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    Astrologue italienne : 

     

        PAOLO BORSELLINO

     

     

    Ogni volta che sento parlare di “MAFIE”, ricorre sempre nella mia mente il ricordo di Paolo Borsellino e Giovanni Falcone, barbaramente uccisi da Cosa nostra in 2 diversi attentati. Paolo Borsellino, insieme alla sua scorta di 5 agenti, in Via D’Amelio a Palermo, furono trucidati da un’autobomba, il 19 luglio 1992.

    Ma vediamo tramite il cerchio zodiacale, le caratteristiche, la personalità del Giudice Paolo Borsellino.

    Sole Capricorno, Ascendente Cancro, Luna Toro.

    Il Sole in Capricorno di Paolo Borsellino è in 8a Casa, in un Segno di Terra, quindi la persona era legata alle cose concrete, al proprio territorio, nonostante questo non fosse “sicuro” e con Mercurio accanto, portava la persona ad avere “un’intelligenza investigativa”. La tensione con Plutone in 2a Casa, spiega che, per dovere o interessi questa persona era costretta a nascondere verità, in quanto non si fidava di certe persone che lo affiancavano, come poteva invece certamente confermare, la sua capacità investigativa nell’individuare e/o seguire complotti mafiosi.
    Il Sole e Mercurio in Quadratura a Saturno, conferma la rigidità forzata alle situazioni, alle norme, ai progetti che potevano essere “riprogettati” all’ultimo momento, causa sicurezza personale.
    Urano congiunto alla Luna, è nel settore delle prove, del cammino interiore, debilitando così la parte emozionale del Giudice Borsellino, facendolo vivere con “emozione zero” per quanto riguardava le scelte personali lavorative, mentre la tensione Giove/Urano, conferma la sua apprensione legata ai rischi, cui poteva andare incontro la sua famiglia.
    Il buon aspetto Giove/Plutone, attesta la posizione “di Giudice”, avvenuta tramite le sue indiscusse capacità e l’Ascendente Cancro in buon aspetto a Venere affermava il piacere del proprio lavoro e di conseguenza , il proprio cammino interiore che aveva intrapreso da lungo tempo.  


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    Les sociétés modernes civilisées se définissent par un procès de décodage et de déterritorialisation. Mais, ce qu'elles déterritorialisent d'un côté, elles le reterritorialisent de l'autre.

    L'Anti-Oedipe (1973) de

    Gilles Deleuze

     

     

    Né le : 18 janvier 1925 à 02h45
    à : Paris (France)
    Soleil : 27°31' Capricorne AS : 21°05' Scorpion
    Lune : 29°11' Balance MC : 8°57' Vierge
    Dominantes : Capricorne, Scorpion, Balance
    Saturne, Pluton, Mercure
    Maisons 2, 12, 11 / Terre, Eau / Cardinal
    Astrologie Chinoise : Rat de Bois
    Numérologie : chemin de vie 9
    Popularité : 26 471 clics, 998e homme, 1 764e célébrité

     

    C'est toujours par autrui que passe mon désir, et que mon désir reçoit un objet. Je ne désire rien qui ne soit vu, pensé, possédé par un autrui possible.

    Logique du sens (1969) de

    Gilles Deleuze

     

     

     

     

    Biographie de Gilles Deleuze

     

    Gilles Deleuze est un philosophe français né à Paris le 18 janvier 1925 et mort à Paris le 4 novembre 1995.

    Entre 1944 et 1948, il fait ses études de philosophie à la Sorbonne, où il rencontre Michel Butor, François Chatelet, Claude Lanzmann, Olivier Revault d’Allonnes, Michel Tournier. Ses professeurs sont Ferdinand Alquié, Georges Canguilhem, Maurice de Gandillac, Jean Hyppolite.

    Après l'agrégation en 1948, il se consacre à l'histoire de la philosophie.

    En 1969 il présente comme thèse principale, Différence et répétition (directeur, Maurice de Gandillac) ; et comme thèse secondaire, Spinoza et le problème de l’expression (directeur, Ferdinand Alquié).

    La même année, c'est la rencontre avec Félix Guattari ; suivra entre eux une longue et fructueuse collaboration. C'est une de ses influences décisives, avec Spinoza, Nietzsche et Henri Bergson.

    À l'Université de Vincennes, où il enseigna jusqu'à sa retraite universitaire en 1987, Gilles Deleuze fut, de l'avis de tous, un professeur extraordinaire ; comme dans ses ouvrages d'histoires de la philosophie, il parvenait à conjuguer la rigueur et l'érudition de l'universitaire à la plus grande imagination conceptuelle, le tout en des termes simples. Ses cours connurent un grand succès, attirant un public nombreux, international et diversifié. Grâce à sa femme, Fanny Deleuze, une partie importante de cet enseignement est disponible, transcrit à la lettre, sur le site de Richard Pinhas. «Un jour, peut-être, le siècle sera deleuzien.»

    Tel fut le sentiment de Michel Foucault à l'égard d'un philosophe qui marqua profondément la pensée de la fin du XXe siècle. On demanda à Deleuze comment il interprétait cette phrase ; il répondit que Foucault pensait sans doute qu'il représentait l'expression la plus pure de la pensée de la différence, car il en était l'expression purement conceptuelle, c'est-à-dire ni historique (comme Michel Foucault), ni critique (comme Roland Barthes, par exemple), etc. : « il voulait sans doute dire que j'étais le plus innocent, le plus philosophe ».

    Atteint d'une grave maladie respiratoire, Gilles Deleuze s'est suicidé le 4 novembre 1995. « Ce sont les organismes qui meurent, pas la vie ».

    Il est le père de Émilie Deleuze, réalisatrice française.


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  • Né le 18 janvier 1743, Louis Claude Saint Martin, Capricorne ascendant Scorpion

    Né le 18 janvier 1743, Louis Claude Saint Martin, Capricorne ascendant Scorpion

     

     

     

    LE 27 DEGRE CAPRICORNE ....DEGRE DU RAYONNEMENT SOLAIRE DE LOUIS CLAUDE DE SAINT MARTIN: DES PELERINS MONTENT UN RAIDILLON VERS UN HOTEL PERCHE DANS LA MONTAGNE


    A ce stade capricorne de la roue cyclique nous sommes connectés à l'ascension de la conscience individualisée vers les sommets atteints par les chefs spirituels de notre culture .

