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    Née le 12 Juin 1929, Anne Franck, Gémeaux ascendant Cance-Lion, Lune en Lion

     Amsterdam, juin 1942. Anne Franck a treize ans. A l'heure de la persécution des Juifs, Anne Franck et les siens sont menacés. Reclus dans des bureaux désaffectés, ils se cachent. Pour échapper à la solitude et tuer l'ennui, Anne noircit les pages d'un cahier, où jour après jour, elle relate deux années de clandestinité, de peur et d'espoir. C'est l'histoire de ce journal que nous raconte ici Johanna Hurwitz

     

    Née le : 12 juin 1929 à 07h30
    à : Francfort (Allemagne)
    Soleil : 20°48' Gémeaux AS : 0°07' Lion
    Lune : 26°00' Lion MC : 6°51' Bélier
    Dominantes : Lion, Gémeaux, Bélier
    Uranus, Soleil, Mercure
    Maisons 11, 2, 10 / Feu, Air / Fixe
    Astrologie Chinoise : Serpent de Terre
    Numérologie : chemin de vie 3
    Popularité : 38 552 clics, 438e femme, 989e célébrité

     

    Biographie d'Anne Frank

    Annelies Marie Frank, plus connue sous le nom de Anne Frank (12 juin 1929 - début mars 1945), était une adolescente allemande juive née à Francfort-sur-le-Main en Allemagne, qui écrivit un journal intime alors qu'elle se cachait avec sa famille et quatre amis à Amsterdam pendant l'occupation allemande de la Seconde Guerre mondiale.

    Suite à l'arrivée au pouvoir d'Adolf Hitler en janvier 1933, la famille quitta Francfort pour Amsterdam fin 1933 afin d'échapper aux persécutions nazies, mais fut arrêtée après l'invasion des Pays-Bas. Alors que les persécutions à l'encontre des juifs s'intensifiaient, sa famille se cacha en juillet 1942 dans une chambre secrète aménagée dans l'annexe de l'entreprise Opekta d'Otto Frank, son père. Anne avait alors 13 ans environ. Après deux ans passés dans ce refuge, le groupe fut trahi et déporté vers les camps d'extermination nazis. Sept mois après son arrestation, Anne mourut du typhus dans le camp de Bergen-Belsen quelques jours après le décès de sa sœur, Margot. Son père Otto, l'unique survivant du groupe, revint à Amsterdam à la fin de la guerre et découvrit que le journal d'Anne avait été récupéré. Convaincu du caractère unique de l'œuvre de sa fille, il décida de la publier. À l'origine, il fut publié sous le titre Het Achterhuis : Dagboekbrieven van 12 Juni 1942 – 1 Augustus 1944 (L'arrière-cour : notes du journal du 12 juin 1942 au 1er août 1944).

    Le journal, qui fut offert à Anne pour son treizième anniversaire, relate sa vision des évènements, du 12 juin 1942 jusqu'au 1er août 1944. Il a depuis été traduit du néerlandais en de nombreuses langues et est devenu l'un des livres les plus lus dans le monde. Plusieurs films, téléfilms, pièces de théâtre et opéras sont basés sur cette œuvre. Décrit comme le travail d'un esprit mature et perspicace, il donne un point de vue intime et particulier sur la vie quotidienne pendant l'occupation par les nazis ; par ses écrits, Anne Frank devint l'une des victimes de l'Holocauste les plus célèbres.

    Anne Frank, seconde fille d'Otto Heinrich Frank (12 mai 1889–19 août 1980) et d'Edith Holländer (16 janvier 1900–6 janvier 1945), naquit le 12 juin 1929 à Francfort-sur-le-Main en Allemagne. Elle eut une sœur nommée Margot (16 février 1926– mars 1945). Son nom de naissance était Annelies Marie, mais pour sa famille et ses amis, elle était simplement "Anne". Son père l'appelait parfois "Annelein" ("petite Anne").

    La famille vécut dans une communauté mixte de citoyens juifs et non-juifs, et les enfants grandirent en côtoyant des amis de confession catholique, protestante et juive. Les Frank étaient juifs réformistes, pratiquant beaucoup des traditions de la foi juive, sans observer l'ensemble des coutumes. Edith Frank était la plus dévouée à sa foi de la famille. Otto Frank, ancien officier allemand décoré pendant la Première Guerre mondiale, voulait poursuivre ses études et possédait une importante bibliothèque ; les deux parents encourageaient leurs enfants à lire.

    En mars 1933, les élections pour renouveler le conseil municipal de Francfort virent le parti Nazi d'Adolf Hitler l'emporter. Des manifestations antisémites eurent immédiatement lieu, et les Frank commencèrent à craindre pour leur sécurité s'ils restaient en Allemagne. Plus tard la même année, Edith et les enfants se rendirent à Aachen pour habiter avec Rosa Holländer, la mère d'Edith. Otto Frank resta à Francfort, mais après avoir reçu une offre pour démarrer une affaire à Amsterdam, il s'y rendit pour organiser la société et préparer la venue de sa famille.

    Otto Frank commença à travailler chez Opekta Works, une société que vendait la pectine extraite des fruits, et trouva un appartement à Merwedeplein dans la banlieue d'Amsterdam. En février 1934, Edith et les enfants arrivèrent à Amsterdam et les deux filles furent inscrites à l'école ; Margot dans une école publique et Anne dans une école montessorienne. Margot montra ses facultés en arithmétique et Anne découvrit ses aptitudes à la lecture et l'écriture. Son amie Hannah Goslar se rappela plus tard que pendant sa tendre enfance, Anne Frank écrivait régulièrement, cachant ses écrits avec sa main et refusant de discuter du contenu de ceux-ci. Ces écrits précoces n'ont pas traversé l'histoire jusqu'à nous et ont été égarés. Anne et Margot avaient deux personnalités bien distinctes ; Margot était maniérée, réservée et studieuse tandis qu'Anne était expressive, énergique et extravertie.

    En 1938, Otto Frank démarra une seconde affaire en partenariat avec Hermann van Pels, un boucher qui avait fui Osnabrück en Allemagne avec sa famille. En 1939, la mère d'Edith vint vivre avec les Frank et resta avec eux jusqu'à sa mort en janvier 1942. En mai 1940, l'Allemagne envahit les Pays-Bas. Le gouvernement d'occupation commença à persécuter les Juifs en instaurant des lois répressives et discriminatoires, et l'inscription obligatoire et la ségrégation des Juifs s'ensuivit rapidement. Margot et Anne excellaient alors dans leurs études et avaient de nombreux amis, mais l'application d'un décret statuant que les enfants juifs ne pouvaient suivre des cours que dans des écoles juives, elles furent inscrites au Lycée Juif.


