• Biographie de Charles Dickens

     

    Né le 7 Février 1812 , Charles Dickens , Verseau ascendant Vierge

     

     

     

    Charles Dickens : astrologie et thème astral

    Né le : 7 février 1812 à 19h50
    à : Portsmouth (Royaume-Uni)
    Soleil : 17°58' Verseau AS : 18°46' Vierge
    Lune : 12°36' Sagittaire MC : 15°27' Gémeaux
    Dominantes : Poissons, Sagittaire, Capricorne
    Vénus, Pluton, Mercure
    Maisons 3, 6, 5 / Terre, Feu / Mutable
    Numérologie : chemin de vie 3
    Taille : Charles Dickens mesure 1m73 (5' 8")
    Popularité : 18 556 clics, 734e homme, 1 295e célébrité
     
     

    Célébrités ayant la même date anniversaire : Julien Courbet, Ashton Kutcher, Juliette Gréco, James Spader, Chris Rock, Eddie Izzard, Victor Webster, Garth Brooks, Laura Ingalls Wilder, Gay Talese, Alfred Adler, Maya Del Mar... Voir toutes les célébrités nées un 7 février.

    Charles Dickens, né à Portsmouth (Hampshire) le 7 février 1812, mort à Gadshill (Kent) le 9 juin 1870, est un écrivain britannique.

    Issu d'une famille peu fortunée, Charles Dickens est né à Landport un petit faubourg de Portsmouth. C'est un enfant malheureux car son père entre en prison à cause des dettes alors qu'il n'a que 12 ans.

    À la sortie de l'école, il entre dans un cabinet juridique et, poussé par une grande curiosité intellectuelle, fréquente assidûment les salles de lecture. Employé comme sténographe dans une revue, il se fait rapidement remarquer. En 1837, avec Les Aventures de M. Pickwick, chef-d'œuvre de l'humour britannique, le succès est immédiat. Dès lors, il partage sa vie entre la littérature et les voyages.

    Il meurt, riche et célèbre, à cinquante-huit ans. Écrivain engagé, Dickens a su concilier - grâce à un talent de conteur indéniable - condamnation de la misère et de l'exploitation industrielle et description de petits tableaux de la vie quotidienne, bourrés d'humour. Ses personnages caractéristiques et inoubliables ont fait de lui un écrivain très populaire, une figure centrale de la littérature du XIXe siècle.

     



    Œuvres

     



    La Maison d'Âpre-vent
    Le Conte de deux cités
    Esquisse par Boz (1833-1836)
    Les Papiers posthumes du Pickwick Club (1836-1837)
    Oliver Twist (1837-1838), adapté plusieurs fois au cinema et traduit plusieurs fois

     


    Les Mémoires de Joseph Grimaldi (1838)
    La Vie et les aventures de Nicolas Nickleby (1838-1839)
    Le Pendule de Maître Humphrey (1840-1841)
    Le Magasin d’antiquités (1841)
    Barnabé Rudge (1841)
    Notes américaines (1842)
    La Vie et les aventures de Martin Chuzzlewit (1843-1844)
    Un chant de Noël (1843)


    Les Carillons (1844)
    Le Grillon du foyer (1845)
    La Bataille de la vie (1846)
    Dombey et fils (1846-1848)
    L’Homme au spectre (1848)
    David Copperfield (1849-1850)
    L’Arbre de Noël (1850)
    Bleak House (1852-1853)
    Les Temps difficiles (1854)
    La Petite Dorritt (1855-1857)
    Le Pauvre voyageur (1858)
    Paris et Londres en 1793 (1859)
    Message venu de la mer (1860)
    Les Grandes Espérances (1861)

     


    La Terre de Tom Tiddler (1851)
    Notre ami commun (1864-1865)
    Le Docteur Marigold (1865)
    L’Embranchement de Mugby (1866)
    L’Abîme (1867)
    Le Mystère d’Edwin Drood (1870), inachevé
    Discours et lettres (1870)
    Pièces de théâtre et poésies (1885)
    Correspondance (1886 et 1938)

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    Source : Wikipedia

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  • Biographie de Bob Marley

    Nesta Robert Marley dit Bob Marley, chanteur de reggae né à Nine Miles, paroisse de Saint Ann (Jamaïque) le 6 février 1945 et décédé d'un cancer à Miami (Floride, États-Unis d'Amérique) le 11 mai 1981.

    Né le : 6 février 1945 à 02h30
    à : Kingston (Jamaïque)
    Soleil : 17°10' Verseau AS : 15°19' Sagittaire
    Lune : 27°12' Scorpion MC : 21°06' Vierge
    Dominantes : Vierge, Verseau, Sagittaire
    Jupiter, Uranus, Mercure
    Maisons 10, 2, 6 / Terre, Air / Mutable
    Astrologie Chinoise : Singe de Bois
    Numérologie : chemin de vie 9
    Taille : Bob Marley mesure 1m72 (5' 7½")
    Popularité : 82 196 clics, 73e homme, 149e célébrité
     
     

    Célébrités ayant la même date anniversaire : Axl Rose, Ronald Reagan, Eva Braun, François Truffaut, Zsa Zsa Gabor, Florence Aubenas, Jacques Villeret, Babe Ruth, Kris Humphries, Christine Boutin, Patrick Macnee, Mamie van Doren... Voir toutes les célébrités nées un 6 février.

