• Nouvelle Lune du 18 Avril 2015, cartes du ciel Géocentrique et Héliocentrique

    Nouvelle Lune du 18 Avril 2015, cartes du ciel Géocentrique et Héliocentrique

    Nouvelle Lune de Médiation

    Nouvelle Lune qui se produit entre les degrés 28 et 29 du Bélier sur la pointe de la maison 7 , sur le descendant du ciel Géocentrique dans un ciel Bélier ascendant Balance ....L'authenticité dans la force de l'énergie vitale printanière au service de la rencontre alchimique entre humains et à l'interieur de chaque être humain au service de l'alliance yin yang ....

    Alliance  remarquable du couple Jupiter Junon en Lion en plein milieu du ciel de ce nouveau cycle  soli lunaire ... Soutenant dans le coeur, Lion , cette alliance amoureuse yin yang , l'alliance Balance dans une fusion d'amour inconditionnel étant le chemin de vie de cet instant céleste , Noeud Nord Balance en maison 12

     

    La conjonction Mercure Mars en Taureau , vient, en maison 7 elle aussi , soutenir par une action en conscience , soutenir l'alliance ...et Vénus en Gémeaux en maison 8 guide cette action mentalisée , en prenant du recul avec le désir Taureau, l'appelant à s'alchimiser en un désir de transcendance et de légèreté dans la communication énergétique entre les êtres

     Saturne en Sagittaire en maison 2 sous la double maitrise de Pluton Capricorne renforce ce travail de recul émotionnel d'avec nos désirs terrestres , d'élévation de la qualité de nos motivations, en permettant une distanciation mentale, permettant de garder conscience au coeur des crises traversées de l'interconnection entre tous les êtres ...et que chaque etre est different et appelé à une place harmonieuse unique dans ce grand tout de la conscience universelle .

     La conjonction Hara Vertex à la pointe des gémeaux soutient Vénus en maison 8 , l'aidant à élever la force d'attraction terrestre et la relier à la force celeste du mental en nous connectant à notre deuxième cerveau , dans le Hara et en y operant la spirale d'énergie , Vertex , de recyclage des émotions .

     

     

    Et Tore , notre vehicule spatial est quand à lui conjoint à Mars ....Ca va spiraler dans nos chaumières!

     

    Nouvelle Lune du 18 Avril 2015, cartes du ciel Géocentrique et Héliocentrique

    Une autre triple conjonction remarquable est celle que font Poesia , conscience et Lilith sur la pointe de la maison 11, celle par laquelle nous recevons le chi celeste en connection avec nos anges , ce qui qui nous permet de trouver l'inspiration divine permettant la cocreativité amicale, sororale et fraternelle  ....Lilith permettant une interiorisation consciente et partagée par la beauté de la poésie ...Poésie qui est le seul outil de l'union entre tout et tout

     

     

     

    Nouvelle Lune du 18 Avril 2015, cartes du ciel Géocentrique et Héliocentrique

     

    Nouvelle Lune du 18 Avril 2015, cartes du ciel Géocentrique et Héliocentrique

    Un quinconce Pluton Vénus qui opère son alchimie pour nous aider à transformer  nos désirs terrestres afin de  les elever à un autre niveau de conscience

     


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    La Première aventure céleste de Monsieur Antipyrine

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    La Première aventure céleste de Monsieur Antipyrine est un texte dada écrit par Tristan Tzara et paru en 1916.

    Citations[modifier]

    Dada est notre intensité ; qui érige les baïonnettes sans conséquence la tête Sumatrale du bébé allemand ; Dada est l'art sans pantoufles ni parallèles ; qui est contre et pour l'unité et décidément contre le futur ; nous savons sagement que nos cerveaux deviendront des coussins douillets que notre anti-dogmatisme est aussi exclusivité que le fonctionnaire que nous ne sommes pas libres et que nous crions liberté Nécessité sévère sans discipline ni morale et crachons sur l'humanité. Dada reste dans le cadre européen des faiblesses, c'est tout de même de la merde, mais nous voulons désormais chier en couleurs diverses, pour orner les jardins zoologiques de l'art, de tous les drapeaux des consulats do do bong hiho aho hiho aho.

     

    L'art était un jeu, les enfants assemblaient les mots qui ont une sonnerie à la fin, puis il criaient et pleuraient la strophe, et lui mettaient des bottines des poupées et la strophe devient reine pour mourir un peu, et la reine devint baleine et les enfants couraient à perdre haleine.
    Puis vinrent les grands Ambassadeurs du sentiment qui s'écrièrent historiquement en chœur
    psychologie psychologie hi hi
    Sciences Science Science
    Vive la France

     

    Mais nous Dada, nous ne sommes pas de leur avis car l'art n'est pas sérieux, je vous assure [...].

    Né le 16 avril 1896,Tristan Tzara,  Dada est Tatou Tout est Dada ,

     

     

    Citation de :

    Tristan Tzara, "Pour faire un poème dadaïste",
    in sept manifestes dada,
    éd. Pauvert, 1924(?)
    .

     

    Pour faire un poème dadaïste
    Prenez un journal.
    Prenez des ciseaux.
    Choisissez dans ce journal un article ayant la longueur que vous comptez donner à votre poème.
    Découpez l’article.
    Découpez ensuite avec soin chacun des mots qui forment cet article et mettez-les dans un sac.
    Agitez doucement.
    Sortez ensuite chaque coupure l’une après l’autre.
    Copiez les consciencieusement dans l’ordre où elles ont quitté le sac.
    Le poème vous ressemblera.
    Et vous voilà un écrivain infiniment original et d’une sensibilité charmante, encore qu’incomprise du vulgaire.

     

     

     

    Un beau matin aux dents fermées

     

    Je change le train en plume sonore

    Le pays n'a qu'un seul insecte

    La maison aux narines d'or

    Est remplie de phrases correctes

     

    Découpons l'échelle matinale

    de l'air et les nerfs de l'air

    En différences irisées en cris de mal

    Pourquoi se regarder dans le blanc de l'air

     

    Tristan Tzara

     

    Né le 16 avril 1896,Tristan Tzara,  Dada est Tatou Tout est Dada ,

    Biographie de Tristan Tzara

    Tristan Tzara (16 avril 1896 à Moineşti, Roumanie - 25 décembre 1963 à Paris), de son vrai nom Samuel Rosenstock, est un essayiste et poète français d'origine roumaine.


    Tristan Tzara en 1919
    Il a participé à la naissance du mot « Dada » à Zurich et a été le plus actif propagandiste du mouvement. Huelsenbeck, autre fondateur du mouvement dada, révèle en 1922, dans son histoire du dadaïsme, que Tzara n'a jamais été dadaïste (mais cela est une autre histoire, celle d'une rivalité qui régulièrement reviendra entre Huelsenbeck et Tzara]. Des poètes contemporains voient en Tzara le chef de file de l'art nouveau.