    La période décrite dans le journal

    Avant de se rendre dans l'Annexe

    Étoiles jaunes du type que tous les juifs devaient porter pendant l'occupation des nazis.Pour son treizième anniversaire le 12 juin 1942, Anne reçut un petit carnet qu'elle avait montré à son père dans un magasin quelques jours plus tôt, elle l'appela "Kitty". Bien que ce fût un livre d'autographes, relié avec un morceau de tissu rouge et blanc et muni d'une petite fermeture à l'avant, Anne avait déjà décidé qu'elle l'utiliserait comme journal. Elle commença à y écrire presque immédiatement, se décrivant personnellement, décrivant sa famille et ses amis, sa vie à l'école, les garçons avec lesquels elle flirtait et les endroits du voisinage qu'elle aimait visiter. Bien que ces premiers écrits démontrent que sa vie était typiquement celle d'une écolière, elle explique également les changements dont elle a été témoin depuis le début de l'occupation allemande. Quelques références sont apparemment occasionnelles et non soulignées. Néanmoins en quelques passages, Anne fournit plus de détails sur l'oppression grandissante. Par exemple, elle écrit à propos de l'étoile jaune que les Juifs étaient obligés de porter en public, et elle lista quelques restrictions et persécutions qui bouleversèrent la vie de la population Juive d'Amsterdam.

    En juillet 1942, Margot Frank reçut son avis de mobilisation du Bureau central de l’immigration juive (Zentralstelle für jüdische Auswanderung) lui ordonnant de se présenter pour être relogée dans un camp de travail. On expliqua alors à Anne un plan qu'Otto avait préparé avec ses employés les plus fidèles, et dont Margot avait eu connaissance depuis quelques temps. La famille devait aller se cacher dans des pièces au-dessus et à l'arrière des bureaux de la société sur le Prinsengracht, une rue le long d'un des canaux d'Amsterdam.


    La vie dans l'Annexe

    La façade de l'immeuble de la société Opekta sur le Prinsengracht en 2002. Les bureaux d'Otto Frank se situaient à l'avant du bâtiment tandis que l'Annexe se trouvait à l'arrière.Le matin du 6 juillet 1942, la famille alla s'installer dans la cachette. Leur appartement fût laissé dans un désordre apparent pour donner l'impression qu'ils étaient partis soudainement, et Otto Frank laissa une note indiquant qu'ils s'en étaient allés en Suisse. La nécessité du secret de l'opération fit qu'ils durent abandonner le chat d'Anne, Moortje. Comme les juifs n'avaient pas le droit d'utiliser les transports publics, ils marchèrent pendant plusieurs kilomètres depuis leur appartement, chacun revêtant plusieurs couches de vêtements pour qu'on ne s'aperçoive pas qu'ils transportaient des valises. L'annexe (Achterhuis) était un espace à trois niveaux à l'arrière du bâtiment auquel on accédait par un palier situé au-dessus des bureaux de la société Opekta. Au premier niveau étaient deux petites pièces avec une salle de bains et des toilettes adjacentes. Au dessus il y avait un vaste espace ouvert avec une petite pièce adjacente. Depuis cette petite pièce une échelle donnait sur le grenier. La porte de l'Annexe fût par la suite cachée par une étagère pour éviter qu'elle ne soit découverte. L'immeuble principal, situé à un bloc de Westerkerk était un vieil immeuble banal et typique des quartiers ouest d'Amsterdam.

    Victor Kugler, Johannes Kleiman, Miep Gies et Bep Voskuijl étaient les seuls employés qui savaient que la famille Frank se cachait et, avec Jan Gies le mari de Miep et Johannes Hendrik Voskuijl le père de Bep, les ont aidés pendant la durée de leur confinement. Ils étaient le seul contact entre les occupants de l'Annexe et le monde extérieur ; ils les tenaient au courant des nouvelles de la guerre et des évènements politiques. Ils ont subvenu à tous leurs besoins, assuré leur sécurité et les ont ravitaillés en nourriture, une tâche de plus en plus difficile à mesure que le temps passait. Anne évoque dans son journal leur dévouement et leurs efforts pour garder le moral des occupants de l'Annexe pendant les moments les plus dangereux. Ils étaient tous conscients du fait qu'ils encouraient la peine de mort s’ils étaient pris à cacher des Juifs.

    À la fin du mois de juillet, la famille Frank fut rejointe par la famille van Pels : Hermann, Augusta, et leur fils Peter âgé de 16 ans, puis en novembre par Fritz Pfeffer, un dentiste et ami de la famille. Anne écrit son plaisir d'avoir de nouvelles personnes à qui parler, mais des tensions survinrent rapidement dans le groupe, forcé de vivre dans un environnement restreint. Après avoir partagé sa chambre avec Pfeffer, elle le trouva insupportable, et elle se disputa avec Augusta van Pels, qu'elle considérait comme étant idiote. Sa relation avec sa mère était tendue et Anne écrivit qu'elles avaient peu de choses en commun car sa mère était trop distante. Bien qu'elle ait parfois eu des disputes avec Margot, elle écrit à propos du lien inattendu qui se développa entre elles, bien qu'elle restât émotionnellement plus proche de son père. Quelques temps plus tard, après avoir d'abord écarté les avances du timide et maladroit Peter van Pels, elle s'aperçut de ses sentiments naissants pour Peter et ils eurent une liaison.

    Anne passait l'essentiel de son temps à lire et étudier, tout en continuant à écrire son journal. En plus de fournir une description des évènements dans leur ordre chronologique, elle écrivit également à propos de ses sentiments, sa peur de vivre cachée, ses croyances, ses ambitions parmi lesquelles celle de devenir écrivain, des thèmes qu'elle pensait ne pouvoir partager avec personne. À mesure que sa confiance dans son style d'écriture grandissait et qu'elle devenait plus mature, les sujets qu'elle aborda devinrent plus abstraits, comme sa croyance en Dieu et la manière dont elle définissait la nature humaine. Jusqu'au printemps 1944, elle écrivit ses lettres pour elle seule, jusqu'au moment où elle entendit, à la radio de Londres, le ministre de l'Éducation du gouvernement néerlandais en exil dire qu'après la guerre il faudrait rassembler et publier tout ce qui avait trait aux souffrances du peuple néerlandais pendant l'occupation allemande. Il citait à titre d'exemple, entre autres, les journaux intimes. « Frappée par ce discours, Anne décida de publier un livre après la guerre, son journal devant servir de base. Elle commença à recopier et réécrire celui-ci, corrigeant et supprimant les passages qu'elle considérait comme peu intéressants, ou en ajoutant d'autres en puisant dans sa mémoire. » Parallèlement, elle continua à écrire régulièrement son journal originel jusqu'à sa dernière lettre qui date du 1er août 1944.


    Arrestation et déportation vers les camps de concentration
    Le matin du 4 août 1944 l'Annexe fut envahie par les services de sécurité de la police allemande (Grüne Polizei) suite à l’indication d'un informateur qui n'a jamais été identifié. Conduit par le Schutzstaffel Oberscharführer Karl Silberbauer du Sicherheitsdienst, le groupe comprenait au moins trois membres des services de sécurité de la police. Lorsque Silberbauer entre dans la maison, il semble savoir précisément où il doit se rendre. Il se dirige droit vers la "porte-bibliothèque" pivotante qui cache la porte d'accès à l'Annexe et exige qu'on l'ouvre. Silberbauer posta quelques hommes dans l'Annexe en attendant l'arrivée d'un véhicule pour emmener les clandestins. Alors qu'il interrogeait Otto Frank, Silberbauer vit une sacoche en cuir dont il vida le contenu par terre, sans doute dans l'idée de trouver des bijoux. Mais elle ne contenait que des feuilles de papier. Il s'agissait d'une partie du journal d'Anne. Les occupants furent embarqués dans des camions et emmenés pour être interrogés. Victor Kugler et Johannes Kleiman furent emportés puis mis en prison, Miep Gies et Bep Voskuijl n'étant laissés en liberté. Plus tard ils revinrent à l'Annexe où ils trouvèrent les écrits d'Anne, plus de 300 pages manuscrites, éparpillées sur le sol. Ils les récupérèrent ainsi que plusieurs albums de famille et Gies décida de les rendre à Anne après la guerre.

