• Né le 21 mai 1844 , le Douanier Rousseau , Soleil en Gémeaux, Lune en Cancer

     



    Gémeaux ou taureau , la question se pose pour toutes les personnes nées lors de la transition entre deux signes d'ou l'interet d'analyser la position solaire dans le thème  en terme de dynamique entre les deux degrés solaires quand c'est le cas , ou se focaliser sur le degré précis éclairé . Pour ce célèbre peintre d'art naif , le Soleil est au 30,02 degré Taureau que d'autres appellent le 0,02 degré gémeaux .

    Pour notre part , nous restons dans l'esprit du yiking astrologique et appelons ce degré le 30 degré Taureau . l'esprit taureau est d'autant plus importante que le Soleil commence à peine à transiter ce degré , insistant donc plus sur sa signification que sur celle du 1 er degré gémeaux : 

    " un paon fait la roue sur la terrasse d'un vieux château " qui affirme la manifestation sur un plan personnel de dons héréditaires .C'est un couronnement social des efforts fournis par son travail qui s'appuient sur la transmission de dons acquis par les ancêtres .  En fait Rousseau apprend la peinture au Louvre en autodidacte en obtenant une carte de copiste et s'inspire effectivement de tous les " ancêtres" de l'art ." le paon, nous dit Dane Rudyar , est l'oiseau dédié à Vénus . Dans la tradition occulte , les esprits prométhéens qui firent à l'humanité animale le don divin d'une intelligence consciente d'elle même venaient de Vénus; et peu importe que ce soit ou non la planète que l'on observe dans le ciel "  

    Cependant la conjonction de la Lune noire et de Mercure à ce Soleil   tous deux en gémeaux donne aussi une dynamique importante au 1 degré gémeaux " une embarcation a fond de verre permet de découvrir des merveilles sous marines" . L'art naif relève du domaine gémeaux de l'enfance et Rousseau pénètre en novateur dans ce territoire inconnu laissant son inconscient le guider sur ce chemin, ouvrant une nouvelle forme d'expression qui va permettre d'ailleurs à la psychologie de progresser énormément en liberant l'imaginaire et permettant ainsi , comme le dit Dane Rudyar en parlant de ce degré " la révélation d'énergies inconscientes et de structures psychiques subliminales"

    On peut vraiment dire donc que Rousseau s'affirme artistiquement en ouvrant  la porte qui va du Taureau au Gémeaux , de la forme terrestre dans laquelle la nature est reine ( beaucoup de plantes ) vers une expression mentale et mercurienne , peuplant ses oeuvres  de  personnages issus plus de l'inconscient que de la réalité  

    Il y perception d'une NOUVELLE DIMMENSION DE LA REALITE.

    Francoise Dolto qui a les gemeaux en maison 12 habités par Pluton à la fin du signe transformera l'approche des dessins  pour enfant en en extrayant les significations psychiques profondes refoulées dans l'inconscient.  

    Voir la photo
    Né le : 21 mai 1844 à 01h00
    à : Laval (53) (France)
    Soleil : 0°02' Gémeaux
    Lune : 10°13' Cancer
    Ascendant : 27°25' Verseau
    Milieu du Ciel : 15°02' Sagittaire
    Numérologie : chemin de vie 7





    Le 3°33 sur lequel se trouve Lilith appelant à la transcendance psychique renforce l'esprit de notre analyse ; 

    " LE JARDIN DES TUILERIES A PARIS" dont la   DOMINANTE est " donner une forme conventionnelle à des idéaux collectifs en conférant logique et ordre à des aspects de la nature nouvellement découverts"   

     LE HOUX ET LE GUI REVEILLENT DE VIEUX SOUVENIRS DE NOEL qui exprime le désir ardent de régresser vers un stade préintellectuel de conscience .


    de même que Mercure qui à 11°11 dévoile

    11 ° DES TERRITOIRES RECEMMENT DEFRICHES OFFRENT AU PIONNIER DE NOUVEAUX HORIZONS demandant à être à la hauteur de la situation face à l'inconnu . Cet aspect mental est fortement exprimé par les nombreuses forets vierges peintes par notre artiste

    12 ° UNE JEUNE NOIRE MILITE POUR SES DROITS CIVIQUES exprimant un mental tendu vers un besoin profond vers la libération du passé

    Le sort s'acharne sur le douanier Rousseau dont 6 de ses 7 enfants vont mourir avant de devenir adultes, de meme que mourra son épouse enfoncant le clou de la douleur et lui demandant à chaque étape de se libérer du passé douloureux

     

    Henri Rousseau

    Le théâtre du monde

    Si, comme le voulais Kierkegaard, la modernité se caractérise d’abord par son manque de probité , il serait bon d’exclure le dit douanier Rousseau de cette époque frivole et confuse, pour le rendre au sérieux qui lui permit de créer une œuvre - singulière et profonde - en contradiction complète avec les exigences de son temps. Insensible aux multiples « ismes » qui absorbèrent les forces créatrices de sa génération (qu’on pense ici à l’impressionnisme, au symbolisme, au fauvisme, au cubisme et que sais-je encore…) cet autodidacte de génie n’eut de cesse, sa vie durant, de plonger en lui-même pour retrouver les impressions qui illuminèrent son enfance

    Digne héritier des récits mythiques de Daniel Defoe (Robinson Crusoé) et de Chateaubriand (Atala et René), l’œuvre d’Henri Rousseau s’inscrit dans le prolongement de ce drôle de dix-huitième siècle qui, envers et contre son penchant pour le rationalisme, s’abandonna – avec une joie secrète – au plaisir de la fable et de la métaphore. Plus proche, en cela, d’un Jérôme Bosch ou d’un Bruegel que des peintres naïfs de son époque, Rousseau fut, d’abord et avant tout, un peintre capable de penser par images et de traduire en scènes, les récits poétiques que lui dictait son inspiration.

    Que ce soit dans cette toile de « jeunesse » - Promenade dans la forêt - ou bien dans cette autre, plus connue - La charmeuse de serpent - une même atmosphère de rêve donne aux personnages, aux arbres et aux animaux qui les composent, une sorte de présence magique – comme si, à force de simplicité et de candeur, Henri Rousseau avait su retrouver un secret visuel qu’aucun autre peintre avant lui, n’avait su rendre apparent.

    « Ce n’est pas moi qui peints, mais quelque chose au bout de ma main . »

    Mais, à la force ensorcelante de son style, il faut encore ajouter l’incroyable sureté avec laquelle Henri Rousseau manipule les symboles et les figures qui peuplent ses toiles. Que ce soit l’omniprésence de la forêt ou de la jungle, ou bien encore la présence récurrente de femmes ou d’animaux sauvages : dans leur interdépendance, tous ces éléments forment un système de signes capable de nous faire percevoir visuellement des idées ou des sentiments d’une justesse et d’une profondeur confondante. Mais plutôt que de nous contenter d’affirmer une telle idée, tentons, par l’exemple, d’en montrer le bien fondé, et par là-même, la pertinence.

    La charmeuse de serpent - Henri Rousseau

    « Les images nous serviront à signifier ce qui ne doit pas être profané. »

    Surpris ! - Henri Rousseau

    Si la forêt représente, dans l’imaginaire occidental, le lieu par excellence du non droit et de la sauvagerie, elle n’en reste pas moins aussi le topos par excellence de tous les paradis perdus. Or, n’est-ce pas entre ces deux extrêmes qu’oscille l’œuvre du douanier Rousseau : tantôt hantée par l’appel d’un bois sombre à la tombée de la nuit - Un soir de carnaval - tantôt éblouit par la richesse chromatique d’une flore abondante, elle semble pourtant vouloir s’accomplir dans cette entre-deux impossible - Surpris ! où se rencontre ces deux mondes.