    Il a écrit lui-même les premiers textes "dadas" :

    La Première aventure céleste de Monsieur Antipyrine (1916),
    Vingt-cinq poèmes (1918),
    et Sept manifestes Dada (1924), lequel est un recueil de manifestes lus ou écrits entre 1916 et 1924 (cet ouvrage est alors publié posthume par rapport à Dada). Il serait alors faux de voir dans ce titre un manifeste.
    Cela l'a lancé (avec ses amis André Breton, Philippe Soupault et Louis Aragon) dans une grande variété d'activités destinées à choquer le public et à détruire les structures traditionnelles du langage.

    Par la suite, il a longtemps tenté de réconcilier surréalisme et communisme (il a même adhéré au parti communiste en 1936, avant de rejoindre la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale). Il est inhumé à Paris, au cimetière du Montparnasse (8e division).


    Œuvres
    La Première aventure céleste de Mr Antipyrine, première édition 1916 avec des bois gravés et coloriés par Marcel Janco, rééd. 2005, Éditions Dilecta.
    Vingt-cinq poèmes ; rééd. 2006, Éditions Dilecta.
    Cinéma calendrier du cœur abstrait, première édition 1920 , rééd. 2005, Éditions Dilecta.
    Les Sept Manifestes Dada, première édition 1924 avec des dessins de Francis Picabia, rééd. 2005, Éditions Dilecta.
    L'Homme approximatif 1931 ;
    Parler seul 1950 ;
    La Face intérieure 1953.

    Bibliographie
    François Buot, Tristan Tzara, Éditions Grasset, 2002
    Henri Béhar, Tristan Tzara. Paris : Oxus, Collection "Les Roumains de Paris", 2005. 257 pages, 21 cm. ISBN 2-84898-048-6.
    Christian NICAISE. Tristan Tzara : Les Livres. Rouen, Ed. L'Instant perpétuel, octobre 2005. ISBN 2-905598-90-5.

    Source : Wikipedia

     

     

     

     
     

    Dada ou dadaïsme est un mouvement intellectuel, littéraire et artistique qui, pendant la Première Guerre mondiale, se caractérise par une remise en cause, à la manière de table rase, de toutes les conventions et contraintes idéologiques, esthétiques et politiques.

    Le dadaïsme connaît notamment une rapide diffusion internationale.

     

    Ce mouvement met en avant un esprit mutin et caustique, un jeu avec les convenances et les conventions, son rejet de la raison et de la logique, et marque avec son extravagance notoire sa dérision des traditions et son art très engagé. Les artistes se voulaient irrespectueux, extravagants en affichant un mépris total envers les « vieilleries » du passé. Ils cherchaient à atteindre la plus grande liberté d'expression, en utilisant tout matériau et support possible. Ils avaient pour but de provoquer et d'amener le spectateur à réfléchir sur les fondements de la société. Ils cherchaient également cette liberté dans le langage, qu'ils aimaient lyrique et hétéroclite.

     


    Historique 

    Naissance de Dada 

    Le déclenchement de la Première guerre mondiale a transformé la paisible capitale de la Suisse alémanique qui était Zurich, en berceau d'un mouvement artistique inédit dont le « nom écrin » Dada fut trouvé dans des circonstances légendaires et controversées en février 1916[1].

    Début 1916, Hugo Ball, écrivain, traducteur de littérature française (Henri Barbusse, Léon Bloy, Arthur Rimbaud) et dramaturge allemand, exilé depuis 1915 et sa compagne Emmy Hennings, poète et danseuse, fondent le Cabaret Voltaire et en annoncent, dans la presse zurichoise, son ouverture pour le 2 février. Ils invitent les « jeunes artistes et écrivains dans le but de créer un centre de divertissement artistique, […] à [les] rejoindre avec des suggestions et des propositions.» [2]

    Hugo Ball a l'idée de mêler la tradition des cabarets parisiens de la fin du 19e siècle avec l'esprit du cabaret berlinois d'avant-guerre, sous la figure emblématique de Voltaire dont il admire l'opposition féroce à la religion[3]. Quelques jours auparavant, Marcel Janco, à la recherche d'un travail, passe dans la Spiegelstrasse, située dans le quartier malfamé de Zurich. Il entend de la musique sortir d'une boîte de nuit et « découvre un personnage gothique jouant du piano. » C'était Hugo Ball. Quand ce dernier appris que Janco était peintre, il lui offrit les murs du cabaret pour exposer. Janco revient au cabaret accompagné de ses amis Hans Arp, Sophie Taeuber et Tristan Tzara[4].

    L'inauguration a lieu le 5 février, la salle est comble. Le mot « Dada » est trouvé quelques jours après. Selon Henri Béhar « pour tout le monde, désormais, Dada est né à Zurich le 8 février 1916, son nom ayant été trouvé à l'aide d'un coupe-papier glissé au hasard entre les pages d'un dictionnaire Larousse. Gardons-nous de ne pas croire aux légendes ![5] »

    Dans une lettre de janvier 1921 adressée à des artistes new yorkais, Tzara explique les circonstances de l'invention du nom dont il se garde d'en revendiquer la paternité : « […] j'étais avec des amis, je cherchais dans un dictionnaire un mot approprié aux sonorités de toutes les langues, il faisait presque nuit lorsqu'une main verte déposa sa laideur sur la page du Larousse – en indiquant d'une manière précise Dada – mon choix fut fait. »[6]

    Au cours d'un entretien accordé à Arts magazine (New York, décembre 1982), Marcel Janco reconnaît qu'il n'était pas présent à ce moment-là : « Un après-midi, dans un café où nous nous retrouvions, j’ai appris que Tzara avait trouvé un nom pour le groupe, que tout le monde avait accepté. Ils cherchaient un nom parce que le mouvement était devenu très important. Tzara avait trouvé le mot dans le Larousse. »[7]

    En 1921, l'apparente précision du témoignage de Hans Arp paraît disqualifiée par la description ironique des circonstances : « Tzara a trouvé le mot Dada le 8 février 1916 à 6 heures du soir ; j’étais présent avec mes 12 enfants lorsque Tzara a prononcé pour la première fois ce nom qui a déchaîné en nous un enthousiasme légitime. Cela se passait au Café de la Terrasse à Zurich et je portais une brioche dans la narine gauche. »[8]

    Dada apparaît pour la première fois dans l'unique numéro de la revue Cabaret Voltaire publiée en mai 1916.

    La controverse sur la naissance du nom Dada vient de Richard Huelsenbeck qui en a toujours revendiqué la paternité : « Le mot Dada a été découvert par hasard dans un dictionnaire allemand-français par Hugo Ball et moi, alors que nous cherchions un nom de théâtre pour Mme Le Roy, la chanteuse du Cabaret. »[9] Même si une lettre de H. Ball à R. Huelsenbeck du 28 novembre 1916 semble soutenir sa version : « Et finalement j’y ai également décrit Dada : le Cabaret et la Galerie. Tu auras donc eu le dernier mot de Dada comme tu as eu le premier » la récurrente revendication[10] de Huelsenbeck, ne résiste pas au fait que, appelé par Hugo Ball, il ne soit pas arrivé à Zurich avant le 11 février 1916[11]

    Développement de Dada[modifier | modifier le code]

    Au bout de six mois, en juillet 1916, les protagonistes du Cabaret Voltaire veulent créer une revue et une galerie. Mais Hugo Ball s'oppose à l'idée de faire de Dada un mouvement artistique. Dans son manifeste, écrit à ce moment là, il donne la primauté au mot, et hésite à parler d'art : Le mot, messieurs, le mot est une affaire publique de tout premier ordre. Les dadaïstes créent tout de même une maison d'édition et une galerie. Le mouvement dérive des spectacles spontanés des cabarets à la programmation d'événements. Il converge vers la danse, probablement grâce à Sophie Taeuber. La galerie Dada, ouverte en janvier 1917, se révèle un succès, mais elle ne dure que quelques semaines. Hugo Ball, finalement, voyait dans cette galerie un effort pédagogique pour réviser les traditions littéraires et artistiques. Durant cette expérience, Huelsenbeck quitte le mouvement zurichois, l'assimilant à un petit commerce artistique, pour aller relancer Dada à Berlin[12].

