• Né le 11 novembre 1821, Dostoievsky, Scorpion ascendant Sagittaire , Lune en Gémeaux

     

    DES ENFANTS EN COSTUMES DE MARDI GRAS S'ADONNENT A TOUTES SORTES D'ESPIEGLERIES

     Cette image dépeint , nous dit Dane Rudyar " les echappatoires que la société , dans un contexte de coutumes, offre périodiquement aux humains encore immatures "

    " le premier degré du Scorpion, signait l'entrée dans la vie urbaine collective, gage d'une grande diversité d'expériences stimulant le sentiment d'appartenir à un ensemble plus grand , ou bien, eventuellement des instincts rebelles. Ceux ci , dans la plupart des cas ne peuvent être complètement surmonté; quoiqu'il en soit, la société leur permet de s'exprimer par l'entremise de certains rites prévus à cet effet et sans drand danger pour la collectivité . Chaque fois que l'on rencontre ce degré, c'est l'indice que l'on a besoin de tels echappatoires. MAIS IL FAUT OBEIR AUX REGLES DU JEU.

    L'énergie de ce degré nous enseigne que toute vie collective et tout rapport humain nous mettent face à notre sensibilité à des éléments dégradés, facteur de déstabilisation avec lesquels on devrait reflechir avant de composer. Et il est possible de les soumettre au pouvoir du mental , c'est la voie du Sagittaire . l'imagination aide alors à se LIBERER DES TENSIONS

    E
    tonnant pourrait paraitre le mercure de Dostoievski qui anime la transition entre ce degré et le premier degré Sagittaire si on ne ramene pas cette image à la fonction impliquée à savoir la pensée lorsque Mercure est concerné .

    La pensée de Dostoievski va justement, impregnée de sa traversée en alchimiste  Scorpion de la maison 12 analyser ses instincts rebelles pour mieux les transcender par l'écriture et la reflexion qu'elle lui permet et les positiver en operant ce bond quantique vers le sagittaire , territoire de la pensée collective positive

    POISSONS NE-ES ENTRE LE 16 ET LE 22 MARS

     

    Un premier regard nous fait apparaitre 5 points majeurs pour ce Scorpion ascendant Sagittaire

    L'importance planétaire occupant les trois signes de feu en y dessinant un superbe triangle de trigones qui feront de ce sublime écrivain un passionné au grand coeur plein de chaleur.

    L'importance des planètes occupants les maisons d'eau  , Maison 4, 8 et 12 , la maison 12 etant celle de l'enfermement qu'en ascendance sagittaire Dostoiesky va savoir positiver , ce qui va donner toute sa beauté à sa pensée sagittairienne

    L'importance de Mercure qui pénétre le sagittaire bien qu'encore en maison 12 quasiment conjoint à l'ascendant faisant de la reflexion mentale l'essence même de l'artiste de l'écriture

    La puissance emotionnelle de la maison 1 , maison qui concerne le developpement de la personnalité, qui abrite pas moins de de six éléments dont la Lune conjointe à Venus , Ceres et Pallas dans le bouillant Sagittaire Sagittaire mais animées  animées par Neptune et Uranus qui les guident et les structurent dans le productif signe du Capricorne .

    Mars en Lion en maison huit va permettre à cet auteur Scorpion  de plonger au fond ( 8) du coeur ( lion) pour rayonner l'amour même dans les goujes les plus durs de Sibérie. La force du Scorpion n'est elle pas de faire jaillir l'or alchimique des profondeurs de l'âme humaine  comme le fit Soeur Emmanuelle en batissant la solidarité au coeur des didonvilles des chiffoniers du Caire ?

     LA NOUVELLE LUNE PRENATALE DE DOSTOIEVSKY ETAIT A 2°17 DU SCORPION donnant le "LA" cosmique de la relation soli lunaire de son incarnation :   


    UN JOLI FLACON BRISE D'OU EMANENT LES EFFLUVES D'UN PARFUM DELICAT

    Ce degré souligne le caractère fortuit des circonstances qui nous poussent à rompre avec un passé dont le souvenir douloureux nous étreint encore .

    Il nous parle de la difficulté d'aborder son passé lorsque l'on rentre dans un nouvel univers émotionnel et sentimental . A l'excitation, la joie, la curiosité que peuvent apporter les nouveautés,repondent les souvenirsde la grâce passée que l'on a perdue ou abandonnée

    La clef lui est donné au degré 3 vers lequel cette nouvelle union Soleil Lune tend , opère le bond quantique :

     

    DANS UN PETIT VILLAGE UNE PENDAISON DE CREMAILLERE REUNIT LE VOISINNAGE

     

     

    Pour s'echapper de la douleur des souvenirs qui nous ont assaillis au 2 degré la solution est  S'impregner du sentiment de communauté manifesté par un effort conjoint.C'est exactement ce que va faire notre écrivain en creant un sentment de solidarité avec ses partenaires d'incarcération.

