• Née le 12 Juin 1929, Anne Franck, Gémeaux ascendant Cance-Lion, Lune en Lion

     

    Née le 12 Juin 1929, Anne Franck, Gémeaux ascendant Cance-Lion, Lune en Lion

     Amsterdam, juin 1942. Anne Franck a treize ans. A l'heure de la persécution des Juifs, Anne Franck et les siens sont menacés. Reclus dans des bureaux désaffectés, ils se cachent. Pour échapper à la solitude et tuer l'ennui, Anne noircit les pages d'un cahier, où jour après jour, elle relate deux années de clandestinité, de peur et d'espoir. C'est l'histoire de ce journal que nous raconte ici Johanna Hurwitz

     

    Née le : 12 juin 1929 à 07h30
    à : Francfort (Allemagne)
    Soleil : 20°48' Gémeaux AS : 0°07' Lion
    Lune : 26°00' Lion MC : 6°51' Bélier
    Dominantes : Lion, Gémeaux, Bélier
    Uranus, Soleil, Mercure
    Maisons 11, 2, 10 / Feu, Air / Fixe
    Astrologie Chinoise : Serpent de Terre
    Numérologie : chemin de vie 3
    Popularité : 38 552 clics, 438e femme, 989e célébrité

     

    Biographie d'Anne Frank

    Annelies Marie Frank, plus connue sous le nom de Anne Frank (12 juin 1929 - début mars 1945), était une adolescente allemande juive née à Francfort-sur-le-Main en Allemagne, qui écrivit un journal intime alors qu'elle se cachait avec sa famille et quatre amis à Amsterdam pendant l'occupation allemande de la Seconde Guerre mondiale.

    Suite à l'arrivée au pouvoir d'Adolf Hitler en janvier 1933, la famille quitta Francfort pour Amsterdam fin 1933 afin d'échapper aux persécutions nazies, mais fut arrêtée après l'invasion des Pays-Bas. Alors que les persécutions à l'encontre des juifs s'intensifiaient, sa famille se cacha en juillet 1942 dans une chambre secrète aménagée dans l'annexe de l'entreprise Opekta d'Otto Frank, son père. Anne avait alors 13 ans environ. Après deux ans passés dans ce refuge, le groupe fut trahi et déporté vers les camps d'extermination nazis. Sept mois après son arrestation, Anne mourut du typhus dans le camp de Bergen-Belsen quelques jours après le décès de sa sœur, Margot. Son père Otto, l'unique survivant du groupe, revint à Amsterdam à la fin de la guerre et découvrit que le journal d'Anne avait été récupéré. Convaincu du caractère unique de l'œuvre de sa fille, il décida de la publier. À l'origine, il fut publié sous le titre Het Achterhuis : Dagboekbrieven van 12 Juni 1942 – 1 Augustus 1944 (L'arrière-cour : notes du journal du 12 juin 1942 au 1er août 1944).

    Le journal, qui fut offert à Anne pour son treizième anniversaire, relate sa vision des évènements, du 12 juin 1942 jusqu'au 1er août 1944. Il a depuis été traduit du néerlandais en de nombreuses langues et est devenu l'un des livres les plus lus dans le monde. Plusieurs films, téléfilms, pièces de théâtre et opéras sont basés sur cette œuvre. Décrit comme le travail d'un esprit mature et perspicace, il donne un point de vue intime et particulier sur la vie quotidienne pendant l'occupation par les nazis ; par ses écrits, Anne Frank devint l'une des victimes de l'Holocauste les plus célèbres.

    Anne Frank, seconde fille d'Otto Heinrich Frank (12 mai 1889–19 août 1980) et d'Edith Holländer (16 janvier 1900–6 janvier 1945), naquit le 12 juin 1929 à Francfort-sur-le-Main en Allemagne. Elle eut une sœur nommée Margot (16 février 1926– mars 1945). Son nom de naissance était Annelies Marie, mais pour sa famille et ses amis, elle était simplement "Anne". Son père l'appelait parfois "Annelein" ("petite Anne").

