• Pleine Lune du 21 Mai 2016 , Greenwich , CARTES DU CIEL HELIO ET GÉOCENTRIQUES

     

    CARTE DU CIEL HELIO

     

     

    Pleine Lune du 21 Mai 2016 , Greenwich , CARTES DU CIEL HELIO ET GÉOCENTRIQUES

     

    CARTE DU CIEL GEOCENTRIQUE

     

     

    SOLEIL 1 DEGRE GEMEAUX

     

    UNE PUBLICATION REVOLUTIONNAIRE RECLAME L'ACTION DIRECTE

     

    Dominante : Le caractère explosif propre à une sensibilisation refoulée et à des sentiments fanatiques.

     

    ALLER AU DELA DES CONVENTIONS


     

    LUNE 1 DEGRE SAGITTAIRE

     

    DES ANCIENS COMBATTANTS SE REUNISSENT POUR EVOQUER LEURS SOUVENIRS

     

    Les réalisations sociales, individuelles ou collectives reposent sur des combats de transcendance

    qu'il est important de commemorer pour se rappeler que l'humain avance

    dans le depassement des luttes pour le pouvoir

    Dane Rudhyar

     

    uUne pleine Lune conjointe à Mars , en Hélio comme en Géo ...sur un symbole solaire d'action, en sagittaire spiritualisée...

    L'ascendant Sagittaire sur lequel est conjoint Saturne Maison 12 renforce la puissance de cette pleine Lune et son impact sur la conscience collective

     

     

     

     


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    Organisation de l'Unité africaine

    Le 25 mai 1963 a été créée l'ancêtre de l'Union africaine, l’Organisation de l'unité africaine (OUA), par 32 États. Son siège fut établi à Addis-Abeba en Éthiopie, dans le African Union Headquarters.

    Née un 25 Mai, l'organisation de l'Unité Africaine

    25 mai: "la journée de l’UA ne célèbre pas l’unité de l’Afrique, mais la formation de l’organisation"

    L’expression d’« Union africaine » pour décrire le passé et le présent de l’Afrique sonne comme une triste ironie. En substance, l’Afrique n’a jamais été unie. La journée de l’Union africaine ne célèbre pas l’unité de l’Afrique, mais la formation de l’organisation.

    Le fondement historique de l’Union africaine a son origine dans l’Union des États d’Afrique, une confédération créée par l’un des plus grands hommes de l’Afrique, Kwame Nkrumah dans les années 1960, ainsi que dans les tentatives ultérieures pour unir l’Afrique, y compris l’Organisation de l’unité africaine (OUA), qui a été créée le 25 mai 1963 et la Communauté économique africaine, en 1981.

    Les critiques ont fait valoir que l’OUA, en particulier, a peu fait pour protéger les droits et libertés des citoyens africains de leurs propres dirigeants politiques, en la surnommant souvent le « Club des dictateurs » (BBC, le 8 Juillet, 2002). L’année 2002 a vu l’abandon d’une lettre de l’OUA, et l’on s’attendait fort à ce que cela signale aussi la fin de l’ère du « club des dictateurs ». Le monde et, bien sûr, les Africains avaient hâte que naisse enfin une organisation beaucoup plus responsable et axée sur les populations. Les africains ont été encouragés par le fait que l’UA semblait être sur la voie du modèle de l’Union européenne non seulement du point de vue des similitudes évidentes dans les nomenclatures, mais aussi du point de vue de son idéologie et des projets futurs.

    Ils s’attendaient à ce que, avec la formation de l’Union africaine, le continent africain soit une économie sans frontières qui séparent les pays membres, sans restrictions au commerce entre les pays membres et devienne en substance le point culminant de la paix apportée par un commerce et une liberté de mouvement intra-africains sans frontières .

    C’est loin d’être le cas. Dans la pratique, en dépit d’une préférence générale pour le protectionnisme, les pays africains commercent en effet davantage avec les autres pays qu’avec les voisins africains. Il ne faut pas chercher bien loin la raison ultime de cette situation : ce sont les mêmes pays qui offrent des subventions et de l’aide à leurs partenaires commerciaux africains. Quand on regarde le volume des échanges de chaque pays africain avec son principal partenaire commercial, on trouve une corrélation positive entre le commerce et l’aide. Plus il y a d’aide de la part d’un pays donné, plus le commerce avec ce pays est important.

    Prenez par exemple la Chine. La relation sino-africaine est à un niveau sans précédent dans l’histoire. La Chine est depuis devenue le partenaire commercial de l’Afrique le plus important après les États-Unis. Logique : les aides de la Chine à l’Afrique ont également augmenté. L’UA a besoin de regarder derrière la main tendue de celui qui donne pour comprendre que, en recevant de l’aide, l’Afrique donne en fait beaucoup plus de ressources minérales. Dans l’accord avec la RDC, les Chinois vont recevoir près de 60 milliards de dollars de ressources en échange de 9 milliards de dollars en espèces et des projets en RDC. Nous gagnerons à négocier en tant que partenaires égaux avec le reste du monde.

    Plus de 50 ans d’indépendance ont montré que l’aide n’est pas la voie vers la prospérité de l’Afrique. Si elle avait abouti à la prospérité de l’Afrique, nous en parlerions ici comme d’une stratégie économique à adopter, mais c’est loin d’être le cas.

    L’Afrique reste le continent le plus pauvre dans tous les sens du terme. Avec une population d’à peu près un milliard de personnes, l’Afrique compte en effet le septième de la population mondiale. Si l’Afrique représentait cette même fraction du commerce mondial, ce serait le continent le plus riche du monde. Si nous disposons d’un septième de la population mondiale, cela signifie simplement que nous avons les ressources humaines pour la production. Il est évident que nous avons un marché pour les produits et les services et avec nos ressources minérales, nous n’avons en aucune façon besoin de tendre nos mains pour demander à être alimentés par l’aide étrangère. L’intégration économique est donc ce sur quoi l’UA doit désormais se concentrer, pour le sort futur des africains ordinaires, plutôt que sur des discours interminables et creux dans des réunions en grande pompe.

    Il est temps pour l’UA de se pencher sur son document de création, pour vérifier si en tant qu’organisation, elle est proche de ses objectifs affichés quand ils ont été mis en place. S’il y a une organisation responsable du destin futur de l’Afrique, c’est bien l’Union africaine. Et s’il y a une organisation de toute évidence mal équipée pour l’amélioration future de l’Afrique, c’est également l’Union Africaine. Mais elle peut changer : les dirigeants africains doivent faire face à leurs propres échecs et défis, ou à ceux de leurs voisins, tout en encourageant les Africains ordinaires à user de leur ingéniosité pour bâtir leur propre avenir, à travers le respect des droits de propriété, l’état de droit et les libertés économiques.

    Japhet J. Omojuwa est un associé de recherche dans le think tank ghanéen IMANI. Franklin Cudjoe est président d’IMANI et rédacteur en chef du projet AfricanLiberty.org.



     

     
     
     
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    Union africaine

     
    Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir UA.

    Union africaine

    Description de cette image, également commentée ci-après Description de cette image, également commentée ci-après

    Drapeau et emblème de l'Union africaine

    Description de l'image African Union (orthographic projection).svg.

    Institutions

    Conférence
    Président Drapeau du Zimbabwe Robert Mugabe
    Siège Addis-Abeba
    Commission
    Président Nkosazana Dlamini-Zuma
    Siège Addis-Abeba
    Parlement
    Président Idriss Ndele Moussa
    Siège Gallagher Convention Centre (Midrand)
    Organisation
    États membres 54
    Langues officielles anglais, arabe, français, espagnol, portugais, swahili1
    États suspendus République centrafricaine
    Géographie et démographie
    Superficie 29 922 059 km2
    Population 967 810 000 hab. (2011)
    Densité 32,5 hab./km2
    Histoire
    Charte de l'OUA 25 mai 1963
    Traité d'Abuja 3 juin 1991
    Déclaration de Syrte 9 septembre 1999
    Acte constitutif de l'UA 11 juillet 2000
    Économie
    PIB 2 849 milliards $
    PIB/hab. 2 943,76 $/hab
    Divers
    Hymne L'Africaine
    Gentilé Africain(s), Africaine(s)
    Fuseaux horaires Essentiellement UTC -1 à +4
    Site officiel www.au.int

    L'Union africaine (UA) est une organisation d'États africains créée en 2002, à Durban en Afrique du Sud, en application de la déclaration de Syrte du 9 septembre 1999. Elle a remplacé l'Organisation de l'unité africaine2 (OUA). La mise en place de ses institutions (Commission, Parlement panafricain et Conseil de paix et de sécurité) a eu lieu en juillet 2003 au sommet de Maputo au Mozambique.

    Son premier président a été le Sud-Africain Thabo Mbeki, précédemment président de l'OUA.

    Ses buts sont d'œuvrer à la promotion de la démocratie, des droits de l'homme et du développement à travers l'Afrique, surtout par l'augmentation des investissements extérieurs par l'intermédiaire du programme du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD). Ce programme considère que la paix et la démocratie sont des préalables indispensables au développement durable.

    Les objectifs de l'UA comportent la création d'une banque centrale de développement.

    Sommaire

    Histoire

    Article connexe : Histoire de l'Union africaine.