    Ni vraiment menaçante, ni tout à fait docile, la jungle, ici, s’embrase de lumière et devient vivante. Terrifié, un tigre prend conscience de lui-même à mesure que se paralyse en lui la force de son instinct. Mais le plus surprenant reste, peut-être, l’étrange similitude qui existe entre le contenu de cette œuvre et le récit mythique qui ouvre la Scienza Nuova de Giambattista Vico : « Alors, un jour, le tonnerre éclata dans le ciel qui se zébra d’éclair pour la première fois depuis le déluge et c’est alors que quelques uns d’entres les géants (…) épouvantés et stupéfaits devant ce phénomène dont il ignorait la cause, levèrent les yeux et aperçurent le ciel . »Et c’est ainsi que commença – par l’éclair et la terreur - l’épopée de la conscience humaine et le lent cheminement de l’homme hors des bois…

    En guise de conclusion, nous serions tenté de dire que si la profondeur d’une œuvre se mesure au degré de simplicité avec lequel elle nous conduit au cœur des problèmes les plus « sérieux » de la vie humaine, alors l’œuvre d’Henri Rousseau est un abyme : une porte ouverte sur le mystère de la conscience et son possible éveil.

    Frédéric-Charles Baitinger

    Henri Rousseau

     
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    Henri Rousseau
    Le douanier Rousseau

    Description de cette image, également commentée ci-après

    Moi-même, Portrait-paysage (Autoportrait) de Rousseau, 1890, Prague, Galerie nationale

    Nom de naissance Henri Julien Félix Rousseau
    Naissance 21 mai 1844
    Laval, Drapeau de la France France
    Décès 2 septembre 1910 (66 ans)
    Paris, Drapeau de la France France
    Activités Peintre
    Formation Autodidacte
    Mouvement artistique Post-impressionnisme, art naïf, primitivisme

    Œuvres réputées

    • La Bohémienne endormie
    • Joyeux Farceurs
    • Le Rêve
    • le Lion ayant faim, 1905
    • la Charmeuse de serpent, 1907

    Henri Rousseau (Henri Julien Félix Rousseau) dit Le Douanier Rousseau (né le 21 mai 1844 à Laval dans sa maison familiale et mort le 2 septembre 1910 de gangrène à la jambe à l'hôpital Necker à Paris) est un peintre français. Il est considéré comme un représentant majeur de l'art naïf. Issu d'une famille modeste, il étudie le droit avant de partir à Paris, où il travaille dans un octroi. Cette position lui vaut son surnom de « douanier ».

    Il apprend lui-même la peinture et produit un grand nombre de toiles, qui représentent souvent des paysages de jungle. Il n'a pourtant jamais quitté la France. Son inspiration provient surtout de livres illustrés, des jardins botaniques et de rencontres avec des soldats qui avaient participé à l'intervention française au Mexique.

    Ses toiles montrent une technique élaborée, mais leur aspect enfantin a valu beaucoup de moqueries à Henri Rousseau. Habitué du Salon des indépendants, il commence à recevoir des critiques positives à partir de 1891, et rencontre quelques autres artistes à la fin de sa vie, comme Robert Delaunay, Paul Signac, Guillaume Apollinaire, Jean-Léon Gérôme, Alexandre Cabanel, Edgar Degas, William Bouguereau, Paul Gauguin, Alfred Jarry, Toulouse-Lautrec et Pablo Picasso. Son travail est aujourd'hui considéré comme crucial pour l'art naïf et il a influencé de nombreux artistes, notamment des surréalistes.

    Sommaire

    Biographie

     
    Signature

    Issu d'une famille modeste, il est le fils de Julien Rousseau (1808-1868), ferblantier et d'Éléonore Guiard (1819-1890)1. Il devient commis d'avocat à Nantes. Il s'engage dans l'armée peu après pour éviter les poursuites consécutives à un vol chez son employeur. Il est libéré en 1868 à la suite du décès de son père et rejoint alors Paris.