    La famille vécut dans une communauté mixte de citoyens juifs et non-juifs, et les enfants grandirent en côtoyant des amis de confession catholique, protestante et juive. Les Frank étaient juifs réformistes, pratiquant beaucoup des traditions de la foi juive, sans observer l'ensemble des coutumes. Edith Frank était la plus dévouée à sa foi de la famille. Otto Frank, ancien officier allemand décoré pendant la Première Guerre mondiale, voulait poursuivre ses études et possédait une importante bibliothèque ; les deux parents encourageaient leurs enfants à lire.

    En mars 1933, les élections pour renouveler le conseil municipal de Francfort virent le parti Nazi d'Adolf Hitler l'emporter. Des manifestations antisémites eurent immédiatement lieu, et les Frank commencèrent à craindre pour leur sécurité s'ils restaient en Allemagne. Plus tard la même année, Edith et les enfants se rendirent à Aachen pour habiter avec Rosa Holländer, la mère d'Edith. Otto Frank resta à Francfort, mais après avoir reçu une offre pour démarrer une affaire à Amsterdam, il s'y rendit pour organiser la société et préparer la venue de sa famille.

    Otto Frank commença à travailler chez Opekta Works, une société que vendait la pectine extraite des fruits, et trouva un appartement à Merwedeplein dans la banlieue d'Amsterdam. En février 1934, Edith et les enfants arrivèrent à Amsterdam et les deux filles furent inscrites à l'école ; Margot dans une école publique et Anne dans une école montessorienne. Margot montra ses facultés en arithmétique et Anne découvrit ses aptitudes à la lecture et l'écriture. Son amie Hannah Goslar se rappela plus tard que pendant sa tendre enfance, Anne Frank écrivait régulièrement, cachant ses écrits avec sa main et refusant de discuter du contenu de ceux-ci. Ces écrits précoces n'ont pas traversé l'histoire jusqu'à nous et ont été égarés. Anne et Margot avaient deux personnalités bien distinctes ; Margot était maniérée, réservée et studieuse tandis qu'Anne était expressive, énergique et extravertie.

    En 1938, Otto Frank démarra une seconde affaire en partenariat avec Hermann van Pels, un boucher qui avait fui Osnabrück en Allemagne avec sa famille. En 1939, la mère d'Edith vint vivre avec les Frank et resta avec eux jusqu'à sa mort en janvier 1942. En mai 1940, l'Allemagne envahit les Pays-Bas. Le gouvernement d'occupation commença à persécuter les Juifs en instaurant des lois répressives et discriminatoires, et l'inscription obligatoire et la ségrégation des Juifs s'ensuivit rapidement. Margot et Anne excellaient alors dans leurs études et avaient de nombreux amis, mais l'application d'un décret statuant que les enfants juifs ne pouvaient suivre des cours que dans des écoles juives, elles furent inscrites au Lycée Juif.


    La période décrite dans le journal

    Avant de se rendre dans l'Annexe

    Étoiles jaunes du type que tous les juifs devaient porter pendant l'occupation des nazis.Pour son treizième anniversaire le 12 juin 1942, Anne reçut un petit carnet qu'elle avait montré à son père dans un magasin quelques jours plus tôt, elle l'appela "Kitty". Bien que ce fût un livre d'autographes, relié avec un morceau de tissu rouge et blanc et muni d'une petite fermeture à l'avant, Anne avait déjà décidé qu'elle l'utiliserait comme journal. Elle commença à y écrire presque immédiatement, se décrivant personnellement, décrivant sa famille et ses amis, sa vie à l'école, les garçons avec lesquels elle flirtait et les endroits du voisinage qu'elle aimait visiter. Bien que ces premiers écrits démontrent que sa vie était typiquement celle d'une écolière, elle explique également les changements dont elle a été témoin depuis le début de l'occupation allemande. Quelques références sont apparemment occasionnelles et non soulignées. Néanmoins en quelques passages, Anne fournit plus de détails sur l'oppression grandissante. Par exemple, elle écrit à propos de l'étoile jaune que les Juifs étaient obligés de porter en public, et elle lista quelques restrictions et persécutions qui bouleversèrent la vie de la population Juive d'Amsterdam.