    Les occupants de l'Annexe furent transportés au quartier général de la Gestapo où ils furent interrogés et détenus toute la nuit. Le 5 août ils furent transférés à la Huis van Bewaring (maison de détention), une prison surpeuplée sur le Weteringschans. Deux jours plus tard les huit prisonniers juifs furent transportés à Westerbork, un camp de transit situé aux Pays-Bas. À l'époque plus de 100.000 juifs y transitèrent. Ayant été arrêtés alors qu'ils se cachaient, ils étaient considérés comme criminels et furent donc envoyés aux baraquements de punition pour réaliser de lourds travaux.

    Le 3 septembre, le groupe fut déporté avec ce qui fut le dernier convoi de Westerbork vers le camp d'extermination d'Auschwitz. Ils y arrivèrent dans la nuit du 5 au 6 septembre 1944, après un voyage de trois jours, puis furent séparés selon leur sexe, de sorte que les femmes et les hommes ainsi séparés ne se revirent jamais. Sur les 1019 passagers du convoi, 549 personnes dont la totalité des enfants âgés de moins de quinze ans, furent envoyés directement dans les chambres à gaz où ils moururent. Anne avait eu ses quinze ans trois mois plus tôt et fut épargnée, et bien que tous les membres de l'Annexe survécurent à cette sélection, Anne crut alors que son père avait été tué.

    Avec d'autres femmes non sélectionnées pour une mort immédiate, Anne fut forcée de se dévêtir pour être désinfectée, avoir sa tête rasée au plus court et enfin être tatouée avec un numéro d'identification sur son bras. Le jour, les femmes étaient utilisées comme travailleuses esclaves ; la nuit, elles étaient enfermées dans des baraquements bondés et glacials. Les maladies foisonnaient et sous peu la peau d'Anne devint sérieusement infectée par la gale.

    Le 28 octobre, de nouvelles sélections commencèrent parmi les femmes pour être relogées à Bergen-Belsen. Plus de 8000 d'entre elles, dont Anne, Margot Frank et Auguste van Pels, furent ainsi déplacées, mais Edith Frank resta à Auschwitz. Des tentes furent dressées pour parer à l'afflux de prisonniers, parmi lesquelles Anne et Margot, et à mesure que la population s'accrut, le taux de mortalité dû aux nombreuses maladies augmenta rapidement. Anne fut brièvement réunie avec deux amies, Hanneli Goslar (surnommée "Lies" dans le journal) et Nanette Blitz, qui survécurent toutes deux à la guerre. Blitz décrivit par la suite Anne comme étant chauve, tremblante, les traits émaciés. Goslar dit que bien qu'Anne était elle-même malade, elle lui dit qu'elle était plus inquiète pour Margot, dont la maladie semblait plus sérieuse et qui restait allongée sur sa couchette, trop faible pour marcher. Anne leur dit également qu'elle pensait que leurs parents étaient morts.

    En mars 1945, une épidémie de typhus se propagea dans le camp, tuant environ 17 000 prisonniers. Des témoins certifièrent que Margot tomba de sa couchette dans son état de faiblesse extrême et succomba au choc, et que quelques jours plus tard Anne mourut à son tour. Ils estimèrent que ceci se passa quelques semaines avant que le camp ne soit libéré par les troupes britanniques le 15 avril 1945, et bien que les dates exactes ne furent pas conservées, il est généralement reconnu que cela eu lieu entre la fin février et le milieu du mois de mars. Dans son livre, "Les Septs Derniers Mois d'Anne Frank" (Stock, 1989), Hanneli Gosslar, raconte comment elle a croisé Anne dans le camp de Bergen-Belsen, aux derniers jours de sa vie.

    Après la guerre, il fut estimé que sur les 110 000 juifs déportés des Pays-Bas pendant l'occupation nazie, seuls 5 000 avaient survécu.

    Edith Frank, la mère d’Anne, tomba malade et mourut de faim et d'épuisement à Auschwitz-Birkenau le 6 janvier 1945. Hermann van Pels fut gazé en septembre 1944 à Auschwitz-Birkenau, Fritz Pfeffer tomba malade et mourut d'épuisement le 20 décembre 1944 à Neuengamme, Augusta van Pels mourut en avril 1945 à Theresienstadt, Peter van Pels mourut le 5 mai 1945 dans le camp de Mauthausen. Seul Otto Frank, le père d'Anne, survécut au camp d'extermination d'Auschwitz. Il décéda à Bâle (Suisse) en 1980 à l'âge de 91 ans. Après la guerre, lorsqu'il n'y eut plus de doutes sur le décès d'Anne, Miep Gies lui donna le journal de sa fille qu'il fit éditer sous le titre de Le journal d'Anne Frank.

     

     


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    Thème astral

    Mon rapport avec les autres, Gémeaux , j'explose de l'interieur, ascendant Scorpion

    Communiquer , Gemeaux , par le spiritisme , Scorpion

    je suis , connaissance de soi Gemeaux, Personne, la multiplication de masques , secrets , Scorpion, ET Soleile et Vénus en Maison 8 ....

    Ce qui fut n'est rien

    Passe oiseau, passe .....

    Lune en Lion , Besoin de créer

     

    Béatrix Viard

    Biographie de Fernando Pessoa

    Fernando António Nogueira Pessoa est un écrivain et un poète portugais, né le 13 juin 1888 à Lisbonne, ville où il meurt le 30 novembre 1935. Son nom de famille était orthographié Pessôa sur son acte de naissance (accent circonflexe supprimé par lui-même et,ensuite, par une réforme ultérieure de l'orthographe portugaise).

    Prolifique et protéiforme, Pessoa est un auteur majeur de la littérature de langue portugaise et de la littérature mondiale (il est traduit dans un grand nombre de langues). Il crée une œuvre multiple et complexe sous différents hétéronymes en sus de son propre nom : Alberto Caeiro, Ricardo Reis, Alvaro de Campos, etc. Bernardo Soares, auteur du Livre de l'intranquillité est considéré par lui comme son semi-hétéronyme, plus proche de l'auteur orthonyme.

    De son vivant il a régulièrement publié dans des revues littéraires portugaises et en a créé une, avec une autre poète, Mário de Sá Carneiro, la célèbre Orpheu, il a publié aussi deux textes en anglais et, exception notable, un seul livre important : le recueil de poèmes "Message". A sa mort, on découvrit des centaines de textes enfouis dans une malle que l'on a exhumés peu à peu. Le "Livre de l'Intranquilllité" n'a été publié qu'en 1982 et son "Faust" en 1988. Tous ces manuscrits se trouvent désormais à la Bibliothèque Nationale de Lisbonne. Il a la particularité d'être également anglophone pour avoir passé une bonne partie de son enfance à Durban (Natal, Afrique du Sud) où son beau-père avait été nommé consul du Portugal. Il y avait fait de brillantes études à la High School de Durban et avait réussi l'Intermediate Examination in Arts (l'examen d'entrée) à l'Université du Cap de Bonne-Espérance en 1904, juste avant de rentrer chez lui à Lisbonne, ville qu'il ne quittera pluis jusqu'à sa mort. Le portugais deviendra, cependant, la langue de sa grande créativité. Il affirmera avec force "ma patrie est la langue portugaise".