     

    LE 2 DEGRE SCORPION ........DEGRE DU RAYONNEMENT LUNAIRE DE LOUIS CLAUDE DE SAINT MARTIN : UN JOLI FLACON BRISE D'OU EMANENT LES EFFLUVES D'UN PARFUM DELICAT

    Ce degré souligne le caractère fortuit des circonstances qui nous poussent à rompre avec un passé dont le souvenir douloureux nous étreint encore .

    Il nous parle de la difficulté d'aborder son passé lorsque l'on rentre dans un nouvel univers émotionnel et sentimental . A l'excitation, la joie, la curiosité que peuvent apporter les nouveautés,repondent les souvenirsde la grâce passée que l'on a perdue ou abandonnée

     "

    La seule initiation que je recommande et recherche de la plus grande ardeur de mon âme est celle par laquelle nous pouvons pénétrer le cœur de Dieu et induire ce cœur divin à pénétrer dans le nôtre. Ainsi sera rendu parfait le mariage indissoluble qui fera de nous le frère, l'époux de notre Divin Sauveur.

    Il n'y a pas d'autre voie pour atteindre à cette Initiation sacrée que de descendre au plus profond de notre être, en ne nous arrêtant jamais dans nos efforts tant que nous n'avons pas atteint le but, la profondeur où nous verrons la vivifiante racine ; et dès lors, de façon naturelle, nous donnerons un fruit correspondant à notre nature, comme il en est des fruits des arbres de cette Terre, soutenus par diverses racines au travers desquelles les sucs vitaux ne cessent de s'élever."

     


    Les mots sont devenus dans les langues humaines ce que la pensée est devenue dans l’esprit des hommes. Ces mots sont devenus comme autant de morts qui enterrent des morts, et qui souvent même enterrent des vivants, ou ceux qui auraient le désir de l’être. Ainsi l’homme s’enterre-t-il lui-même journellement avec ses propres mots altérés qui ont perdu tout leur sens. Ainsi enterre-t-il journellement et continuellement la parole.
     

        Tableau Naturel des Rapports Qui Existent Entre Dieu, l'Homme et l'Univers de Louis-Claude de Saint-Martin

    L'Athée confesse donc, malgré lui, l'existence de cet Etre suprême ; car il ne peut entreprendre de prouver qu'il n'y a point de Dieu, qu'en se présentant comme étant un Dieu lui-même.

     

        Tableau Naturel des Rapports Qui Existent Entre Dieu, l'Homme et l'Univers de Louis-Claude de Saint-Martin

     

     Eloignons donc de nous les idées criminelles et insensées de ce néant, auquel des hommes aveugles enseignent que nous devons notre origine. N'avilissons pas notre Etre : il est fait pour une destination sublime mais elle ne peut l'être plus que son Principe ; puisque, selon les simples lois physiques, les Etres ne peuvent s'élever qu'au degré d'où ils sont descendus.  

     

       Tableau Naturel des Rapports Qui Existent Entre Dieu, l'Homme et l'Univers de Louis-Claude de Saint-Martin

     

     Or, s'il n'y a que trois classes d'êtres : Dieu, les Etres intellectuels et la Nature physique : si l'on ne peut trouver l'origine du mal dans la première qui est exclusivement la source de tout bien ; ni dans la dernière, qui n'est ni libre, ni pensante ; et que cependant l'existence du mal soit incontestable ; on est nécessairement forcé de l'attribuer à l'homme, ou à tout autre Etre, tenant comme lui un rang intermédiaire.  

    Tableau Naturel des Rapports Qui Existent Entre Dieu, l'Homme et l'Univers de Louis-Claude de Saint-Martin

    Il ne peut se créer une seule idée ; et cependant il a celle d'une force et d'une sagesse supérieure, qui est a la fois comme le terme de toutes les lois, le lien de toute harmonie, le pivot et le centre d'où émanent et où aboutissent toutes les Vertus des Etres. Car tel est le véritable résultat de tous les systèmes, de tous les dogmes, de toutes les opinions, même les plus absurdes, sur la nature des choses et sur celle de leur Principe. Il n'est aucune doctrine, sans en excepter l'Athéisme, qui n'ait pour but cette étonnante Unité […].

     

       Louis-Claude de Saint-Martin, dit Le Philosophe Inconnu. Né le 18 janvier 1743 à Amboise, mort à Aulnay (près de Sceaux) le 13 octobre 1803.

    Le flambeau de l'Illuminisme
    Le nom de Louis-Claude de Saint-Martin est à rattacher dans l'Histoire des idées au courant illuministe, réaction à l’esprit matérialiste des philosophes encyclopédistes du XVIIIe siècle. L’illuminisme propose une lecture des textes chrétiens à la lumière du néo-platonisme et des sciences occultes, mettant l’accent sur l’intériorité de la quête mystique, et rejetant les formalités scolastiques. À peu près à la même époque que Saint-Martin, l’Allemand D’Eckartshausen écrit un certain nombre d’ouvrages, parmi lesquels La nuée sur le sanctuaire, qu'Eliphas Lévi recommandera plus tard à son élève, le baron de Spedialieri. L’extatique suédois Emmanuel Swedenborg se rattache aussi à l’illuminisme mais la lecture de la plupart de ses ouvrages est réputée difficile.

    La descendance de l’illuminisme sera nombreuse et féconde : le romantisme et le symbolisme y puiseront leur conception du monde comme universelle analogie. Balzac, entre beaucoup d’autres, fut profondémént influencé par la pensée illuministe : on s’en apercevra aisément en lisant Louis Lambert, La recherche de l’absolu, ou Le lys dans la vallée.


    Biographie du « philosophe inconnu »
    Louis-Claude de Saint-Martin naquit à Amboise (Indre-et-Loire) le 18 janvier 1743, dans une famille de petite noblesse. Dès l’enfance, l’éducation que lui prodigue une belle-mère éclairée favorise chez lui l’épanouissement de nobles sentiments et d’une grande sensibilité d’âme. Après des études de droit, il devient avocat, conformément au désir de ses parents. Mais la profession ne lui plait guère, et grâce à l’appui d’un ami influent, il obtient en 1765 (à 22 ans) un brevet de sous-lieutenant au régiment de Foix alors stationné à Bordeaux. La carrière militaire devait à cette époque laisser beaucoup de loisirs, car Louis-Claude de Saint-Martin avait pour but en la choisissant de se ménager davantage de temps pour poursuivre ses études ésotériques ! Fabre d'Olivet aura plus tard la même idée.

    Par l’entremise d’un de ses amis du cercle des officiers, le capitaine de Grainville, Saint-Martin est admis dès 1765 dans l'Ordre des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l’Univers, fondé quelques années plus tôt par le théosophe thaumaturge J. Martinès de Pasqually, dont la doctrine se présente comme la clef de toute théosophie judéo-chrétienne, étant directement reliée aux enseignements secrets d’Égypte, de Grèce et d’Orient. L’enseignement et les rites cohens lui fournissent l’essentiel des thèmes philosophiques qu’il ne cessa de développer dans toutes ses œuvres. Il quitte l’armée en 1771 pour se consacrer à sa vocation et fut le secrétaire de Martinès de Pasqually pendant plusieurs mois.

    En 1773 et 1774, il demeure à Lyon chez Jean-Baptiste Willermoz (1730-1824). Cet autre disciple de Martinès de Pasqually créa en 1778 le Rite Ecossais Rectifié (RER), pratiqué de nos jours par de nombreux maçons, et dans lequel il allait faire passer l’essentiel de la théosophie martinésiste. Au cours de ce séjour chez Willermoz, Saint-Martin rédigea son premier ouvrage, Des erreurs et de la vérité, ou les Hommes rappelés aux principes de la science. Quand parut ce livre, en 1775, l’auteur se trouvait à Paris et devint déjà le « Philosophe inconnu » qu’il allait rester pour la postérité. Le Tableau naturel des rapports qui unissent Dieu, l’Homme et l’univers (1782) reprend et prolonge les enseignements des Erreurs... Dès cette époque, Saint-Martin se détache des voies actives de la magie pour s’orienter dans une direction de plus en plus « intérieure » : le Réparateur a, selon lui, montré la voie d’un contact direct avec le divin, par la prière. Saint-Martin se défie même finalement de la franc-maçonnerie, malgré une appartenance de courte durée au rite rectifié de Willermoz. Son séjour à Strasbourg (1788-1791) peut être considéré comme un événement historique : il y rencontre en effet Mme de Böcklin qui lui révèle la philosophie de Jacob Boehme dont il traduira cinq ouvrages.

    Dans la Révolution française, Saint-Martin voit un châtiment provisoire envoyé par la Providence, dû à la décadence des trônes et des autels, et n’hésite pas à aller monter la garde devant le Temple, devenu alors prison de la famille royale. Louis Blanc, dans son Histoire de la Révolution, lui a même attribué la fameuse devise de la République française : Liberté, Égalité, Fraternité.

    Après L’Homme de désir (1790), puis Le Nouvel Homme et Ecce homo (destiné à instruire la duchesse de Bourbon), parus en 1792, il écrit principalement sous l’influence de Boehme, dont il concilie l’enseignement avec celui de son « premier maître » Martinès de Pasqually. En même temps débute sa correspondance théosophique avec le Bernois Niklaus Anton Kirchberger (1739-1799). Puis il écrit d’autres ouvrages, dont Le Ministère de l’homme-esprit (1802) est sans doute le plus élaboré et celui qui concilie le mieux les enseignements de Boehme avec ceux de Martinès de Pasqually. En même temps, il rédige des traductions des livres de Boehme et les publie. Il rencontre Chateaubriand à la Vallée-aux-Loups, en janvier 1803, et s’éteint le 13 octobre à Aulnay, près de Sceaux (Seine), chez le sénateur Lenoir-Laroche.


    La philosophie de Saint-Martin
    L'œuvre entière de Saint-Martin montre sa fidélité aux enseignements de J. Martinès de Pasqually : il n’a jamais nié la valeur ni l’efficacité de la théurgie cohen, mais a estimé n’avoir plus besoin de celle-ci une fois qu’il crut en avoir tiré assez d’avantages spirituels. Si la philosophie saint-martinienne se rattache étroitement aux systèmes de Boehme et de Pasqually, elle ne doit pratiquement rien à Swedenborg ni à Mme Guyon. Pour Saint-Martin comme pour ses maîtres, Dieu, avant le temps, produisit par émanation des êtres spirituels. Une partie de ces anges tomba dans le péché d’insubordination. Alors Dieu créa un univers pour circonscrire le mal ainsi introduit et pour servir de prison aux anges déchus. En même temps, il émana l’Homme primordial, l’Adam Qadmon, androgyne au corps glorieux, vice-roi de l’univers, pour servir de geôlier à ces démons, les amener à résipiscence :

    Dieu dit : Faisons l’Homme à notre image, comme notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, les oiseaux du ciel, les bestiaux, toutes les bêtes sauvages et toutes les bestioles qui rampent sur la terre.

    Dieu créa l’Homme à son image, à l’image de Dieu il le créa, mâle et femelle il le créa. (Gen I, 26-27)

    Mais l’Homme, induit en tentation par eux, fut précipité à son tour dans cet univers en dehors duquel il aurait dû demeurer. En pénétrant à l’intérieur, il en rompit l’harmonie, devint homme et femme séparément, mortel, sujet à la peine, aux maladies :

    Mais du fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n’en mangerez pas, vous n’y toucherez pas, sous peine de mort. (Gen III, 3)

    Mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront et vous serez comme des dieux, qui connaissent le bien et le mal. (Gen III, 5)

    Il est donc un ange déchu qui non seulement se souvient des cieux, mais doit retrouver sa grandeur passée et son pouvoir de commander à tous les esprits, bons ou mauvais. Les anges demeurés dans l’obéissance peuvent aider l’Homme si celui-ci se met en hamonie avec eux . La prière, même dépourvue de cérémonies, est la méthode la plus efficace : Saint-Martin déconseille vivement les pratiques théurgiques. Eliphas Lévi raconte à ce propos qu’un disciple de Martinès de Pasqually, s’étant livré à des opérations alors qu’il avait contracté une souillure, y aurait certainement laissé la vie sans l’intervention du maître. Pour Saint-Martin, il y a un ange attaché à la vie de chaque homme, qui a délibérément choisi l’exil pour aider à sa réintégration. Cet ange souffre lorsque nous nous éloignons de Dieu, car nous l’en éloignons en même temps : il ne perçoit la lumière divine qu’à travers notre cœur.