    Échec de l'Union des États africains

    La première tentative d'union politique en Afrique fut faite par trois États d'Afrique de l'ouest dans les années 1960 : le Ghana, la Guinée et le Mali, lesquels créèrent l'Union des États africains. L'Union, d'inspiration marxiste, était mené par les révolutionnaires africains Kwame Nkrumah (du Ghana) Modibo Keita (du Mali) et Sékou Touré (de Guinée).

    Le 23 novembre 1958, l'Union Ghana-Guinée fut créée. En mai 1959, l'Union a été renommée Union des États africains. Deux ans plus tard, en avril 1961, le Mali adhéra à l'Union. L'Union prit fin en 1962 quand la Guinée s'est rapprochée des États-Unis sans respecter l'opinion de ses partenaires socialistes.

    Organisation de l'Unité africaine

    Le 25 mai 1963 a été créée l'ancêtre de l'Union africaine, l’Organisation de l'unité africaine (OUA), par 32 États. Son siège fut établi à Addis-Abeba en Éthiopie, dans le African Union Headquarters.

    Retrait du Maroc

    En 1984, de nombreux États membres de l'OUA ont soutenu l'adhésion de la République arabe sahraouie démocratique, territoire contesté dont 20 % seulement est contrôlé par le Front Polisario (mouvement nationaliste sahraoui) et 80 % par le Maroc3,4,5. En protestation à l'adhésion de la République sahraouie, le Maroc s'est retiré de l'OUA. Le Zaïre, allié du Maroc, s'est opposé quant à lui à l'adhésion de la République sahraouie et organisa un boycott de l'Organisation de 1984 à 19866. Certains États membres ont par la suite retiré leur soutien à la République sahraouie7.

    Réforme du l'OUA

    Le 3 juin 1991 fut conclu le traité d'Abuja qui prévoyait explicitement la création d'un marché commun à l'ensemble du continent avant 2025.

    L’impulsion visant à relancer le processus d’intégration politique, qui apparaît indispensable aux yeux des dirigeants africains pour la croissance économique du continent, a été donnée en 1998 par Mouammar Kadhafi, alors « Guide de la révolution » de la Jamahiriya arabe libyenne. Le 9 septembre 1999 fut signé la déclaration de Syrte qui fixe l'objectif de la création d'une Union africaine. La déclaration rappelle dans ses premières lignes les idéaux des pères fondateurs de l'OUA et notamment celui du panafricanisme. Cependant, comme lors de la création de l'OUA, les conceptions fédéralistes et les souverainistes s’affrontent. Selon les analyses, le résultat est une organisation de compromis.

    Le traité créant l'Union africaine, appelé Acte constitutif de l'Union africaine, est signé le 11 juillet 2000 à Lomé, au Togo.

    Instauration de l'Union africaine

    Ce n'est que le 9 juillet 2002, soit deux ans après la signature de son traité constitutif, que l'Union africaine s'est substituée à l'OUA. Un an plus tard, en juillet 2003, à l'occasion du sommet de Maputo (au Mozambique), furent mises en place certaines institutions dont la Commission de l'Union africaine, le Parlement panafricain et le Conseil de paix et de sécurité (CPS).

    Les États-Unis nomment pour la première fois un ambassadeur auprès de l'UA, Cindy Courville, en novembre 2006. C'est le premier ambassadeur d'un pays non africain auprès de cette organisation.

    Signature
    Entrée en vigueur
    Nom du traité
    1961
    1961
    1963
    1963
    Charte de l'OUA
    1991
    N/A
    Traité d'Abuja
    1999
    2002
    Déclaration de Syrte
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      Organisation de l'unité africaine (OUA) Communauté économique africaine :                
      Communauté des États sahélo-sahariens (CEN-SAD)
      Marché commun de l'Afrique orientale et australe (COMESA)
      Communauté d'Afrique de l'Est (EAC)
      Communauté économique des États de l'Afrique centrale (CEEAC)
      Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO)
      Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD)
      Communauté de développement d’Afrique australe (SADC)
      Union du Maghreb arabe (UMA)
    Groupe de Casablanca   Union africaine (AU)
    Groupe de Monrovia
           

    États membres de l'Union africaine

    Membres

    Il y a actuellement 54 membres de l'UA, soit tous les pays d'Afrique, à l'exception du Maroc (qui s'est retiré de l'OUA en 1984 pour protester contre l'admission de la République arabe sahraouie démocratique en 1982), et du Somaliland (qui n'est reconnu par aucun État).

    États membres de l’Union africaine
    Nom français
    (forme courte)
    Année
    d’adhésion
    CodeNom local
    (forme courte)
    CapitaleLangue(s) officielle(s)MonnaieStatut
    Drapeau de l'Afrique du Sud Afrique du Sud 1994 ZA South Africa, Suid-Afrika, YaseMzantsi Afrika, YaseNingizimu Afrika, Sewula Afrika Pretoria (administrative)
    Le Cap (législative)
    Bloemfontein (judiciaire)
    anglais, afrikaans, ndébélé (isindebele), xhosa (isixhosa), zoulou (isizulu),
    sotho du Nord (sepedi), sotho du Sud (sesotho), tswana (setswana), siswati (siSwati),
    venda (tshivenda), tsonga (xitsonga)
    Rand Membre
    Drapeau de l'Algérie Algérie 1963 DZ الجزائر (al-Jazā'ir)
    (Dzayer) TamazightNota 1)
    Alger arabe classique Dinar algérien Membre
    Drapeau de l'Angola Angola 1979 AO Angola Luanda portugais Kwanza Membre
    Drapeau du Bénin Bénin 1963 BJ Bénin Porto-Novo français Franc CFA Membre
    Drapeau du Botswana Botswana 1966 BW Botswana Gaborone tswana, anglais Pula Membre
    Drapeau du Burkina Faso Burkina Faso 1963 BF Burkina Faso Ouagadougou français, moré, dioula et peul Franc CFA Membre
    Drapeau du Burundi Burundi 1963 BI Burundi, Uburundi Bujumbura français, kirundi Franc burundais Membre
    Drapeau du Cameroun Cameroun 1963 CM Cameroun
    Cameroon
    Yaoundé anglais, français Franc CFA Membre
    Drapeau du Cap-Vert Cap-Vert 1975 CV Cabo Verde Praia portugais Escudo cap-verdien Membre
    Drapeau des Comores Comores 1975 KM لاتحاد ﺍﻟﻘﻤﺮي
    Comores
    Komori
    Moroni arabe, français Franc comorien Membre
    Côte d'Ivoire Côte d'Ivoire 1963 CI Côte d'Ivoire Yamoussoukro (politique)
    Abidjan (économique)
    français Franc CFA Membre
    Drapeau de Djibouti Djibouti 1977 DJ جمهورية جيبوتي, Djibouti, Gabuutih Ummuuno, Jamhuuriyadda Jabuuti Djibouti français, arabe, somali, et afar Franc de Djibouti Membre
    Drapeau de l'Égypte Égypte 1963 EG مصر (Masr) Le Caire arabe Livre égyptienne Membre
    Drapeau de l'Éthiopie Éthiopie 1963 ET ኢትዮጵያ (Ītyōṗṗyā) Addis-Abeba aucune
    amharique (langue de travail)
    Birr Membre
    Drapeau du Gabon Gabon 1963 GA Gabon Libreville français Franc CFA Membre
    Drapeau de la Gambie Gambie 1965 GM Gambia Banjul anglais Dalasi Membre
    Drapeau du Ghana Ghana 1963 GH Ghana Accra anglais Cedi Membre
    Drapeau de la Guinée Guinée 1963 GN Guinée Conakry français Franc guinéen Membre
    Drapeau de la Guinée-Bissau Guinée-Bissau 1973 GW Guinée-Bissao Bissau portugais Franc CFA Membre
    Drapeau de la Guinée équatoriale Guinée équatoriale 1968 GQ Guinea Ecuatorial, Guinée équatoriale, República da Guiné Equatorial Malabo espagnol, français, portugais Franc CFA Membre
    Drapeau du Kenya Kenya 1963 KE Kenya Nairobi anglais, swahili Shilling kényan Membre
    Drapeau du Lesotho Lesotho 1966 LS Lesotho Maseru anglais, sesotho Loti Membre
    Drapeau du Libéria Liberia 1963 LR Liberia Monrovia anglais Dollar libérien Membre
    Drapeau de la Libye Libye 1963 LY ليبيا (Lībiyya) Tripoli arabe Dinar libyen Membre
    Drapeau de Madagascar Madagascar 1963 MG Madagasikara et Repoblikan'i Madagasikara Antananarivo malgache, français Ariary Membre
    Drapeau du Malawi Malawi 1964 MW Malawi, Malaŵi Lilongwe anglais, chichewa Kwacha malawien Membre
    Drapeau du Mali Mali 1963 ML Mali Bamako français, bambara Franc CFA Membre
    Drapeau de Maurice Maurice 1968 MU Mauritius Port-Louis anglais Roupie mauricienne Membre
    Drapeau de la Mauritanie Mauritanie 1963 MR موريتانيا (Mūrītāniyyah), Mauritanie Nouakchott arabe, français (de facto) Ouguiya Membre
    Drapeau du Mozambique Mozambique 1975 MZ Moçambique Maputo portugais Metical Membre
    Drapeau de la Namibie Namibie 1990 NA Namibia Windhoek anglais Dollar namibien Membre
    Drapeau du Niger Niger 1963 NE Niger Niamey français Franc CFA Membre
    Drapeau du Nigeria Nigeria 1963 NG Nigeria Abuja anglais Naira Membre
    Drapeau de la République arabe sahraouie démocratique République arabe sahraouie démocratique 1982 EH الجمهورية العربية الصحراوية الديمقراطية (Al-Jumhūrīyya al-`Arabīyya aṣ-Ṣaḥrāwīyya ad-Dīmuqrāṭīyya), República Árabe Saharaui Democrática Laâyoune (proclamée, sous contrôle marocain)
    Bir Lehlou (capitale temporaire)
    Camps de Tindouf (siège des institutions)
    arabe, seconde langue administrative : espagnol Peseta sahraouie Membre
    Drapeau de la République centrafricaine République centrafricaine 1963 CF Centrafrique Bangui français, sango Franc CFA Suspendu
    Drapeau de la République démocratique du Congo République démocratique du Congo 1963 CD Congo-Kinshasa Kinshasa français Franc congolais Membre
    Drapeau de la République du Congo République du Congo 1963 CG Congo, Congo-Brazzaville Brazzaville français Franc CFA Membre
    Drapeau du Rwanda Rwanda 1963 RW Rwanda Kigali kinyarwanda, français, anglais Franc rwandais Membre
    Drapeau de Sao Tomé-et-Principe Sao Tomé-et-Principe 1975 ST Sao Tomé-et-Principe São Tomé portugais Dobra Membre
    Sénégal Sénégal 1963 SN Sénégal Dakar français Franc CFA Membre
    Drapeau des Seychelles Seychelles 1976 SC Seychelles, Sesel Victoria français, anglais, créole seychellois Roupie seychelloise Membre
    Drapeau de Sierra Leone Sierra Leone 1963 SL Sierra Leone Freetown anglais Leone Membre
    Drapeau de la Somalie Somalie 1963 SO Soomaaliya, الصومال Mogadiscio somali, arabe Shilling somalien
    Dollar américain
    Membre
    Drapeau du Soudan Soudan 1963 SD السودان (as-Sūdān), Sudan Khartoum arabe, anglais Livre soudanaise Membre
    Drapeau du Soudan du Sud Soudan du SudNota 2 2011 SS South Soudan Djouba anglais Livre sud-soudanaise Membre
    Drapeau du Swaziland Swaziland 1968 SZ Swaziland, Swatini Mbabane (administrative et judiciaire),
    Lobamba (royale et législative)
    anglais, swati Lilangeni Membre
    Drapeau de la Tanzanie Tanzanie 1964 TZ Tanzania Dodoma aucune, swahili (de facto), anglais (de facto) Shilling tanzanien Membre
    Drapeau du Tchad Tchad 1963 TD Tchad, تشاد (Tshād) Ndjamena français, arabe Franc CFA Membre
    Drapeau du Togo Togo 1963 TG Togo Lomé français Franc CFA Membre
    Drapeau de la Tunisie Tunisie 1963 TN تونس (Tūnis) Tunis arabe Dinar tunisien Membre
    Drapeau de l'Ouganda Ouganda 1963 UG Uganda Kampala anglais, swahili Shilling ougandais Membre
    Drapeau de la Zambie Zambie 1964 ZM Zambia Lusaka anglais Kwacha zambien Membre
    Drapeau du Zimbabwe Zimbabwe 1980 ZW Zimbabwe Harare anglais, shona, sindebele Dollar américain Membre
    1. Transcription ALA-LC 1997
    2. (en) « South Sudan Becomes African Union's 54th Member » [archive], Voice of America News,‎ 28 juillet 2011 (consulté le 28 juillet 2011)
     