     

    Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski (en cyrillique : Достоевский, Фёдор Михайлович) est un écrivain russe, né à Moscou le 30 octobre 1821 du calendrier julien (11 novembre 1821 du calendrier grégorien) et mort le 28 janvier 1881 du calendrier julien (9 février 1881 du calendrier grégorien). Il est généralement considéré comme l'un des plus grands romanciers russes, et a influencé de nombreux écrivains et philosophes.

    Son père était médecin et, trop autoritaire, fut assassiné par ses propres paysans. Sa mère mourut lorsqu'il était très jeune. Il entre à l'école d'ingénieurs de Saint-Pétersbourg en 1838 et devient officier ingénieur du génie en 1841. En 1844, il demande sa retraite pour pouvoir se consacrer à la littérature et écrit son premier roman, Les Pauvres Gens. Ce roman connut un succès certain et valut à l'auteur d'être remarqué par le poète Nikolaï Nekrassov et l'influent critique Vissarion Belinsky. Malheureusement, ses romans suivants (Le double et la logeuse) ne connurent pas le même succès.

    En 1847, il fréquente le cercle du socialiste utopiste Petrachevski. Cette même année, il fait sa première crise d'épilepsie, à 26 ans.


    L'emprisonnement et le bagne


    En avril 1849, les membres du cercle Petrachevski sont arrêtés, y compris Dostoïevski qui est lui aussi arrêté et emprisonné. Après un simulacre d'exécution sur la place Semenov, le 22 décembre 1849, le tsar ayant grâcié les prisonniers au moment même où ils allaient être exécutés, la sentence est transformée en un exil de plusieurs années et la peine commuée en déportation dans un bagne de Sibérie.

    En 1850 il arrive à Omsk (Souvenirs de la maison des morts, 1860), épisode relaté dans le cycle romanesque La lumière des justes d'Henri Troyat. Cependant le bagne du tsar Nicolas Ier, même s'il est très dur, n'a pas grand chose à voir avec le futur goulag soviétique. Les punitions corporelles sont épargnées à Dostoïevski sur l'intervention de M. de Grave, un officier d'origine française.

    Dans les baraquements il partage sa vie avec des forçats de droit commun, il écrit dans sa correspondance : « Je n'ai pas perdu mon temps : j'ai appris à bien connaître le peuple russe, comme peut-être peu le connaissent. ». Ce qui oblige l'intellectuel de salon qu'il était à commencer son évolution : « J'étais coupable, j'en ai pleine conscience... J'ai été condamné légalement et en bonne justice... Ma longue expérience, pénible, douloureuse, m'a rendu ma lucidité... C'est ma croix, je l'ai méritée... Le bagne m'a beaucoup pris et beaucoup inculqué. »

    Dostoïevski accepte donc son épreuve et l'utilise pour faire éclore sa force spirituelle. Il ne s'endurcit pas, il ne se révolte pas et accepte les révélations qui lui arrivent peu à peu, sur la Russie, le peuple russe, la monarchie russe et la religion. Il écrit dans une correspondance : « Je te jure que je ne perdrai pas espoir et garderai purs mon esprit et mon cœur... Je dois vivre... Ces années ne seront pas stériles. » Au fond de son enfer, il rencontre le Christ, et sa foi renouvelée va désormais le guider dans sa vie privée, dans sa vie d'écrivain et dans sa vie politique : « ... il n'est rien de plus beau, de plus profond, de plus sympathique, de plus raisonnable, de plus viril et de plus parfait que le Christ... Désormais, je n'écrirais plus d'âneries. »

    C'est un tournant dans la vie de l'auteur. Il abandonne ses sentiments libéraux et se tourne vers la religion et le monarchisme : « J'espère en Dieu et dans le tsar... Plus de foi, plus d'unité, et, si, par-dessus tout cela, il y a amour, que demander de plus ? ». Cette conversion sera à la racine même de son chef-d'œuvre, Crime et Châtiment.


    Après le bagne
    Sa peine se termine en 1854 et il est affecté comme officier à un régiment de Sibérie. Il recommence à nouveau à écrire : les Souvenirs de la maison des morts, récit romancé de sa vie au bagne, puis une comédie, Le bourg de Stepantchikovo et ses habitants. En 1857 il épouse Maria Dmitrineva Isaeva.