    En juillet 1942, Margot Frank reçut son avis de mobilisation du Bureau central de l’immigration juive (Zentralstelle für jüdische Auswanderung) lui ordonnant de se présenter pour être relogée dans un camp de travail. On expliqua alors à Anne un plan qu'Otto avait préparé avec ses employés les plus fidèles, et dont Margot avait eu connaissance depuis quelques temps. La famille devait aller se cacher dans des pièces au-dessus et à l'arrière des bureaux de la société sur le Prinsengracht, une rue le long d'un des canaux d'Amsterdam.


    La vie dans l'Annexe

    La façade de l'immeuble de la société Opekta sur le Prinsengracht en 2002. Les bureaux d'Otto Frank se situaient à l'avant du bâtiment tandis que l'Annexe se trouvait à l'arrière.Le matin du 6 juillet 1942, la famille alla s'installer dans la cachette. Leur appartement fût laissé dans un désordre apparent pour donner l'impression qu'ils étaient partis soudainement, et Otto Frank laissa une note indiquant qu'ils s'en étaient allés en Suisse. La nécessité du secret de l'opération fit qu'ils durent abandonner le chat d'Anne, Moortje. Comme les juifs n'avaient pas le droit d'utiliser les transports publics, ils marchèrent pendant plusieurs kilomètres depuis leur appartement, chacun revêtant plusieurs couches de vêtements pour qu'on ne s'aperçoive pas qu'ils transportaient des valises. L'annexe (Achterhuis) était un espace à trois niveaux à l'arrière du bâtiment auquel on accédait par un palier situé au-dessus des bureaux de la société Opekta. Au premier niveau étaient deux petites pièces avec une salle de bains et des toilettes adjacentes. Au dessus il y avait un vaste espace ouvert avec une petite pièce adjacente. Depuis cette petite pièce une échelle donnait sur le grenier. La porte de l'Annexe fût par la suite cachée par une étagère pour éviter qu'elle ne soit découverte. L'immeuble principal, situé à un bloc de Westerkerk était un vieil immeuble banal et typique des quartiers ouest d'Amsterdam.

    Victor Kugler, Johannes Kleiman, Miep Gies et Bep Voskuijl étaient les seuls employés qui savaient que la famille Frank se cachait et, avec Jan Gies le mari de Miep et Johannes Hendrik Voskuijl le père de Bep, les ont aidés pendant la durée de leur confinement. Ils étaient le seul contact entre les occupants de l'Annexe et le monde extérieur ; ils les tenaient au courant des nouvelles de la guerre et des évènements politiques. Ils ont subvenu à tous leurs besoins, assuré leur sécurité et les ont ravitaillés en nourriture, une tâche de plus en plus difficile à mesure que le temps passait. Anne évoque dans son journal leur dévouement et leurs efforts pour garder le moral des occupants de l'Annexe pendant les moments les plus dangereux. Ils étaient tous conscients du fait qu'ils encouraient la peine de mort s’ils étaient pris à cacher des Juifs.

    À la fin du mois de juillet, la famille Frank fut rejointe par la famille van Pels : Hermann, Augusta, et leur fils Peter âgé de 16 ans, puis en novembre par Fritz Pfeffer, un dentiste et ami de la famille. Anne écrit son plaisir d'avoir de nouvelles personnes à qui parler, mais des tensions survinrent rapidement dans le groupe, forcé de vivre dans un environnement restreint. Après avoir partagé sa chambre avec Pfeffer, elle le trouva insupportable, et elle se disputa avec Augusta van Pels, qu'elle considérait comme étant idiote. Sa relation avec sa mère était tendue et Anne écrivit qu'elles avaient peu de choses en commun car sa mère était trop distante. Bien qu'elle ait parfois eu des disputes avec Margot, elle écrit à propos du lien inattendu qui se développa entre elles, bien qu'elle restât émotionnellement plus proche de son père. Quelques temps plus tard, après avoir d'abord écarté les avances du timide et maladroit Peter van Pels, elle s'aperçut de ses sentiments naissants pour Peter et ils eurent une liaison.