    Les territoires africains contrôlés par l'Espagne (îles Canaries, Ceuta et Melilla), le Portugal (Açores), et la France (Mayotte et La Réunion) sont également hors de la juridiction de l'UA.

    États suspendus

    Selon les articles 4, paragraphe (p) et 30 de l'Acte constitutif de l'Union africaine, l'Union « [condamne et rejette] des changements anticonstitutionnels de gouvernement » et considère que « les Gouvernements qui accèdent au pouvoir par des moyens anticonstitutionnels ne sont pas admis à participer aux activités de l’Union ». Sur les fondements de ces articles, l'Union africaine a suspendu les États suivant :

    Les anciens États suspendus, aujourd'hui réintégrés à l'Union africaine sont :

    Territoires contestés

    En mai 2004, la Commission de l'Union africaine émettait un Plan stratégique dans lequel, pour la première fois, le continent africain dénonçait l'occupation étrangère de pays ou territoires considérés comme africains. Au total, huit territoires sont mentionnés10.

    Territoires contestés10
    « États occupants »Flag of Spain.svg EspagneFlag of France.svg FranceFlag of Portugal.svg PortugalFlag of the United Kingdom.svg Royaume-Uni
    Territoires occupés Îles Canaries
    Ceuta et Melilla
    La Réunion
    Mayotte
    Açores
    Îles Madère
    Archipel des Chagos
    Île Sainte-Hélène
     

    Statut et gouvernance de l'Union

    Statut

    La transformation de l'Organisation de l'unité africaine a entrainé un certain nombre d'évolutions puisque l'Union européenne a servi de modèle à la nouvelle Union africaine. Ainsi, les nouvelles institutions témoignent, au moins dans leurs formes, d’une intention de partage de l’autorité. En effet, au sein de l’OUA, la seule source de décision était la Conférence des chefs d’État. Nouvel organe, le Conseil économique, social et culturel (ECOSOCC) est lui composé de membres de la société civile. Enfin, le secrétariat général de l’OUA a été remplacé par la Commission, qui a un pouvoir d’initiative et non plus seulement exécutif.

    Le principal sujet de débat lors du sommet de juillet 2007 à Accra au Ghana, fut la création d'un gouvernement d'Union11 afin de créer, à terme, les États-Unis d'Afrique. Une étude sur un gouvernement de l'Union fut adoptée fin 200612, et proposa plusieurs options pour mener à son terme le projet d'Union africaine. Ce sujet entraîna des divisions parmi les États africains, certains (notamment la Libye sous Kadhafi) ayant une vision maximaliste d'un tel gouvernement, avec notamment une armée de l'Union africaine ; et d'autres (dont les États du sud de l'Afrique) soutenant un renforcement des structures existantes, avec quelques réformes pour s'adapter aux défis administratifs et politiques en rendant la Commission de l'Union africaine et les autres institutions pleinement opérationnelles.

    À la suite du sommet d'Accra, la Conférence de l'Union africaine trouva un accord, sous la forme d'une déclaration, pour passer en revue le fonctionnement de l'Union afin de déterminer si celle-ci pouvait évoluer vers un gouvernement de l'Union13. La Conférence s'accorda sur :

    • accélérer l'intégration politique et économique du continent africain, y compris la formation d'un gouvernement de l'Union ;
    • réaliser un audit des institutions et organes de l'Union africaine ; trouver des moyens de renforcer l'Union africaine et élaborer un calendrier en vue d'élaborer le gouvernement de l'Union.

    La déclaration évoque en dernier lieu l'« importance d'impliquer les peuples africains, dont les Africains de la Diaspora, dans le processus menant à la formation d'un gouvernement de l'Union ».

    Suite à la décision, un panel de personnalités fut appelé pour constituer le Comité d'audit. L'équipe commença ses travaux le 1er septembre 2007. L'examen fut présenté à la Conférence de l'Union lors du sommet de janvier 2008 à Addis Abeba. Cependant, aucune décision finale ne fut prise concernant les recommandations, et un Comité de dix chefs d’État fut désigné pour étudier le résultat de l'examen et soumettre un rapport lors du sommet de juillet 2008 en Égypte14. En juillet 2008, la décision fut une nouvelle fois reportée pour un « débat final » au sommet du 2009 à Addis Abeba.

    Le 3 février 2009, la déclaration finale du Sommet a finalement conduit à la transformation de la Commission de l'Union africaine en Autorité de l'Union africaine aux compétences renforcées15.

    Symboles

     
    Emblème de l'Union africaine.
     
    Drapeau de l'Union africaine.

    L'emblème de l'Union africaine se compose d'un ruban d'or portant de petits anneaux rouges se chevauchant, de feuilles de palmier qui poussent autour d'un cercle d'or extérieur et un cercle intérieur vert, dans lequel l'or est une représentation de l'Afrique. La carte de l'Afrique, sans frontières, représente l'unité du continent africain. Le cercle doré symbolise les richesses de l'Afrique et son avenir. Les feuilles de palmiers représentent la paix. Le cercle vert symbolise les espoirs et aspirations de l'Afrique. Enfin, le cercle rouge représente la solidarité africaine et le sang versé pour sa libération.

    Lors du 8e Sommet de l'Union africaine, qui s'est déroulé à Addis Abeba les 29 et 30 janvier 2007, les chefs d’État et de gouvernement décidèrent de lancer un concours pour la sélection d'un nouveau drapeau de l'Union. Ils conseillèrent alors l'usage d'un fond vert pour représenter l'Afrique, et des étoiles pour représenter ses États membres. La Commission de l'Union organisa alors la compétition et reçut 106 propositions provenant des citoyens de dix-neuf pays africains et deux de deux pays de la Diaspora. Ces propositions furent examinées par un panel d'experts nommé par la Commission de l'Union.

    Lors de la 13e session ordinaire de la Conférence, les chefs d’État et de gouvernement examinèrent le rapport du panel et sélectionna une des propositions. L'Union africaine adopta un nouveau drapeau lors de la 14e session ordinaire de la Conférence à Addis Abeba en 2010. Le drapeau est désormais officiellement celui de l'Union africaine et remplace l'ancien.

