• Né le 18 octobre 1859, HENRI BERGSON

    Né le 18 octobre 1859, Bergson, philosophe , Soleil Balance, Lune Cancer

     

    Né le 18 octobre 1859, Bergson, philosophe , Soleil Balance, Lune Cancer

    Biographie de Jean-Paul Sartre

    Jean-Paul Charles Aymard Sartre (Paris 21 juin 1905 - Paris 15 avril 1980), connu généralement sous le nom de Jean-Paul Sartre compagnon pour la vie de Simone de Beauvoir, est un philosophe et écrivain français (dramaturge et nouvelliste) ainsi que critique du XXe siècle, dont l'œuvre a marqué une époque — le milieu du siècle —, et dont la vie d'intellectuel engagé a suscité polémiques et réticences. Intransigeant et fidèle à lui-même et à ses idées, il a toujours rejeté les honneurs, notamment en 1964 le prix Nobel de littérature, qui lui avait été décerné par l’Académie suédoise. Personnage prolifique et hyperactif, il est autant connu pour son œuvre, notamment ses paradigmes philosophiques que l'on regroupe sous le nom d' Existentialisme, que pour son engagement politique, de gauche radicale.

    Introduction
    Auteur prolifique, Sartre laisse derrière lui une œuvre titanesque, sous forme de romans, d'essais, de pièces de théâtre, d'écrits philosophiques ou de biographie. Sa philosophie a marqué l'après-guerre, et il reste le symbole, l'archétype de l'intellectuel engagé. De son engagement dans la résistance, en 1941, jusqu'à sa mort, en 1980, Sartre n'a cessé de défrayer la chronique. Il fut en effet de tous les combats, pleinement et totalement engagé dans son époque, embrassant avec ferveur toutes les causes qui lui ont semblé justes. Sorte de Voltaire du XXe siècle, Sartre aura milité inlassablement, jusqu'au bout de sa vie.

    Enfance
    Jean-Paul-Charles-Eymard-Léon-Eugène Sartre naît le 21 juin 1905, à Paris ; il provient d’une famille bourgeoise : son père est polytechnicien, militaire, sa mère descend d’une illustre famille d’intellectuels et de professeurs alsaciens, les Schweitzer. Le petit Sartre ne connaîtra pas son père : il meurt de la fièvre jaune peu après sa naissance.

    L’image du père est pourtant là : c’est son grand-père, Charles Schweitzer, homme à la personnalité imposante, qui l’éduque avant qu’il n’entre à l’école publique à 10 ans. De 1907 à 1917, le petit « Poulou », comme on l’appelle, va donc vivre chez les parents de sa mère. Il y passe 10 années heureuses. Le petit Poulou va être adoré, choyé, félicité tous les jours, ce qui va sans doute construire chez lui un certain narcissisme. Dans la grande bibliothèque de la maison Schweitzer il découvre très tôt la littérature, et préfère lire plutôt que de fréquenter les autres enfants (Enfance évoquée dans Les Mots).

    Cette période se termine en 1917 : sa mère se remarie avec un polytechnicien, que Sartre (il a alors 12 ans) ne finira jamais de haïr. Ils déménagent alors à La Rochelle, où il restera de 12 à 15 ans, et qui seront pour lui des années de calvaire : Sartre passe en effet du paradis narcissique schweitzerien à la réalité des lycéens violents et cruels, tandis que l'enfant doit partager avec le nouveau mari une mère qui était auparavant sa propriété exclusive.

    Vers l’été 1921, malade, Jean-Paul Sartre est rapatrié d’urgence à Paris. Soucieuse de son éducation qui pourrait être « pervertie » par les mauvais garçons du lycée du Havre, sa mère décide de l'y faire rester.