     


    Biographie
    Bob Marley, de son vrai nom Nesta Robert Marley est né le 6 Février 1945 à Rhoden Hall près de Nine Mile dans le département de Saint Ann (Jamaïque) d'une mère jamaïcaine noire âgée de 18 ans, Cedella Marley Booker, née Malcolm, et d'un père jamaïcain blanc d'origine anglaise et plus lointainement juive syrienne, superviseur à cheval des travaux des champs et âgé d'une cinquantaine d'années, Norval Marley, qu'il n'a que très peu connu. Les parents de Norval Marley n'acceptaient apparemment pas sa liaison avec une femme noire, et Norval, décrit par Cedella comme un homme gentil, mais de faible caractère, aurait été rejeté par sa famille. Bob Marley souffre de l'absence de son père, qui le fait venir à la capitale pour étudier quand il a cinq ou six ans. Sans nouvelles, sa mère le retrouvera des mois plus tard dans une rue de Kingston : son fils avait été confié à une vieille dame, pour qui il faisait les courses. Cedella reprend son enfant et voit Norval une dernière fois. Fatigué de ses (trop) nombreuses tournées, malade, il décèdera à Miami en 1981.


    Période Ska
    À son adolescence, Nesta quitte la misère de la campagne pour celle du ghetto de Trenchtown à Kingston. Il y rencontre Neville Livingston dit Bunny Wailer et Winston Hubert McIntosh dit Peter Tosh, avec qui il chante des cantiques et des succès de soul américaine qu'ils entendent sur les radios de Miami. Le chanteur Joe Higgs leur donne des cours de chant. Bob Marley enregistre pour le producteur Leslie Kong ses deux premiers titres Judge Not et une reprise d'un succès de country & western de Claude Gray, One Cup of Coffee en 1962 alors qu'il est âgé de 17 ans. Ces titres ska n'ont aucun succès mais Bob continue de s'investir dans la musique.

    En 1963, il forme avec Junior Braithwaite, Peter Tosh et Bunny Wailer le groupe The Wailers » (les gémisseurs). Ils obtiennent un contrat avec Studio One et leurs premiers morceaux de ska, gospel, rhythm and blues et soul sont produits par le grand producteur local Clement "Sir Coxsone" Dodd, qui a pour assistant en studio Lee "Scratch" Perry (Scratch assure aussi la promotion). Bob quitte son métier de soudeur. Après l'album "The Wailin' Wailers", le trio se sépare de Coxsone, qui ne leur a pas versé grand chose en contrepartie de la centaine de titres qu'ils ont enregistré pour lui (dont plusieurs succès, comme Simmer Down et Put it On).


    Période Rocksteady
    Après son mariage avec Rita Anderson début 1966, Bob Marley part rejoindre sa mère, remariée avec un Jamaïcain nommé Booker à Wilmington, Delaware, aux USA. Bob travaille à l'hôtel Dupont, mais continue à écrire des chansons. Il est provisoirement remplacé par Constantine "Dream" Walker. À son retour après l'été 1966, il s'intéresse de plus en plus au mouvement rastafari, qui a émergé dans les années 30 en Jamaïque, et fonde avec Peter Tosh et Bunny Livingston le label indépendant Wail'n Soul'm. Leur premier titre autoproduit dans le nouveau style rocksteady s'intitule Bend Down Low.

    À Kingston, c'est Mortimer Planno, un rasta jamaïcain d'origine cubaine qui a voyagé en Éthiopie et rencontré Haïlé Sélassié Ier au début des années 60 qui lui transmet une partie de sa culture rasta. Sans le soutien d'un distributeur professionnel, ses disques se vendent très mal, et Marley est trop pauvre pour vivre en ville avec sa femme Rita et ses deux enfants Cedella et Ziggy. Il retourne dans son village natal en 1967 pour un ressourcement spirituel, mais continue à enregistrer et à publier nombre de 45 tours obscurs pour sa petite marque Wail'n Soul'm, comme les futurs classiques Hypocrites et Nice Time qui sortent sous le nom de Bob Marley & the Wailers.

    Rita, Bob Marley et Peter Tosh rencontrent en janvier 1968 le chanteur américain Johnny Nash, qui est décidé à lancer le style rocksteady aux États-Unis, et son manager Danny Sims, avec qui ils signent un contrat international exclusif pour les disques et éditions JAD. Bob leur fournit quantité de compositions inédites, dont Stir It Up, qui deviendra bientôt un succès pour Nash. Johnny Nash a beaucoup de succès avec le rocksteady (tube américain "Hold Me Tight" en 1968), mais l'album de Bob Marley & the Wailers qu'il a financé ne sort pas (il ne sera finalement publié qu'en 1997 chez JAD). Seule une nouvelle version de Bend Down Low avec des cuivres américains ajoutés à New York sort en France et au Canada (JAD-CBS) en 1968, mais sans aucun succès. Bob Marley écrit parallèlement son premier morceau rasta, Selassie Is the Chapel en 1968. Cet enregistrement important, dans le style nyahbinghi (tambours rastas), est financé par Mortimo Planno, qui en interprète la face B, A Little Prayer. Quelques producteurs locaux se succèdent, mais le trio vocal n'a plus aucun succès depuis son départ du giron de Coxsone Dodd.