    En 1985, pour le cinquantenaire de sa mort, ses restes sont transférés au jour anniversaire de sa naissance au monastère des Hiéronymites (Mosteiro dos Jerónimos) à Lisbonne. Depuis cet hommage national officiel, il repose à quelques mètres des cénotaphes de Luís de Camões et de Vasco de Gama, et en 1986 il fut représenté sur les billets de banque portugais de 100 escudos (voir plus bas).

    Le jour triomphal
    Lettre à Adolfo Casais Monteiro du 13 janvier 1935 sur la naissance des hétéronymes :

    « Un jour où j'avais finalement renoncé — c'était le 8 mars 1914 — je m'approchai d'une haute commode et, prenant une feuille de papier, je me mis à écrire, debout, comme je le fais chaque fois que je peux. Et j'ai écrit trente et quelques poèmes d'affilée, dans une sorte d'extase dont je ne saurai saisir la nature. Ce fut le jour triomphal de ma vie et je ne pourrai en connaître d'autres comme celui-là. Je débutai par un titre : O Guardador de Rebanhos (Le Gardeur de troupeaux). Et ce qui suivit fut l'apparition en moi de quelqu'un, à qui j'ai tout de suite donné le nom d'Alberto Caeiro. Excusez l'absurdité de la phrase : mon maître avait surgi en moi » (lettre reproduite dans Pessoa en personne, José Blanco éd., La Différence, 1986, p. 302).

    Citation
    « Il n'est pas nécessaire de vivre »
    (citation originale : Navegar é preciso, viver não é preciso, « naviguer est nécessaire, vivre n'est pas nécessaire », tirée des Argonautes).

    Avec mes excuses, je voudrais vous rendre attentifs au sens de cette citation de F. Pessoa, qui est plutôt lié à la précision de l'exercice de naviguer; naviguer est exact, tandis que la vie est inexact. Vivre c'est confronter l'imprécision, l'inexact. Le mot "nécessaire" n'est donc pas approprié à la traduction en question.


    Extrait
    « S'il est un fait étrange et inexplicable, c'est bien qu'une créature douée d'intelligence et de sensibilité reste toujours assise sur la même opinion, toujours cohérente avec elle-même. Tout se transforme continuellement, dans notre corps aussi et par conséquent dans notre cerveau. Alors, comment, sinon pour cause de maladie, tomber et retomber dans cette anomalie de vouloir penser aujourd'hui la même chose qu'hier, alors que non seulement le cerveau d'aujourd'hui n'est déjà plus celui d'hier mais que même le jour d'aujourd'hui n'est pas celui d'hier ? Être cohérent est une maladie, un atavisme peut-être ; cela remonte à des ancêtres animaux, à un stade de leur évolution où cette disgrâce était naturelle.
    Un être doté de nerfs moderne, d'une intelligence sans œillères, d'une sensibilité en éveil, a le devoir cérébral de changer d'opinion et de certitude plusieurs fois par jour.
    L'homme discipliné et cultivé fait de son intelligence les miroirs du milieu ambiant transitoire ; il est républicain le matin, monarchiste au crépuscule ; athée sous un soleil éclatant et catholique transmontain à certaines heures d'ombre et de silence ; et ne jurant que par Mallarmé à ces moments de la tombée de la nuit sur la ville où éclosent les lumières, il doit sentir que tout le symbolisme est une invention de fou quand, solitaire devant la mer, il ne sait plus que l’Odyssée.
    Des convictions profondes, seuls en ont les êtres superficiels. Ceux qui ne font pas attention aux choses, ne les voient guère que pour ne pas s'y cogner, ceux-là sont toujours du même avis, ils sont tout d'une pièce et cohérents. Ils sont du bois dont se servent la politique et la religion, c'est pourquoi ils brûlent si mal devant la Vérité et la Vie.
    Quand nous éveillerons-nous à la juste notion que politique, religion et vie en société ne sont que des degrés inférieurs et plébéiens de l'esthétique — l'esthétique de ceux qui ne sont pas capables d'en avoir une ? Ce n'est que lorsqu'une humanité libérée des préjugés de la sincérité et de la cohérence aura habitué ses sensations à vivre indépendantes, qu'on pourra atteindre, dans la vie, un semblant de beauté, d'élégance et de sincérité. » (tiré de Chronique de la vie qui passe, 5 avril 1915)

     

    Œuvres

    De Fernando Pessoa, orthonyme
    Message (la seule œuvre publiée en portugais de son vivant)
    Poèmes paülistes, sensationnistes et intersectionnistes
    Pour un « Cancioneiro »
    Sonnets - Quatrains - Rubayat
    Poèmes politiques
    Poèmes ésotériques et métaphysiques
    Praça da Figueira - Un soir à Lima

    De Bernardo Soares, semi-hétéronyme
    Le Livre de l'intranquillité (1982, posthume)

    D'Alberto Caiero, hétéronyme
    Le Gardeur de troupeaux
    Le Berger amoureux
    Poèmes non assemblés

    De Ricardo Reis, hétéronyme
    Odes, livre premier
    Odes publiées dans la revue Presença
    Odes éparses

    D'Alvaro de Campos, hétéronyme
    Premiers poèmes
    Les Grandes Odes
    Autour des Grandes Odes
    Derniers poèmes

    Poésie anglaise
    Épithalame
    Antinoüs
    Trente-cinq Sonnets
    Inscriptions
    Le Violoneux fou
    Poèmes d'Alexander Search - Poèmes épars

    Publiés en collection
    Notes en souvenir de mon maître Caeiro
    Chronique de la vie qui passe (œuvres en prose en dehors du Livre de l'intranquillité)
    Le Banquier anarchiste (suite du précédent)
    Ode maritime et autres poèmes (1915)
    Le gardeur de troupeaux et les autres poèmes d'Alberto Caeiro avec Poésies d'Alvaro de Campos (1914)
    Erostratus (Erostrate)
    Lisbonne
    Le Marin
    Selected Poems by Jonathan Griffin - Penguin Poetry ISBN 0-14-018845-2
    Bureau de tabac, 1990 - édition définitive
    Sur les hétéronymes, 1993 - édition définitive
    Le gardeur de troupeaux, 1986. E.O
    Opium à bord, 1993 - nouvelle édition
    Le livre de l'intranquillité, 1987. E.O
    Quatrains complets, 1988. E.O
    Ultimatum, 1993 - trad. par Michel Chandeigne et Jean-François Vargas E.O
    Cent cinquante-quatre quatrains, 1986
    Publiés dans la collection « Pléiade » (Gallimard), sous le titre Œuvres poétiques, préface par Robert Bréchon.

    Traductions
    Son œuvre a été abondamment traduite, notamment en allemand, croate, grec, néerlandais, arabe, danois, hindi, norvégien, bulgare, castillan, slovène, anglais (ses nombreux textes écrits directement en anglais ont à leur tour été traduits dans d'autres langues), roumain, catalan, russe, italien, estonien, finnois, japonais, tchèque, chinois, français, latin, ourdou, galicien, letton et konkani (langue indo-aryenne parlée à Goa). cf. .