    L'ancien drapeau de l'Union africaine se composait d’une large bande horizontale verte en haut, bordée d’une mince bande jaune. En dessous se trouve une large bande blanche portant l’emblème de l’organisation, bordée d’une mince bande jaune, elle-même bordée une large bande verte tout en bas. L'emblème de l'Union africaine au centre d'une large rayure blanche, une autre bande d'or étroite et une finale large rayure verte.

    Enfin, l'Union africaine a adopté un nouvel hymne appelé L'Africaine.

    Institutions et organes

    Institutions et organes politiques

    Article connexe : Sommets de l'Union africaine.

    L'Union africaine se compose de plusieurs institutions et organes :

    • le Parlement panafricain (PPA) : le Parlement doit, à terme, devenir le plus important organe législatif de l'Union africaine. Le siège du Parlement est à Midrand en Afrique du Sud. Le Parlement se compose de 265 représentants élus au sein des 54 États membres, et prévoit la participation de la société civile dans le processus de gouvernance démocratique. Son président est Idriss Ndele Moussa du Tchad.
    • la Conférence est composé des chefs d’État et de gouvernement des États de l'Union africaine, la Conférence est actuellement l'organe suprême de l'Union africaine. Elle délègue graduellement certains de ses pouvoirs de décision au Parlement panafricain. Elle se réunit une fois par an et prend des décisions par consensus ou par une majorité des deux tiers. L'actuel président de l'Union africaine est Robert Mugabe, président du Zimbabwe.
    • la Commission était auparavant le secrétariat de l'Organisation de l'unité africaine. Elle est composée de dix commissaires (dont un président et un vice-président) et siège à Addis-Abeba en Éthiopie. De la même manière que son homologue européenne, la Commission européenne, elle est l'autorité exécutive et dispose également d'un pouvoir d’initiative. Son président est Nkosazana Dlamini-Zuma (Afrique du Sud)16.
    • le Conseil exécutif est composé des ministres désignés par les gouvernements des États membres. Il prend des décisions dans les domaines du commerce international, de la sécurité sociale, de la nourriture, de l'agriculture et des communications. Il est responsable devant la Conférence et prépare les éléments que doit approuver ou discuter la Conférence.

    Institutions judiciaires

    La Cour africaine de justice est créée par l'acte constitutif de l'Union africaine pour résoudre les problèmes d'interprétation des traités de l'Union. Le protocole qui a instauré la Cour de justice a été adopté en 2003 et est entré en vigueur en 2009. Il est possible qu'elle soit remplacée par un protocole créant la Cour de justice et des droits de l'homme, qui serait incorporé au sein de la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples. Elle aurait alors deux chambres, une traitant des affaires générales et l’autre concernant les droits de l'homme.

    La Commission africaine des droits de l'homme et des peuples existe depuis 1986. Elle est établie par la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples et non pas par l'acte constitutif de l'Union africaine. La Cour africaine des droits de l'homme et des peuples a été établie en 2006 pour compléter les travaux de la Commission.

    La Commission de l'Union africaine sur le droit international a été créée le 4 février 200917. Elle est composée d'experts en droit international élus par les 54 États membres de l'Organisation. Son siège est fixé à Addis-Abeba. Cette commission a été créée sur la base de l'article 5 de l'Acte constitutif de l'organisation18. Ses activités ont commencé en mai 2010. Cet organe statutaire a une double mission : celle de conseil des organes de l'Union et une mission de prospection juridique. Elle peut à ce titre suggérer la révision de certains textes déjà adoptés, voire, des traités19.

    Institutions économiques et financières

    Il y a trois institutions économiques :

    Cependant, ces institutions n'ont pas encore été établies, bien que les travaux du Comité de pilotage sur leur création soient terminés. À terme, l'Union africaine a pour objectif de se doter d'une monnaie unique (parfois appelé l'afro).

    Autres institutions et organes

    • le Conseil de paix et de sécurité (CPS)20 a été proposé au Sommet de Lusaka en 2001 et établi en 2004 par un protocole annexé à l'acte constitutif et adopté par la Conférence en juillet 2002. Le protocole définit le CPS comme un organe de sécurité collective et de prévention visant à faciliter la prise de décisions effectives face aux conflits et à la reconstruction qui s'ensuit. Enfin, il vise à mettre en place une politique commune de défense. Le CPS est composé de quinze membres élus sur une base régionale par la Conférence.
    • le Comité des représentants permanents se compose de représentants permanents nommés par les États membres. Le Comité prépare les travaux du Conseil exécutif. Il peut être rapproché du Comité des représentants permanents de l'Union européenne.
    • le Conseil économique, social et culturel (ECOSOCC) est un organe consultatif dont les membres sont issus des différentes couches socio-professionnelles des États membres. Il ressemble à son homologue européen, le Comité économique et social. Il est présidé depuis 2008 par l'ancien Bâtonnier de l'Ordre des Avocats du Cameroun, Akere T. Muna, par ailleurs vice-président de Transparency International et Président de l'Union panafricaine des Avocats.
    • les Comités techniques spécialisés sont créés par le traité d'Abuja et l'acte constitutif qui sont établis par les ministres africains pour conseiller la Conférence des chefs d’État et de gouvernement.
    • la Commission africaine de l'énergie.

    Rôle des Communautés économiques régionales

    Somaliland Cap-Vert République arabe sahraouie démocratique Soudan du Sud Liberia Guinée Sierra Leone Ghana Nigeria Gambie Côte d'Ivoire Bénin Guinée-Bissau Sénégal Togo Burkina Faso Niger Maroc Tunisie Libye Mauritanie Algérie Égypte Somalie Comores Érythrée Soudan Djibouti Éthiopie Ouganda Rwanda Burundi République démocratique du Congo Kenya Sao Tomé et Principe Tchad Cameroun République centrafricaine Congo Gabon Guinée Équatorial Angola Mozambique Namibie Afrique du Sud Botswana Swaziland Zimbabwe Maurice Zambie Malawi Seychelles Madagascar Tanzanie Lesotho Communauté des États sahélo-sahariens Union du Maghreb arabe Marché commun de l'Afrique orientale et australe Communauté d'Afrique de l'Est Communauté économique des Pays des Grands Lacs Communauté de développement d'Afrique australe Union douanière d'Afrique australe Communauté économique des États de l'Afrique centrale Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale Union économique et monétaire ouest-africaine Autorité de Liptako-Gourma Mali Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest Autorité intergouvernementale pour le développement Union africaine Union du fleuve Mano Zone monétaire ouest-africaine
     
    Diagramme d'Euler cliquable montrant les relations entre divers accords et organisations multinationaux africaines.vdm

    Le rôle des Communautés économiques régionales est un sujet très débattu dans le cadre de la mise en place d'une intégration continentale totale. Ce débat cherche à déterminer si l'intégration du continent doit se faire en un seul bloc unitaire, ou s'il doit passer, au préalable, par l'intégration des sous-régions. Le Plan d'action de Lagos de 1980, et le traité établissant la Communauté économique africaine (aussi dit traité d'Abuja), proposèrent la création de Communautés économiques régionales comme base de l’intégration africaine, avec l'instauration d'un calendrier organisant le passage d'une intégration régionale à continentale21.

    Il y a actuellement huit Communautés économiques régionales reconnues par l'Union, chacune établie par des traités régionaux différents. Il s'agit de :

    Souvent, ces Communautés se superposent, certains de leurs membres étant parfois membres de plusieurs d'entre elles. La question de leur rationalisation a été posée pendant plusieurs années — et ce fut le thème du Sommet de Banjul de 2006. En juillet 2007, lors du sommet d'Accra, la Conférence a finalement décidé d'adopter un protocole sur les relations entre l'Union africaine et les Communautés économiques régionales22. Ce protocole vise à faciliter l’harmonisation des politiques et d'assurer la conformité avec le traité d'Abuja et le calendrier du Plan d'action de Lagos.

    Désignation des Présidents

    En 2006, l'Union africaine décida de créer un Comité « pour considérer la mise en place d'un système de rotation entre les régions » en relation avec la présidence. Des controverses sont nées au sommet de 2006 quand le Soudan annonça sa candidature pour la présidence de l'Union, en tant que représentant de la région est-africaine. Plusieurs États membres refusèrent de soutenir le Soudan à cause des tensions au Darfour. Le Soudan a immédiatement retiré sa candidature et le Président Denis Sassou-Nguesso de la République du Congo fut élu pour un mandat de un an. Lors du sommet de janvier 2007, Sassou-Nguesso fut remplacé par le John Agyekum Kufuor du Ghana, en dépit d'une autre tentative soudanaise pour prendre la présidence. En 2007 lors du 50e anniversaire de l'indépendance du Ghana, un moment symbolique pour le pays qui détient la présidence, un sommet de mi-mandat fut organisé pour discuter du Gouvernement de l'Union. En janvier 2008, le Président Jakaya Kikwete de Tanzanie prit la présidence, représentant la région est-africaine23.

    Grands axes et politiques menées

    Droits de l'homme et crises politiques

    L'OUA, ancêtre de l'UA prônait le respect de la souveraineté et la non-ingérence. À l’inverse, l’UA se donne un droit d’ingérence dans certaines situations (génocide, crimes de guerre). Elle joue depuis sa création un rôle dans ce domaine.