    Anne passait l'essentiel de son temps à lire et étudier, tout en continuant à écrire son journal. En plus de fournir une description des évènements dans leur ordre chronologique, elle écrivit également à propos de ses sentiments, sa peur de vivre cachée, ses croyances, ses ambitions parmi lesquelles celle de devenir écrivain, des thèmes qu'elle pensait ne pouvoir partager avec personne. À mesure que sa confiance dans son style d'écriture grandissait et qu'elle devenait plus mature, les sujets qu'elle aborda devinrent plus abstraits, comme sa croyance en Dieu et la manière dont elle définissait la nature humaine. Jusqu'au printemps 1944, elle écrivit ses lettres pour elle seule, jusqu'au moment où elle entendit, à la radio de Londres, le ministre de l'Éducation du gouvernement néerlandais en exil dire qu'après la guerre il faudrait rassembler et publier tout ce qui avait trait aux souffrances du peuple néerlandais pendant l'occupation allemande. Il citait à titre d'exemple, entre autres, les journaux intimes. « Frappée par ce discours, Anne décida de publier un livre après la guerre, son journal devant servir de base. Elle commença à recopier et réécrire celui-ci, corrigeant et supprimant les passages qu'elle considérait comme peu intéressants, ou en ajoutant d'autres en puisant dans sa mémoire. » Parallèlement, elle continua à écrire régulièrement son journal originel jusqu'à sa dernière lettre qui date du 1er août 1944.


    Arrestation et déportation vers les camps de concentration
    Le matin du 4 août 1944 l'Annexe fut envahie par les services de sécurité de la police allemande (Grüne Polizei) suite à l’indication d'un informateur qui n'a jamais été identifié. Conduit par le Schutzstaffel Oberscharführer Karl Silberbauer du Sicherheitsdienst, le groupe comprenait au moins trois membres des services de sécurité de la police. Lorsque Silberbauer entre dans la maison, il semble savoir précisément où il doit se rendre. Il se dirige droit vers la "porte-bibliothèque" pivotante qui cache la porte d'accès à l'Annexe et exige qu'on l'ouvre. Silberbauer posta quelques hommes dans l'Annexe en attendant l'arrivée d'un véhicule pour emmener les clandestins. Alors qu'il interrogeait Otto Frank, Silberbauer vit une sacoche en cuir dont il vida le contenu par terre, sans doute dans l'idée de trouver des bijoux. Mais elle ne contenait que des feuilles de papier. Il s'agissait d'une partie du journal d'Anne. Les occupants furent embarqués dans des camions et emmenés pour être interrogés. Victor Kugler et Johannes Kleiman furent emportés puis mis en prison, Miep Gies et Bep Voskuijl n'étant laissés en liberté. Plus tard ils revinrent à l'Annexe où ils trouvèrent les écrits d'Anne, plus de 300 pages manuscrites, éparpillées sur le sol. Ils les récupérèrent ainsi que plusieurs albums de famille et Gies décida de les rendre à Anne après la guerre.

    Les occupants de l'Annexe furent transportés au quartier général de la Gestapo où ils furent interrogés et détenus toute la nuit. Le 5 août ils furent transférés à la Huis van Bewaring (maison de détention), une prison surpeuplée sur le Weteringschans. Deux jours plus tard les huit prisonniers juifs furent transportés à Westerbork, un camp de transit situé aux Pays-Bas. À l'époque plus de 100.000 juifs y transitèrent. Ayant été arrêtés alors qu'ils se cachaient, ils étaient considérés comme criminels et furent donc envoyés aux baraquements de punition pour réaliser de lourds travaux.