     



    Divers
    En 1985, pour commémorer le cinquantenaire de sa mort, il fut représenté sur les billets de banque portugais de 100 escudos (environ 50 cents d'euros)

    Bibliographie
    Ana Maria Binet, L'Esotérisme dans l'œuvre de Fernando Pessoa, thèse pour le Doctorat d'Études ibériques et ibéro-américaines, Université Michel de Montaigne- Bordeaux III, 1996, 745 p.
    Robert Bréchon, Étrange étranger. Une biographie de Fernando Pessoa. Éditions Christian Bourgois, 1996, 620 pages.
    Robert Bréchon, Fernando Pessoa. Le voyageur immobile. Biographie. Éditions Aden, « Le cercle des poètes disparus », 2002, 346 pages
    Colloque international « Fernando Pessoa, Aleister Crowley et l'ésotérisme », Lisbonne et Cascais, juin 2000. Co-organisateur et animateur : Antoine Faivre.
    Europe n°710-711, juin-juillet 1988 : « Fernando Pessoa ». , Éditions Messidor, 1988
    Dominique Gauthiez-Rieucau, Pessoa, le secret révélé, Éditions F. Lanore, 2004, 64 pages
    Magazine littéraire n°291, septembre 1991 : « Fernando Pessoa ». 1991
    José Augusto Seabra, Fernando Pessoa. Pour une poétique de l’ésotérisme, préface de Alain Martinet. Éditions Á l’Orient, « De l’Orient à l’Orient », 2004, 160 pages

    Université Fernando-Pessoa
    Depuis 1996, il existe une université Fernando-Pessoa à Porto. Cf. . Le nom ou l'image-symbole de Fernando Pessoa ont été donnés à de nombreuses institutions portugaises (dont le billet de banque de 100 escudos en 1985 pour le 50e anniversaire de sa mort).

     

     

     

    Né le : 13 juin 1888 à 15h20
    à : Lisbonne (Portugal)
    Soleil : 22°59' Gémeaux AS : 4°10' Scorpion
    Lune : 8°27' Lion MC : 10°04' Lion
    Dominantes : Lion, Gémeaux, Scorpion
    Lune, Saturne, Pluton
    Maisons 8, 9, 10 / Air, Feu / Fixe
    Numérologie : chemin de vie 8
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    Né le : 13 juin 1831 à 12h00 (inconnue)
    à : Édimbourg (Royaume-Uni)
    Soleil : 21°40' Gémeaux    
    Lune : 6°22' Lion    
    Dominantes : Lion, Gémeaux, Verseau
    Mercure, Uranus, Neptune
    Air, Feu / Fixe
    Numérologie : chemin de vie 5
    Popularité : 7 591 clics, 7 226e homme, 11 758e célébrité

     

     

    Biographie de James Clerk Maxwell

    James Clerk Maxwell (13 juin 1831 à Édimbourg, en Écosse - 5 novembre 1879) était un physicien et mathématicien écossais. Il est principalement connu pour avoir unifié en un seul ensemble d'équations, les équations de Maxwell, l'électricité, le magnétisme et l'induction, en incluant une importante modification du théorème d'Ampère. Ce fut à l'époque le modèle le plus unifié de l'électromagnétisme. Il est également célèbre pour avoir interprété, dans un article en quatre parties publié dans Philosophical Magazine intitulé On Physical Lines of Force, la lumière comme étant un phénomène électromagnétique en s'appuyant sur les travaux de Michael Faraday. Il a notamment démontré que les champs électriques et magnétiques se propagent dans l'espace sous la forme d'une onde et à la vitesse de la lumière.

    Ces deux découvertes permirent d'importants travaux ultérieurs notamment en relativité restreinte et en mécanique quantique.

    Il a également développé la distribution de Maxwell, une méthode statistique de description de la théorie cinétique des gaz.

    Maxwell est considéré par de nombreux physiciens comme le scientifique du XIXe siècle ayant eu le plus d'influence au XXe siècle. Ces contributions à la science sont considérées par certains comme aussi importantes que celles d'Isaac Newton ou d'Albert Einstein En 1931, pour le centenaire de la naissance de Maxwell, Einstein lui-même décrivait les travaux de Maxwell comme les « plus profonds et fructueux que la physique ait connu depuis le temps de Newton ».

    Il est également connu pour avoir réalisé la première photographie en vraie couleur en 1861.

    Biographie

    Enfance 1831 - 1839
    James Clerk Maxwell est né le 13 juin 1831 au 14 India Street à Édimbourg, de John Clerk Maxwell, avocat et de Frances Maxwell (née Cay). Le père de Maxwell était un homme aisé apparenté à la famille Clerk de Penicuik (Midlothian), détenteurs de la baronnie de Clerk de Penicuik ; son frère en était le sixième baron Il est né John Clerkajoutant lui-même le surnom Maxwell après avoir hérité d'une propriété de campagne à Middlebie (Kirkcudbrightshire) par une connexion avec la famille Maxwell, elle-même membre de la pairie. Les parents de Maxwell ne se sont pas rencontrés ni mariés avant d'être entrés dans la trentaine, ce qui était rare à l'époque, et sa mère avait près de quarante ans quand il est né. Ils avaient précédemment eu une fille morte en bas âge. Ses parents appellent leur unique enfant survivant James, un prénom non seulement porté par son grand-père mais aussi par beaucoup de ses aïeux.

    Quand Maxwell est encore jeune, la famille déménage à Glenlair, une maison de ses parents construite sur la propriété de 1 500 acres (6,1 km2) de Middlebie. Toutes les indications concordent pour dire que Maxwell avait une curiosité inextinguible dès le plus jeune âge. À trois ans, tout ce qui bougeait, brillait ou faisait du bruit amenait la question : « À quoi ça sert ? ». dans une lettre à sa belle-sœur Jane Cay en 1834, son père décrivait son sens innée de la curiosité indiscrète : « C'est un garçon heureux et il se porte beaucoup mieux depuis que le temps est meilleur ; il est très occupé avec les portes, serrures, clés etc. et « montre moi comment ça marche » ne quitte jamais sa bouche ».


    Éducation 1839 - 1847

    Reconnaissant le potentiel du jeune homme sa mère prend en charge son éducation primaire, ce qui à l'époque victorienne était très souvent le rôle de la femme au foyer. Elle meurt cependant d'un cancer abdominal en 1839 alors que Maxwell n'a que huit ans. L'éducation de James est alors supervisée par John Clerk et sa belle-sœur Jane, les deux jouant un rôle pivot dans la vie de Maxwell. Sa véritable scolarité débute difficilement sous la direction d'un tuteur âgé de seize ans. Peu de chose sont connues à propos du jeune homme que John Clerk engagea pour instruire son fils, mis à part qu'il le traitait durement, se moquant de lui pour être lent et entêté. John Maxwell renvoie le tuteur en novembre 1841 et après longue réflexion envoie son fils dans la prestigieuse Edinburgh Academy. Il habite pendant les classes chez sa tante Isabella où sa passion pour le dessin est encouragée par sa cousine Jemima, elle-même une artiste talentueuse.