    Les deux acteurs au sein de l’UA agissant dans ce domaine sont le président de la Conférence des chefs d’État et le Conseil de paix et de sécurité (CPS).

    Togo

    En réponse à la mort de Gnassingbé Eyadéma, président du Togo, le 5 février 2005, les chefs d’États de l'Union africaine considérèrent la nomination de son successeur Faure Gnassingbé comme un coup d’État militaire24. La constitution du Togo prévoyait que le président du Parlement devait prendre l'intérim en cas de décès du président. Dès lors, ce dernier doit convoquer une élection présidentielle pour choisir le nouveau président dans un délai de 60 jours. La contestation de l'UA força Gnassingbé à tenir une élection. Finalement, il fut élu président officiellement le 4 mai 2005 malgré d'importantes allégations de fraude.

    Mauritanie

    Le 3 août 2005, un coup d’État en Mauritanie entraina la suspension du pays de toutes activités internationales. Le Conseil militaire qui prit contrôle de la Mauritanie promit l'organisation d'élections dans les deux ans. Ces élections eurent lieu début 2007. Il s'agit des premières élections de Mauritanie généralement considérées comme au-dessus des standards acceptables. Suite aux élections, la Mauritanie fut réintégrée dans l'Union. Cependant, le 6 août 2008, un nouveau coup d'État démit le gouvernement élu en 2007. L'UA annonça dès lors la suspension de la Mauritanie25.

    Zimbabwe

    La crise politique au Zimbabwe a été débattue par l'Union africaine mais aussi par la Communauté de développement d’Afrique australe. Au niveau de l'Union africaine, la situation au Zimbabwe a été l'objet de discussions controversées au Conseil exécutif après la remise des rapports de la Commission africaine des droits de l'homme et des peuples. Lors du 11e Sommet de l'Union africaine, qui s'est tenu à Charm el Cheik, en Égypte, en juillet 2008, le Zimbabwe a été le principal sujet de discussions de certains États, dont le Sénégal, le Bénin, le Burkina Faso, la Zambie, le Botswana, le Nigeria, le Kenya, et d'autres. Ceux-ci soutenaient une action forte contre le Zimbabwe en réponse aux problèmes posés par le second tour de l'élection présidentielle se tenant en juin. Le Premier ministre du Kenya Raila Odinga appela, parmi d'autres, à la suspension de Robert Mugabe26. Toutefois, une résolution fut finalement adoptée, celle-ci ne prenait pas de sanction contre le gouvernement de Robert Mugabe mais exhortait les principaux partis du Zimbabwe à négocier pour résoudre leurs différends27.

    Prévention des conflits

     
    Aéroport de Kigali au Rwanda : des policiers ougandais ayant participé pendant un an à la mission de l'Union africaine dans la Guerre civile au Darfour montent à bord d'un C-130 du Botswana.

    Un des objectifs de l'Union africaine est de « promouvoir la paix, la sécurité et la stabilité du continent »28. Parmi ces principes se trouve la « résolution pacifique des conflits parmi les États membres de l'Union au travers des moyens appropriés décidés par l'Assemblée »29. Le premier organe chargé de mettre en œuvre ces objectifs et principes est le Conseil de paix et de sécurité (CPS). Le CPS a le pouvoir, entre autres, d'autoriser des missions de soutien de la paix, d'imposer des sanctions en cas de changements inconstitutionnels de gouvernement, et de « prendre des initiatives et des actions jugées appropriées » en réponse à des conflits en cours ou potentiels. Le CPS est un organe décisionnel de plein droit, et ses décisions sont contraignantes pour les États membres.

    L'article 4(h) de l'Acte constitutif, repris dans l'article 4 du Protocole de l'acte constitutif du CPS, reconnait aussi le droit, pour l'Union, d'intervenir dans les États membres dans les cas de crimes de guerre, génocide et crimes contre l'humanité. Tout décision d'intervention dans un État membre prise en vertu de l'article 4 de l'Acte constitutif doit l'être par la Conférence sur recommandation du CPS.

    Depuis sa première rencontre en 2004, le CPS a été actif lors des crises au Darfour, au Comores, en Somalie, en République démocratique du Congo, au Burundi, en Côte d'Ivoire et dans d'autres pays. Il a adopté des résolutions mettant en place les opérations de maintien de la paix de l'Union africaine en Somalie et au Darfour et à imposer des sanctions contre les personnes remettant en cause la paix et la sécurité (telles que l'interdiction de voyager, le gel des avoirs, etc.). Le Conseil supervise la mise en place d'une « force de réserve » pour servir de force de paix africaine permanente30.

    Somalie

    Depuis le début des années 1990, la Somalie se trouvait sans gouvernement central fonctionnel. Un accord de paix, qui visait à mettre fin à la guerre civile qui commença par la chute du régime de Siad Barre, fut signé en 2006 après plusieurs années de pourparlers. Toutefois, le nouveau gouvernement fut presque immédiatement menacé par les violences. Pour soutenir temporairement la base militaire du gouvernement des soldats de l'Union, environ 8 000 hommes, furent envoyés à Mogadiscio à partir de mars 2007 en tant que force de maintien de la paix31. L’Érythrée rappela ses ambassadeurs auprès de l'Union africaine le 20 novembre 200932 après que celle-ci eut demandé au Conseil de sécurité des Nations unies de leur imposer des sanctions du fait de leur soutien supposé aux islamistes somaliens qui tentaient de renverser le gouvernement fédéral de transition de Somalie, le gouvernement internationalement reconnu de la Somalie qui détient le siège de la Somalie à l'Union africaine33. Le 22 décembre 2009, le Conseil de sécurité vota la résolution 1907, qui imposa un embargo sur l’Érythrée, des interdictions de séjours pour les dirigeants érythréens, et le gel des avoirs pour les officiels érythréens. L'Érythrée critiqua fortement la résolution. En janvier 2011, l’Érythrée rétablit sa mission auprès de l'Union africaine à Addis Abeba34.

    Darfour (Soudan)

    En réponse au conflit du Darfour au Soudan, l'Union africaine a déployé 7 000 soldats de maintien de la paix, originaires principalement du Rwanda et du Nigeria. Bien que la conférence des donateurs, qui s'est tenue à Addis-Abeba en 2005, ait permis d'amasser des fonds pour financer les soldats de maintien de la paix pour l'année en cours et la suivante, l'UA a déclaré au cours de l'année 2006 que les soldats se retireraient à la fin septembre de cette année – date à laquelle son mandat expire35. Le Dr Eric Reeves a critiqué les forces de maintien de la paix en déclarant que celles-ci étaient souvent inefficaces du fait du manque de fonds, de personnels et d'expertise. La taille de la zone à surveiller, à peu près la taille de la France, a rendu encore plus difficile de soutenir une mission efficace. En juin 2006, le Congrès des États-Unis a accordé 173 millions de dollars pour soutenir les forces de l'UA. Le Genocide Intervention Network a appelé les Nations unies (ONU) ou l'OTAN à intervenir pour augmenter et/ou remplacer les forces de maintien de la paix de l'UA. L'ONU a envisagé le déploiement de forces de maintien de la paix, même si elle ne serait intervenues qu'à partir d'octobre 200736. La mission sous-financée et mal équipée de l'UA, qui devait expirer le 31 décembre 2006, a été prolongée jusqu'au 30 juin 2007 et a fusionné avec la Mission conjointe des Nations unies et de l'Union africaine au Darfour en octobre 2007. En juillet 2009, l'Union africaine a cessé de coopérer avec la Cour pénale internationale, en refusant de reconnaître le mandat d'arrêt international qu'elle avait émis à l'encontre du dirigeant soudanais Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité37. L'Union ne procéda pas à son arrestation lors de ses visites dans les États parties au Statut de Rome38. Cela s'explique notamment par les relations tendues entre l'Union africaine et la Cour pénale internationale. En effet, cette dernière voit sa légitimité remise en cause par des accusations de colonialisme en ne poursuivant que des Africains39.

    Anjouan (Comores)

    Article connexe : Invasion d'Anjouan de 2008.

    Libye

    L'Union africaine chercha à s'imposer comme médiateur au début de la Guerre civile libyenne de 2011 en formant un comité ad hoc de cinq présidents (le président congolais Denis Sassou Nguesso, le président malien Amadou Toumani Touré, le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, le président sud-africain Jacob Zuma, et le président ougandais Yoweri Museveni) pour mettre en place une trêve40. Cependant, le début de l'intervention militaire menée par l'OTAN en mars 2011 empêcha le Comité de se rendre en Libye pour rencontrer le dirigeant libyen et ancien président de l'Union africaine (en 2010) Mouammar Kadhafi41. En tant qu'Union, l'UA se détache nettement de la décision du Conseil de sécurité des Nations unies de créer une zone d'exclusion aérienne en Libye42, bien que quelques États membres, tels que le Botswana43, le Gabon44, la Zambie45, et d'autres exprimèrent leur soutien à la résolution.