    Le Reggae
    Sans ressources, Bob repart aux États-Unis rejoindre sa mère en 1969. Il travaille plusieurs mois de nuit dans une usine automobile Chrysler. Sa femme et ses jeunes enfants les rejoignent. À son retour, il fonde les disques Tuff Gong, du nom de son surnom du ghetto (dérivé du surnom de Leonard Howell, le "Gong" fondateur du mouvement rastafari), et enregistre une reprise de James Brown (Say It Loud) I'm Black and I'm Proud rebaptisée Black Progress dans le nouveau style reggae avec de jeunes musiciens brillants, les frères Carlton (à la batterie) et Aston "Family Man" Barrett (à la basse) qui ne le quitteront plus. Mais les disques indépendants Tuff Gong n'ont toujours aucun succès. Marley va voir son vieil ami Lee "Scratch" Perry qui fin 1969 a été chanter en Angleterre accompagné par les frères Barrett sous le nom des Upsetters. Perry a obtenu un succès anglais avec l'instrumental The Return of Django et accepte de produire le trio vocal Bob Marley & the Wailers. Ils collaboreront jusqu'en 1977. Perry donne une nouvelle couleur au groupe, qui enregistre plusieurs chefs-d'œuvre avec lui, dont Duppy Conqueror, Sun Is Shining, Soul Rebel, Kaya et le (I've Gotta) Keep on Moving de Curtis Mayfield. Il en publiera certains sur l'album "Soul Rebels" sorti en Angleterre en 1973 chez Trojan.

    Toujours sans succès, Bob Marley & the Wailers gravent une dizaine de chansons avec l'équipe de musiciens de Leslie Kong, un producteur jamaïcain (Kong avait déjà produit les deux premiers 45 tours solo de Marley en 1962) qui a du succès en Angleterre grâce à un son professionnel capable de percer sur le marché britannique (disques Trojan à Londres). Il publiera ces titres en 1971 sous le nom de "The Best of the Wailers". Bunny Wailer, superstitieux, pense que leur « meilleur » est encore à venir et lui lance une malédiction. Leslie Kong décède peu après d'une crise cardiaque, et le trio ne touche aucun argent. Marley rejoint l'organisation rasta des Douze Tribus d'Israel fondée par Prophet Gad, alias Vernon Carrington. Ils continuent à alterner les autoproductions pour Tuff Gong et les séances financées par Lee "Scratch" Perry pour sa marque Upsetter. Malgré la qualité de leur travail prolifique, ils n'ont aucun succès local jusqu'à leur autoproduction Trench Town Rock (Tuff Gong 1971).

    À la demande de Johnny Nash qui cherche des compositions pour la bande du film suédois Love Is Not a Game dans lequel il joue le rôle principal, Bob Marley part à Stockholm en 1971. Il y écrit plusieurs morceaux, et collabore à la bande du film. Nash signe alors avec les disques CBS à Londres où il enregistre le plus gros succès de sa carrière, I Can See Clearly Now. Marley l'a rejoint, et signe lui aussi avec CBS grace à Nash et son manager, avec qui il est toujours sous contrat. Comme l'album de Nash, le 45 tours Reggae on Broadway sort en 1972, mais Marley n'a aucun succès. Le son et les musiciens anglais apportés par Nash ne lui conviennent pas. Quelques concerts à Londres avec les frères Barrett sont organisés en première partie de Nash, mais sans succès. Nash part vers la gloire et abandonne son poulain. Marley contacte alors Chris Blackwell, le patron des labels Trojan et Island Records. Blackwell a déjà distribué en Angleterre les disques Beverley's de Leslie Kong, et connaît le nom de Marley. Il rachète le contrat de production à Danny Sims, et confie de l'argent à Bob, qui part enregistrer à Kingston. À ce point charnière de sa carrière, Bob Marley a déjà contribué à au moins 350 morceaux enregistrés en studio (dont une trentaine environ en tant que choriste), dont une grande partie ne seront révélés au public international que très tardivement, bien après sa mort, notamment dans la série de onze CDs "The Complete Bob Marley & the Wailers 1967-1972" (Jad) parue entre 1998 et 2003. Marley réenregistrera par la suite une partie de ces compositions, comme Satisfy my Soul, Sun Is Shining ou Lively Up Yourself.


    Le succès
    À la suggestion de Blackwell, les deux premiers albums pour Island sont remixés à Londres, où des solos de guitare sont ajoutés, ainsi que des parties de claviers qui apportent un son plus accessible au grand public. Ils sortent chez Island sous le nom des Wailers en 1973, mais après une tournée anglaise Bunny Wailer quitte le groupe, remplacé par Joe Higgs pour la tournée suivante (album "Talking Blues"), puis c'est Peter Tosh qui s'en va, laissant Bob à sa carrière solo. Le trio vocal féminin the I Three avec Rita Marley, Marcia Griffiths et Judy Mowatt prend en charge les chœurs. Le nom des Wailers sera désormais celui de ses accompagnateurs, parmi lesquels les frères Barrett (basse et batterie), les claviéristes Earl "Wire" Lindo et Tyrone Downie, le guitariste Earl "Chinna" Smith, l'harmoniciste Lee Jaffee et le percussioniste Alvin "Seeco" Patterson. Son premier album est le chef-d'œuvre « Natty Dread », dans lequel il incorpore une influence blues avec le guitariste américain Al Anderson. Un autre guitariste soliste américain, Junior Marvin, est ensuite engagé. Suivront le « Live! » enregistré le 18 juillet 1975 à Londres, qui contient son premier succès international No Woman No Cry où il console une femme affectée par la violence des ghettos, puis l'essentiel "Rastaman Vibration" (1976) qui sera le disque de Bob le plus vendu de son vivant, et son premier succès américain.