    Âgé de dix ans Maxwell, élevé dans l'isolement de la propriété de son père, ne se sent pas bien à l'école. La classe de première année étant pleine, il est scolarisé en deuxième année avec des élèves âgés d'un an de plus que lui Ses manières et son accent heurté Galloway sonnent rustique pour les autres garçons et le fait d'arriver le premier jour avec des chaussures et une tunique faites à la maison lui valent le surnom peu gentil d'« idiot ». Maxwell semble cependant ne pas s'offusquer du qualificatif, le portant sans se plaindre pendant des années. Son isolement social prend fin quand il rencontre Lewis Campbell et Peter Guthrie Tait, deux garçons du même âge, appelés à devenir eux aussi de brillants élèves. Ils resteront amis toute leur vie.

    Maxwell était fasciné par la géométrie, redécouvrant les polyèdres réguliers avant d'avoir reçu un quelconque enseignement formel. Néanmoins l'essentiel de ses talents restent inconnus, et bien qu'il gagne un prix en biographie religieuse en deuxième année, son travail scolaire reste anodin jusqu'à ce que, à l'âge de treize ans, il gagne la médaille de mathématiques de l'école et le premier prix en anglais et en poésie.

    Pour son premier travail scientifique, à l'âge de quatorze ans, Maxwell écrit un article sur les moyens mécaniques de tracer des courbes mathématiques avec un morceau de ficelle ainsi que les propriétés des ellipses et des courbes à plus de deux foyers. Son travail, Oval Curves, est présenté à la Royal Society of Edinburgh par James Forbes, professeur de philosophie naturelle à l'Université d'Édimbourg, Maxwell étant jugé trop jeune pour le faire lui-même. Le travail n'était pas entièrement original, Descartes ayant examiné les propriétés de telles courbes multifocales au XVIIe siècle, même si Maxwell a simplifié leur construction.


    Université d'Édimbourg 1847 - 1850

    Maxwell quitte l'académie en 1847 à l'âge de seize ans et suit des cours à l'Université d'Édimbourg.. Ayant la possibilité de rentrer à Cambridge après son premier trimestre, Maxwell décide néanmoins de terminer ses trois trimestres d'études à Édimbourg. La principale raison est l'éloignement entre Cambridge et chez lui, qui impliquerait de ne voir son père que deux fois par an. L'autre raison est l'inquiétude pour la suite de sa carrière : il veut devenir scientifique, mais les emplois dans le domaine étant rares à l'époque et il aurait été beaucoup plus difficile d'obtenir un poste dans une université aussi prestigieuse que celle de Cambridge.

    L'Université d'Édimbourg accueille dans son équipe enseignante des personnalités reconnues. En première année Maxwell a pour professeurs William Hamilton en logique et métaphysique, Philip Kelland en mathématiques et James Forbes en philosophie naturelle. Maxwell ne trouve pas cependant ses cours à Édimbourg particulièrement exigeants aussi il trouve le temps de se plonger dans ses propres études personnelles durant son temps libre, particulièrement lors de ses retours à Glenlair. Il peut alors faire des expériences avec des appareils de chimie et d'électromagnétisme improvisés, mais sa préoccupation principale concerne les propriétés de la lumière polarisée. Il met en forme des blocs de gélatine, les soumet à diverses contraintes puis, à l'aide de deux prismes polarisants que lui a offerts William Nicol, il observe les couleurs développées dans la gelée. Maxwell vient de découvrir la photoélasticité, une méthode de détermination de la distribution des contraintes à l'intérieur d'une structure physique.

    Dans sa dix-huitième année Maxwell contribue à deux articles pour les Transactions of the Royal Society of Edinburgh, dont l'un des deux, On the Equilibrium of Elastic Solids, pose les fondations d'une importante découverte qu'il réalisera plus tard : la biréfringence temporaire dans un liquide visqueux par une contrainte de cisaillement. L'autre article s'intitule Rolling Curves. Comme pour son premier article d'écolier, Oval Curves, Maxwell est considéré trop jeune pour monter à la tribune et le présenter lui-même. De ce fait, il est lu à la Royal Society par son professeur Kelland.


    Cambridge 1850 - 1856

    En octobre 1850, déjà devenu un mathématicien accompli, Maxwell quitte l'Écosse pour l'Université de Cambridge. Il est d'abord à Peterhouse, mais avant la fin du premier trimestre il rentre au Trinity College, où il pense qu'il est plus facile d'obtenir une bourse d'étude. Au Trinity College, il est élu à la société secrète connue sous le nom de Cambridge Apostles. En novembre 1851, Maxwell étudie avec William Hopkins, dont la capacité à favoriser le développement du talent mathématique lui ont valu le surnom de « faiseur de senior wrangler ». Une part importante de la traduction des ces équations électromagnétiques est réalisée au Trinity College.

    En 1854, Maxwell est diplômé de Trintity en mathématiques. Il obtient la deuxième note la plus élevée à l'examen final, arrivant derrière Edward Routh, et gagnant ainsi le titre de second wrangler, mais est déclaré ex-aequo avec Routh dans l'épreuve la plus exigeante de l'examen du Prix Smith. Immédiatement après avoir reçu son diplôme, Maxwell lit à la Cambridge Philosophical Society un mémoire inédit, On the Transformation of Surfaces by Bending. Il s'agit d'un des quelques articles purement mathématiques qu'il publiera et qui démontre l'envergure grandissante de Maxwell en tant que mathématicien. Maxwell décide de rester à Trinty et demande à devenir « fellow » une procédure qui dure normalement plusieurs années.

    La nature de la perception des couleurs était un de ses intérêts particuliers, débuté à l'Unversité d'Édimbourg alors qu'il était étudiant de Forbes. Maxwell, en utilisant des toupies colorées inventées par Forbes, est capable de montrer que la lumière blanche résulte d'un mélange de lumières rouge, verte et bleue. Son article Experiments on Colour, qui pose les principes des combinaisons de couleurs, est lu à la Royal Society d'Édimbourg en mars 1855. Cette fois Maxwell le présente lui-même.

    Maxwell est fait fellow de Trinity en octobre 1855, plus rapidement que la norme et il lui est demandé de donner des cours en optique et en hydrostatique ainsi que de de rédiger des textes d'examen. En février de l'année suivante, il est informé par Forbes qu'une chaire de philosophie naturelle au Marischal College à Aberdeen est vacante. Il s'empresse de postuler. Son père l'aide à préparer son dossier et ses références mais meurt le 2 avril à Glenlair avant de connaître les résultats de la candidature. Maxwell accepte le poste à Aberdeen et quitte Cambridge en novembre 1856.


    Aberdeen 1856 - 1860
    Maxwell a alors vingt-cinq ans et est plus jeune de quinze ans que la majorité des professeurs de Marischal, ce qui ne l'empêche de s'engager dans de nouvelles responsabilités en devenant chef de département, établissant un programme et préparant les cours. Il passe 15 heures par semaine à donner des cours incluant un cours hebdomadaire pro bono au collège des travailleurs. Il habite Aberdeen durant les six mois de l'année universitaire et passe l'été à Glenlair qu'il a hérité de son père.