    En 1860, il obtient sa retraite comme sous-lieutenant et l’autorisation de rentrer vivre à Saint-Petersbourg, sous la surveillance de la police secrète. Il renoue alors avec les libéraux et fonde avec son frère Mikhaïl une revue modérée et nationaliste, Le Temps. Cette revue sera interdite en 1863. L'arrivée au pouvoir du nouveau tsar Alexandre II en 1855 amène de nombreuses réformes en Russie. Le servage est aboli en 1861. Malgré ces ouvertures politiques, on asssite à l'émergence de mouvements révolutionnaires violents, ce qui inquiète beaucoup Dostoïevski.

    Les années d'errance
    En 1862, il se rend en Europe pour la première fois et rencontre Apollinaria Souslova. Sa femme meurt en 1864, puis son frère Mikhaël en 1865. Il est couvert de dettes et doit fournir de quoi vivre à la femme et aux enfants de son frère. Pour échapper aux créanciers, il continue à voyager et tente de faire fortune à la roulette. On trouve des échos de sa passion maladive du jeu dans Le Joueur (1866) et L'adolescent (1875). Il revoit Apollinaria (Pollina) Suslova qui refuse sa proposition de mariage.

    Ces années d'errances et de troubles marquent profondément Dostoïevski. Son aversion pour l'Europe et la démocratie grandit. Il publie le célèbre Carnets du sous-sol qui est en quelque sorte une réponse au roman Que faire ? du révolutionaire Tchernitchevski. Selon Dostoïevski, l'égalité démocratique n'efface pas la violence des rapports humains mais l'exacerbe au contraire.

    La maturité
    Il engage Anna Griogorievna Snitkine comme secrétaire et elle devient sa femme en 1867. Grâce à son esprit pratique et à sa volonté, la situation du ménage s'améliore. Dostoïevski renonce au jeu et se met à travailler régulièrement, publiant ses oeuvres les plus abouties : Crime et Châtiment, l'Idiot, Les Démons. Ce dernier roman est inspiré d'un fait divers tragique : l'assassinat par les siens d'un des membres du groupe révolutionaire de Netchaïev. Son œuvre romanesque s'achève par le monumental Les frères Karamazov, qu'il publie à l'âge de 60 ans. Le succès populaire arrive enfin. Son Discours sur Pouchkine (1880) fait même de lui un héros national.

    Il succombe à une hémorragie le 28 janvier 1881 du calendrier julien (9 février 1881 du calendrier grégorien) et est enterré à Saint-Pétersbourg. Ses obsèques sont suivies par 30 000 personnes.

    Chronologie des œuvres
    Voir sur Wikisource : Fedor Dostoïevski.

    Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Fedor Dostoïevski.

    Les Pauvres Gens, 1846
    Le Double, 1846
    Un roman en neuf lettres, 1846
    Monsieur Prokhartchine, 1846
    La Logeuse, 1847
    Les Annales de Pétersbourg, 1847
    Polzounkov, 1848
    La Femme d'un autre et le mari sous le lit, 1848
    Le Voleur honnête, 1848
    Un sapin de Noël et un mariage, 1848
    Les Nuits blanches, 1848
    Un cœur faible, 1848
    Les Récits d’un homme d’expérience, 1848
    Le Retraité, 1848
    Le Mariage sous l’arbre, 1848
    Le Mari jaloux, 1848
    Nétotchka Nezvanova, 1848-1849 (inachevé)
    Le Petit Héros, 1849
    Le Rêve de l'oncle, 1855-1859
    Le Bourg de Stépantchikovo et sa population, 1859
    Humiliés et offensés, 1861
    Souvenirs de la maison des morts, 1860-1862
    Une sale histoire, 1862
    Notes d'hiver sur impressions d'été, 1863
    Un événement curieux (1863)
    Mémoires écrits dans un souterrain, 1863 (autres traductions : Les Carnets du sous-sol, Le sous-sol, Manuscrit du souterrain)
    Le Crocodile, 1864
    Crime et Châtiment, 1866
    Le Joueur, 1866
    L'Idiot, 1868
    L'Éternel Mari, 1870
    Les Démons (traduit également sous le titre Les Possédés), 1871
    Journal de l'écrivain, 1873 :
    « Bobok »
    « Petites images »
    « Le Quémandeur »
    Petites images (en voyage) , 1874
    L'Adolescent, 1874-1875
    Journal de l'écrivain, 1876 :
    « Le Garçon «à la menotte» »
    « Le Moujik Maréï »
    « La Douce » (autres traductions : Une femme douce, Douce)
    « La Centenaire »
    Journal de l'écrivain, 1877 :
    « Le Rêve d'un homme ridicule »
    Le Triton, 1878
    Les Frères Karamazov, 1880
    Discours sur Pouchkine, 1880

    Né le :11 novembre 1821 à 09h47à :Moscou (Russie)Soleil :18°37' ScorpionLune :10°56' GémeauxAscendant :11°38' SagittaireMilieu du Ciel :18°22' BalanceNumérologie :chemin de vie 7

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