    Le 3 décembre 1976 à Kingston, peu avant le grand concert en plein air "Smile Jamaica", Bob Marley échappe à une fusillade déclenchée à son domicile par six hommes armés. Il reçoit une balle dans le bras et une dans la poitrine tandis qu'une autre touche Rita à la tête. Don Taylor, leur manager américain, en sort très gravement blessé de six balles. Parmi les agresseurs, des membres des Wailers reconnaissent Jim Brown, un tueur proche du parti de droite pro-américain, le JLP.

    Deux jours après l'attentat, courageusement Bob Marley participe comme prévu au concert Smile Jamaica à Kingston. Family Man Barrett, caché dans les collines, est remplacé ce jour-là par Cat Coore de Third World. Bob montre ses bandages à la foule. Il ne se sent plus en sécurité en Jamaïque et part en exil en janvier 1977. Il fait escale à Nassau, puis se réfugie à Londres. Il y enregistre les albums à succès « Exodus » et « Kaya » ainsi que le single Punky Reggae Party avec Lee Scratch Perry, qui scelle un pacte rebelle avec le mouvement punk anglais en plein essor. Les titres Jamming, Waiting in Vain notamment sont des tubes mondiaux. Sa relation avec la Jamaïcaine Cindy Breakspeare, Miss Monde 1976, contribue à le projeter à la une des médias.

    En mai 1977, une blessure au gros orteil faite en jouant au football se rouvre lors d'un match amical à l'hotel Hilton de Paris. Le médecin lui suggère des analyses. Le diagnostic est réalisé à Londres : Bob Marley souffre d'un mélanome malin (cancer de la peau), sans doute dû à une trop longue exposition au soleil. On lui prescrit une amputation urgente de l'orteil, mais un mélange de superstition de son entourage, de pression en pleine tournée européenne où il rencontre enfin son public, et sans doute une forte consommation de chanvre contribuent à retarder l'opération.

    En avril 1978, Bob Marley & the Wailers font un retour triomphal en Jamaïque. Lors du One Love Peace Concert, Bob parvient à réunir sur scène les deux ennemis politiques qui se disputent le pouvoir, Edward Seaga (JLP) et le Premier Ministre Michael Manley (PNP). C'est le sommet de sa carrière. Sans arrêt en tournée, Bob Marley & the Wailers enregistrent l'album en public "Babylon by Bus" au Pavillon de Paris de la porte de Pantin en 1978. Bob fait alors construire son studio, Tuff Gong, où il enregistre l'album "Survival". Les succès se multiplient. Ils vont jouer jusqu'en Nouvelle Zélande, où ils sont accueillis chaleureusement par les Maoris.

    En 1980, après une perte de connaissance, Bob Marley passe un examen aux rayons X où l'on voit cinq tumeurs, trois au cerveau, une aux poumons et une à l'estomac. Il ne dit rien à son entourage et joue un dernier concert enregistré à Pittsburgh. Bob part ensuite pour une clinique de Bavière où il suit un traitement original avec un ancien médecin nazi, le docteur Josef Issels qui prolonge sa vie au prix de dures souffrances. Le cancer se généralise.

    À la fin de sa vie, Bob Marley se convertit à l'Église orthodoxe éthiopienne, dont la plus haute autorité était feu l'empereur d'Éthiopie Haïlé Sélassié Ier (Jah Live), considéré par les rastas comme étant la réincarnation de Jésus annoncée dans l'Apocalypse ("le roi des rois, seigneur des seigneurs"). Il souhaitait finir ses jours en Jamaïque mais décède à Miami le 11 mai 1981, trop faible pour faire le voyage en avion jusqu'à Kingston.

     

    Source : Wikipedia

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  • Belphegor I part1 par bigarnex

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    Belphegor I part2 par bigarnex

     


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    Belphegor I part4 par bigarnex

     

     

     

     

    Née le : 7 février 1927 à 21h00
    à : Montpellier (France)
    Soleil : 18°06' Verseau AS : 4°31' Balance
    Lune : 3°38' Taureau MC : 5°22' Cancer
    Dominantes : Poissons, Taureau, Verseau
    Vénus, Lune, Uranus
    Maisons 5, 8, 6 / Eau, Air / Fixe
    Astrologie Chinoise : Chat de Feu
    Numérologie : chemin de vie 1
    Taille : Juliette Gréco mesure 1m65 (5' 5")
    Popularité : 29 768 clics, 277e femme, 631e célébrité
     
     

    Célébrités ayant la même date anniversaire : Julien Courbet, Ashton Kutcher, James Spader, Chris Rock, Charles Dickens, Eddie Izzard, Victor Webster, Garth Brooks, Laura Ingalls Wilder, Gay Talese, Alfred Adler, Maya Del Mar... Voir toutes les célébrités nées un 7 février.