    À Berlin, Huelsenbeck passe quelques temps à étudier et réfléchir. Le mouvement est effectivement relancé à partir de quelques soirées au Café des Westens, en février 1918, par des artistes tels Huelsenbeck et Grosz. Leur posture est de se battre contre l'expressionisme, de se présenter comme adversaires de l'art abstrait, d'aborder des sujets politiques telle la guerre - une nouveauté par rapport à l'époque zurichoise -, et d'intégrer le scandale maximum dans leur démarche. Dada pris un tour nettement offensif. Le public afflue à Berlin pour voir le phénomène et des soirées Dada s'organisent dans toute la ville. Les dadaïstes berlinois effectuent même une tournée en Tchécoslovaquie. En juin 1920 ils organisent une grande foire internationale Dada, mais le mouvement s'arrête quelques temps après, par épuisement des principaux protagonistes[13].

    Un peu avant la fin de la guerre, des mouvements Dadas sont créés dans les grandes villes allemandes : Berlin, Hanovre et Cologne. Les différents Manifestes parviennent à Paris, malgré la censure et le « bourrage de crâne » contre tout « germanisme ».

    Courant 1917 et 1918 le mouvement s'internationalise. À Zurich, l'improvisation des débuts est remplacée par une programmation plus institutionnalisée. De nouvelles personnalités, comme Walter Serner, émergent, et une visite au Cabaret Voltaire reste un passage obligé pour tous ceux qui veulent participer à Dada. Ainsi Francis Picabia s'y présente, publie un numéro spécial de sa revue 391 sur Zurich, tout en réalisant, à New-York, avec Marcel Duchamp et d'autres, des événements Dada, comme le salon des artistes indépendants, où est présentée (mais refusée) la Fontaine de Marcel Duchamp. Avec Arthur Cravan, Dada investit aussi le domaine du sport, avec à Madrid un combat mémorable, dès avril 1916, pour le titre de champion du monde de boxe[14].

    Après 4 années passées à Zurich, Tristan Tzara décide de rejoindre Paris en 1919, pour donner à l'anarchie Dada un nouvel élan. Dès 1918 il avait commencé à collaborer à une des revues Dada parisienne, Littérature, ce qui l'avait rapproché des principaux artistes parisiens[15].

    La fin de Dada 

    Une image de Entr'acte, film de transition entre Dada et Surréalisme, par René Clair.

    En France, à partir de 1920 Dada s'essouffle[réf. nécessaire], André Breton trouve que « Dada tourne en rond ». Louis Aragon, dans son Projet d'histoire littéraire contemporaine, fait mourir dada dès 1921-1922. Il dit aussi que les Vingt-cinq poèmes de Tristan Tzara « l'avaient saoûlé toute sa vie ». En novembre 1921, la revue belge Ça ira !, dans un numéro dirigé par Clément Pansaers, proclame que Dada est mort.

    Selon l'historien Marc Dachy, le procès contre Maurice Barrès, en 1921, marque la décomposition véritable des dadaïstes. La Mise en accusation et jugement de Maurice Barrès pour crime contre la sûreté de l'esprit n'était pas sans déplaire à Tzara, Francis Picabia, Georges Ribemont-Dessaignes, Erik Satie, ou Clément Pansaers, qui s'opposaient à l'idée d'un tribunal, et plus particulièrement d'un tribunal révolutionnaire. Tzara n'intervient que comme témoin, laissant à Breton le soin de diriger le procès. Le procès tourne rapidement en plaisanterie, ce qui n'était pas le souhait de Breton.

    • Tzara s'exclame : « Je n'ai aucune confiance dans la justice, même si cette justice est faite par Dada. Vous conviendrez avec moi, monsieur le Président, que nous ne sommes tous qu'une bande de salauds et que par conséquent les petites différences, salauds plus grands ou salauds plus petits, n'ont aucune importance. »
    • Breton intervient : « Le témoin tient-il à passer pour un parfait imbécile ou cherche-t-il à se faire interner ? »
    • Tzara répond : « Oui, je tiens à me faire passer pour un parfait imbécile et je ne cherche pas à m'échapper de l'asile dans lequel je passe ma vie. »

    Le fondateur du mouvement quitte violemment la salle, aussitôt suivi par Picabia et ses amis, au moment où Aragon commence son plaidoyer, plus contre le tribunal que contre Barrès, qui fut d'ailleurs condamné à vingt années de travaux forcés.

    Au mois de juin suivant, le salon Dada organisé par Tzara à Paris est dédaigné par André Breton, et Marcel Duchamp refuse tout envoi pour cette exposition, à l'exception d'un télégramme avec les deux mots : « Pode Balle ».

    La soirée Dada[16] du 6 juillet 1923 organisée par Tristan Tzara au théâtre Michel[17] marque la rupture définitive entre Dadaïstes et surréalistes (André Breton, Robert Desnos, Paul Éluard et Benjamin Péret). Face aux violentes interruptions des surréalistes : Breton, d'un coup de sa canne, casse le bras de Pierre de Massot, un journaliste (et non Tzara) appelle la police qui intervient. La soirée prévue le lendemain est annulée[18].

    L'art Dada 

    Artistes Dadas 

     


    Écrivains, peintres, plasticiens, cinéastes, danseurs, photographes et même quelques musiciens, Dada a traversé toutes les expressions artistiques de son temps[19].