    Il est particulièrement investi dans une énigme qui a passionné les scientifiques depuis deux cents ans : la nature des anneaux de Saturne. La raison pour laquelle ils restaient stables sans se désagréger, se disperser ou s'écrase sur Saturne était inconnue. Le problème prend alors une importance particulière car le St John's College le choisit comme thème du Prix Adams en 1857. Il passe deux ans à étudier le problème, prouvant qu'un anneau solide ne pouvaut être stable et qu'un anneau fluide serait forcé par des ondes mécaniques à se scinder en bulles. Sans aucune observations expérimentales Maxwell conclut que les anneaux doivent être formés de nombreuses petites particules qu'il appelle « brick-bats », orbitant chacune indépendamment autour de Saturne. Il reçoit les 130 livres du prix Adams en 1859 pour son essai On the Stability of Saturn's Rings ; il est le seul candidat à avoir produit suffisamment d'avancées pour pour être retenu. Son travaille inspire à George Biddell Airy ce commentaire : « C'est une des plus remarquables applications des mathématises à la physique que j'ai jamais vues ». Il faut attendre le programme Voyager dans les années 1980 pour avoir une confirmation expérimentale de cette théorie. Maxwell invalide aussi mathématiquement l'hypothèse nébulaire (qui affirme que le système solaire s'est formé par condensation progressive d'une nébuleuse purement gazeuse) en introduisant dans la théorie la prise en compte dans le modèle une partie additionnelle formée de petites particules solides.

    En 1857 Maxwell se lie d'amitié ave le Principal de Marischal, le Révérend Daniel Dewar et rencontre sa fille Katherine Mary Dewar. Il se fiancent en février 1858 et se marient à Aberdeen le 2 juin de la même année.

    En 1860, le Marischal College fusionne avec son voisin le King's College pour former l'Université d'Aberdeen. Il n'y a pas de chambres disponibles pour deux professeurs de philosophie naturelle et Maxwell se retrouve congédié malgré sa stature scientifique. Sa candidature au poste de Forbe à Édimbourg échoue mais il obtient à la place la chaire de philosophie naturelle au King's College de Londres. Après s'être remis d'un grave accès de variole durant l'été 1860, Maxwell part pour Londres avec sa femme Katherine.


    King's College de Londres 1860 - 1865
    Les travaux de Maxwell au King's College sont peut-être les plus productifs de sa carrière. Il est récompensé de la médaille Rumford de la Royal Society en 1860 pour ses travaux sur la couleur et élu à la Society elle-même en 1861. Cette période de sa vie le voit réaliser la première photographie en couleur, développer ses idées sur la viscosité des gaz et proposer un système de définition des quantités physiques appelé analyse dimensionnelle. Maxwell suit également souvent les conférences de la Royal Institution, où il est en contact régulier avec Michael Faraday. Les deux hommes ne sont pas extrêmement proches car Faraday a 40 ans de plus que Maxwell et commence à montrer des signes de sénilité, mais leur relation est empreinte d'un respect réciproque pour leurs compétences.

    Cette période est essentiellement connue pour être celle des avancées de Maxwell en électromagnétisme. Il examine en 1861 la nature des champs électromagnétiques dans son article en deux parties On Physical Lines of Force, dans lequel il fournit un modèle conceptuel de l'induction électromagnétique consistant en de petites cellules tournantes de flux du champ magnétique. Deux autres parties de l'article sont publiées au début de 1862 : dans la première il discute de la nature de l'électrostatique et des courants de déplacement. La dernière partie traite de la rotation de plans de polarisation de la lumière sous l'effet d'un champ magnétique, un phénomène découvert par Faraday et connu sous le nom d'effet Faraday.


    Travaux scientifiques

    Physique

    Analyse des couleurs

    De 1855 à 1872, il publie une série de recherches concernant la perception des couleurs, pour lesquelles il reçoit la médaille Rumford en 1860, et le daltonisme. Les instruments qu'il utilisait pour ses recherches étaient à la fois simples et pratiques comme par exemple les disques de Maxwell qui servaient à comparer les différents mélanges des trois couleurs primaires en observant une toupie colorée.


    Théorie cinétique
    Article détaillé : Statistique de Maxwell-Boltzmann.
    Une des contributions les plus importantes de Maxwell est la théorie cinétique des gaz. Initiée par Daniel Bernoulli, cette théorie a ensuite été développée successivement par John Herapath, John James Waterston, James Joule et surtout Rudolf Clausius, jusqu'à être largement acceptée. Néanmoins elle reçut un développement important de la part de Maxwell.

    En 1866, il formule, indépendamment de Ludwig Boltzmann, la théorie cinétique des gaz dite de Maxwell-Boltzmann. Sa formule, appelée distribution de Maxwell, donne la proportion des molécules d'un gaz se développant à une certaine vitesse à une température donnée. Cette approche généralise les lois de la thermodynamique et permet d'expliquer statistiquement un certain nombre d'observations expérimentales. Les travaux de Maxwell en thermodynamique l'amène également à formuler l'expérience de pensée appelée le démon de Maxwell.


    Électromagnétisme
    Article détaillé : Équations de Maxwell.

    La plus grande partie de la vie scientifique de Maxwell a été consacrée à l'électricité. Sa plus grande contribution est le développement et la formulation mathématiques des travaux précédents sur l'électricité et le magnétisme réalisés par Michael Faraday et André-Marie Ampère notamment. Il en tire un ensemble de vingt équations différentielles à vingt variables, plus tard réduites à quatre. Ces équations, désormais connues sous le nom d'équations de Maxwell, sont présentées la première fois à la Royal Society en 1864 et décrivent le comportement et les relations du champ électromagnétique ainsi que son interaction avec la matière.

    L'équation d'onde électromagnétique de Maxwell prévoit l'existence d'une onde associée aux oscillations des champs électrique et magnétique et se déplaçant dans le vide à une vitesse facilement accessible expérimentalement. Avec les moyens de l'époque Maxwell obtient une célérité de 310 740 000 m/s. Dans son article de 1864, A Dynamical Theory of the Electromagnetic Field Maxwell écrit :

    « L'accord des résultats semble montrer que la lumière et le magnétisme sont deux phénomènes de même nature et que la lumière est une perturbation électromagnétique se propageant dans l'espace suivant les lois de l'électromagnétisme. »

    Cette prévision s'est révélée correcte et la relation entre lumière et électromagnétisme est considérée comme une des plus grandes découvertes du XIXe siècle dans le domaine de la physique.

    À ce moment Maxwell pense que la propagation de la lumière nécessite un milieu pour support des ondes : l'éther. Avec le temps l'existence d'un tel milieu, remplissant tout l'espace et apparemment indétectable par des moyens mécaniques, posera de plus en plus de problèmes pour être mise en accord avec les expériences telles que celle Michelson et Morley. De plus, cela semble imposer un référentiel absolu dans lesquelles les équations sont valides, mais impose également à celles-ci de prendre une expression différente pour un observateur en mouvement. C'est cette dernière difficulté qui amènera Albert Einstein à formuler sa théorie de la relativité restreinte pour laquelle l'existence de l'éther n'est plus nécessaire.


    Mathématiques
    Maxwell a publié un article intitulé On governors dans Proceedings of Royal Society, vol. 16 (1867-1868). Cet article est souvent considéré classiquement comme le début de la théorie de la régulation. Dans cet article le régulateur renvoie à la notion de régulateur à boules des machines à vapeur.