     

    Née un 7 février , Juliette Greco, Verseau ascendant Balance

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Belphégor ou le Fantôme du Louvre ou Belphégor est une mini-série française en 4 « époques » (épisodes) de 70 minutes, en noir et blanc, créée, écrite et dirigée par Claude Barma, adaptée par Jacques Armand d'après le roman d'Arthur Bernède. Elle a été diffusée pour la première fois entre les 6 et 27 mars 1965 sur la première chaîne de l'ORTF.

     

     

    Synopsis[modifier | modifier le code]

    Un fantôme hante mystérieusement le département égyptologie du Musée du Louvre, des morts suspectes se multiplient. Un jeune étudiant, André Bellegarde, se lance à la poursuite de Belphégor dans une enquête pleine de rebondissements.

    Ce feuilleton est aussi un témoignage sur la vie quotidienne à Paris dans les années 1960. Avec les Puces, le Louvre d'avant la pyramide, les rues de Paris… Mais aussi sur les intérieurs de Français moyens ou les habitudes télévisuelles de l'époque : c'est ainsi que quand le personnage appelé Williams étrangle sa mère qui est une personne âgée, cela se fait hors champ.

    Episode 1 : le fantôme du Louvre[modifier | modifier le code]

    En pleine nuit, le gardien Gautrais a vu apparaître un fantôme dans les salles d'antiquité égyptienne du Louvre. Il lui a tiré dessus sans aucun effet. Le fantôme s'est intéressé à la statue du dieu moabite Belphégor.

    La nuit suivante, les gardiens montent une garde renforcée. Mais le gardien chef Sabourel est retrouvé mort.

    Le jeune étudiant André Bellegarde se fait enfermer dans le Louvre avec Colette, une jeune fille qu'il a rencontrée et qui se révèlera être la fille du commissaire Ménardier.

    Il voit un enfant faire quelque chose sur la statue de Belphégor. Le fantôme agresse légèrement André, mais surpris par les surveillants et le commissaire, il réussit à s'enfuir.

    André Bellegarde, devenu célèbre, se fait draguer par une femme mystérieuse, Laurence Borel qui rend jalouse Colette.

    Le commissaire Ménardier est invité dans une grande et mystérieuse maison du Vésinet habitée par une vieille dame, ancienne chanteuse, Lady Holdwin qui l'invite (en vain) à abandonner ses recherches sur Belphégor en proférant des menaces contre sa fille.

    Alors que Colette et André sortent du cinéma, la jeune fille se fait agresser.

    Episode 2 : Le Secret du Louvre[modifier | modifier le code]

    Le commissaire veut faire inculper lady Holdwin, mais doit la libérer suite à l'intervention de l'ambassade de Grande-Bretagne.

    Une nuit, il veille dans le musée, voit le fantôme, également appelé Belphégor comme la statue, mais l'enfant qui l'accompagne lui jette un filet qui l'immobilise et permet au fantôme de fuir.

    Laurence fait inviter André à un dîner mondain pour le présenter à un personnage riche assez mystérieux, Williams.

    Colette se fait enlever, est emmenée à la tour Eiffel où elle est menacée d'être précipitée du 3e étage afin de faire pression sur le commissaire.

    Par hasard, le gardien Gautrais découvre que le fond d'un sarcophage est mobile. Avec Bellegarde, ils descendent et découvrent une pièce et des galeries sous les salles d'exposition.

    Ils surprennent Williams en train d'insuffler la vie à Belphégor et de l'envoyer vers le musée avec l'enfant pour "rapporter un secret". Ils remontent et surprennent Belphégor en train de faire des passes sur une statue et la rendre lumineuse. Le fantôme s'enfuit. André pense qu'il s'agit du "métal de Paracelse".

    André redescend seul dans les sous-sols pour en savoir plus.

    Sans nouvelle après trois jours, Gautrais refait jouer le mécanisme et découvre que les sous-sols sont inondés.

    André réapparaît alors dans un café, mais il refuse de dire quoi que ce soit.

    Episode 3 : Les Rose-Croix[modifier | modifier le code]

    André est interrogé par la police sur ses aventures, mais en vain. Le commissaire le fait surveiller en espérant une intervention de Belphégor qui permettrait de l'arrêter.

    Williams va voir Lady Holdwin qui cherche à protéger André et le commissaire et contrecarre ses plans. On apprend alors que c'est sa mère. Mais comme elle reste inflexible, il l'étrangle.

    Le commissaire part en province chez les parents de Laurence dont le mari est féru d'occultisme et qui montre que c'est la secte des Rose-Croix qui est à l'origine de l'affaire et de la découverte du métal de Paracelse. Il échappe à une tentative d'assassinat quand un arbre s'abat sur sa voiture.

    André échappe aussi à un assassinat quand il est poussé dans la Seine. Laurence lui explique que le secret des Rose-Croix a été découvert par Williams qui cherche à s'en emparer.

    Chez Laurence, André rencontre Stéphanie la sœur jumelle de Laurence dont il découvre l'existence. Belphégor vient chez Laurence. En le poursuivant, André se fait prendre et attacher à un wagon sur une gare de triage. Il en réchappe par chance.

    Le commissaire est remplacé et Laurence arrêtée et incarcérée, car Belphégor avait laissé son costume chez elle.

