout de six années d’efforts intenses, Wiles commençait à croire qu’il arrivait au terme.

    C’est à l’occasion d’une conférence que Wiles sorti de son isolement. Vers la fin de sa présentation, beaucoup de gens dans l’audience prenait des photos et le directeur de l’Institut s’était dûment préparé, avec une bouteille de champagne. Il y eut un silence solennel quand Wiles lut la preuve et lorsqu’il écrivit l’énoncé du dernier théorème de Fermat. Il déclara alors humblement: "Je crois que je m’arrêterai ici."

    Avant de pouvoir crier victoire, il fallait que la preuve de Wiles soit minutieusement vérifiée par la communauté mathématique. Six mathématiciens se partagèrent la tâche. Des erreurs furent révélées, mais Wiles pouvait les corriger. Or, aux environs du 23 août 1993, une erreur supplémentaire fut décélée qui se voulu fort coriace. Wiles espérait pouvoir la corriger aussi facilement que les autres, mais en vain. Les mois passèrent sans qu’il puisse contourner le problème.

    Wiles rentra dans une longue période de doutes ou il failli même abandonner le problème. Il s’isola à nouveau et enfin le 19 septembre 1994, il corrigea cette erreur. Le mois suivant, Wiles compléta deux manuscrits contenant la preuve de la conjecture Taniyama-Shimura. Le dernier et grand théorème de Fermat n’en était alors qu’un conséquence.

    350 ans après Fermat, le problème était résolu.

    A lire pour des informations plus détaillées :

    Sur ce blog, un lien vers le fascinant film de Simon Singh

    Le livre de Simon Singh : Le dernier théorème de Fermat


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    NOUVELLE LUNE DU 10 AVRIL 2013 ( CEOCENTRIQUE ET HELIOCENTRIQUE )

    Elévation de la conscience de l'humanité qui va enfin se mettre à l'écoute des enfants et des adolescents de Pacha Mama qui portent en eux toutes les clefs du nouveau monde en marche

     

    Se tourner vers les enfants et la jeunesse est le cap donné en début d'année , il ne doit jamais être oublié et 4580  CHILD  EST EN TAUREAU EN MAISON 10 , il s'agit d'être concret dans notre engagement social pour la jeunesse et il est pile poil face à Saturne Scorpion en maison 5 , maison de l'education et de la créativité artistique ... Notre société mourante a oublié qu'eduquer etait creer des oeuvres d'art et non formater des robots rentables pour une économie sans âme. Une puissante transformation de notre regard sur l'éducation est en pleine ebulition dans la conscience collective et Pluton sur la pointe de la Maison 7 forcr l'alchimie relationnelle dans ce sens .

    L'asteroide 2440 EDUCATIO est lui aussi puissament aspecté puisqu'il fait face à Mercure 24 degré Poissons  avec qui il forme un carré EXACT avec PROBITAS 24 degré Sagittaire et Vesta 24 degré Gémeaux ( conjointe Lilith)  ! Purification de la conscience humaine à un niveau très profond pour faire pénetrer la COMPASSION dans notre approche des enfants , COMPASSION etant le mot clef de la nouvelle Lune 

     

     

    CARTE HELIOCENTIQUE

     

     

    NOUVELLE LUNE DU 10 AVRIL 2013

     

    CARTE GÉOCENTRIQUE POUR GREENWICH,

    repaire choisi par l'humanité en matière de temps unificateur terrestre

    NOUVELLE LUNE DU 10 AVRIL 2013

     

     

    Entre le 20 et le 21 degré Bélier, l'union soli lunaire nous demande de transmuer la vie en amour

    " Une jeune fille nourissant des oiseaux pendant l'hiver "

    et de surmonter nos crises grâce à la compassion

    " Les rythmes de la nature , saisonniers, traduisent une oscilliation entre la vie et la mort . L'imagination créatrice permet de survoler le cycle et de découvrir les moyens non seulement d'échapper à la fatalité du déclin saisonnier mais encore d'aider les autres formes de vie à surmonter leurs crises.

    Les oiseaux migrateurs volent vers le sud ( cf Bélier 12 degré ) , toutrfois en établissant des liens avec d'autres créatures incapables d'échapper aux privations et à la mort hivernales, l'homme est en mesure de preserver la vie de l'esprit ( symbolisé par les oiseaux ) à travers toutes les crises , si , telle une jeune fille, il est largement ouvert aux esprits de l'amour et de la sympathie "

     

    Séquence 4 grade 5 : Lors de cette étape, nous voyons l'action humaine , poussée par la compassion, vaincre l'impuissance saisonniere . La vitalité , présente dans les esprits de la nature parvient à un niveau superieur chez l'être humain ..

    Le thème est LA TRANSMUTATION DE LA VIE EN AMOUR "

     

    Dane Rudhyar

    Un nouveau cycle  puissament unificateur puisque conjoint aussi à MARS 22 DEGRÉ et VENUS 23 DEGRE Bélier !

    En Géo comme en Hélio, le ciel entier repond à ce message pour aider le cycle soli lunaire à incarner la compassion sur Terre et dans les coeurs des humains

    La danse planetaire est menée par Ceres 1 degré Cancer , qui conjointe en Maison 12, domicile des poissons, en harmonie en eau et à la Lune en Cancer,  à 8990 COMPASSION, 2 degré ,  est maitre de l'ascendant par sa proximité

    Compassion occupe le symbole sabian " Un homme sur un tapis volant plane au dessus de vastes terres "

    Degré d'élévation de la conscience

    Conjoint à l'asteroide AMICITA en maison 9 , maison de l'intention spirituelle , Neptune maitre de la compassion, donne le LA de cette mélodie céleste

    40 HARNONIA au 8 degré Balance est conjointe À 30 URANIA elle sur le 7 degré  , cette muse qui nous inspire l'harmonie musicale des cycles cosmiques et dans le signe de la voie du juste milieu , de plus en Maison 4 , là ou l'énergie se plante  en prodondeur pour prendre racine . Ces deux asteroides font un face à face merveilleux à AMOR 9 degré et TALENT 8  degré conjoints dans l'espace Bélier labouré par la dernière pleine Lune pour leur préparer le terrain .

    Quel face à face stimulant !

    Chiron domine le ciel par sa conjonction au milieu du ciel Poissons et nous dit que cette profonde compassion de nature neptunienne est l'outil de guerison que nous offre le cosmos pour nous guerir et laisser respirer Pacha Mama et toutes ses créatures.

    . Pour lui faire echo , Mercure SUR LE 24 DEGRÉ Poissons est elle aussi encadrée  de deux asteroides tout à fait parlant au regard du message soli lunaire CONSCIENCE sur le 22 degré poissons et INDULGENTZIA sur le 28 degré  tous trois bouclant cette fabuleuse énergie Neptunienne en maison 10 , ouvrant des possibilités d'action sociales par une nouvelle pensée humaniste et planétaire

     

    NOUVELLE LUNE DU 10 AVRIL 2013 ( CEOCENTRIQUE ET HELIOCENTRIQUE )

    LA COMPASSION

    Oeuvre de Rich Russom

     

    Le thème Héliocentrique repond avec toute sa poésie du coeur au thème Géocentrique en nous offrant une VESTA Cancer qui tombe sur l'ascendant du thème Géocentrique et qui y est conjointe à COMPASSION et à CERES  , donnant à sa raison d'être toute la purification necessaire par l'eau ( Cancer) pour l'union  avec le divin.

     


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