    Saint-Martin décrit longuement les conséquences de la Chute, dont il tire l’essentiel de sa cosmologie, et indique les voies par lesquelles l’Homme pourrait se régénérer lui-même en entraînant la nature dans une gigantesque Réintégration. Jamais il ne craint de trop exalter le rôle de l’Homme dans l’économie divine. Saint-Martin souligne les liens profonds de celui-là avec le Créateur, insiste sur ce qu’il y a de meilleur en lui : l’admiration, l’amour, la solidité des rapports humains, la valeur inestimable du grain de sénevé qui demeure enfoui dans le cœur de chacun mais qui peut nous porter jusqu’aux cieux, transfigurer la nature même, rendre à l’Homme sa splendeur passée. Car c’est toujours de l’Homme que part le Philosophe inconnu, pour qui il faut expliquer les choses par l’Homme, et non pas l’Homme par les choses. Toute étude sérieuse sur la «Philosophie de la Nature» à cette époque – au sens romantique du terme – devrait commencer par un examen attentif de son œuvre, particulièrement de L’Esprit des choses (1800).

    Si Saint-Martin a tendance à se détacher du monde, il échappe toujours à la mystique pure, dans la mesure où il reste un insatiable observateur de la nature; il intègre chaque notation concrète dans un système théosophique à la fois cosmogonique, cosmologique et eschatologique où chaque donnée est toujours saisie dans un ensemble des ensembles, secret de la démarche analogique ou de la doctrine des correspondances.


    Notes et références
    ↑ Cet article emprunte largement au site http://www.la-rose-bleue.org. D'autres portraits de Louis-Claude de Saint-Martin sont visibles à l'adresse http://www.la-rose-bleue.org/Biographies/Saint-Martin.html
    ↑ À tort; Robert Amadou a publié sur la question un numéro spécial de Renaissance traditionnelle où il démontre l'erreur, avec un argumentaire de plus de 100 pages !

    Bibliographie

    Œuvres
    Le Nouvel Homme, diffusion rosicrucienne, collection martiniste. (A lire absolument, une bonne porte d'entrée dans l'œuvre du philosophe inconnu).
    Le Ministère de l'Homme-Esprit, diffusion rosicrucienne, collection martiniste.
    L'Homme de Désir, disponible sur http://gallica.bnf.fr
    Des Erreurs et de la Vérité, diffusion rosicrucienne, collection martiniste.
    Ecce Homo, diffusion rosicrucienne, collection martiniste.
    Tableau naturel des rapports qui unissent Dieu, l'Homme et L'Univers, diffusion rosicrucienne, collection martiniste.
    J. Martinès de Pasqually - Traité sur la réintégration des êtres (d'après le manuscrit de L-C de Saint-Martin), diffusion rosicrucienne, collection martiniste.
    Mon portrait historique et philosophique (1789-1803, publié par Robert Amadou chez Julliard, 1961.

    Études sur Saint-Martin
    Robert Amadou, Louis-Claude de Saint-Martin et le martinisme, Le Griffon d'Or, 1946.
    Robert Amadou, Martinisme, CIREM, 1997.
    Jean-Louis Biasi, Le Martinisme, SEPP, 1997.
    Matter, Saint-Martin, le Philosophe Inconnu, Collection Martiniste, Diffusion Rosicrucienne, 1992.
    Papus, Saint-Martin, Demeter, 1988.
    Jean-Marc Vivenza, "Qui suis-je ?" Saint-Martin, Pardès, 2003.
    Jean-Marc Vivenza, Le Martinisme : l'enseignment secret des maîtres, Martinès de Pasqually, Louis-Claude de Saint-Martin, Jean-Baptiste Willermoz, Mercure Dauphinois, 2005.
    Jean-Marc Vivenza, La Prière du cœur selon Louis-Claude de Saint-Martin dit le "Philosophe Inconnu", Arma Artis, 2006.

     

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    Né le : 18 janvier 1743 à 01h30
    à : Amboise (37) (France)
    Soleil : 27°39' Capricorne AS : 6°29' Scorpion
    Lune : 2°24' Scorpion MC : 17°04' Lion
    Dominantes : Scorpion, Capricorne, Vierge
    Pluton, Lune, Soleil
    Maisons 3, 10, 12 / Terre, Eau / Fixe
    Numérologie : chemin de vie 7
    Popularité : 9 116 clics, 5 310e homme, 8 794e célébrité

     

    Louis-Claude de Saint-Martin

    saint-martin

    La doctrine de Saint-Martin est claire et simple. Sa vérité peut être perçue aisément par tout homme de bonne volonté, parce que ce mystique français a d'abord acquis la connaissance des lois divines et façonné sa doctrine en accord avec ces lois. A travers ses ouvrages, il désirait diffuser la lumière de la connaissance à lui échue par révélation, et pourtant, l'horreur d'un abus possible de la part de gens non préparés ou de mauvaise volonté et ceci de façon persistante, le conduisit à user du voile des symboles ésotériques lorsqu'il abordait les vérités destinées aux initiés. L'œuvre de sa vie a rendu son nom immortel, non seulement dans son propre pays mais à travers le monde, car le trait de lumière, qui a pour point de départ la source même de l'universelle lumière, brille irrésistiblement pour toute l'humanité.

    Introduction

    « J'ai désiré faire le bien mais je n'ai pas désiré faire du bruit, parce que j'ai senti que le bruit ne faisait pas de bien et que le bien ne faisait pas de bruit. » – L.C. de Saint-Martin

    Dans la grande famille des nations, nonobstant les différences de race, de nationalité et de langue, il y a une certaine tendance, de la part d'hommes évolués spirituellement, à s'attirer les uns les autres ; les hommes aux âmes de nature semblable, qui cherchent la plénitude de leur humanité et qui, ne pouvant l'atteindre uniquement sur le plan physique, poursuivent cette recherche dans les régions supérieures où leur ardent désir les conduit au sanctuaire même du Dieu Vivant. Ces pionniers se reconnaissent les uns les autres à des signes visibles et invisibles et font montre d'un degré de développement et de renaissance en esprit réel et définitivement achevé. Dans certains cas de proximité spirituelle particulière, le lien qui existe entre eux devient si étroit que même ce qu'on appelle la mort cesse d'être un obstacle.