    Dans ses recherches, André se fait de nouveau prendre.

    Episode 4 : Le Rendez-vous du fantôme[modifier | modifier le code]

    De nouveau, André s'échappe. Williams révèle à Laurence qu'il est amoureux d'elle. Elle exige de voir Belphégor ou sinon menace de disparaître.

    Belphégor apparaît chez Laurence qui arrache le masque du fantôme pour découvrir sa sœur.

    André découvre la cachette de Williams, mais celui-ci réussit à s'enfuir.

    Belphégor envoie au commissaire un télégramme lui demandant de venir seul au Louvre. Il s'avère que Gautrais et André ont reçu le même. Ils entrent dans le Louvre et Belphégor apparaît. Quelqu'un lui tire dessus et il s'avère que c'était Stéphanie sous la robe de Belphégor. Elle est blessée. Le commissaire n'est pas dupe de la supercherie et part avec André à la recherche de Williams.

    Williams révèle à Laurence que c'est elle qui est Belphégor et a tué Sabourel. Elle se suicide. Williams est arrêté.

    André et Colette partent pour vivre ensemble libérés de toute cette histoire.

    Distribution[modifier | modifier le code]

    Fiche technique[modifier | modifier le code]

    Épisodes[modifier | modifier le code]

    Entre parenthèses figurent les dates de la diffusion originale.

    1. Le Louvre (6 mars 1965)
    2. Le Secret du Louvre (13 mars 1965)
    3. Les Rose-Croix (20 mars 1965)
    4. Le Rendez-vous du fantôme (27 mars 1965)

    Découpage alternatif[modifier | modifier le code]

    De durée totale proche de h 30 , le feuilleton est parfois découpé en 13 épisodes, avec les titres suivants

    1. Les Rendez-vous du fantôme
    2. Le Louvre
    3. Belphégor attaque
    4. Ménardier dans l'impasse
    5. Le guet-apens
    6. Le secret du Louvre
    7. La Veuve de 4 heures du matin
    8. Le secours aux noyés
    9. Bellegarde se fâche
    10. L'Homme au chien
    11. La Lumière noire
    12. P.-S. : Soyez là à minuit
    13. Le Voile se déchire

    Commentaires[modifier | modifier le code]

    Maison du Vésinet : la maison de Lady Hodwin
    La demeure de l'infâme Williams
    • Belphégor est joué par un mime, Isaac Alvarez. La seule possibilité de voir son vrai visage dans le feuilleton est de l'apercevoir lors d'un dîner auquel participe Bellegarde, dont il est un des majordomes.
    • Claude Barma a retravaillé le scénario pour y ajouter une touche d'ésotérisme et actualiser l'histoire. Ainsi dans le feuilleton, le but de Belphégor n'est plus de retrouver le trésor des Rois de France, mais de retrouver le métal de Paracelse, secret des Rose-Croix.
    • Dans le prologue qui introduit l'épisode 1, et de fait la série elle-même, le personnage du vieillard rencontré par André est une transposition française de Charles Fort, dont Jacques Bergier et Louis Pauwels parlent dans "Le Matin des magiciens" : collectionneur de "faits maudits" (y sont d'ailleurs cités ceux du "Livre des damnés") et partisan de la même philosophie.
    • Les salles du musée du Louvre furent recréées dans les studios de Saint-Maurice.
    • Une série animée inspirée du feuilleton a vu le jour en automne 2000 sur France 2, créée par Gérald Dupeyrot, réalisée par Jean-Christophe Roger, produite pour "Les Armateurs" par Mireille Roulé, dessinée par Frédéric Bézian.
    • Au cours de sa diffusion, l'audience atteint 10 millions de téléspectateurs.
    • C'est le Château de Médan qui a servi pour la demeure du diabolique Boris Williams.
    • C'est une maison du Vésinet, près du lac de Croissy, qui a servi pour les extérieurs de la maison de Lady Hodwin.
    • À la suite de son succès, après sa rediffusion en 1968, la série a été découpée en 13 épisodes, diffusés en 1978 sur Antenne 2[1].

    Voir aussi[modifier | modifier le code]

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

    Articles connexes[modifier | modifier le code]

    Adaptations cinématographiques[modifier | modifier le code]

    Références[modifier | modifier le code]

    1. Belphégor - L'Encyclopédie des séries TV [archive], sur Toutelatele.com (consulté le 2 novembre 2012)

    Liens externes[modifier | modifier le code]


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    Biographie d'Arthur Rubinstein

    Arthur Rubinstein (né le 9 février 1887 du calendrier grégorien (28 janvier 1887 en calendrier julien) à Łódź, Pologne - mort le 20 décembre 1982 à Genève) est le pianiste polonais virtuose le plus ovationné du XXe siècle. La source pour son heure de naissance est Penfield (via Matrix Astrology).

    Né dans une famille juive de Lodz, Arthur Rubinstein n'a aucun lien de parenté avec le célèbre pianiste et compositeur russe Anton Rubinstein (1829-1894).

    Il donne son premier concert dans sa ville natale en 1894, et, dès 1898, le violoniste Joachim le prend sous sa protection, et l’envoie étudier à la Hochschule für Musik de Berlin. Il débute sa carrière dans la capitale allemande, et commence très vite à jouer dans d’autres pays, notamment en Pologne. Pendant son adolescence, il ne va pas au lycée, mais son précepteur lui donne une culture si solide que, dès ses quatorze ans, il lit les littératures polonaise, russe, française, anglaise, et allemande dans le texte.