    Le 3 septembre, le groupe fut déporté avec ce qui fut le dernier convoi de Westerbork vers le camp d'extermination d'Auschwitz. Ils y arrivèrent dans la nuit du 5 au 6 septembre 1944, après un voyage de trois jours, puis furent séparés selon leur sexe, de sorte que les femmes et les hommes ainsi séparés ne se revirent jamais. Sur les 1019 passagers du convoi, 549 personnes dont la totalité des enfants âgés de moins de quinze ans, furent envoyés directement dans les chambres à gaz où ils moururent. Anne avait eu ses quinze ans trois mois plus tôt et fut épargnée, et bien que tous les membres de l'Annexe survécurent à cette sélection, Anne crut alors que son père avait été tué.

    Avec d'autres femmes non sélectionnées pour une mort immédiate, Anne fut forcée de se dévêtir pour être désinfectée, avoir sa tête rasée au plus court et enfin être tatouée avec un numéro d'identification sur son bras. Le jour, les femmes étaient utilisées comme travailleuses esclaves ; la nuit, elles étaient enfermées dans des baraquements bondés et glacials. Les maladies foisonnaient et sous peu la peau d'Anne devint sérieusement infectée par la gale.

    Le 28 octobre, de nouvelles sélections commencèrent parmi les femmes pour être relogées à Bergen-Belsen. Plus de 8000 d'entre elles, dont Anne, Margot Frank et Auguste van Pels, furent ainsi déplacées, mais Edith Frank resta à Auschwitz. Des tentes furent dressées pour parer à l'afflux de prisonniers, parmi lesquelles Anne et Margot, et à mesure que la population s'accrut, le taux de mortalité dû aux nombreuses maladies augmenta rapidement. Anne fut brièvement réunie avec deux amies, Hanneli Goslar (surnommée "Lies" dans le journal) et Nanette Blitz, qui survécurent toutes deux à la guerre. Blitz décrivit par la suite Anne comme étant chauve, tremblante, les traits émaciés. Goslar dit que bien qu'Anne était elle-même malade, elle lui dit qu'elle était plus inquiète pour Margot, dont la maladie semblait plus sérieuse et qui restait allongée sur sa couchette, trop faible pour marcher. Anne leur dit également qu'elle pensait que leurs parents étaient morts.

    En mars 1945, une épidémie de typhus se propagea dans le camp, tuant environ 17 000 prisonniers. Des témoins certifièrent que Margot tomba de sa couchette dans son état de faiblesse extrême et succomba au choc, et que quelques jours plus tard Anne mourut à son tour. Ils estimèrent que ceci se passa quelques semaines avant que le camp ne soit libéré par les troupes britanniques le 15 avril 1945, et bien que les dates exactes ne furent pas conservées, il est généralement reconnu que cela eu lieu entre la fin février et le milieu du mois de mars. Dans son livre, "Les Septs Derniers Mois d'Anne Frank" (Stock, 1989), Hanneli Gosslar, raconte comment elle a croisé Anne dans le camp de Bergen-Belsen, aux derniers jours de sa vie.

    Après la guerre, il fut estimé que sur les 110 000 juifs déportés des Pays-Bas pendant l'occupation nazie, seuls 5 000 avaient survécu.

    Edith Frank, la mère d’Anne, tomba malade et mourut de faim et d'épuisement à Auschwitz-Birkenau le 6 janvier 1945. Hermann van Pels fut gazé en septembre 1944 à Auschwitz-Birkenau, Fritz Pfeffer tomba malade et mourut d'épuisement le 20 décembre 1944 à Neuengamme, Augusta van Pels mourut en avril 1945 à Theresienstadt, Peter van Pels mourut le 5 mai 1945 dans le camp de Mauthausen. Seul Otto Frank, le père d'Anne, survécut au camp d'extermination d'Auschwitz. Il décéda à Bâle (Suisse) en 1980 à l'âge de 91 ans. Après la guerre, lorsqu'il n'y eut plus de doutes sur le décès d'Anne, Miep Gies lui donna le journal de sa fille qu'il fit éditer sous le titre de Le journal d'Anne Frank.

     

     


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