    Il épouse en 1869 Clémence Boitard avec qui il aura sept enfants, dont un seul parviendra à l'âge adulte. Il entre, après la guerre de 1870, à l’Octroi de Paris, comme commis de deuxième classe. Cet organisme perçoit les taxes des marchandises entrant dans Paris. C'est Alfred Jarry qui donna à Henri Rousseau ce surnom de « douanier » lorsqu'il apprit que son ami occupait le poste à l'octroi de Paris de « gardien des contrôles et des circulations du vin et de l'alcool ». Il débute là sa carrière de peintre en autodidacte d'une formidable candeur et, en adepte du spiritisme, il est persuadé que les esprits guident son pinceau. Il obtient une carte de copiste au musée du Louvre, ce qui lui permet de se familiariser avec les chefs-d’œuvre. Son entrée dans la vie artistique est donc relativement tardive. Il tente sans succès d'exposer au Salon officiel en 1885 et c’est seulement en 1886 qu'il participe au Salon des indépendants, grâce à l'absence de jury d'entrée. Il y expose plusieurs tableaux dont Une soirée au carnaval.

     
    Henri Rousseau en 1902

    Sa notoriété s'accroît avec les années et il continue de participer chaque année au Salon des Indépendants. En 1891, il y montre son premier « tableau de jungle », Surpris !, représentant la progression d'un tigre dans une brousse luxuriante. Cette œuvre est particulièrement appréciée par le peintre Félix Vallotton, parlant à son propos d'« Alpha et d'Oméga de la peinture ».

    Sa femme meurt en 1888 et sa situation financière devient difficile. Il héberge un temps l'écrivain Alfred Jarry et il prend sa retraite de l'octroi en 1893 pour se consacrer à la peinture, ce qui ne lui apporte pas suffisamment de revenus pour vivre. Il donne alors des cours de violon et écrit plusieurs pièces de théâtre. Il se remarie en 1899 avec une veuve, Joséphine-Rosalie Nourry, qui mourra en 1903.

    Petit à petit, il se fait reconnaître et estimer par les peintres avant-gardistes tels qu'André Derain ou Henri Matisse. Il se lie d'amitié avec Robert Delaunay, avec Guillaume Apollinaire, puis avec Pablo Picasso.

    Il possède un atelier au no 2 bis de la rue Perrel, dans le 14e arrondissement de Paris.

    Le 2 septembre 1910, il meurt de la gangrène à l’hôpital Necker à Paris.

    Son œuvre

     

    Pour peindre, il s’évertue à reproduire ce qu’il voit et essaie de faire coïncider ce qu’il voit avec ce qu’il sait des faits. L’exotisme abonde dans son œuvre même si Rousseau n'a pratiquement jamais quitté Paris. Son exotisme est imaginaire et stylisé, issu du Jardin des Plantes, du jardin d'Acclimatation, des revues illustrées et des revues de botanique de l’époque. On lui reprochait ses portraits de face de personnages figés, son manque de perspective, ses couleurs vives, sa naïveté et sa maladresse mais « Les nostalgiques de l'enfance, les traqueurs de merveilleux et tous ceux qui entendaient naviguer loin des normes s'emballèrent. Ils virent en ce douanier un passeur, un homme à la lisière entre raison et fantasme, entre civilisation et sauvagerie. » (Séric Biétry-Rivierre, Le Figaro, édition des 13 et 14 février 2010). Grand solitaire, il est l'objet de moqueries incessantes mais les milieux artistiques d’avant-garde sont ravis par «…les trente nuances de vert de ses forêts inextricables, où se mêlent sans souci de vraisemblance le houx, le cactus, le paulownia, le marronnier, l'acacia, le lotus ou le cocotier… Picasso acheta chez un brocanteur un imposant et étrange portrait de femme qu'il conserva toute sa vie. » (Séric Biétry-Rivierre). Coloriste original, avec un style sommaire mais précis, il a influencé la peinture naïve.

    L'œuvre de Rousseau a momentanément freiné la progression des recherches artistiques menées par les peintres futuristes italiens, qui sont revenus à une peinture naïve pendant une courte période précédant celle des « polymatières ».

    Les « jungles »

     
    Combat de tigre et buffle, 1891.
     
    Le lion ayant faim se jette sur l’antilope, 1905.

    C'est l'une des thématiques les plus fécondes du peintre qu'il poursuit jusqu'à sa mort.