    Jean (ou Hans) Arp
    • Symétrie pathétique broderie d'après un dessin de Jean Arp.
    • Fleur-marteau
     
    Beatrice Wood et Marcel Duchamp en 1917
    Alfred Stieglitz, photographie[20] de la Fontaine de Marcel Duchamp, 1917.
    Marcel Duchamp
    • Roue de bicyclette (1915), première œuvre du ready-made, il s'agit d'une roue de bicyclette fixée sur un tabouret.
    • Fontaine (1917), l'urinoir qui a ouvert la voie de la théorie du ready-made, concernant des objets du quotidien qui ne sont pas fondamentalement de l'art, mais le deviennent si on le décide.
    • L.H.O.O.Q. (elle a chaud au cul) (1919), désacralisant la Joconde, avec moustache, barbiche...
    • Tu m' (1920) voir.
    • Rotative plaques verre (1920), art pré-psychédélique voir.
    • Marcel Duchamp as Belle Haleine (1921), photographie en collaboration avec Man Ray voir.
    • Disques avec spirales (1923), art pré-psychédélique voir.
    • La Mariée mise à nu par ses célibataires, même (1923) voir.
    • Flacon de parfum Belle Haleine avec Rrose Sélavy (Éros c'est la vie) sur l'étiquette.
    • La Chute d'eau.
    • Le Gaz d'éclairage.
    Suzanne Duchamp
    • Ariette. D'oubli de la chapelle étourdie (1920).
    • Ready-made malheureux de Marcel (1919), traité de géométrie à suspendre à son balcon.
    Max Ernst
    • La bicyclette graminée garnie de grelots, les grisons grivelés et les échinodermes courbants l'échine pour quêter des caresses (1920-1921).
    George Grosz
    • Remember Uncle August, the Unhappy Inventor (1919).
    Raoul Hausmann
    • L'Esprit de notre temps, (Der Geist unserer Zeit), tête mécanique (1919).
    Hannah Höch
    • Paire de mariés bourgeois (1927), huile sur toile représentant un mannequin en bois habillé de voile blanc aux côtés d'un marié en frac.
    • Da-Dandy, collage.
    Richard Huelsenbeck
    • Almanach Dada, traduit de l'allemand par Sabine Wolf, notes de Sabine Wolf et Michel Giroud, édition bilingue, Paris, Champ libre, 1980.
    Clément Pansaers
    Francis Picabia
    • Jeune fille (1920), une encre sur papier.
    • Volucelle II (1922).
    • Dresseur de chien (1923) qui annonce le Dresseur d'animaux (1937).
    • Lettres à Christine (1945-1951), suivi de Ennazus, édition établie par Jean Sireuil, présentation de Marc Dachy, Paris, éditions Gérard Lebovici, 1988.
    Man Ray, Rrose Sélavy, 1921
    Man Ray
    • Lautgedicht (1924).
    Georges Ribemont-Dessaignes
    • Dada, Manifestes, poèmes, nouvelles, articles, projets, théâtre, cinéma, chroniques (1915-1929), nouvelle édition revue et présentée par Jean-Pierre Begot, Paris, éditions Champ libre, 1978.
    Kurt Schwitters
    • Merz Picture 46 A (The Skittle Picture) (1921), un cadre et des petits objets fixés.
    Sophie Taeuber-Arp
    • Gardes (1918), une sculpture articulée évoquant l'univers des marionnettes.
    • Triptyque abstrait (1918), une huile sur toile avec application de feuilles d'or.
    • Masque de Janco (1918), masque.
    • Tête dada (1918).
    • Composition abstraite (1919), un collage.
    Beatrice Wood
    • Un peu d'eau dans du savon (1917), collage loufoque avec un dessin de femme nue dont le sexe est caché sous un vrai savon.
    Otto Dix
    • Pragerstrasse (1920).
    Tzara, Janco et Huelsenbeck
    • L'amiral cherche une maison à louer (1916), poème simultané en français, anglais et allemand caractéristique et très fidèle à la philosophie Dada.

    Principaux foyers Dadas[modifier | modifier le code]

    La culture Dada[modifier | modifier le code]

    Dada et l'humour[modifier | modifier le code]

    Après la Première Guerre mondiale, les jeunes ont besoin d'exprimer leur jubilation d'être en vie, la guerre finie et la paix retrouvée. La vie a vaincu la mort, la paix a vaincu la guerre, l'enfance et l'insouciance sont de retour et vont pouvoir s'exprimer. En 1963, Tristan Tzara a dit : « Dada n'était pas seulement l'absurde, pas seulement une blague, dada était l'expression d'une très forte douleur des adolescents, née pendant la guerre de 1914. Ce que nous voulions c'était faire table rase des valeurs en cours, mais, au profit, justement des valeurs humaines les plus hautes. »

    Dada et l'érotisme[modifier | modifier le code]

    En 1920, Tristan Tzara nomme des « présidentes dada », les plus anticonformistes possibles et à l'originalité débridée. Les « jeunes filles dada », les « Dada's girls » dansent en solo avec ou sans masque, comme Sophie Taeuber. Elles font tourner les têtes et suscitent l'enthousiasme, mais aussi les huées. Une "Dada dance" bien connue consiste à mettre ses bras en l'air (épaule perpendiculaire au tronc et avant-bras perpendiculaire au corps) et à sauter en même temps. Emmy Hennings, compagne de Hugo Ball, fonda avec lui, le cabaret Voltaire à Zurich, dont elle devint l'âme en animant ses soirées, par la danse, le chant et la poésie.

    L'américaine Clara Tice, peintre caricaturiste et poète, horrifie la prude société américaine avec ses dessins de femmes nues accompagnées d'animaux, illustrant de manière érotique les Fables de La Fontaine. Ses œuvres seront confisquées par la police. Une autre américaine, Beatrice Wood réalise aussi des œuvres à forte connotation érotique.

    Valeska Gert crée ses « danses » lors de certaines soirées berlinoises. Bien loin du classique Lac des cygnes, elles ouvrent la voie à la libération du corps des femmes et au nudisme. Renée Dunan, élevée au couvent, mais grande admiratrice du marquis de Sade, se libère, se proclame « dadaïste de la première heure », et défraie la chronique, sous divers pseudonymes, dont « Marcelle la Pompe » et « M. de Steinthal », en hommage à Stendhal et à l'écrivain aventurier Casanova de Seingalt.

    Citations Dadas[modifier | modifier le code]

