• Née le 30 Mars 1882, Ema Jung, Psychanaliste, épouse de Car Gustav Jung, Bélier ascendant Scorpion

    Née le 30 Mars 1882, Ema Jung, Psychanaliste, épouse de Car Gustav Jung, Bélier ascendant Scorpion

    Belier , l'action  ,

    ascendant scorpion au service du travail alchimique interieur,

    Lune en Lion , en se ressourcant dans l'amour ,

    motivée Venus Belier conjointe au soleil , par le rayonnement de  l'authenticité 

    Mars Cancer Maison huit , Action dans la plongée des mondes invisibles de la conscience grâce à une profonde intuition féminine , Escalibur et le Graal ne peuvent se comprendre que par ce chemin d'alchimie interieure

    Un merveilleux Uranus en Vierge au Milieu du ciel éclairant en guide son observatoire de conscience pour le mettre au service des autres

    Un puissant amas en Taureau en maison 6 qui va la dotée d'une aisance materielle qui va etre utilisée ...pour le pire et le meilleur au service de la psychanalise

     

    Et un mercure plein de capacité d'acces aux reves et aux symboles en poissons , maison 3 , outil de communication compassionnel et empathique avec les proches

     

     

     

    Née le 30 Mars 1882, Ema Jung, Psychanaliste, épouse de Car Gustav Jung, Bélier ascendant Scorpion

    Elements de sa bio dans wikepedia ; il doit y avoir mieux ...en attendant : Emma Rauschenbach appartenait à une famille d'ancienne souche Suisse alémanique de riches industriels. Sa fortune allait procurer à Carl Jung la liberté financière nécessaire à la poursuite de ses travaux dans ses domaines d'intérêts. Ils se connurent alors qu'elle était âgée de seize ans (ou quinze selon les sources) et lui de vingt-et-un, se marièrent le jour de la Saint-Valentin, le 14 février 1903, sept ans après leur rencontre et eurent ensemble cinq enfants : Agathe, Gret, Franz, Marianne et Helene.

    Plusieurs rêves inhabituels faits par Carl Jung à cette époque furent interprétés en 1906 par Freud comme emblématiques de l'échec du mariage d'intérêt financier (das Scheitern einer Geldheirat).

    Emma Jung manifesta un vif intérêt pour les travaux de son mari mais fut elle-même une thérapeute ayant sa sensibilité propre, influencée par la légende du Graal. Bien qu'étant déjà psychothérapeute avant leur union et entretenant une correspondance séparée avec Sigmund Freud, son indépendance vis-à-vis de son mari dans ce domaine est fortement contestée.

    Vers l'époque de la naissance de leur cinquième et dernier enfant, en 1914, Carl Jung entame une liason avec une de ses jeunes patientes, Toni Wolff, qui se prolongera durant plusieurs décennies. Dans sa biographie de Carl Jung, Deirdre Bair dépeint Emma supportant avec noblesse le fait que son mari insiste pour que Toni Wolf fasse partie de la maisonnée en disant q'elle était « sa seconde femme ». Toni tenta sans succès de persuader Jung de divorcer. Une de ses collègues, Sabina Spielrein, avait été l'amante de Carl Jung et tenait un journal afin de documenter leur relation contestée par certains mais dont Jung avait tout de même parlé à Freud

    À la mort d'Emma, Carl Jung grava sur une pierre : « Elle était la fondation de ma maison. » On dit aussi qu'il s'écria en la pleurant : « C'était une reine! C'était une reine! » (Sie war eine Königin! Sie war eine Königin!). L'épitaphe laissée par Jung sur la tombe d'Emma est la suivante "Ô vase, signe de dévotion et d'obéissance."

     

    Achat du livre La légende du graal de Emma Jung et Marie-Louise von FranzLa légende du Graal

    La légende du Graal (Marie-Louise von Franz)Huit siècles après avoir enchanté et nourri les rêves du poète médiéval, le Graal nous fascine toujours par son mystère. Cratère de l'initiation dans la tradition primitive, chaudron magique dans la mythologie celtique, le Graal devient au cours du Moyen Age chrétien, tantôt la coupe contenant le sang du Christ, tantôt le vase mystique ou la Pierre des Philosophes. Souvent, il est identifié à la Sagesse présente dans le cœur du Christ ou au Mercure alchimique. Ce symbole d'une si grande richesse ne désigne-t'il pas le trésor caché dans l'âme humaine ?

    A la lumière de la psychologie des profondeurs de C.G. Jung, se dévoile progressivement, dans cet ouvrage, la signification essentielle de la Quête, et avec elle, celles de l'épée, de la lance qui saigne, du roi souffrant, des chevaliers de la Table Ronde... et du Graal.

    Drame spécifique de l'ère chrétienne - l'ère des Poissons -- confrontée aux problèmes du mal (l'ombre), et de la femme (l'anima), la Quête du Graal constitue aussi, et surtout, une image de cette lente et douloureuse maturation intérieure que Jung appelle le processus d'individuation. Se mettre en quête, ne serait-ce pas en définitive s'ouvrir à la réalisation du Soi, autrement dit accueillir en son vase intérieur l'incarnation de la divinité ? Dans cette perspective, le Graal annonce l'ère du Verseau et le vase de Ganymède qui arrosera la terre de son eau d'immortalité.

    Auteurs : Emma Jung et Marie-Louise von Franz
    Traduction par Marc Hagenbourger et Anne Berthoud - Éditions Albin Michel, 400 pages.

    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :