• Né le 6 septembre 1908, le sculpteur Korczak Ziotkowski

    Korczak Ziółkowski

     

     

    Né le 6 septembre 1908, le sculpteur Korczak Ziotkowski

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    Korczak Ziółkowski est un sculpteur américain né à Boston le 6 septembre 1908 et mort à Crazy Horse, Dakota du Sud le 20 octobre 1982, connu pour être le créateur et le sculpteur du Crazy Horse Memorial.

     

    Jeunesse

    Personne ne sait avec précision si la famille de Ziółkowski est liée aux nobles polonais du clan Korczak, ainsi que son nom peut le laisser penser. Si une relation existe, des armoiries ont été offertes à une famille Ziółkowski en 1500 à Cracovie.

    Ziółkowski, américain d'origine polonaise, est né précisément 31 ans après le décès de Crazy Horse, le 6 septembre 1908, de parents polonais, à Boston. Orphelin à l'âge de trois ans, il grandit dans une série de foyers d'accueil. Bien qu'il n'ait jamais reçu de formation artistique académique, ses talents de sculpteur se font remarquer alors qu'il est encore très jeune. Après des études à la Rindge Technical School, il devient l'apprenti d'un constructeur de bateau de Boston. Il commence à sculpter sur bois et, à l'âge de vingt ans, est devenu un fabricant de mobilier remarqué. Sa première sculpture sur marbre, réalisée en 1932, est un hommage au juge Frederick Pickering Cabot qui a inspiré le jeune Ziółkowski pendant son enfance dans les quartiers difficiles de Boston.

    Ziółkowski déménage pour West Hartford, Connecticut, pour entamer sa carrière d'artiste professionnel. Il commence à vendre des sculptures sur commande en Nouvelle-Angleterre, à Boston et New York. En 1939, il assiste Gutzon Borglum lors des travaux d'excavation et de sculpture du Mont Rushmore, dans les Black Hills du Dakota du Sud, près de Keystone.

    Le Crazy Horse Memorial

    En 1939, la sculpture en marbre de Ziółkowski représentant Ignacy Paderewski gagne le premier prix à l'Exposition universelle. Sa renommée aisin que sa connaissance de la région des Black Hills incitent plusieurs chefs Lakota à l'approcher pour lui demander de réaliser un monument destiné à honorer les Amérindiens. Ziółkowski rencontre les chefs peu de temps après et commence les plans et ébauches de son monument. Il rencontre également Ruth Ross, jeune amatrice d'art, qui deviendra sa femme quelques années plus tard.

    Ziółkowski met son projet en attente alors que les États-Unis entrent en guerre en 1941. Il s'engage dans l'armée des États-Unis et est blessé à Omaha Beach, en Normandie, France, en 1944.

    En 1947 il choisit de s'installer dans les Black Hills et commence à chercher une montagne adaptée à son projet. Ziółkowski estime que les Wyoming Tetons constitueraient le meilleur choix, mais les Lakota souhaitent que le mémorial trouve sa place au sein des Black Hills, qui sont pour eux sacrées, sur une montagne de 600 pieds de haut (approximativement 196 m). Le monument est destiné à devenir la plus grande sculpture au monde. Une fois terminée, la tête de Crazy Horse représentera un volume suffisant pour contenir les quatre têtes des présidents du Mont Rushmore, chacune haute de 18 m.

    Le 3 juin 1948 a lieu la première explosion, et le mémorial est dédié au peuple Amérindien. En 1950, Ziółkowski et Ruth Ross, qui est devenue volontaire sur le chantier, se marient. Le travail se poursuit lentement, Ziółkowski refusant l'aide financière du gouvernement fédéral. Il finance son projet en faisant payer l'accès au site.

    Ziółkowski continue à travailler jusqu'à sa mort sur le chantier, due à une crise cardiaque, en 1982. Il est alors enterré dans une tombe creusée à la base de la montagne. Après sa mort, sa femme Ruth reprend le projet en tant que directrice de la Crazy Horse Memorial Foundation. Sept de leurs dix enfants poursuivent les travaux et/ou sont impliqués dans la fondation.

    Sources bibliographiques

    Notes

    Birth:  Sep. 6, 1908
    Boston
    Suffolk County
    Massachusetts, USA
    Death: 

    Oct. 20, 1982
    Sturgis
    Meade County
    South Dakota, USA

     

    Né le 6 septembre 1908, le sculpteur Korczak Ziotkowski


    Mountain Carver, Sculptor, Woodcarver. The Crazy Horse Memorial, the dream of Korczak Ziolkowki, is a work-in progress today and was only partially completed upon his death...the completed head of Crazy Horse measures nine stories tall, the horse's head, will measure 22 stories tall and overall the carving will be 563 feet high and 641 feet long. Completion would make it the largest sculpture on earth. Korczak was born in Boston, orphaned at age one, never adopted, spending his entire juvenile years in foster homes. He gained heavy construction skills at a young age working for a tough foster father. Finally on his own at age16, he worked odd jobs putting himself through Rindge Technical School in Cambridge leading to an apprentice position as a pattern maker in a Boston shipyard. He began to carve wood and by age 20 became an accomplished furniture maker. In 1932, he settled in West Hartford, Connecticut. Korczak interested in the art of sculpturing, studied the masters and created plaster and clay models. With only a coal chisel he carved his first work, a marble, in tribute to Judge Frederick Pickering Cabot, a Boston Juvenile judge who befriended him with encouragement while introducing him to the world of fine arts. He pursued a career in that art selling commissioned sculpture throughout New England and New York. His sculpture of Ignacy Jan Paderewski was honored at the New York World's Fair in 1939, with a first prize award which garnered national notoriety. The same year found him at work in South Dakota assisting Gutzon Borglum in the carving of the Mt. Rushmore Memorial in the Black Hills. His artistic career was interrupted during his military service in World War II which found him part of the Normandy invasion landing on Omaha Beach where he was wounded. The defining moment in his life came in the postwar. Korczak accepted an invitation from the Lacoda Indians to create a Crazy Horse Memorial in the Black Hills of South Dakota. Starting at age 40, he dedicated the rest of his life to its creation. The first winter was spent in a tent while he constructed a studio-home and a 741 step staircase to the top of the mountain. Three years of solitude was enough and he married a long time friend from New England, Ruth Ross, resulting in a family of ten children. During his years working on the monument, Korczak jeopardized his health...he sustained broken bones, back injuries, four spinal operations, contacted diabetes, became arthritic and suffered a heart attack necessitating quadruple bypass surgery. At age 74, a final heart attack claimed his life. He was interred in a tomb which he and his sons chiseled in stone, years before at a spot which someday will be the base of the giant sculpture when completed. The tomb door is made from three-quarter inch steel plate on which he wrote and cut his own epitaph: "KORCZAK. Storyteller in Stone. May His Remains Be Left Unknown." Legacy...He left books of plans for the mountain carving, expecting others to follow, knowing it would never be completed in his life time. Many interesting features are in place today at Thunderhead Mountain. A huge visitor complex...Indian museum, cultural center, gift shop, restaurant and the preserved sculptor's studio-home and workshop, all reached by paved access roads which allows millions to visit the construction site. A fee generates cash that enables construction to continue. Although he became most famous as a mountain carver, he was also a noted studio sculptor and member of the National Sculpture Society before his journey to South Dakota. Some of his major works...he spent two years carving the 13 1/2-foot Noah Webster, the famous West Hartford native, conceiver of the all American dictionary. The statue which took two years to sculpt is located in the city proper while the marble model is displayed in the main library. From left over marble, Korczak chiseled the scale model of Crazy Horse which gives one a perspective to the ultimate finished mountain top project and is located on the site. His carving out of granite from the mountain (Thunderhead) of Wild Bill Hickok became a gift to Deadwood, South Dakota and a mahogany sculpture of Chief Henry Standing Bear to President John F. Kennedy. With his own words the dream continues..."When the legends die, the dreams end; When the dreams end, there is no more greatness. Don't forget your dreams." The completed face of Crazy Horse now gazes out over the Black Hills while visible for miles from below and the work goes forward, pursued by his wife and seven of his ten children. (bio by: Donald Greyfield (inactive)) 
     
    Family links: 
     Children:
      Anne Ruth Elizabeth Ziolkowski Christensen (1955 - 2011)*
     
    *Calculated Relationship

     

     

    Né le 6 septembre 1908, le sculpteur Korczak Ziotkowski

     
    Burial:
    Thunderhead Mountain
    Custer
    Custer County
    South Dakota, USA
    Plot: Buried in a tomb at the base of the mountain
     
    Maintained by: Find A Grave
    Originally Created by: K
    Record added: Sep 17, 2004
    Find A Grave Memorial# 9472300

     

    Crazy Horse - L'histoire d'un grand chef indien

    Il semblerait que l'histoire de Crazy Horse commence vers 1840 ou 1841, dans les plaines herbeuses près de la rivière Belle Fourche (petite localité au nord des Black Hills dans le Dakota). Il serait né d'un père Oglalas et d'une mère Minneconju. Crazy Horse avait cependant la peau claire et des cheveux frisés, si bien que certains ont pu croire qu'il était plutôt métis. Son nom d' enfance fut d'ailleurs Curly Hair ce qui veut dire Cheveux Bouclés. Il semble que le jeune Crazy Horse fut témoin du massacre de Grattan en août 1854 près de Fort Laramie dans le Wyoming. C'est là que le jeune lieutenant John Grattan et ses soldats furent tués par les Lakotas alors qu'ils tentaient d'arrêter un guerrier accusé de voler du bétail.
    Il s'agirait de Crazy Horse en 1877 Wikipedia - Public Domain Peu après ce massacre, le jeune Crazy Horse eut une vision: il y vit un guerrier à cheval émerger d'un lac. Cheval et cavalier flottaient dans les airs. Le visage de l'homme ne portait aucune peinture de guerre, il avait cependant une petite pierre brune attachée derrière une de ses oreilles. Il avait aussi une plume d'aigle piquée dans ses cheveux. L'homme s'adressa à Crazy Horse dans un langage inconnu. Il lui demanda d'enduire son poney de poussière, poussière dont il couvrirait lui-même son corps et ses cheveux avant les combats. Ceci le protégerait des balles et des flèches. Le cavalier fantôme flottait haut dans les airs, hors d'atteinte des flèches et les balles. Lorsque son propre peuple essayait de l'attraper, le cavalier se libérait à chaque fois. Un orage éclata, un éclair frappa la joue de l'homme et son corps fut criblé par la grêle. Quand l'orage s'apaisa, son peuple le rattrapa et l'agrippa. Crazy Horse raconta sa vision à son père qui lui expliqua que le cavalier c'était lui, qu'il deviendrait le chef de son peuple et qu'il ne mourrait pas au champ de bataille. Crazy Horse resta fidèle à cette vision tout au long de sa vie, il s'habillait comme le cavalier allant même jusqu'à attacher la petite pierre brune derrière son oreille et peindre un éclair sur sa joue gauche et des grêlons sur son corps. Il ne portait pas de coiffure de guerre mais une seule plume d'aigle plantée dans ses cheveux, la pointe vers le bas contrairement aux autres guerriers. C'est vers la fin des années 1850 que Curly Hair devint Crazy Horse. D'après son ami He Dog (il-chien), il gagna le droit de porter ce nom (qui fut aussi le nom de son père) dans un engagement contre les indiens Arapahos. Il chargea ses ennemis à travers une grêle de flèches et de balles, exactement comme l'avait fait le cavalier de sa vision. Lors de sa dernière charge, deux guerriers Arapahos vinrent le défier. Crazy Horse tua les deux hommes.
    Lorsqu'il mis pieds à terre pour s'emparer des scalps des guerriers, son cheval prit peur et s'enfuit. L'histoire dit qu'il dut rentrer à pied alors que des volées de flèches passait au dessus de sa tête, il avait cependant les scalps à la main. Pour célébrer son courage, le père de Crazy Horse organisa une fête où il lui offrit son propre nom. En 1865, Crazy Horse fut choisi par les siens pour être un des chefs de la tribu Oglalas. Peu après débuta la guerre menée par le chef Red Cloud (Nuage rouge). Red Cloud voulait stopper la progression des colons blancs qui arrivaient sans cesse plus nombreux sur la fameuse la piste Bozeman. Il y eu de nombreuses escarmouches avec les blancs. L'année suivante, l' armée américaine construisit 2 forts sur la piste Bozeman; Fort Phil Kearny et Fort C. E. Smith. Ces forts et leurs fameuses "tuniques bleues"devaient offrir protection aux colons. Red Cloud harcelait les blancs qui s'aventuraient hors des forts lors d' embuscades souvent meurtrières. En décembre de cette même année, des guerriers Minneconjous, Oglala Lakotas, Cheyennes et Arapahos se rassemblèrent sous le commandement de Red Cloud, alors accompagné de Crazy Horse. Dix hommes (certains disent que Crazy Horse en faisait partie) s'embusquèrent près du Fort Phil Kearny, alors qu'un autre groupe de guerriers s'en prit aux colons qui étaient à l' extérieur du fort. Le capitaine William Fetterman à la tête d'un détachement de 80 soldats fut envoyé pour secourir les colons. C'est ce qu 'attendaient le petit groupe de guerriers embusqués pour se montrer. Bien évidemment, le capitaine engagea immédiatement la poursuite fatale qui se termina à un endroit nommé Lodge Trail Ridge, à plusieurs km du fort. Le colonel Custer US National Archives and Records Administration - Public Domain
    Plus de 2,000 guerriers avaient préparé une embuscade et les attendaient là C'est vers 1872 qui Crazy Horse devint le chef de guerre des Oglalas. La date exacte n'est pas connue, mais He Dog raconte que c'était bien avant la fameuse bataille de (voir photos de Little Big Horn). En août 1872, Crazy Horse et Sitting Bull menèrent ensemble une attaque contre un groupe de 44 soldats qui escortaient une équipe de topographes de la Société des chemins de fer de la Northern Pacific. Crazy Horse chargea l'ennemi au mépris des balles qui sifflaient autour de lui, son cheval fut tué et une fois encore il fut à pieds.
    En 1875, ils y eu des pourparlers entre les Lakotas et les représentants des Etats-Unis au sujet des Black Hills. L'année précédente, le lieutenant-colonel George Custer découvrit de l'or dans les monts des Black Hills. Paradoxalement, la mission de Custer était d'arrêter et d' expulser les quelques prospecteurs blancs qui commençaient à arriver dans les Black Hills. A cette époque, les Black Hills appartenaient légalement aux indiens d'après un traité signé précédemment. En échange des Blacks Hills et des territoires du Dakota (Dakota Nord et le Dakota Sud), les indiens devaient simplement laisser passer les colons qui se rendaient dans l'Orégon par la fameuse la piste Bozeman. La découverte de l'or se transforma vite en ruée, les aventuriers affluèrent alors par milliers dans les Black Hills. Cet or changea vite les bonnes intentions du gouvernement américain. Celui-ci voulait conclure un nouveau traité avec les indiens pour leur soustraire ces fameuses Black Hills.> Les Black Hills étant cependant une terre sacrée pour les indiens, Crazy Horse et ses guerriers était près à se battre pour les défendre. Le Président Ulysses S. Grant, dans un effort pour évincer les indiens des Black Hills ordonna à ceux-ci de se rendre auprès des agences indiennes. Tous ceux qui s'y refusèrent purent être considérés comme hostiles et pouvaient justifier une intervention militaire.
    En 1876 à Rosebud Creek dans le Sud du Montana, Crazy Horse mena ses guerriers Lakotas et Cheyennes contre les 1,260 soldats et ennemis Crows et Shoshones alors sous les ordres du Général George Crook. Crazy Horse espérait attaquer le premier, mais ces braves furent découverts par les éclaireurs de Crook. Essayant de tirer avantage de la situation, le capitaine Anson Mills mena une première charge contre les Lakotas.
    D'après un témoin, les Lakotas contre-attaquèrent et mirent les soldats en fuite. Dès lors, la bataille fut une suite de charges de part et d'autres. A la tombée de la nuit, les Lakotas et les Cheyennes y mirent fin, Crook ordonna alors la retraite. Les deux camps clamèrent la victoire. La bataille avait coûté la vie à 9 soldats et 20 indiens, elle avait aussi fait 23 blessés. Quelques jours plus tard, le colonel Custer et son 7ème de cavalerie attaquèrent un grand rassemblement indien sur la rivière Little Big Horn dans le Montana. Crazy Horse et Sitting Bull s'y trouvaient avec leurs guerriers Lakotas, Cheyennes et Arapahos. Bien que très inférieur en nombre, Custer ordonna à ses hommes (qui venaient de faire une marche forcée de 70 km) d' attaquer le campement. Dès le début de l' attaque, Crazy Horse et ses guerriers se portèrent à la rencontre des soldats. La bataille fut de courte durée. Custer fut abattu, certains soldats se suicidèrent, les guerriers tuèrent les autres. Seul le cheval de Custer survécu à la bataille. Certains se demandent pourquoi les indiens Crows servaient d' éclaireursà l' armée américaine pour l' aider dans sa guerre contre les indiens (et ultime contre eux-même). L' explication est simple, les Sioux étaient en guerre contre les Crows depuis longtemps. Supérieur en nombre, les Sioux avaient dépossédé les Crows d'une partie de leurs territoires, ces derniers voulaient simplement les récupérer. Pour cela, ils se sont alliés avec les ennemis des Sioux; les tuniques bleues. Par la suite, les Crows gagnèrent leur cause et récupérèrent leurs territoires perdus; Little Big Horn et son champ de bataille est aujourd'hui une réserve Crow. Curley, l'un des éclaireurs Crow de Custer
    Monument de Crazy Horse, Dakota du Sud La défaite de Custer fut aussi la dernière victoire des indiens. Crazy Horse tenta de résister, mais l'armée américaine et la famine finirent par obliger Crazy Horse et ses hommes de se rendre. Il mourut en 1877 alors qu'il se rendait au camp des soldats. Il y eu des rumeurs déclenchées par quelques petits chefs indiens qui jalousaient son prestige. Ces rumeurs disaient que Crazy Horse était prêt à repartir en guerre. Crazy Horse dut se rendre au fort pour s'expliquer. Mais son sort était jeté, il y eu une discussion, des malentendus (il semblerait que l'interprète indien de Crazy Horse ne traduisit pas très fidèlement les paroles de celui-ci). Il y eu une bousculade, le meilleur ami de Crazy Horse le ceintura alors qu'un soldat lui plongeait une baïonnette dans le corps. Dans sa vison, son peuple le rattrapa et l'agrippait. Il fut enterré et son corps fut déplacé à plusieurs reprises pour éviter qu'il ne soit découvert. Plus tard, un Lakota du nom de Black Elk (élan Noir) dira que le lieu de la sépulture est sans intérêt. Le lieu de la tombe n'est pas très important, ce n'est que de l' herbe; mais là où se trouve son esprit, là est le bon endroit. Il y a aujourd'hui un mémorial à l'honneur de Crazy Horse dans les Black Hills.

     


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