    En 1904, il se rend à Paris, où il rencontre Ravel, Dukas, et joue même le Second Concerto pour piano de Saint-Saëns en présence du compositeur. Pourtant, en 1908, endetté et profondément déprimé, il tente de mettre fin à ses jours. La tentative échoue. C’est le signe du destin. Dès lors débute une vraie carrière internationale entre les États-Unis, l’Australie, l’Italie, la Russie, et la Grande-Bretagne. Durant la première guerre mondiale, il vit surtout à Londres, et entame des tournées en Espagne et en Amérique du Sud, qui lui permettent de mieux connaître les compositeurs tels que Falla, Granados, Albeniz, ou même Villa-Lobos. Ce dernier lui dédie d’ailleurs une pièce.

    Mais il faut attendre les années 1930 pour que le pianiste jouisse vraiment d’une renommée internationale. En effet, jusqu’à cette date, les grands pianistes tels que Sergueï Rachmaninov ou Josef Hofmann font de l’ombre à Rubinstein, et plus globalement à tous les autres pianistes. Mais les années 1930 marquent la fin de carrière de ces deux géants, et laissent la place aux « jeunes ». Or, la plupart sont peu intéressants, et percutent le piano. Rubinstein, avec son tempérament romantique, trouve alors sa place : à la fois successeur des grands pianistes post-romantiques, et représentant d’une nouvelle génération.

    En 1932, le pianiste se retire quelques mois de la scène pour travailler sa technique et son répertoire.

    Durant la Seconde Guerre, il s’installe aux États-Unis, et devient citoyen américain à part entière en 1946.

    Puis il refuse à jamais de se produire à nouveau sur le sol allemand après l’Holocauste (en fait dès après le commencement de la guerre en 1914, il ne joua plus jamais en Allemagne comme le premier tome de son autobiographie l'affirme). Ce qui ne l’empêche pas de parcourir encore le monde durant trente ans, malgré un début de cécité qui se déclare en 1975. Son dernier concert a lieu en juin 1976 à Londres.

    Il publie sa biographie en 1980 avant de s'éteindre deux ans plus tard, toujours jeune et plein d'humour mais presque aveugle, à l'âge de 95 ans, à Genève en Suisse.

    À la question de Jacques Chancel lors de l'émission de télévision française Le Grand Échiquier qui lui est consacrée : « Croyez-vous à l'au-delà? », il répond: « Non, mais ça me ferait une bonne surprise! ».

    Le 20 décembre 1983 (premier anniversaire de sa mort), une urne contenant ses cendres est enterrée en Israël, sur un terrain dédié maintenant surnommé "Forêt Rubinstein" qui surplombe la forêt de Jérusalem. (Cela fut décidé avec les rabbins pour que la forêt principale ne tombe pas sous le coup des lois religieuses gouvernant les cimetières.) 

     



    Le style de Rubinstein

    Rubinstein est l'interprète inoubliable des Romantiques, promenant sur le clavier la grâce naturelle de son talent là où d'autres émergeaient à force de travail opiniâtre. Il contribue de façon majeure à faire sortir le compositeur Frédéric Chopin du ghetto sucré de « compositeur pour jeunes filles », dans lequel plusieurs générations d'interprétations malheureuses l'avaient confiné. Il propage par le disque, nouvellement apparu, une interprétation lyrique et sans fards qui tâcha de souligner, selon ses mots, « la magnifique qualité d'esprit virile qui se cachait en Chopin ».

    En effet, s’il garde l’esprit romantique, Rubinstein épure son style, et enlève tout le maniérisme qui peut émaner du jeu des pianistes comme Paderewski. Il garde les meilleurs éléments du courant romantique, mais en rejette les excès.

    Pour Rubinstein, l’interprète doit refléter le message du compositeur tout en l’interprétant. Car sinon, un robot pourrait tout aussi bien le faire. Dans cette optique, il jette un regard peu laudatif sur la jeune génération des années 1960 : dans une interview donnée en 1964, il critique ces jeunes, qui « sont trop précautionneux avec la musique, n’osent pas assez, et jouent automatiquement et pas assez avec leur cœur ». Rubinstein joue en effet avec son cœur, sans larmoiement. Ce qui est particulièrement appréciable dans des musiques, comme celles de Chopin, qui portent facilement à ce type de dérive. Le pianiste Eugen Indjic rapporte que Rubinstein supportait mal, surtout vers la fin de sa vie, que les temps ne soient pas respectés. Autrement dit, il existe une fine limite entre le rubato approprié, et le rubato de mauvais goût. Limite que Rubinstein ne franchissait pas.

    Son jeu très apprécié lui a permis d’obtenir de nombreuses récompenses, notamment un Grammy award pour ses interprétations de Beethoven et Schumann, mais aussi des Grammy awards récompensant ses interprétations en musique de chambre avec Pierre Fournier (violoncelle) et Henryk Szeryng (violon); le pianiste lui-même a donné son nom à un concours de piano à Tel-Aviv, qui récompense de jeunes pianistes talentueux.