    Une famille spirituelle unie n'existe pas à un moment donné dans la chair mais chacun de ses membres découvre tôt ou tard les traces de cette famille et les bienfaits qui en proviennent par les trésors spirituels secrets qu'ont accumulés ceux qui ont été des prédécesseurs. Chacun, sur le chemin du développement de soi, tend vers la connaissance de son propre Moi, chacun s'efforce d'éveiller le transcendantal, l'image éternelle enfouie en lui, afin de rendre perceptible et compréhensible le texte de la Divine pensée déposée en lui et afin d'atteindre à la plus pleine et à la plus pure manifestation de celle-ci. Ici l'on peut citer à propos les paroles de l'Évangile :

    « Cherche et tu trouveras... Demande et il te sera répondu. »

    Qui que ce soit qui désire ardemment, qui cherche avec persévérance et ardeur à atteindre à l'Idéal Divin de toute la force de son âme, est sûr de trouver aide et soutien.

    Une famille spirituelle unie n'existe pas à un moment donné dans la chair mais chacun de ses membres découvre tôt ou tard les traces de cette famille et les bienfaits qui en proviennent par les trésors spirituels secrets qu'ont accumulés ceux qui ont été des prédécesseurs. Chacun, sur le chemin du développement de soi, tend vers la connaissance de son propre Moi, chacun s'efforce d'éveiller le transcendantal, l'image éternelle enfouie en lui, afin de rendre perceptible et compréhensible le texte de la Divine pensée déposée en lui et afin d'atteindre à la plus pleine et à la plus pure manifestation de celle-ci. Ici l'on peut citer à propos les paroles de l'Evangile : « Cherche et tu trouveras » ; « Demande et il te sera répondu ». Qui que ce soit qui désire ardemment, qui cherche avec persévérance et ardeur à atteindre à l'Idéal Divin de toute la force de son âme, est sûr de trouver aide et soutien.

    En vérité, celui qui est courageux conquiert le Royaume des Cieux en surmontant l'opposition des instincts mauvais de la nature, en rejetant tout compromis et en tendant à jamais à s'élever jusqu'au Royaume de la Lumière et de la Liberté. Louis-Claude de Saint-Martin était un tel chevalier, arc-bouté à la recherche de la lumière. Il a été reconnu comme étant l'un des plus grands mystiques de France, mais l'œuvre de sa vie ne figure pas seulement dans les ouvrages qu'il a écrits. Toute son existence fut vouée à l'idée d'une grande renaissance de l'humanité, et il a éveillé un profond écho non seulement en France mais aussi en Europe de l'Ouest et en Europe de l'Est. Nous trouvons des traces de son influence dans les œuvres créatrices de nos poètes prophétiques, plus particulièrement chez Adam Mickiewicz.

    Pour pouvoir comprendre Saint-Martin, l'on doit approfondir son œuvre, l'on doit parcourir sa vaste correspondance, étudier sa biographie (publiée par Papus, Matter, Franck et d'autres), présentée par de nombreux auteurs et critiques, souvent de façon partiale et erronée. Un fin observateur n'aurai aucune difficulté à découvrir le Saint-Martin véritable, à découvrir de lui une image qui ne soit pas déformée. Son Moi réel passa par diverses phases de développement ; disciple et adepte de la science ésotérique de Martinez de Pasqually, qui était un humaniste, un théurge et un mystique, nous voyons les barreaux de l'échelle qu'il escalada par le titre même de ses ouvrages successifs : L'Homme de désir, Le Nouvel Homme, Le Ministère de l'Homme-Esprit.

    Saint-MArtinLes traits principaux du caractère de Saint-Martin étaient une activité virile, une activité vigoureuse, et aussi, une sensibilité fine et féminine et un raffinement inné. Son attitude intrépide et inébranlable quand il se dressait dans la défense des idéaux qu'il professait, soutenus virtuellement par son mode de vie, le faisaient souvent sembler dur, même envers ses amis, mais il était le premier à en souffrir. Il fallait qu'une certaine tendresse jaillissant du cœur s'efforçât d'alléger la peine qu'il ne pouvait s'empêcher d'infliger aux autres. Son mysticisme n'était pas abstrait et séparé de la vie. Il s'efforçait de pénétrer au sein même de la Divinité, et avec la lumière de la connaissance, d'illuminer tous les aspects de la vie. Il avait découvert le secret du bonheur sur Terre, l'équilibre parfait entre la loi et le devoir, l'harmonie entre les idéaux professés et la vie de tous les jours. Il considérait que la cœxistence des différents peuples devait être basée sur la fraternité, celle-ci conduisant vers l'égalité spirituelle de tous et vers la liberté qui est l'expression naturelle des principes de fraternité.

    La doctrine de Saint-Martin est claire et simple. Sa vérité peut être perçue aisément par tout homme de bonne volonté, parce que ce mystique français a d'abord acquis la connaissance des lois divines et façonné sa doctrine en accord avec ces lois. A travers ses ouvrages, il désirait diffuser la lumière de la connaissance acquise par révélation, et pourtant, l'horreur d'un abus possible de la part de gens non préparés ou de mauvaise volonté et ceci de façon persistante, le conduisit à user du voile des symboles ésotériques lorsqu'il abordait les vérités destinées aux initiés. L'œuvre de sa vie a rendu son nom immortel, non seulement dans son propre pays mais à travers le monde, car le trait de lumière, qui a pour point de départ la source même de l'universelle lumière, brille irrésistiblement pour toute l'humanité.

     

     


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    Né le 20 janvier 1914, Gérad Holtom , createur du symbole pour la paix

     

    Gerald Holtom est un designer professionnel britannique et artiste diplômé du Royal College of Art.
    Il a été objecteur de conscience pendant la 2° guerre mondiale. Wikipédia
    Date de naissance : 20 janvier 1914
    Décès : 18 septembre 1985, Angleterre, Royaume-Uni
     

    Né le 20 janvier 1914, Gérad Holtom , createur du symbole pour la paix

     

    L'asteroide pax eclaire le 24 degré de la balance :

    UN PAPILLON AVEC UNE TROISIEME AILE SUR SON COTE GAUCHE

    DOMINANTE: L'aptitude pour gagner de plus en plus de FORCE INTERIEURE, à modifier son comportement dans la vie.

    Le papillon est le symbole ancien et traditionnel de la renaussance spirituelle . La troisième aile désigne l'évolution spécifique d'un aspect de la vie spirituelle. Le trois est un symbole d'accomplissement. Notre vie spirituelle c'est vue insufflée quelque énergie supplémentaire;le côté gauche se réfaire habituellemnt au domaine instinctuel de la conscience, mais c'est aussi le côté du coeur.Une vigueur nouvelle apparait que l'on a peut être pas encore réalisée.

      

    Séquence 41 grade 4 : Tout degré à ce stade évoque habituellement une technique ou une prouesse technique.