    • Jean Arp : « Vous aussi, bel homme, jolie femme, vous êtes dada, seulement vous ne le savez pas. Demain dada aura un visage différent d'aujourd'hui et pour cette raison sera dada. Dada, c'est la vie. »
    • « Dada est un cri, c'est le vide érigé en art de vivre. »
    • Hugo Ball : « Ce que nous appelons dada est une bouffonnerie issue du néant. »
    • Hannah Höch a développé, avec son compagnon Raoul Hausmann, le photomontage « en voulant suggérer, avec des éléments empruntés au monde des machines, un monde onirique, nouveau et parfois terrifiant. » né de l'envie de « faire une chose belle et une joie pour toujours, d'éléments dont on n'attendait plus ni beauté ni joie. »
    • Francis Picabia : « Rien pour demain, rien pour hier, tout pour aujourd'hui. »
    • Kurt Schwitters :
      • « Il n’y a pas d’art relevant d’une classe déterminée d'hommes et y en aurait-il qu’il serait sans importance pour la vie. A ceux qui veulent créer un art prolétarien, nous posons la question : « Qu'est-ce que l'art prolétarien ? » Est-ce l'art fait par les prolétaires eux-mêmes ? Ou un art au seul service du prolétariat ? Ou un art destiné à éveiller les instincts prolétariens (révolutionnaires) ? Il n'y a pas d'art fait par les prolétaires parce qu'un prolétaire qui crée de l'art n'est plus un prolétaire mais un artiste. Un artiste n'est ni prolétaire ni bourgeois et ce qu'il crée n'appartient ni au prolétariat ni à la bourgeoisie mais à tous. L'art est une fonction spirituelle de l'homme et vise à le délivrer du chaos de la vie (du tragique). L'art est libre dans l'utilisation de ses moyens et relève de ses lois propres et de ses lois propres seulement ; dès l'instant où une œuvre est une œuvre d'art, elle est largement au-dessus des différences de classes prolétariat-bourgeoisie. Si l'art devait servir exclusivement le prolétariat, nonobstant le fait que le prolétariat est contaminé par les goûts de la bourgeoisie, cet art serait aussi limité qu'un art spécifiquement bourgeois. Un tel art ne serait pas universel, ne prendrait pas ses racines dans le sentiment national universel mais dans des considérations individuelles, sociales, limitées dans le temps et dans l'espace. Si l'art devait éveiller des instincts à tendance prolétarienne, il se servirait en somme des mêmes moyens que l'art religieux ou nationaliste. Aussi banal que cela paraisse, en vérité il revient au même de peindre une Armée rouge avec Trotsky à sa tête ou une armée impériale avec Napoléon à sa tête. Pour la valeur d'un tableau en tant qu'œuvre d'art, il n'y a pas lieu d'éveiller des instincts prolétariens ou des sentiments patriotiques. L'un comme l'autre sont, du point de vue de l'art, une escroquerie. L'art a pour seul devoir d'éveiller par ses propres moyens les forces créatrices de l'homme, son but est la maturité de l'homme, non pas du prolétaire ou du bourgeois. Seuls des talents limités sont amenés, par manque de culture et par étroitesse de vue, à produire de manière bornée quelque chose comme de l'art prolétarien (de la politique en peinture). L'artiste, lui, renonce au champ spécifique des organisations sociales. L'art que nous voulons, cet art n'est ni prolétarien ni bourgeois parce qu'il doit déployer des énergies assez fortes pour influer sur l'ensemble de la culture au lieu de se laisser influencer par les rapports sociaux. » Trad. Marc Dachy
    • Tristan Tzara :
      • « Dada reste dans le cadre européen des faiblesses, c'est tout de même de la merde, mais nous voulons dorénavant chier en couleurs diverses, pour orner le jardin zoologique de l'art de tous les drapeaux des consulats do do bong hiho aho hiho aho. », (Premier manifeste Dada).
      • « Dada ne signifie rien. »
      • « Dada est un microbe vierge. »
      • En 1922, lors d'une conférence à Weimar et Iéna, il dit : « Dada met une douceur artificielle sur les choses, une neige de papillons sortis du crâne d'un prestidigitateur. »
    • Plus tard, il dira :
      • « Dada est la danse des impuissances de la création. »
      • « Les débuts de dada n'étaient pas les débuts d'un art mais ceux d'un dégoût. »
      • En 1963, il dit : « Dada n'était pas seulement l'absurde, pas seulement une blague, dada était l'expression d'une très forte douleur des adolescents, née pendant la guerre de 1914. Ce que nous voulions c'était faire table rase des valeurs en cours, mais, au profit, justement des valeurs humaines les plus hautes. »

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

    Publications par les Dadas
    • Sept Manifestes Dada de Tristan Tzara - 1924 Cet ouvrage est publié alors que Dada est officiellement mort. La publication est une sorte de concurrence avec le surréalisme naissant (Manifeste du surréalisme, André Breton, 1924).
    • Georges Ribemont-Dessaignes, Dada. Manifestes, poèmes, nouvelles, articles, projets, théâtre, cinéma, chroniques (1915-1929), éditions Champ libre.
    Fac-similés
    Publications critiques
    • François Buot, Tristan Tzara, Paris, Grasset.
    • Marc Dachy, Journal du mouvement Dada 1915-1923, Genève, Albert Skira, 1989 (Grand Prix du Livre d'Art, 1990)
    • Marc Dachy. Tristan Tzara Dompteur des Acrobates, Dada Zurich. Textes de Richard Huelsenbeck & Emil Szittya. Lettres de Guillaume Apollinaire & Hugo Ball, Paris, L'Echoppe, 1992.
    • Marc Dachy, Dada & les dadaïsmes, Paris, Gallimard, 1994. Re-édité dans la collection Folio essais en 2011.
    • Marc Dachy, Dada au Japon, Paris, PUF, 2002.
    • Marc Dachy, Dada, la révolte de l'art, Paris, Gallimard / Centre Pompidou, Découvertes n° 476 , 2005.
    • Marc Dachy, Archives Dada - Chronique, Paris, Hazan, 2005.
    • Gérard Durozoi, Dada et les arts rebelles, Paris, Hazan, Guide des arts"", 2005
    • Laurent Lebon (sous la direction de), Dada, catalogue d'exposition, Centre Pompidou, 2005.
    • Maurice Lemaître, Le Lettrisme devant dada et les nécrophages de dada, Centre de Créativité, Paris 1967.
    • Maurice Lemaître, Le Théâtre dadaïste et surréaliste, Centre de Créativité, Paris 1967. Fondation Bismuth-Lemaître, 13, rue de Mulhouse, 75002 Paris.
    • Serge Lemoine, Dada, Paris, Hazan, coll. L'Essentiel.
    • Giovanni Lista, Dada libertin & libertaire, Paris, L'insolite, 2005.
    • Christian Niquaise, Tristan Tzara : les livres, Rouen, L'Instant perpétuel, Rouen, 2005.
    • Michel Sanouillet, Dada à Paris, Paris, Jean-Jacques Pauvert, 1965, Flammarion, 1993, CNRS, 2005.
    • Michel Sanouillet, Dada in Paris, Cambridge, Massachusetts, The MIT Press, 2009.
    • Aurélie Verdier, L'ABCdaire de Dada, Paris, Flammarion, 2005.

    Chanson 

    Bernard Lavilliers a composé la musique de Chanson Dada présente sur l'album-concert Escale au Grand Rex dont le texte est de Tristan Tzara. Il s'y affirme lui-même comme « dadaïste ».

    Autre article[modifier | modifier le code]