    Toujours dans une flore exubérante et totalement inventée (en témoignent les nombreux régimes de bananes qui pendent à chaque branche, ou la disproportion des feuillages), il met en scène des combats féroces entre un fauve et sa proie (sauf dans Tigre combattant un nègre), ou au contraire, un portrait plus apaisé d'un grand animal, comme dans les Singes farceurs. Ces animaux lui ont été inspirés par ceux de la ménagerie du jardin d'Acclimatation et par des revues.

    Dans ses dernières « jungles », il a représenté des personnages (dans La Charmeuse de serpents et Le Rêve) en harmonie avec la nature. D'abord critiquées par leur manque de réalisme et leur naïveté, ses « jungles » seront plus tard reconnues comme des modèles par tous, d'où cette phrase de Guillaume Apollinaire lors du salon d'Automne où Rousseau exposa Le Rêve : « Cette année, personne ne rit, tous sont unanimes : ils admirent. »

    Les paysages

    Ils sont soit végétaux, intemporels, représentant des lieux qu'il connaît bien (berges de l'Oise), soit plus urbains. Ils comportent souvent des détails en rapport avec le progrès technique de son temps : dirigeable, poteaux télégraphiques, ponts métalliques, la tour Eiffel. Ces paysages restent cependant dans une tonalité naïve. En effet, Rousseau n'y fait apparaître aucune notion de perspective.

    Les portraits

     
    Portrait de Monsieur X (Pierre Loti), par Henri Rousseau. Kunsthaus de Zurich.

    Les personnages sont figés, de face, le visage le plus souvent inexpressif. S'ils sont plusieurs, ils sont représentés simplement juxtaposés. Ils paraissent massifs, gigantesques en comparaison avec les éléments du décor, mais cela semble être une conséquence du fait que le peintre ne maîtrise pas la représentation des perspectives (ou qu'il utilise, sans la connaître, la perspective signifiante du Moyen Âge). En effet, le paysage est presque au même plan que le sujet, avec son foisonnement de détails mais à la perspective absente. Ses portraits sont le plus souvent sans nom, même si des indices permettent d'identifier le personnage, par exemple Pierre Loti dans son Portrait de M. X (1910, KunstHaus de Zürich). De même, le premier portrait réalisé par le peintre, représentant une femme qui sort d'un bois, semble être celui de sa première femme, Clémence.

    Ses écrits

    Il a dans ses relations autant de peintres que d'écrivains. Parmi ces derniers, on peut citer, outre Alfred Jarry et Apollinaire, Blaise Cendrars et André Breton. Il a écrit plusieurs pièces de théâtre :

    • La Vengeance d'une orpheline russe en 1898
    • Une visite à l'exposition de 1899 en 1899
    • L'Étudiant en goguette

    Il a écrit également plusieurs courts textes ou poèmes explicatifs sur certaines de ses œuvres, notamment pour sa Bohémienne endormie (1897).

    Lieux d'exposition permanente

    • au Museum of Modern Art de New York :
      • La Bohémienne endormie (1897)
      • Le Gitan endormi (1897)
      • Le repas du lion (1907)
      • Le Rêve (1910)
      • Berges de la Bièvre près de Bicêtre
    • au Musée d'Orsay de Paris :
    • à la Galerie nationale de Prague :
      • Moi-même (1890)
      • Portrait-paysage (Autoportrait) de Rousseau, (1890)
    • au musée de l'Orangerie de Paris :
      • La Noce (vers 1905)
      • La carriole du Père Juniet (1908)
      • Le Navire dans la tempête
      • La Fabrique de chaises à Alfortville
      • La Fabrique de chaises
      • La Falaise
      • Les Pêcheurs à la ligne
      • Promeneurs dans un parc
      • L'Enfant à la poupée
    • au Musée Picasso de Paris (collection personnelle de Picasso) :
      • Portrait de femme (1895)
      • Portrait de l'Artiste (1900-1903)
      • Portrait de la seconde femme de l'Artiste avec une lampe (1900-1903)
    • au Musée national d'art moderne de Paris (Centre Pompidou) :
      • La basse-cour (1896-1898)
      • Le peintre et son modèle (1900-1905)
      • Nature morte aux cerises (vers 1907)
    • au Musée du Vieux-Château, à Laval, Mayenne, sa ville natale :
      • La Moisson au château (début XXe siècle)
      • Vue du Pont de Grenelle (1892)
      • Paysage (v. 1905)
    • à la Fondation Beyeler de Bâle :
      • Le lion ayant faim se jette sur l’antilope (1905)
    • à la National Gallery de Londres :
      • Tigre dans une tempête tropicale (1891)
    • au Musée de l'Ermitage de Saint-Pétersbourg
      • Combat de tigre et buffle, (1891)
    • au Philadelphia Museum of Art de Philadelphie
      • Joyeux Farceurs
    • au Kunstmuseum de Winterthour
      • Nature morte aux fleurs (1910),
    • Une soirée au carnaval
    • La cascade (1910)