    On en déduira présentament que le contact avec la force vitale revivifiante (cf 1ère étape) peut aboutir à l'apparition d'une faculté nouvelle dont il est possible qu'on évalue pas encore l'emploi. En vétité, c'est l'établissement d'un tel contact qui constitue une technique de mutation originale.

      

    MOT CLEF MUTATION ORIGINALE

     

    Dane Rudhyar

     

     


    Holtom était un diplômé du Royal College of Art 
    et avait été un objecteur de conscience dans la Seconde
    Guerre mondiale. En 1958, il travaillait pour le ministère
    de l'Éducation. Il a conçu le logo du désarmement nucléaire
    pour la première Marche d'Aldermaston, organisée par le Comité
    d'action directe contre la guerre nucléaire à Pâques 1958 (4-7 avril).
    Holtom a apporté le design, non sollicité, au président de son groupe
    anti-nucléaire local dans Twickenham, et des versions alternatives
    ont été montrées à la réunion inaugurale du CND de Londres.
    "La première marque sur le papier, selon M. Holtom, était un cercle
    blanc dans un carré noir, suivi de diverses versions de la croix
    chrétienne dans le cercle.Mais la croix, pour ces personnes,
    avait trop de mauvaises associations - avec les croisés ,
    Avec des médailles militaires, avec la bénédiction publique par un chapelain
    américain de l'avion qui a volé à Hiroshima -
    et par la suite les bras de la croix ont été laissés tomber,
    en formant le signal de sémaphore de base composé pour les lettres N et D
    et au même Eric Austen, qui a adapté le symbole des «sucettes» imperméables de Holtom
    sur des bâtons à des insignes de revers en céramique, aurait «découvert que le motif
    du« geste du désespoir »avait longtemps été un geste de désespoir humain
    Été associé à «la mort de l'homme», et le cercle avec «l'enfant à naître».
     
    Le logo n'était pas protégé par des droits d'auteur et est devenu plus tard 
    connu dans le monde entier comme un symbole de paix généraliste.
    La conception était une combinaison des lettres "N" (deux bras tendus
    pointant vers le bas à 45 degrés) et "D" (un bras levé au-dessus de la tête)
    de l'alphabet de sémaphore de drapeau, soutenant pour le désarmement
    nucléaire.

    C'est au bureau de Peace News au 3 Blackstock Road, Londres N4 (au-dessus de la librairie Housmans)
    que le symbole de paix du CND a été adopté.
    Holtom a eu plusieurs enfants, trois avec sa première famille: l'aîné Peter, une fille (maintenant aussi un artiste)
    Anna Scott (nee Holtom) et Benjamin.
    Il a ensuite engendré deux autres enfants:
    un fils, Darius, et une fille, Rebecca (également un artiste)

     

     

     

    Né le 20 janvier 1914, Gérad Holtom , createur du symbole pour la paix

     
     
    Selby

     

    To me, the peace symbol has always represented hope and change for the better. It is recognized around the globe, crossing language and cultural barriers. Yet, most people have no idea where it came from. This intrigued me enough to start researching the origin of this ubiquitous symbol.

    Once I started my research, I noticed the peace symbol everywhere. At first, I thought it was just my imagination. Coincidentally, I chose this topic just as the symbol was becoming more popular. It was everywhere; on t-shirts, purses, jewelry, baby clothes, and fashion runways. It appeared more and more as I got deeper and deeper into the project.

    When making A CIRCLE AND THREE LINES, I was faced with a common documentary filmmaker’s challenge – what would the film end up being about? I wanted the audience to learn and remember the origin of the peace symbol. I wanted them to be thoughtful about its future. Once I completed my research, I aspired to honor two men I got to know in the process of making the film.

    First, I wanted to acknowledge the humble contribution of an English artist and designer, Gerald Holtom. Gerald knew that a graphic symbol would crystallize the message of the thousands who marched to a nuclear weapons factory in protest in 1958. He represents the universal story of an unsung hero. A man doing his best to contribute his talents where needed: nothing more and nothing less. This small act changed our world in a very visible way.

    ACATL Gerald Holtom

    Gerald died in 1985. In order to tell his story, I found Ken Kolsbun, author of Peace: The Biography of a Symbol (National Geographic, 2008). Once I read his book, published to celebrate the 50th anniversary of the peace symbol, I knew I had to interview Ken. Not only had Ken corresponded with Gerald and his family, he also was a life-long peace activist who had spent his life photographing the peace symbol. After meeting Ken, I knew I had met another quiet hero who has steadfastly stood for what he has believed in.

    A CIRCLE AND THREE LINES is my first film. The process of making it has been transformational for me both personally and professionally. I hope it inspires viewers to respect, celebrate, and cherish the peace symbol now, and for generations to come.

    http://acircleandthreelines.com/about

    The symbol that would become synonymous with the Campaign for Nuclear Disarmament (CND) was first brought to wide public attention on the Easter weekend of 1958 during a march from London to Aldermaston in Berkshire, the site of the Atomic Weapons Research Establishment.

    The demonstration—the first large-scale anti-nuclear march of its kind—was organized by the Direct Action Committee Against Nuclear War (DAC), one of several smaller groups in the U.K. that would go on to form CND. Some 500 symbols were held aloft by protesters as they walked the 52 miles from Trafalgar Square, which suggests that the organizers were aware of the need for both political and visual impact. The fact that, in the form of Gerald Holtom, they already had a professional designer and graduate of the Royal College of Art on board perhaps explains why the symbol achieved immediate success, as well as the swiftness with which it was officially adopted by CND a few months after the march. Holtom was a conscientious objector (during World War II he had worked on a Norfolk farm), and also an established designer. He had created designs as diverse as fabrics based on west African patterns from the late 1930s and a range incorporating photographs of plankton for the Festival of Britain in 1951.

    According to Professor Andrew Rigby, writing in Peace News in 2002, Holtom was responsible for designing the banners and placards that were to be carried on the Aldermaston march. "He was convinced that it should have a symbol associated with it that would leave in the public mind a visual image signifying nuclear disarmament," writes Rigby, "and which would also convey the theme that it was the responsibility of each and every individual to work to remove the threat of nuclear war."

    In a sense, Holtom’s design did represent an individual in pursuit of the cause, albeit in an abstract way. The symbol showed the semaphore for the letters N (both flags held down and angled out from the body) and D (one flag pointing up, the other pointing down), standing for Nuclear Disarmament. But some years later in 1973, when Holtom wrote to Hugh Brock, editor of Peace News at the time of the formation of the DAC, the designer gave a different explanation of how he had created the symbol.