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    1. Michel Sanouillet, Dada à Paris, CNRS Éditions, 1965-2005, pp. 6-7.
    2. Marc Dachy, Archives dada – Chroniques, Éditions Hazan, Paris 2005, p. 10 & Laurent Le Bon, Dada, Éditions du Centre Pompidou, Paris 2005, p. 202.
    3. Laurent Le Bon, Dada, Éditions du Centre Pompidou, Paris 2005, p. 990.
    4. Marc Dachy, Archives dada – Chroniques, Éditions Hazan, Paris 2005, p. 20.
    5. Henri Béhar & Michel Carassou, Dada, histoire d’une subversion, Fayard, Paris 1990-2005, p. 8.
    6. Manuscrit français cité dans Marc Dachy, Dada & les dadaïsmes, Gallimard, Paris, 1994, Folio essais, 2011, p. 98.
    7. Marc Dachy, Archives dada – Chroniques, Éditions Hazan, Paris 2005, p. 29.
    8. Déclaration parue dans la revue ‘’Dada au grand air’’ numéro 8, citée dans Dachy, Dada & les dadaïsmes, op. cit. p. 97.
    9. En avant Dada. Die Geschichte des Dadaismus, Hanovre/Leipzig, Paul Steegermann, 1920, cité dans Dada & les dadaïsmes, op. cit. p. 97.
    10. Almanach Berlin, 1920 : « un mot fut né, on ne sait pas comment », cité dans Dada & les dadaïsmes, op. cit.. p. 98.
    11. Dachy, Dada & les dadaïsmes, op. cit. p. 97.
    12. Roselee Goldberg, La Performance : Du futurisme à nos jours, Thomas & Hudson / L'univers de l'art (ISBN 978-2-87811-380-8), p. Chapitre 3 / Dada : la revue et la galerie 
    13. Roselee Goldberg, La Performance : Du futurisme à nos jours, Thomas & Hudson / L'univers de l'art (ISBN 978-2-87811-380-8), p. Chapitre 3 / Dada : Huelsenbeck à Berlin 
    14. Roselee Goldberg, La Performance : Du futurisme à nos jours, Thomas & Hudson / L'univers de l'art (ISBN 978-2-87811-380-8), p. Chapitre 3 / Dada : Dada à New-York et à Barcelone 
    15. Roselee Goldberg, La Performance : Du futurisme à nos jours, Thomas & Hudson / L'univers de l'art (ISBN 978-2-87811-380-8), p. Chapitre 3 / Dada : La fin de Dada à Zurich 
    16. Dite du Cœur à barbe pour la postérité.
    17. L'affiche de la manifestation est conçue par Ilia Zdanevitch. Au programme : projection du film de Charles Scheeler Fumées de New York, représentation du Cœur à barbe de Tzara dont les costumes sont de Sonia Delaunay.
    18. Marguerite Bonnet, André Breton, œuvres complètes, tome 1, Gallimard, La Pléiade, Paris, 1988, page XLVI, Le Bon, op. cit., p. 269 & Michel Sanouillet, Dada à Paris, éd CNRS 1965-2005, p. 333.
    19. L'exposition 2005 du Centre Georges-Pompidou a présenté plus de deux mille pièces
    20. Image publiée dans The Blind Man, 2, New York, mai 1917, p. 4. Voir une reproduction d'un tirage au gélatino-bromure d’argent original ici [archive].

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    Née le : 18 avril 1964
    à : Boulogne-Billancourt (92) (France)
    Soleil : 28°45' Bélier AS : 1°09' Scorpion
    Lune : 23°49' Cancer MC : 10°28' Lion
    Dominantes : Bélier, Taureau, Scorpion
    Soleil, Jupiter, Pluton
    Maisons 6, 7, 10 / Feu, Eau / Fixe
    Astrologie Chinoise : Dragon de Bois
    Numérologie : chemin de vie 6
    Taille : Zazie mesure 1m80 (5' 11")
    Popularité : 22 065 clics, 437e femme, 992e célébrité
     
    Biographie de Zazie

    Isabelle de Truchis de Varennes, plus connue sous son pseudonyme de Zazie, est une auteur-compositeur et chanteuse française. Héritière d'Alain Souchon, Zazie se fait connaître pour ses chansons à vocation sociétale (indifférenciation sexuelle, port du voile, "anti-lepénisme"). Ses apparitions se veulent souvent teintées d'une "transparence radicale et assumée", signe pour ses détracteurs d'un stade ultime de snobisme, voire d'arrogance. Zazie mesure 1m80. Enfance C'est le 18 avril 1964 à Boulogne-Billancourt, qu'Isabelle de Truchis de Varennes naît, d'une mère professeure de musique et d'un père architecte. Très vite surnommée « Zazie » en référence au roman de Raymond Queneau, Zazie dans le métro, elle affirme rapidement son penchant pour le domaine artistique. À la maison, on ...

     
     
     
     
     
     
     
     
     

     


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  • Biographie de Karen Blixen

     

     

     

     

     

    LA FEMME EST CE QU'ELLE EST PAS CE QU'ELLE FAIT  

     

    KAREN BLIXEN

    BIOGRAPHIE :

    carte du ciel :    http://www.astrotheme.fr/portraits/ECmZ496f5FJZ.htm

    La famille de sa mère, les Westenholz, étaient des bourgeois exemplaires, des négociants millionnaires qui s'étaient enrichis grâce à leur habileté, leur frugalité et leur dur labeur. Les Dinensen propriétaires terriens étaient des campagnards, affables et prodigues et cousins avec la plus haute noblesse du royaume.........

    Karen avait 10 ans lorsque son père Wilhelm qui souffrait d'une maladie " qui ne pouvait présager que d'un avenir sombre et tragique " se donna la mort. Se pendre n'était pas une mort honorable pour un officier. On dit aux enfants que leur père était tombé malade et était mort subitement. ....LIRE LA SUITE :

    http://pagesperso-orange.fr/mondalire/blixen.htm               

                          
    Karen Blixen  s'est fait particulierement connaitre sur toute la planète par son livre " la ferme en Afrique" mis en scène au cinéma par sydney Pollack sous le titre OUT OF AFRICA magnifiquement joué par Meryl streep et Robert Redford qui est une auto biographie passionnante de sa vie de pionnière en pays kénian que l'on comprend fort bien au regard de sa puissante maison neuf où brille une belle Lune Taureau; son père fut un propriétaire terrien et écrivain, deux qualités qu'il géra fort bien avant de tomber malade et de se suicider pour echapper à sa douleur, dux qualités qu'il  lui a transmis profondément ; Par contre, elle tombera malade, elle aussi, mais ne se suicidera pas .

    Elle fut particulièrement touchante par son courage justement face aux douloureux défis qu'elle traversa et la façon dont elle les sublima , dont elle  transcenda sa douleur.

    Ce thème est quasiment entierement tourné vers les autres puisque la seule planète au dessous de l'horizon est Uranus , transpersonnelle en maison un , qui lui donne donc de manière innée une essence, une raison d'être,  d'ouverture fraternelle à caractère universel.

    Ce théme est très positif puisqu'il ne presente qu'un carré et que ce carré Pluton, Lune  à Jupiter est soutenu par la foi de cette planète optimiste ; il appele surtout à la transcendance par le quinconce que fait Uranus au Soleil


    Cette transcendance venusienne ( uranus en balance) , c'est son chemin de vie, son noeud nord  en Balance en maison un que les symboles 4 et 5° de ce signe nous aide à comprendre dans cette scène d'intégration de groupe et de transfiguration sur le plan actionnel.

    4° Un groupe de jeunes gens réunis autour d'un feu de camp en une intime communion.

    Cet aspect est fort bien dépeint dans le film et dans le livre qui montre comment elle sut dépasser les conventions , toujours  poussée à l'action  par l'amour, venus mars conjoints en belier en maison 7, transcendant les barrières grâce à sa puissante capacité d'aimer  et  aussi  à son profond besoin de liberté partagé si joliment avec Denis qui fut son amant plusieurs années avant de s'écraser en avion.

    En fait quand elle aime elle va au bout, sans crainte, de ses sentiments ; elle traverse la savane pour retrouver son mari ce que jamais femme europeenne ne faisait , prend seule ses responsabilités pour assumer le groupe de kikouyous qui l'aide sur ses terres , dépasse la frustration de savoir que son mari a des maitresses, reste toujours disposée au partage de l'amitié , sentiment partagé par son mari et son amant qui seront amis eux aussi  .