    En mémoire

    Le Lycée Douanier-Rousseau à Laval porte son nom depuis 1968.

    Rétrospectives

    La dernière grande rétrospective en date est Jungles Urbaines au Grand Palais du 15 mars au 19 juin 2006. La précédente (en France) remontait à 1984 (Paris - Grand Palais) , il y eut aussi New York - MOMA.

    Références dans la culture populaire

    Le chanteur Serge Gainsbourg l'évoque dans sa chanson Lemon Incest. Il dit de sa fille qu'elle est « naïve comme une toile du nierdoi sseaurou ». « nierdoi sseaurou » se comprend « douanier rousseau » en verlan.

    La Compagnie créole lui a aussi dédié une chanson : Vive le douanier Rousseau.

    Notes et références

    1. Elle est la fille de Jean-Baptiste Guiard (1791, Laval - 1833, Bône), capitaine au 3e bataillon de la légion de la Côte-d'Or

    Annexes

    Sur les autres projets Wikimedia :

    Bibliographie

    • Götz Adriani, Le livre de l'exposition de Tübingen 2001 (en anglais)
    • A. Basler, Henri Rousseau, sa vie, son œuvre, Librairie de France, 1927
    • Henry Certigny La Vérité sur le Douanier Rousseau. Le Conseil municipal de Paris et les Artistes indépendants : 1880-1900, La Bibliothèque des Arts, Lausanne-Paris, 1971
    • Henry Certigny, Le Douanier Rousseau et Frumence Biche, La Bibliothèque des Arts, Lausanne-Paris. 1973
    • Collectif, Le Douanier Rousseau : Jungles à Paris, Éditions de la réunion des musées nationaux,‎ 2006, 231 p. (ISBN 2711850307) 
    • Pierre Courthion. Henri Rousseau, le Douanier Éditions Albert Skira. Cette édition de 1944 comporte quelques erreurs dans la biographie du Douanier.
    • David Larkin, Rousseau, Éditions du Chêne
    • Gilles Plazy, Le Douanier Rousseau : un naïf dans la jungle, Découvertes Gallimard, coll. « Peinture »,‎ 1992, 144 p. (ISBN 207053197x) 
    • André Salmon, Henri Rousseau dit Le Douanier, Éd. Georges Crès, 1927
    • Cornelia Stabenow, Rousseau, Éditions Taschen
    • Wilhem Uhde, Cinq maîtres primitifs - Rousseau - Louis Vivin - Camille Bombois - André Bauchant - Séraphine de Senlis, traduction de l'allemand par Mlle A. Ponchont, préface de Henri-Bing-Bodmer. Librairie Palmes - Philippe Daudy, éditeur, 1949.
    • Dora Vallier, Tout l'œuvre peint de Henri Rousseau, collection Les classiques de l'Art (Éditions Flammarion)
    • (es) Angela Wenzel, Henri Rousseau, La Gitana Dormida
    • Henri Rousseau dit « Le Douanier » 1844-1910 - Exposition de son cinquantenaire - Galerie Charpentier, Paris, Galerie Charpentier 1961

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