    It could echo both the frustrations of the anti-nuclear campaign and a sense of optimism.

    "At first he toyed with the idea of using the Christian cross as the dominant motif," Rigby explains in his article, "but realized that 'in Eastern eyes the Christian Cross was synonymous with crusading tyranny culminating in Belsen and Hiroshima and the manufacture and testing of the H-bomb.' He rejected the image of the dove, as it had been appropriated by "the Stalin regime...to bless and legitimize their H-bomb manufacture.'"

    Holtom in fact decided to go for a much more personal approach, as he admitted to Brock. "I was in despair. Deep despair," he wrote. "I drew myself: the representative of an individual in despair, with hands palm outstretched outwards and downwards in the manner of Goya’s peasant before the firing squad. I formalized the drawing into a line and put a circle round it. It was ridiculous at first and such a puny thing."

    In Holtom’s personal notes, reproduced by peace symbol historian Ken Kolsbun, the designer recalls then turning the design into a badge. "I made a drawing of it on a small piece of paper the size of a sixpence and pinned it on to the lapel of my jacket and forgot it," he wrote. "In the evening I went to the post office. The girl behind the counter looked at me and said, 'What is that badge you are wearing?' I looked down in some surprise and saw the ND symbol pinned on my lapel. I felt rather strange and uneasy wearing a badge. 'Oh, that is the new peace symbol,' I said. 'How interesting, are there many of them?' 'No, only one, but I expect there will be quite a lot before long.'"

    In fact, the first official series of badges made by Eric Austin of the Kensington CND branch were made of white clay with the symbol formed from black paint. According to CND, these were in themselves a symbolic gesture as they were distributed "with a note explaining that in the event of a nuclear war, these fired pottery badges would be among the few human artifacts to survive the nuclear inferno."

    The symbol itself became more formalized as its usage became more widespread. The earliest pictures of Holtom’s design reproduce the submissive "individual in despair" more clearly: the symbol is constructed of lines that widen out as they meet the circle, where a head, feet and outstretched arms might be. But by the early 1960s the lines had thickened and straightened out and designers such as Ken Garland, who worked on CND material from 1962 to 1968, were able to use a bolder incarnation of the symbol in their work. Garland built on the graphic nature of the symbol to create a play of black-and-white shapes for a series of striking posters. He also used a photograph of his daughter Ruth in the design for a leaflet on which the symbol was used in place of the O in "SAY NO."

    He rejected the image of the dove, as it had been appropriated by the Stalin regime.

    In the U.K. the symbol has remained the logo of CND since the late 1950s, but internationally it has taken on a broader message signifying peace. For Holtom this perhaps came as a bonus since, according to Rigby, he had been frustrated with his original design, which depicted the struggle inherent in the pursuit of unilateral action. Shortly before the Aldermaston march Holtom experienced what he termed a "revolution of thought." He realized, Rigby writes, that if he inverted the symbol "then it could be seen as representing the tree of life, the tree on which Christ had been crucified and which, for Christians like Gerald Holtom, was a symbol of hope and resurrection. Furthermore, that inverted image of a figure with arms stretched upwards and outwards also represented the semaphore signal for U—Unilateral."

    This last quirk of a symbol that had its message so neatly encapsulated in its design meant it could echo both the frustrations of the anti-nuclear campaigner in the face of political change and the sense of optimism that the task at hand would bring. This was another example of the thinking Holtom would bring to the first march to Aldermaston, which has since become an annual event. Of the lollipop signs he designed for the event, half displayed the symbol in black on white, the other half white on green. "Just as the church’s liturgical colors change over Easter," CND explain, "so the colors were to change, 'from Winter to Spring, from Death to Life.' Black and white would be displayed on Good Friday and Saturday, green and white on Easter Sunday and Monday."

    From the beginning, Holtom’s aim had been to help instigate positive change, to bring about a transformation from winter to spring. Today CND continues to pursue this mission, just as the peace movement does internationally.

    This was excerpted with permission from TM: The Untold Stories Behind 29 Classic Logos (Lawrence King). Buy a copy here for $27.


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  • Je suis le primitif d'un nouvel art.
     

    Né le 19 Janvier 1839 à Aix en Provence, Paul Cezanne, Capricorne ascendant Scorpion

    LA FORME STRUCTUREE  CAPRICORNE AU SERVICE DE LA LUMIERE CACHEE DE LA VIE SCORPION
     

     

     

    Né le 19 Janvier 1839 à Aix en Provence, Paul Cezanne, Capricorne ascendant Scorpion

    Paul Cézanne (19 janvier 1839 à Aix-en-Provence, France - 22 octobre 1906 à Aix-en-Provence) est un peintre français. On lui doit notamment un tableau d'Achille Emperaire et un cycle de peintures sur la Montagne Sainte-Victoire.

    Cézanne est né dans une famille aisée (son père est banquier à Aix) et fréquente le Collège Bourbon (devenu Collège Mignet), où il se lie avec Émile Zola. Il entreprend sans enthousiasme des études de droit à l'Université d'Aix. Il suit des cours à l'École de Dessin et aménage un atelier au Jas de Bouffan, résidence que son père a achetée. Il part une première fois à Paris, poussé par son ami Zola, mais n'y reste que quelques mois et retourne dans le domaine familial. Il inaugure ainsi une série d'aller-retours entre la ville lumière et la Provence. Dans la capitale, il rencontre Achille Emperaire, un autre Aixois, dont il fera plus tard le portrait, resté célèbre.

    En 1862, il abandonne la carrière juridique et repart à Paris. Il travaille à l'Académie Suisse et y rencontre Camille Pissarro, Pierre-Auguste Renoir, Claude Monet et Alfred Sisley. Il est refusé à l'École des Beaux-Arts en raison d'un tempérament jugé trop excessif.