    En conséquence de la défaite de Kadhafi à la Seconde bataille de Tripoli, la bataille décisive de la guerre, en août 2011, la Ligue arabe vota la reconnaissance du Conseil national de transition comme gouvernement légitime du pays avant la tenue d'élections46. Cependant, bien que le Conseil ait été reconnu par plusieurs États membres de l'Union, dont deux sont aussi membres de la Ligue arabe47,48, le Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine posa son veto à la reconnaissance le 26 août 2011, insistant sur le fait qu'un cessez-le-feu devait être conclu et qu'un gouvernement d'union nationale devait être formé par les deux partis lors de la guerre civile49. Un certain nombre d’États membres de l'Union à la tête desquels se trouvaient l’Éthiopie, le Nigeria et le Rwanda demandèrent que l'UA reconnaisse le CNT comme autorité gouvernementale d'intérim50,51 et plusieurs autres États membres reconnurent le CNT sans prendre en compte la décision du Conseil de paix et de sécurité52,53. Cependant, l'Algérie54 et le Zimbabwe55 ont indiqué qu'ils ne reconnaitraient pas le CNT, l'Afrique du Sud exprima quant à elle des réserves56,57.

    Le 20 septembre 2011, l'Union africaine reconnut officiellement le CNT comme représentant légitime de la Libye58.

    Santé : lutte contre le SIDA

    Les pandémies de VIH et SIDA sont l'un des principaux problèmes auxquels doit faire face l'Afrique, devant les conflits armés. L'Afrique subsaharienne, particulièrement le sud de l’Afrique, est de loin la région la plus concernée au monde. Bien que la mesure des taux de prévalence du VIH s'est avérée un défi méthodologique, il s'avère que plus de 20 % de la population sexuellement active de nombreux pays d'Afrique australe peut être infectée. L'Afrique du Sud, le Botswana, le Kenya, la Namibie et le Zimbabwe voient ainsi leur espérance de vie moyenne diminuer de 6,5 ans. Les effets sur l'Afrique du Sud menacent de manière significative la croissance du PIB, et par conséquent les exportations et importations du continent.

    Relations extérieures

    Les États membres de l'Union africaine coordonnent leur politique étrangère à travers celle-ci, en plus de conduire leur propre politique étrangère individuelle. L'UA représente les intérêt des peuples africains en général auprès des organisations internationales ; par exemple, elle dispose du statut d'observateur à l'Assemblée générale des Nations unies. L'Union africaine et les Nations unies travaillent en tandem pour aborder les questions de préoccupations communes dans divers domaines.

    L'Union africaine maintient des représentations diplomatiques spéciales auprès des États-Unis et de l'Union européenne.

    Géographie

    L'Union africaine s'étend sur la majeure partie du continent africain et de plusieurs îles plus éloignées à l'exception du Maroc et des territoires considérés comme occupés. Par conséquent, la géographie de l’Union africaine est très diversifiée, comprenant le plus grand désert chaud du monde (le Sahara), de grandes jungles et savane, et le plus long fleuve du monde : le Nil.

    L'Union africaine s'étend sur une superficie de 29 922 059 km2, avec 24 165 km de côtes. La majeure partie de l’Union se trouve sur l'espace continental, à l’exception de l'île de Madagascar qui ne représente cependant que 2 % de sa superficie totale.

    Économie

    Le PIB nominal des États membres de l'Union africaine s'élevait à 1 627 milliards de dollars. Le PIB en parité de pouvoir d'achat de l'Union africaine s'élevait à 2 849 milliards de dollars, la plaçant à la sixième place mondiale, après l'Allemagne59,60,61.

    Les objectifs futurs de l'Union africaine comportent notamment la création d'une zone de libre échange, d'une union douanière, d'un marché unique, d'une banque centrale et d'une monnaie commune (cf. union monétaire africaine), établissant ainsi une union économique et monétaire. Les projets actuels consistent à établir une Communauté économique africaine avec une monnaie commune d'ici à 202362.

    Population et société

    Démographie

    L'Union africaine était peuplée de 967 810 000 habitants en 2011.

    Fécondité et espérance de vie

    Il s'agit du continent où la fécondité est la plus élevée, ainsi le Niger détient le record mondial avec 7,1 enfants par femme63.

    La population de l'UA est très jeune : 41 % a moins de 15 ans. L'Ouganda et le Niger sont les pays les plus jeunes du monde : 49 % des habitants ont moins de 15 ans63.

    L'espérance de vie y est la plus basse au monde : 50 ans en Afrique subsaharienne63.

    Diaspora

    L'acte constitutif de l'Union africaine dispose qu'elle doit « inviter et encourager la pleine participation de la diaspora africaine en tant qu'élément important pour le continent dans la construction de l'Union africaine ». Le gouvernement de l’Union africaine a défini la diaspora africaine comme étant « composée de personnes d'origine africaine vivant hors du continent, sans considération de leur citoyenneté et nationalité et qui souhaitent contribuer au développement du continent et construire une Union africaine »64.

    Langues

    Article connexe : Langues de l'Union africaine.

    D'après l'acte constitutif de l'Union africaine, les langues de travail sont l'anglais, l'arabe, le français, le portugais et, si possible, les langues africaines65. Un protocole amendant l'Acte constitutif, adopté en 2003, a ajouté à ces langues l'espagnol et le swahili ainsi que « toute autre langue africaine ». Les six langues sont alors devenues des langues officielles de l'Union, et ne sont plus désignées sous le terme de « langue de travail »66. En pratique, la traduction des documents de l'Union dans les quatre langues de travail initiales entraînait des délais significatifs et des difficultés à mener à bien certains projets, mais ceux-ci ont été résolus par l'introduction de nouveaux outils de traduction et de nouvelles méthodes de travail.

    Fondé en 2001 sous les auspices de l'UA, l'Académie africaine des langues promeut l'usage et la perpétuation des langues africaines chez les Africains. L'UA fit de l'année 2006 l'« année des langues africaines »67,68.

    Religions

    Les deux principales religions sont l'islam et le christianisme.

    Sources

    Références

    1. Protocol on Amendments to the Constitutive Act of the African Union: Article 11, Official Languages. [archive]
    2. Charte de l'Organisation de l'unité africaine [archive]
    3. 35 ans après l'annexion par le Maroc : les Saharaouis rêvent-ils toujours d'indépendance ? [archive]
    4. BBC News (8 juillet 2001) - "OAU considers Morocco readmission" [archive] (accessed July 9, 2006).
    5. « Arabic News (9 juillet 2002) - "South African paper says Morocco should be one of the AU and NEPAD leaders" » (ArchiveWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), consulté le 29 mars 2013 (consulté le 9 juillet 2006)
    6. Zaire: A Country Study, "Relations with North Africa" [archive] (consulté le 18 mai 2007)
    7. Togo confirms to AU withdrawal of recognition of SADR [archive] (consulté le 9 juillet 2006).
    8. http://french.peopledaily.com.cn/96852/8524242.html [archive] L'Union africaine (UA) a levé lundi matin la suspension de Madagascar suite à l'élection du nouveau président du pays, Hery Rajoanarimampianina, invité du 22e sommet du bloc à Addis-Abeba, a-t-on appris de source diplomatique.
    9. « Bissau: la junte interdit les manifestations, l'Union Africaine menace les putschistes », Libération,‎ 17 avril 2012 (lire en ligne [archive]) 
    10. a et b Plan stratégique de l'Union africaine 2004, p. 44 (annexe III)
    11. Decision on the Report of the 9th Extraordinary session of the executive council on the proposals for the Union Government, DOC.Assembly/AU/10 (VIII), Assembly/AU/Dec.156 (VIII).
    12. Study on an African Union Government: Towards a United States of Africa, 2006. Voir aussi, Decision on the Union Government, Doc. Assembly/AU/2(VII).
    13. Accra Declaration, Assembly of the Union at its 9th Ordinary session in Accra, Ghana, 1–3 July 2007.
    14. Decision on the Report of the Executive Council on the Audit of the Union and the Report of the Ministerial Committee on the Union Government, Doc. Assembly/Au/8(X). [archive]
    15. Conférence de l'UA 2009, p. 39-40
    16. RFI - 2 février 2008
    17. Voir, Statut de la Commission de l'Union africaine sur le Droit international [archive] (retrieved 2013-04-08)
    18. L'Acte constitutif de l'Union africaine a été signé en juillet 2000, v. article 5, § 2.
    19. Article 8, Révision des traités: "La CUADI peut proposer (...) la révision de tout traité de l'OUA/UA".
    20. Protocole relatif à la création du Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine [archive]
    21. Lire la note en anglais « The Role of the Regional Economic Communities (RECs) as the Building Blocks of the African Union [archive] » rédigée par le ministère des Affaires étrangères sud-africain.
    22. Decision on the Protocol on Relations between the African Union and the Regional Economic Communities (RECs), Assembly/AU/Dec.166 (IX).
    23. See Towards a People-Driven African Union: Current Obstacles and New Opportunities [archive], AfriMAP, AFRODAD and Oxfam GB, Updated Edition November 2007, pp.45-46, and Strengthening Popular Participation in the African Union: A Guide to AU Structures and Processes [archive], AfriMAP and Oxfam GB, 2010, pp.8-9.
    24. (en) « AU denounces Togo 'military coup' » [archive], BBC News,‎ 6 février 2005 (consulté le 10 juillet 2006)
    25. (en) « All is rather easily forgiven », The Economist,‎ 23 juillet 2009 (lire en ligne [archive]) 
    26. (en) « Kenya urges AU to suspend Mugabe » [archive], BBC,‎ 30 juin 2008 (consulté le 30 juin 2008)
    27. (en) « Africa: AU Summit Resolution On Zimbabwe » [archive], sur allAfrica.com
    28. Article 3(f) de l'Acte constitutif.
    29. Article 4(e) de l'Acte constitutif.
    30. Jakkie Cilliers, 'The African Standby Force. An Update on Progress [archive], Institute for Security Studies, South Africa, March 2008.
    31. (en) Paul Reynolds, « African Union replaces dictators' club », BBC News,‎ 8 juillet 2002 (lire en ligne [archive]) 
    32. Afro News [archive] Eritrea breaks with African Union, 20 novembre 2009.
    33. "AU Calls for sanctions on Eritrea" [archive] bbc.co.uk, 23 mai 2009, consulté le 9 mai 2009
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    36. Security Council Authorises Deployment Of United Nations-African Union ‘Hybrid’ Peace Operation In Bid To Resolve Darfur Conflict [archive]
    37. (en) « African move on Bashir dismissed », BBC News,‎ 5 juillet 2009 (lire en ligne [archive]) 
    38. http://www.lemonde.fr/afrique/article/2013/07/16/le-president-soudanais-el-bechir-echappe-a-nouveau-a-la-cpi_3448454_3212.html [archive] L'union africaine refuse d'arrêter un responsable de génocide, l'Afrique corrompue? - Le Monde.
    39. http://www.rfi.fr/hebdo/20150306-union-africaine-ua-mugabe-zimbabwe-kenya-soudan-cpi-justice-internationale-cour-africaine/ [archive]
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    43. Kayawe 2011
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    45. (en) « Rupiah backs action against Libya », The Post Zambia Online,‎ 27 mars 2011 (lire en ligne [archive]) 
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    47. « Tunis recognizes Libyan rebels as country's rep » (ArchiveWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), décembre 2011
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    49. Malone 2011
    50. (en) « Ethiopia recognizes Libyan rebels », Now Lebanon,‎ 24 août 2011 (lire en ligne [archive]) 
    51. (en) « Libya-NTC: National Transitional Council in Libya », Afrique en ligne,‎ 27 août 2011 (lire en ligne [archive]) 
    52. (en) « Chad recognises rebel council as only legitimate authority in neighbouring Libya » [archive], sur aljazeera.net,‎ 24 août 2011 (consulté le 24 août 2011)
    53. (en) Reuters, « Benin recognize Libyan rebels » [archive], sur reuters.com,‎ 27 août 2011 (consulté le 27 août 2011)
    54. (en) « Algeria declines to recognize Libyan rebels », Now Lebanon,‎ 26 août 2011 (lire en ligne [archive]) 
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    56. (en) « AU calls emergency session on Libya », The Africa Report,‎ 27 août 2011 (lire en ligne [archive]) 
    57. (en) « Libya: How SA stood firm on money for rebels », Mail & Globe Online,‎ 26 août 2011 (lire en ligne [archive]) 
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    60. « Report for Selected Country Groups and Subjects » [archive]
    61. (en) « Country Comparison - GDP (purchasing power parity) » [archive], sur CIA.gov
    62. (en) « Profile: African Union » [archive], BBC News,‎ 1er juillet 2006 (consulté le 10 juillet 2006)
    63. a, b et c Dossier « Un milliard d'Africains ! », in Jeune Afrique, no 2550, du 22 au 28 novembre 2009, p. 24-31
    64. Pan-Africanism and the African Union [archive], Dallas L. Browne.
    65. Article 25, Acte constitutif.
    66. Article 11, Protocol on Amendments to the Constitutive Act of the African Union [1] [archive]
    67. (en) « Ethiopia: AU Launches 2006 As Year of African Languages » [archive], AllAfrica.com,‎ 2006 (consulté en 2006)
    68. « The Year of African Languages (2006) - Plan for the year of African Languages - Executive Summary » (ArchiveWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), consulté le 2013-03-29