    L'homme de gauche
    De plus en plus fatigué et usé, Sartre continuera la lutte gauchiste en soutenant le mouvement Mao. Le journal révolutionnaire La cause du peuple étant menacé de disparaître sous la pression des autorités pompidoliennes, il décide en 71 de devenir le directeur du journal afin de le protéger, et descend dans la rue, avec Simone de Beauvoir, pour le vendre. Il fera de même avec deux autres journaux maoïstes, Tout et J'accuse. En 1973, Sartre va lancer, avec Serge July, Philippe Gavi, Bernard Lallement et Jean-Claude Vernier, un quotidien populaire, Libération, qui paraît au printemps. Atteint de démence vasculaire, il démissionnera de sa direction le 24 mai 1974. Pendant toute cette période il se lie avec divers autres mouvements gauchistes et féministes, prêtant volontiers son nom afin de les aider.

    Philosophie
    Article détaillé : Existentialisme.
    Contingence de l'être : le monde est « absurde », sans raison. Il est « en trop ». Il existe simplement, sans « fondement ». Les choses et les Hommes existent de fait, et non de droit. (Voir La Nausée.)
    L'Homme est défini par la conscience (le pour-soi qui s'oppose à l'en-soi). Or toute conscience est conscience de quelque chose (idée d'intentionnalité reprise de Husserl). L'Homme est donc fondamentalement ouvert sur le monde, « incomplet », « tourné vers », existant (projeté hors de soi) : il y a en lui un néant, un « trou dans l'être » susceptible de recevoir les objets du monde.
    La conscience est ce qui ne coïncide jamais avec soi-même, ce qui est puissance de néantisation (c'est-à-dire de négation, c'est-à-dire d'action) grâce à l'imagination (elle peut penser ce qui n'est pas). La conscience rend donc le projet possible.
    L'Homme est absolument libre : il n'est rien d'autre que ce qu'il fait de sa vie, il est un projet. L'existence précède l'essence (contre Hegel : il n'y a pas d'essence prédéterminée, l'essence est librement choisie par l'existant).
    L'engagement n'est pas une manière de se rendre indispensable, mais n'importe qui (interchangeable).

    "L'Homme est condamné à être libre" : ne pas s'engager, c'est encore une forme d'engagement : on en est responsable.
    De plus, Dieu n'existe pas (ou en tout cas "s'il existait cela ne changerait rien"), donc l'homme est seul source de valeur et de moralité ; il est condamné à inventer sa propre morale.

    Refus du concept freudien d'inconscient, remplacé par la notion de « mauvaise foi » : l'inconscient ne saurait amoindrir l'absolue liberté de l'Homme.
    Le critère de la morale ne se trouve donc pas au niveau des "maximes" (Kant) mais des "actes". La "mauvaise foi", sur un plan pratique, consiste à dire : "c'est l'intention qui compte".

    Intersubjectivité : le sujet a tendance à faire d'autrui un objet et à se ressentir comme l'objet d'autrui (exemple notamment du "geste sale" surpris alors que fait en cachette).

    Source : Wikipédia
     

     

     

      Né le : 18 octobre 1859 à 12h00 (inconnue)
    à : Paris (France)
    Soleil : 24°35' Balance    
    Lune : 14°55' Cancer    
    Dominantes : Balance, Cancer, Vierge
    Vénus, Neptune, Lune
    Air, Eau / Cardinal
    Numérologie : chemin de vie 6
    Popularité : 5 797 clics, 4 695e homme, 7 874e célébrité
     
     

     

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    Né le 18 octobre 1859, Bergson, philosophe , Soleil Balance, Lune Cancer

    résumé du livre

    Dans Les deux sources de la morale et de la religion, son dernier grand livre (1932), Bergson ne se contente pas d'établir la distinction entre le clos et l'ouvert comme critère absolu, en morale, mais aussi en religion (et même dans chaque religion) et en politique. Il en recherche le double fondement, dans la structure immuable de notre espèce, d'un côté dans les actes imprévisibles des grands hommes de bien ou des mystiques, de l'autre.
    Loin de s'appuyer sur une métaphysique toute faite, ce livre la renouvelle, en discutant aussi avec les sciences de son temps, dont la sociologie ; loin de prêcher une morale désuète, il se place au cœur de son époque ; loin de cautionner une critique de la démocratie, ou de la technique, il les place au centre des choix des hommes. Il est urgent de le relire.

     

     


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