     

    Né le 19 Janvier 1839 à Aix en Provence, Paul Cezanne, Capricorne ascendant Scorpion



    Durant l'année 1869, il rencontre Hortense Fiquet avec qui il aura un fils. Il cachera cette liaison à son père durant toute la vie de ce dernier. Il ne l'épousera d'ailleurs qu'en 1886, l'année de la mort de son père. Il s'installe à L'Estaque, petit village sur la côte, lorsqu'il n'est pas dans la capitale

    En 1872, il s'installe à Auvers-sur-Oise, où il peint avec Pissarro, et travaille dans la maison du docteur Gachet. En 1874, les impressionnistes organisent leur première exposition collective dans l'atelier du photographe Nadar et le public réserve un accueil peu encourageant, voire scandalisé, aux toiles de Cézanne qui en présente trois (Une moderne Olympia, La Maison du pendu et Étude, paysage d'Auvers). Il ne présente aucun tableau au cours de la seconde exposition impressionniste, mais montre 16 œuvres en 1877 à la troisième manifestation. Les critiques sont très mitigées et il se détache du groupe impressionniste et rejoint la Provence à partir de 1882, d'abord à L'Estaque, puis à Gardanne en 1885, petit village près d'Aix. Là, il commence son cycle de peintures sur la Montagne Sainte-Victoire, qu'il représente dans près de 80 œuvres (pour moitié à l'aquarelle). Sa situation financière reste précaire, d'autant que son père diminue son soutien.

    En 1886, il rompt avec Zola qui lui a envoyé son roman L'Œuvre, dont le peintre est l'inspirateur. La même année, son père meurt, lui laissant un héritage confortable le mettant à l'abri financièrement.

    Sa première exposition personnelle, organisée par le marchand de tableau Ambroise Vollard en 1895 en l'absence du peintre, se heurte encore à l'incompréhension du public, mais lui vaut l'estime des artistes. Sa renommée devient internationale et il remporte à Bruxelles un grand succès lors des expositions des Indépendants. Il se fait construire en 1901 un atelier dans la périphérie d'Aix : l'atelier des Lauves.

    Le 22 octobre 1906, une pneumonie l'emporte, dans sa maison de la rue Boulegon, à Aix-en-Provence.

    Son œuvre
    Les Joueurs de cartes, 1890-95
    Les Joueurs de cartes, 1890-95

    D'un tempérament fougueux et irascible, le « solitaire d'Aix » n'a vécu que pour la peinture. C'est Pissarro, sensible et tolérant, qui l'a aidé à s'éloigner des règles et des principes. Cézanne mettra à profit la technique « des petits traits de pinceau » qu'il va mêler à de larges touches en relief pour représenter des formes compactes, structurées par la lumière. Il s'éloignera de la technique impressionniste pour chercher au fond des choses leur forme éternelle, intrinsèque. Par la réflexion et l'observation, il va obtenir cette nouvelle « harmonie parallèle à la nature ». Ses dernières toiles contiennent une largeur de composition, une puissance de synthèse et une gamme de couleurs étendues en touches régulières qui annoncent la naissance imminente du cubisme.

     

    Né le 19 Janvier 1839 à Aix en Provence, Paul Cezanne, Capricorne ascendant Scorpion



    Paul , Émile et l'Œuvre

    « Paul peut avoir le génie d'un grand peintre, il n'aura jamais le génie de le devenir. » Ainsi Émile Zola annonce-t-il le drame de Paul Cézanne, toujours insatisfait de son travail. L'écrivain va plus loin : Claude Lantier, le personnage central de l'Œuvre, roman paru en 1886, est proche de Cézanne par la physionomie et le caractère. Zola en fait un peintre raté, pourtant chef de la nouvelle école de « Plein air » ; Claude finit par se suicider. D'une certaine façon, le roman peut se lire comme une revanche de la littérature sur la peinture et la description du groupe d'artistes tourne à la caricature. Manet, qui fit scandale au Salon des Refusés en 1863, a pu servir aussi de modèle au romancier. Pourtant, Cézanne a cru se reconnaître dans ce peintre : blessé, il a répondu à Zola une lettre d'une froide politesse qui a mis un terme définitif à leur amitié. Les derniers contacts entre les deux artistes remontent à 1885, après la publication de "L'Oeuvre". Cézanne quitte Médan oû il avait été reçu par le couple Zola. Ils ne se reverront plus malgré quelques opportunités de rencontres à Aix-en-Provence où le peintre s'est retiré. Cézanne n'est plus à l'aise dans le nouveau monde construit par l'écrivain qui, à partir de 1888, verra son existense compliquée par la relation qu'il entretient avec sa maîtresse, Jeanne Rozerot. La découverte de cette liaison par sa femme, Alexandrine Zola, en 1891 ne va pas détendre l'atmosphère du couple qui vivra des périodes difficiles jusqu'en 1896. Zola connaitra ensuite l'Affaire Dreyfus qui occupera sa vie jusqu'à sa mort en 1902. Cette existense, très perturbée, ne facilitera pas le rapprochement des deux amis d'enfance. Il semble que Paul Cézanne en ait souffert si l'on tient compte du chagrin dont il fera preuve à l'annonce de la mort d'Emile Zola et lors de l'inauguration d'une statue à l'image de l'écrivain au début de 1906.

    Quelques-unes de ses œuvres

    * Copie par Cézanne au musée du Louvre du repas chez Simon de Véronèse 1860-1870
    * La Pendule noire, (1869-70), 54x73 cm., Collection particulière
    * Pastorale, (1870), 65x81 cm., Musée d'Orsay, Paris
    * La Maison du pendu, (1873)
    * Madame Cézanne dans un fauteuil rouge Musée de Boston
    * Cour de ferme à Auvers, (1879-80), 65x54 cm., Musée d'Orsay, Paris
    * Madame Cézanne sur une chaise jaune (1888-1890, Fondation Beyeler à Riehen Suisse)
    * Les Joueurs de cartes, (1890-1892)
    * La Montagne Sainte-Victoire et le Château Noir, (1904-1906)


    * Nature morte au melon vert aquarelle vendue 25,5M$ en 2007

      

     

    Né le 19 Janvier 1839 à Aix en Provence, Paul Cezanne, Capricorne ascendant Scorpion

     

     

    Né le 19 Janvier 1839 à Aix en Provence, Paul Cezanne, Capricorne ascendant Scorpion

     

     

     

     

     
    Né le : 19 janvier 1839 à 01h00
    à : Aix-en-Provence (France)
    Soleil : 28°19' Capricorne AS : 2°47' Scorpion
    Lune : 12°56' Poissons MC : 10°14' Lion
    Dominantes : Verseau, Capricorne, Poissons
    Neptune, Vénus, Soleil
    Maisons 3, 4, 5 / Eau, Air / Fixe
    Numérologie : chemin de vie 5
    Popularité : 17 093 clics, 1 186e homme, 2 083e célébrité

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