    Bibliographie

    Documents officiels

    Ouvrage

    • Hiruy Wubie et Zelalem Tsegaw, African Union Law,‎ 2009 (lire en ligne) 

    Articles

    • « Jean Ping, nouveau président de la Commission », RFI,‎ 2 février 2008 (lire en ligne) 
    • (en) Barry Malone, « AU won't recognise Libyan rebel council: diplomats », The Daily Star,‎ 26 août 2011 (lire en ligne) 
    • (en) « African Union urges restraint on both sides », The Star,‎ 21 mars 2011 (lire en ligne) 
    • Emmanuel Mulondo, « Kutesa, AU blocked from entering Libya », Daily Monitor,‎ mars 2011 (lire en ligne) 
    • « African Union demands end to military strikes on Libya, skips Paris meeting », Sudan Tribune,‎ 19 mars 2011 (lire en ligne) 
    • (en) Baboki Kayawe, « Khama supports no-fly zone on Libya », Mmegi Online,‎ 23 mars 2011 (lire en ligne) 
    • Francis Kpatindé, « Bienvenue dans l'Union africaine », Courrier international,‎ 20 février 2012 (lire en ligne) 

    Compléments

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    Articles connexes

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      Notre regard psycho-astrologique sur Gus Bofa

      

    né sous un ciel Gémeaux ascendant Balance

     

     

     

    Né le 22 Mai 18  ? Gus Bofa,

     

     

     

     

     

    Un penseur réaliste à l'humour grinçant  

    en quête , sans illusion, d'un nouvel équilibre du monde relationnel

    avec un chemin de vie Scorpion soutenu par 4 PLANETES EN MAISON 8 dont le Soleil conjoint à Pluton Maitre de cette maison et du Scorpion et Saturne !

    La mort et la mutilation des jeunes soldats envoyés à la boucherie d'une guerre absurde va occuper une grande partie de sa vie

    Mélancolie, nostalgie ne le quitterons jamais après avoir lui même échappé à la mort et vécu un rétablissement physique long et difficile.

    Les dessins vont lui permettre d'exprimer toutes les pensées cyniques qui l'envahiront toute sa vie sur l'absurdité des hommes à vouloir toujours partir en guerre

    "L'écho de la guerre rcontinue de résonner à travers son œuvre , notamment dans deux pamphlets féroces , Chez les Toubibs, album lancé " comme une béquille dans les jambes des majors (1)"   et le livre de la guerre de cent ans , qui fustigie une " humanité monstrueuse dont la bouffonnerie spéciale est bien la moins réconfortante que je sache (2)" , et jusque dans les dessins qu'il donne pour Don Quichotte ou Les Fables de la Fontaine. Libéré de la censure de la Baionnette , Bofa peut développer sa vision cruelle et desespérée de la condition humaine.

     

    Emmanuel Pollaud-Dulian

     (1) Roland Dorgelès , préface à Synthèses littéraires et extra littéraires , Mornay, 1923

    (2) André Salmon , L'Europe Nouvelle , 12 Mai 1920

     

    Son Soleil éclaire le 1° Gémeaux en maison huit , la jeunesse gémeaux face aux ombres du mental, du psychisme humain

    " Un embarcation à fond de verre permet de découvrir les merveilles sous marines "

    DOMAINANTE de ce degré : " La révélation d'énergies inconscientes et de structures psychiques subliminales " .

    Le mot clef de ce degré NOUVELLE DIMENSION DE LA REALITE appliqué à l'œuvre de Gus Bofa est d'une justesse époustouflante

    Cet artiste a su décrire sans triche tout le cynisme de la maison huit de la pensée collective non encore transcendée en alchimie spirituelle, encore dans son experience de descente aux enfers ....Le type caricatural choisi pour ses dessins lui permet d'ouvrir des portes de conscience par l'humour sur un sujet tabou

      Il a osé regarder en face toutes les noirceurs humaines ...et n'est ce pas la condition sine qua non de les transcender ?

      

      

     

    Né le 22 Mai 1883, Gus Bofa, Gémeaux ascendant Balance, l'Adieu aux Armes

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    Biography

     

     

    French illustrator.

    Français

    Fils du colonel Blanchot dont il est le 11e et avant-dernier enfant, il passe son enfance à Bordeaux puis emménage à Paris (son père est nommé commandant militaire du Sénat) où il est inscrit au lycée Henri-IV, établissement où il rencontre André Dunoyer de Segonzac et Maurice Constantin-Weyer qui resteront ses amis les plus proches. C’est à l’âge précoce de 8 ans qu’il invente son nom d’artiste, Gus Bofa.

    Après quelques années comme ingénieur il se lance dans l’affiche et participe au Rire puis au Sourire et à La Petite Semaine. Il dessine aussi des costumes et décors pour le théâtre. Pendant la Première Guerre mondiale il compose les couvertures du magazine La Baïonnette. Dans l’entre-deux-guerres, il collabore au mensuel Le Crapouillot.

    Son ami Pierre Mac Orlan a dit de lui : « Gus Bofa est avant tout un écrivain qui a choisi le dessin pour atteindre ses buts. Un texte de Bofa, un dessin de Bofa sont construits dans la même matière et l’un et l’autre sont animés de ce même rayon de poésie humoristique qui comprend tout ce qui tient une place entre la vie et la mort. »

    Il se destine à la carrière militaire mais y renonce au moment de présenter le concours de Saint-Cyr. Pour gagner un peu d’argent, il commence, dès 1900, à vendre des dessins aux journaux illustrés comme Le Sourire, Le Rire ou La Risette.

    Après son service militaire, et quelques emplois de bureau sans intérêt, il crée, vers 1906, les Affiches Gus-Bofa. Fort de son succès d’affichiste, il écrit des contes pour la presse, des revues pour le music-hall et tient la chronique théâtrale du Rire puis du Sourire, journaux qu’il dirige brièvement et où il fait débuter Pierre Mac Orlan.