    Elle continuera à son retoue, à vivre au Danemark entourée de jeunes gens . Sa vie illustrera bien cette " necessité de s'unir à des esprits frères à l'entrée d'un chemin vierge que seule éclaire la lumière falote de l'intuition nouvelle des valeurs naissantes " dont nous parle Dane Rudyar en analysant ce symbole

    A 5° Un maitre dispense à ses élèves une connaissance intime, fondement possible d'un nouveau monde.

    Lorsque l'on connait le grand courage avec lequel elle créa une petite école sur ses terres , on comprend bien qu'elle était poussée par sa mission de vie pour le faire, pionnière en ce domaine et difficilement comprise. Et pourtant , elle avait cette intuition naissante que pour echapper à la domination colonialiste il serait vital aux africains de connaitre les armes de leur ennemi . Et fondamentalement elle fut un modèle d'authenticité Belier " être ici et maintenant " , elle sut le faire et transmis plus que sa culture sa vitalité de femme libre.

    Uranus conjoint à cet ascendant amplifie cette force intuitive qu'elle doit valoriser comme sa vraie lumiere , opposée à celle de son Soleil en souffrance, en maison huit, bien que sans mauvais aspect,  et le boostant de sa supra personnalité; Le Soleil est appelé à se mettre au service d'Uranus : A 29°47 en vierge on pourrait dire qu'il achève son transit en purgatoire , role bien concret de la Vierge pour que la personne conscientise l'importance du nettoyage emotionnel de l'égo pour vivre une plus belle rencontre à l'autre , aux autres

    L'ascendant est très parlant : A 27°19 en Vierge , il montre le saut à franchir pour passer des conventions bien integrées dans la personne à l'affirmation pure de la personnalité au delà de ces conventions quand les décisions s'imposent

    27  Les dames de l'aristocratie se font la révérence lors d'une reception à la cour
    On ne peut bien sur que penser aux relations d'hypocrisie sociale et de maccisme  que Karen va si bien dépasser en fréquentant les " people" danois et danoises de l'ambassade au Kénia. 

    28 Un homme chauve s'empare du pouvoir  : La personne affirme son être authentique au delà des conventions : Souvenons nous comme elle va affirmer sa présence au bar jusque là réservé uniquement aux hommes . Gérant seule sa ferme , elle s'estime le droit de se faire valoir comme un homme et elle gagnera le respect de la communauté de l'ambassade par ses nombreux actes courageux.

    Le symbole du Soleil de Karen porte toute la difficulté de son épreuve existentielle et karmique en maison huit

    27" Compenser une occasion perdue par l'imagination" 

    28 Un public nombreux conspue l'artiste qui l'a décu 

    Ce saut douloureux en maison huit nous parle de dépassement de soi par l'intériorisation en conscientisant toute la responsabilité de nos actes. 
    Entre la mort de son pere par suicide, son premier amour pas reciproque, son mari qui deviendra un ami  laissant son illusion qu'il devienne amoureux, la syphilis,  la mort subite de Denis dont l'avion s'ecroule, la faillite de l'exploitation de café , elle doit perpetuellement se recentrer et assumer la recherche d'un bonheur au delà de la mort et de la réussite 

    Ce thème est très important au regard de l'époque dans laquelle rentre l'humanité dans l'energie d'Uranus et Neptune qui viennent surpasser l'importance du Soleil individuel , la lumiere d'uranus parlant d'amitié et de fraternite bien plus large que ce que peut apporter la réussite personnelle .

    Elle reussira cependant  financièrement par ses succès littéraires mais cette réussite ne tirera pas sa source de son égo mais de son inspiration uranienne justement débarassée à chaque étape un peu plus de cet égo,  et aussi de dons héréditaires qu'elle saura assumer à son tour en y intégrant ses propres  qualités féminines. 

    En effet la lune en eclairant le degré 30 nous dévoile " un paon qui fait la roue sur la terrasse d'un vieux château" :  Le couronnement de son succès tire en partie sa source de tout ce que lui ont transmis sa famille et sa culture danoise que l'experience africaine va lui permettre de valoriser et transformer par l'apport de l'ére nouvelle et du feminisme quand elle retournera au Danemark après la faillite de sa ferme.

    Cet aspect transformateur lui fut donné par pluton conjoint à sa lune en maison neuf sur le 1° Gémeaux, touchant donc l'approche intellectuelle et mentale, et la relation aux proches
    " Une embarcation à fond de verre permet de decouvrir des merveilles sous marines" Ce degré permet de découvrir des mondes inconnus et fascinants pour la conscience qui se transforme et s'élargie; conjoint à la lune et ainsi placé en maison neuf, il s'agit bien entendu d'un bouleversement alchimique de la conscience féminine, et qui va faire de Karen Blixen une pionnière , encourageant de nombreuses femmes occidentales à oser suivre ses traces , comme à la même période et différement , d'Alexandra David Neel .

    Et bien entendu toute cette énergie Gémeaux nous conduit à observer Mercure , un mercure bien concret en taureau mais sublimé cependant par Neptune qui l'empêchera de se laisser alourdir par les problèmes materiels et lui donnera un sens profond de la beauté universelle et une belle compréhension de la sagesse universelle des contes qui feront une partie de son oeuvre litteraire  
    Neptune àentre le 22 et le 23 ° Taureau tire l'énergie de Mercure vers le haut  en faisant emerger la créativité naturelle au coeur d'une intelligence harmonieuse " trois oisillons dans leur nis perché en haut d'un arbre"

    Un beau symbole d'échange culturel et de toute sa richesse pendant le film est l'attraction des kikouyous pour l'horloge qui fait coucou et qui les emplis de joie, horloge  qu'elle leur laissera bien sur à son départ.   Cette joie est justement le cadeau que font les kikouyous à Karen , cette joie qui porte et qui donne envie d'avoir envie.

    Saturne en maison neuf en gémeaux fait partie intégrante de ce don génétique qui lui a donné endurance et constance mentale dans la communication, en gémeaux , lui permettant de  continuer d'écrire au coeur de toutes les epreuves sur sa route . A 20°23 , il nous parle de la transition entre " une caféteria moderne offrant de nombreux plats regionaux" , soit l'assimilation de connaissances culturelles très diverses grâce à notre capacité de synthèse au 20° , et à 21° d'une manifestation ouvrière tumultueuse , impact révolutionnaire des idées sur les émotions et sur les aspirations collectives
    Au  regard de sa vie, cette transition est claire puisqu'elle va elle même bouleverser ses conceptions en se plongeant au coeur du Kénia où, en restant authentique, elle donnera la preuve que l'amitié entre les peuples fortement anti- conventionnel et plus que jamais d'actualité.


     

    "Le don d'aimer , le courage , et le sens de l'humour" , nous retiendrons, avec Karen Blixen,  ces trois qualités à cultiver pour mieux vivre  !

     

     

     

     

    Karen Blixen, de son nom de plume Isak Dinesen, (17 avril 1885 à Rungstedlund - 7 septembre 1962 à Rungstedlund) est une femme de lettres danoise.