    Publications
    On the Description of Oval Curves, and those having a plurality of foci. Proceedings of the Royal Society of Edinburgh, Vol. ii. 1846.
    Illustrations of the Dynamical Theory of Gases. 1860.
    On Physical Lines of Force. 1861.
    A Dynamical Theory of the Electromagnetic Field. 1865.
    On Governors. Proceedings of the Royal Society, Vol. 16 (1867-1868) pp. 270-283.
    Theory of Heat. 1871.
    On the Focal Lines of a Refracted Pencil. Proceedings of the London Mathematical Society s1-4(1):337-343, 1871.
    A Treatise on Electricity and Magnetism. Clarendon Press, Oxford. 1873.
    Molecules. Nature, septembre 1873.
    On Hamilton's Characteristic Function for a Narrow Beam of Light. Proceedings of the London Mathematical Society s1-6(1):182-190, 1874.
    Matter and Motion, 1876.
    On the Results of Bernoulli's Theory of Gases as Applied to their Internal Friction, their Diffusion, and their Conductivity for Heat.
    Ether, Encyclopaedia Britannica, neuvième édition (1875-89).

    Citations
    « La vraie logique du monde est celle du calcul des probabilités. » - James Maxwell (source : livre de mathématques terminale S (sciences expérimentales) du Sénégal)
    « La vitesse des ondes électromagnétiques est presque celle de la lumière ... ce qui donne une bonne raison de conclure que la lumière est en quelque sorte elle même (en incluant le rayonnement de chaleur, et les autres radiations du même type) une perturbation électromagnétique qui se propage selon les lois de l'électromagnétisme. » — James Maxwell
    « La théorie de la relativité doit son origine aux équations de Maxwell sur le champ électromagnétique » — Albert Einstein
    « Il a atteint des sommets inégalés. » — Max Planck
    « Depuis des temps immémoriaux, disons depuis dix mille ans, il y a peu de doute que l'évènement le plus marquant sera pour un temps la découverte (au XIXe siècle) de Maxwell sur les lois de l'électromagnétisme » — Richard Feynman
    « L'importance de Maxwell dans l'histoire des sciences est comparable à celle d'Einstein (qu'il inspira) et de Newton (dont il réduisit l'influence)» — Ivan Tolstoy

    Sources et bibliographie
    (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu d’une traduction de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « James Clerk Maxwell ».
    Campbell, Lewis; Garnett, William (1882). The Life of James Clerk Maxwell. Edinburgh: MacMillan. OCLC 2472869. Dernier accès le 2008-02-20.
    Glazebrook, R. T. (1896). James Clerk Maxwell and Modern Physics. MacMillan. ISBN 978-1-40672-200-0.
    Harman, Peter. M. (2004). Oxford Dictionary of National Biography, volume 37. Oxford University Press. ISBN 019861411X.
    Harman, Peter M. (1998). The Natural Philosophy of James Clerk Maxwell. Cambridge University Press. ISBN 052100585X.
    Mahon, Basil (2003). The Man Who Changed Everything – the Life of James Clerk Maxwell. Hoboken, NJ: Wiley. ISBN 0470861711.
    Porter, Roy (2000). Hutchinson Dictionary of Scientific Biography. Hodder Arnold H&S. ISBN 978-1859863046.
    Timoshenko, Stephen (1983). History of Strength of Materials. Courier Dover Publications. ISBN 0486611876.
    Tolstoy, Ivan (1982). James Clerk Maxwell: A Biography. University of Chicago Press. ISBN 0-226-80787-8.


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    Rene Char a dit - Citations



    Tellement j'ai faim, je dors sous la canicule des preuves.

    Fureur et mystere (1948), rene char, édition gallimard, coll. poesie, 1962 (isbn 2-07-030065-x), partie seuls demeurent (1938-1944), vivre avec de tels hommes, p. 45 - seuls demeurent (1938-1944) - René Char



    Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. A te regarder, ils s'habitueront.L
    Les matinaux: poésie (édition 1950) - René Char


    Je vois enfin la mer dans sa triple harmonie, la mer qui tranche de son croissant la dynastie des douleurs absurdes, la grande volière sauvage, la mer crédule comme un liseron.

    Les souris de l'enclume. Cette image m'aurait paru charmante autrefois. Elle suggère un essaim d'étincelles décimé en son éclair.

     

    Entre le monde de la réalité et moi, il n'y a plus aujourd'hui d'épaisseur triste.

    Le poète est l'homme de la stabilité unilatérale.
    Terre mouvante, horrible, exquise et condition humaine hétérogène se saisissent et se qualifient mutuellement. La poésie se tire de la somme exaltée de leur moire.

          Fureur et mystere -    René Char


    é Char



    Tu es de la race de ceux qui meurent jeunes à quatre-vingts ans. 


    A tous les repas pris en commun, nous invitons la liberté à s'asseoir. La place demeure vide, mais le couvert reste mis.

     

    L'été et notre vie étions d'un seul tenant La campagne mangeait la couleur de ta jupe odorante.
     - René Char



     

    Poemes et prose (édition 1957) - René Char

    Né le : 14 juin 1907 à 09h30
    à : L'Isle-sur-La Sorgue (France)
    Soleil : 22°10' Gémeaux AS : 26°58' Lion
    Lune : 29°01' Cancer MC : 19°17' Taureau
    Dominantes : Cancer, Taureau, Gémeaux
    Vénus, Soleil, Mercure
    Maisons 10, 11, 5 / Eau, Terre / Cardinal
    Astrologie Chinoise : Chèvre de Feu
    Numérologie : chemin de vie 1
    Popularité : 14 047 clics, 2 947e homme, 4 923e célébrité

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  • Pleine Lune du 13 Juin 2014, Cartes du Ciel Héliocentrique  et Géocentrique

    CARTE DU CIEL GEOCENTRIQUE

    Une Lune qui manifeste le besoin , 22 degré Sagittaire , de prendre du recul ( Sagittaire ) " UNE LAVERIE CHINOISE " , pour un meilleur nettoyage de la pensée égotique , fin Maison 6 pour mieux favoriser la complementarité Yin Yang de la pensée .

    Pour la spiritualité chinoise , la laverie , c'est le Tan Tien , trois doigts en dessous du nombril , ce tan tien loge dans l'énergie de la Vierge et de l'intestion grêle , FONCTION MAISON SIX , la purification

    Le Soleil , en faisant danser le couple Yin Yang en cette approche du solstice sur le 22 degré Gémeaux permet le fonctionnement du tan tien .....

    Rayonnement et mise en mouvement de notre union terre ciel au centre de nous même paermet de voir se dessiner la maison de notre enracinement psychique.

    LE DESSIN D'UNE MAISON ASSISE SUR LE TRIGONE D'EAU JUPITER SATURNE ET DONT LA CIME DU TOIT EST TENDUE VERS CHIRON

    LE GUERISSEUR

    UNE PLEINE LUNE SUR L'AXE DE LA COMMUNICATION GEMEAUX SAGITTAIRE EN MAISONS 6 ET 12

    Pleine Lune du 13 Juin 2014, Cartes du Ciel Héliocentrique  et Géocentrique

    CARTE DU CIEL HELICENTRIQUE

    UN THEME ENVOYANT TOUTE SON ENERGIE VERS JUPITER CANCER SOUTENU PAR UN MAGNIFIQUE TRIANGLE D'EAU FORME AVEC MARS SATURNE SCORPION ET VENUS POISSONS

     

    Pleine Lune du 13 Juin 2014, Cartes du Ciel Héliocentrique  et Géocentrique

     

    ECLABOUSSURES DE PLEINE LUNE

    VIE ART PHOTOGRAPHIE

     


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