    Très grièvement blessé aux jambes en décembre 1914, il refuse d’être amputé et, de son lit d’hôpital, envoie des dessins à La Baïonnette.

    Au lendemain de cette guerre, qui l’a laissé infirme, il commence, poussé par Mac Orlan, une carrière d’illustrateur de livres de luxe. Il met ainsi en image Mac Orlan, Courteline, Swift, Voltaire, De Quincey, Cervantès ou Octave Mirbeau. Parallèlement, il publie des albums personnels comme Le Livre de la guerre de cent ans ou Chez les toubibs.

     

     

    Fondateur et directeur du Salon de l’Araignée, qui veut donner un espace de liberté aux dessinateurs et les pousser à un art plus personnel, Bofa s’occupe aussi de la chronique littéraire du Crapouillot, magazine littéraire et artistique, qu’il tiendra jusqu’en 1939.

    Avec les années 1930, son œuvre prend un tour de plus en plus personnel et hanté. Malaises décrit l’angoisse existentielle et La Symphonie de la peur propose la peur comme moteur de l’histoire humaine. Zoo présente l’homme comme un animal dénaturé.

    Les années 1950 marquent la fin de l’édition de luxe et, pour Bofa, le début de l’oubli. Indifférent à la gloire, il approfondit, à travers des livres autobiographiques, dont il signe textes et images, comme La Voie libre, Déblais ou La Croisière incertaine, une réflexion désabusée et pessimiste sur la condition humaine.

    Il meurt en 1968 à quatre-vingt-cinq ans.

    Link to Wikipedia (French)

    Events

    Source Notes

    BC in hand from Didier Geslain archive, file peintres, photo 17. Wikipedia gives 23 May, which does not agree with the birth certificate.

    Categories

    • Vocation : Art : Cartoonist
    • Vocation : Art : Fine art artist (illustrator)

     


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    Né un 23 Mai 1913, Alexandre Ruperti, Astrologue Humaniste, ami de Dane Rudhyar

     

     

     

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    Né un 23 Mai 1913, Alexandre Ruperti, Astrologue Humaniste, ami de Dane Rudhyar

     

    Dr Alexander Ruperti était un célèbre ostéopathe et surtout astrologue, né le 23 mai 1913 à Stuttgart et mort le 23 janvier 1998 en Suisse. Il a écrit beaucoup de livres d'astrologie, comme par exemple La roue de l'expérience individuelle : Les Maisons astrologiques, La géométrie du ciel ou Les Cycles du devenir. Astrologue humaniste, Alexander Ruperti concrétise la pensée de Dane Rudhyar dont il est le disciple. Son heure de naissance vient de la Steinbrecher Collection....

    Son énergie astrale

     

    Né un 23 Mai 1913, Alexandre Ruperti, Astrologue Humaniste, ami de Dane Rudhyar

    Au deux degré Gémeaux , un Soleil qui éclaire un père Noel deposant furtivement ses cadeaux dans les chaussons dispersés au îed de la cheminée"

     

    La foi en la grâce spirituelle se voit récompensée nous dit Dane Rudhyar ...Pour ecevoir les bienfaits du monde spirituel superieur , foi et pureté de coeur sont necessaires ...un état d'innocence

     

    C'est dans cet esprit qu'Alexandre Ruperti, éclairé par l'approche de  Dane Rudhyar, a abordé l'astrologie et nous a tel le pere noel , laissé un merveilleux travail en cadeau à travers ses livres et ses traductions ...

     

    Sa conjonction Lune Jupiter en Capricorne en Maison un nous montre toute l'importance que pris  l'étude des cycles soli lunaires dans son approche astrologique d'une part et conjointement son approche du corps humain par l'ostéopathie, son métier.

    Le 14 degré capricorne , signe de la structure osseuse , se trouve sur le 17  degré ou "  une femme refoulée se libère en pratiquant le nudisme " degré féminin et lunaire qui demande d'avoir confiance en la sagesse du corps ...et de ce fait, plus profondement, en ses cycles ....

     

    Né un 23 Mai 1913, Alexandre Ruperti, Astrologue Humaniste, ami de Dane Rudhyar

     

    Né le : 23 mai 1913 à 22h30
    à : Stuttgart (Allemagne)
    Soleil : 2°07' Gémeaux AS : 2°42' Capricorne
    Lune : 16°14' Capricorne MC : 4°51' Scorpion
    Dominantes : Capricorne, Gémeaux, Bélier
    Saturne, Pluton, Uranus
    Maisons 1, 5, 3 / Terre, Air / Cardinal
    Astrologie Chinoise : Buffle d'Eau
    Numérologie : chemin de vie 6
    Popularité : 11 221 clics, 2 716e homme, 4 580e célébrité

     Né un 23 Mai 1913, Alexandre Ruperti, Astrologue Humaniste, ami de Dane Rudhyar


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  •  

    PLEINE LUNE GEOCENTRIQUE ET HELIOCENTRIQUE DU 23 MAI 2013

    Il convient de nous rappeler le message de la nouvelle Lune 

    Télécharger « eclipse-solaire-et-nouvelle-lune-taureau-du-10-mai-2013-a88131727 »

    qui nous demande un effort ce mois ci pour nous recentrer sur les vrais valeurs, sens de ce puissant amas taureau de Nouvelle Lune mettant Venus à l'honneur, Vénus par laquelle la conscience humaine donne sa valeur aux sentiments et à la materialisation terrestre de nos energies , vraies valeurs nées de l'harmonie universelle  que l'avidité humaine dévoie depuis des siècles 

     

    Une Pleine Lune à 4 degré sagittaire  éclairée par un Soleil sur le 4 degré des Gémeaux nous appelant à amplifier la communication entre nous tous humains dans une ouverture planetaire depassant largement le cadre de la famille et s'ouvrant sur la sororale fraternité internationale

     

    Bien qu'au coeur du printemps , " Le Houx et le gui réveillent de vieux souvenirs de Noel " , nous appelant tous à observer le desir intense de regresser vers un stade préintellectuel de conscience

    " L'intellect ( Gémeaux) , sous la férude de l'égo, a incorporé toutes les perceptions de l'esprit lucide en un ensemble logique et rationnel . Pourtant les souvenirs d'enfance et la foi naive dont témoigne cette période de vie , reviennent parfois en mémoire , éveillés par les reliquats d'images ancestrales jadis investies d'une grande vitalité ( le gui était sacré pour les druides) . Le gui et son contraste soutenu entre le rouge et le vert évoquent une appréhension plus primitive et magique de la couleur, comme le montre l'art tibetain par exemple . La nostalgie de valeurs plus naturelles et sentimentales tend à provoquer un mouvement de contestation , donc à intensifier les émotions au sein de la personnalité individuelle . Sur un autre plan , on aboutit au romantisme après la période post classique et post relationnelle."

     

    Ce symbole annonce la résurgence de valeurs et d'aspirations ( VENUS ) plus profondes jadis rejetées dans l'inconscient collectif .

    Il souligne l'importance d'archétypes reposant sur la tradition pendant que s'opère cette "découverte" propre au secteur GEMEAUX de la conscience et insiste sur un RETOUR AUX SOURCES .  Ceci peut eventuellement conduire à des situations explosives .

     

    L'integration de cette étape permet au 5 degré Gémeaux d'ALLER AU DELA DES CONVENTIONS

     

    LA LUNE REPOND AU SOLEIL EN COMPLETANT SON MESSAGE  AU 4 DEGRE SAGITTAIRE PAR L'IMAGE D'UN JEUNE ENFANT QUI APPREND A MARCHER ENCOURAGE PAR SES PARENTS ...

    ON peut realiser toute l'importance de la guidance spirituelle au coeur de cette crise collective de maturation de la conscience collective PERMETTANT LA RESOLUTION DES CONFLITS INTERIEURS ET EXTERIEURS QUE NOUS TRAVERSONS .

    PLEINE LUNE GEOCENTRIQUE ET HELIOCENTRIQUE DU 23 MAI 2013

    NOUVELLE LUNE GEOCENTRIQUE ET HELIOCENTRIQUE DU 23 MAI 2013

     

    Voici un thème Héliocentrique de Pleine Lune qui s'annonce très puissant , les trois transpersonnelles maitrisant une puissante alchimie dans les secteurs sous l'horizon , Pluton de plus à la base d'un magnifique cerf volant très concret et terrestre  pointé sur Venus avec une aile Neptunienne et une aile Saturnienne

     La conjonction de Mercure  à  l'asteroide Hélio,  en Lion, nous appelle à conscientiser l'ouverture du coeur et sa puissance creative ...Au 12 Degré du Lion , cette conscience se fait en groupe dans une atmosphere légère , atmosphere de fête " Une Reception dans un jardin éclairé par des lanternes bariolées .... Ce degré appele à se défaire de notre trop de sérieux et nos prises de tête en nous detendant en groupe ...

    Ce message de detente spirituelle emanant du Soleil est percu par un Mercure géocentrique en Gémeaux qui nous parle de sororale  fraternité entre personnes de même culture , de même désir de liberté ( conjonction libera ) " Dans une ville americaine deux chinois s'entretiennent dans leur dialecte natal...

    La detente vient de la rencontre et de l'echange entre individus qui se reconnaissent profondement dans leur démarche spirituelle ..

     

     


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