    En 1914 elle épouse son cousin le baron Bror von Blixen-Finecke, suédois, qui l’emmène au Kenya (alors dominion britannique) où ils s’installent avant de faire faillite avec une plantation de café trop en altitude.

    Née le : 17 avril 1885 à 16h00
    à : Rungsted (Danemark)
    Soleil : 27°45' Bélier AS : 27°19' Vierge
    Lune : 29°30' Taureau MC : 26°18' Gémeaux
    Dominantes : Taureau, Bélier, Vierge
    Uranus, Mercure, Saturne
    Maisons 8, 9, 1 / Terre, Feu / Mutable
    Numérologie : chemin de vie 7
    Popularité : 7 919 clics, 2 128e femme, 5 190e célébrité
     
     

     



    Le baron participe à la Première Guerre mondiale du côté des alliés et elle va l’accompagner. Son mari volage lui transmet la syphilis ; ils se séparent en 1921 et divorcent en 1925. Maintenue en vie par un traitement aux métaux lourds (mercure), elle peut néanmoins faire de grandes promenades à cheval et comme Shéhérazade elle écrit pour garder l'attention de son confident. La syphilis est la cause de sa mort.

    Elle est une des principales héritières du style gothique anglo-saxon, qu'elle prolonge par un fantastique personnel.

     


    On lui doit notamment :

    1934 : Sept contes gothiques (ISBN 2253031542)
    1937 : La Ferme africaine (adaptée au cinéma sous le titre Out of Africa : Souvenirs d'Afrique) (ISBN 2070425126)

     


    1942 : Contes d'hiver
    1957 : Les Derniers Contes
    1960 : Ombres sur la prairie (ISBN 2070393097)
    Anecdotes du destin, recueil de nouvelles dont fait partie Le Dîner de Babette (porté à l'écran sous le titre Le Festin de Babette)
    Les Voies du châtiment, sous le pseudonyme Pierre Andrézel
    La Ferme africaine est éditée en France en 1942 avec une traduction d'Yvonne Manceron basée sur la traduction anglaise. Le roman est réédité en mai 2005 avec une traduction basée sur le texte original danois.

    Karen Blixen reçoit le prix Tagea Brandt Rejselegat en 1939.

     

     

     

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    Née le : 17 avril 1940 à 16h30
    à : Nantes (France)
    Soleil : 27°28' Bélier AS : 20°02' Vierge
    Lune : 24°32' Lion MC : 17°38' Gémeaux
    Dominantes : Bélier, Gémeaux, Vierge
    Mercure, Vénus, Neptune
    Maisons 9, 8, 7 / Feu, Air / Mutable
    Astrologie Chinoise : Dragon de Métal
    Numérologie : chemin de vie 8
    Popularité : 7 764 clics, 2 175e femme, 5 305e célébrité
     
     

     

     

    Biographie de Claire Bretécher

    Claire Bretécher est née à Nantes le 17 avril 1940.

    Débutant dans la bande dessinée avec une collaboration avec René Goscinny (1963), la carrière de Claire Bretécher prend son envol quand elle travaille pour Tintin (1965-1966). Collaborant au journal Pilote avec son personnage “Cellulite” (1969), elle y stigmatise les excès du féminisme tout en défendant la cause des femmes. Elle s’impose ensuite au journal Spirou (1969-1971) par des satires de ces contemporaines (“Salades de saisons”) où l'on voit son style évoluer vers un trait plus acide, qui la rapproche de Reiser. En 1972, elle crée avec Marcel Gotlib et Mandryka l'Écho des savanes. Collaborant aussi au mensuel écologique Le Sauvage à partir de 1973, elle entre au Nouvel Observateur la même année avec sa série Les Frustrés (15 octobre 1973), intégrée dans la rubrique sociétale “Notre Epoque”.

    Qualifiée en 1976 de « meilleure sociologue de l’année » par Roland Barthes, sa page des Frustrés est, selon Jean Daniel, « en profondeur, et au second degré, l’une des chroniques les plus efficacement politisée de notre hebdomadaire ». D’après Florence Montreynaud , les « conformistes de l’anticonformisme » dont les Frustrés de Brétecher font le portrait « sont aussi les lecteurs du Nouvel Observateur », à savoir « les snobs, les fils de bourgeois gauchisants, les mous, les durs, les sexistes, les féministes, les parents laxistes et leurs affreux jojos ». Un lecteur assidu et collaborateur occasionnel du journal lui rendant hommage admit d’ailleurs, qu’en ce qui le concernait, « le frustré, c'est tout mon portrait ».

    Sa série sur “Sainte-Thérèse d’Avila” suscite ensuite un certain nombre de réactions d’indignation de lecteurs catholiques qui pousse certains journalistes (comme Hector Bianciotti) à prendre sa défense. Sinon elle est présente épisodiquement au journal même si elle n’assiste pas aux conférences de rédaction. Mais éditant elle-même ses albums, elle se trouve particulièrement enrichie à la suite de l’ampleur de leur succès commercial au point de pouvoir se passer de son salaire mensuel à L’Obs. Manifestant une certaine lassitude ainsi que le désir de faire un enfant, elle cesse sa collaboration hebdomadaire au début de l’année 1981 non sans continuer à y publier épisodiquement une partie de ses albums,

    Œuvres

    Cellulite
    1972 Les états d'âme de Cellulite
    1974 Les angoisses de Cellulite

    Les Frustrés (à compte d'auteur)
    1975 Les Frustrés
    1977 Les Frustrés 2
    1978 Les Frustrés 3
    1979 Les Frustrés 4
    1980 Les Frustrés 5

    Agrippine
    1988 Agrippine (à compte d'auteur)
    1991 Agrippine prend vapeur (à compte d'auteur)
    1993 Les combats d'Agrippine (à compte d'auteur)
    1995 Agrippine et les inclus (à compte d'auteur)
    1998 Agrippine et l'ancêtre (Hyphen)
    2001 Agrippine et la secte à Raymonde (Hyphen)
    2004 Allergies (Hyphen)
    Les personnages de la série


    ...et encore
    1973 Salades de Saison (Dargaud)
    1976 Les Gnangnan (Glénat)
    1977 Baratine et Molgaga (Glénat)
    1977 Le bolot occidental (à compte d'auteur)
    1977 Fernand l'orphelin (5 épisodes de 4 pages-couleurs parues dans Le Trombone illustré)
    1978 Le cordon infernal (à compte d'auteur)
    1980 La vie passionnée de Thérèse d'Avila (réédition)
    1982 Les mères (à compte d'auteur)
    1984 Tourista (à compte d'auteur)
    1984 Le destin de Monique (réédition, à compte d'auteur)
    1985 Docteur Ventouse, bobologue (à compte d'auteur)
    1986 Docteur Ventouse, bobologue 2 (à compte d'auteur)
    1996 Mouler, démouler (à compte d'auteur)
    1999 Moments de lassitude (catalogue d'une exposition, Hyphen)

    Anecdote
    Claire Brétécher est citée dans la chanson "Femme Libérée" de Cookie Dingler : "dans le Nouvel Obs elle ne lit que Brétécher". C'est dire la popularité de la dessinatrice.


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