    Références
    Sélection du Reader's Digest. Novembre 1948.Rubinstein l’aristocrate du piano par Winthrop Sargeant.
    Sélection du Reader's Digest. Août 1966. Rubinstein virtuose de la vie. Condensé de Time.
    Bernard Gavoty, Arthur Rubinstein. Édit. Kister, Genève 1955. Collect. « Les grands interprètes ».

    Source : Wikipedia
     
     
      Né le : 9 février 1887 à 07h30
    à : Łódź (Pologne)
    Soleil : 20°13' Verseau AS : 18°59' Verseau
    Lune : 1°53' Vierge MC : 12°56' Sagittaire
    Dominantes : Verseau, Poissons, Vierge
    Mercure, Soleil, Uranus
    Maisons 1, 7, 8 / Air, Eau / Fixe
    Numérologie : chemin de vie 8
    Taille : Arthur Rubinstein mesure 1m67 (5' 5½")
    Popularité : 6 838 clics, 3 676e homme, 6 220e célébrité
     
     

     

     

    Célébrités ayant la même date anniversaire : Lolo Ferrari, Tom Hiddleston, Mia Farrow, Alejandra Guzman, Adeline Blondieau, Zhang Ziyi, Sharon Case, Joe Pesci, Gérard Lenorman, Guy Lagache, Carole King, Amber Valletta... Voir toutes les célébrités nées un 9 février.


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  • Né le 5 février 1952 à Alençon, à 7h05, en France , Daniel Balavoine , Verseau

    PUISSANT THEME GEOCENTRIQUE

    DESSINANT LA CROIX CARDINALE TRAVERSEE PAR UN SUPERBE CERF VOLANT

    Né le 5 février 1952 à Alençon, à 7h05, en France , Daniel Balavoine , Verseau

     

    UN JUPITER VENUS TRANSCENDANT EN HELIO DONT DANIEL BALAVOINE VA SE SERVIR COMME OUTIL SOLAIRE DE COMMUNICATION PROFONDEMENT ANCREE DANS L'AMOUR ET LA SORORALE FRATERNITE UNIVERSELLE

     

     

     

    DES MOMENTS TROP RARES

     

    http://youtu.be/buDPpez2P5c

     

    DANIEL BALAVOINE FACE A FRANCOIS MITTERAND

     

     

    BIOGRAPHIE

     

    Daniel Balavoine est un auteur-compositeur-interprète français, né à Alençon (Orne) le 5 février 1952 et décédé le 14 janvier 1986 à Gourma-Rharous (Mali) dans un accident d'hélicoptère en marge du Paris-Dakar.

    La musique
    Dans les années 1970, il participe en tant que choriste à la comédie musicale La Révolution française, puis aux concerts de Patrick Juvet. Il a joué starmania

    Ce dernier lui offre sa chance en le laissant enregistrer une chanson sur un de ses albums. Cela lui permet d'être remarqué en tant qu'auteur -compositeur-interprète par Léo Missir, directeur artistique chez Barclay avec lequel il noue un lien très fort.

    Ses deux premiers albums De vous à elle en passant par moi (1975) et Les aventures de Simon et Gunther... (1977) ne rencontrent pas le succès.

    Il enregistre alors plusieurs albums, et c'est le troisième, intitulé Le Chanteur (1978), sur lequel figure la chanson éponyme, qui le fait connaitre au grand public.

    Ebloui par la voix perçante et tragique de Daniel qu'il découvre lors son interprétation télévisée de "Lady Marlène" (1977), Michel Berger reconnait immédiatement en lui le surdoué qu'il lui faut pour jouer le rôle de "Johnny Rockfort" dans l'opéra-rock qu'il projette de monter avec Luc Plamondon, Starmania (1978). Cette participation accroit davantage sa notoriété, avec une image un peu voyou "Quand on arrive en ville", et pleine de tendresse avec "SOS d'un terrien en détresse", chanson très technique que Michel Berger a spécialement composée pour Daniel, alors le seul à pouvoir l'interpréter. C'est également le début d'une grande amitié pour le trio Daniel Balavoine - Michel Berger - France Gall.

    Balavoine enchaîne les tubes et son talent créatif, sa voix haut perchée et son sens de la mélodie s'imposent et le classent vite sur le même plan que des grands noms comme Michel Polnareff ou Michel Berger dans le monde de la chanson. Il s'impose aussi juste avant les années Mitterrand en porte parole de la jeunesse.


    Durant la première moitié des années 80, d'un point de vue purement musical, Daniel Balavoine s'impose rapidement comme le major incontesté de la musique Electropop ou Synthpop en France. Élevant le niveau de la musique française avec des morceaux comme "Vivre ou survivre" (1982), "Dieu que c'est beau" (1984), "L'Aziza", "Sauver l'Amour", "Aimer est plus fort que d'être aimé", et "Tous les cris, les SOS" (1985), sa musique n'a rien à envier à des groupes anglosaxons comme Eurythmics, Queen ou Depeche Mode. (Il émet d'ailleurs des critiques au début de la décennie envers une majorité d'artistes français 'établis', qu'il accuse alors de faire de la musique de "Music Hall", pas assez en rapport avec les attentes de la jeunesse, qui tend à se tourner davantage vers la musique anglosaxonne.)

    Pionnier dans le genre, il est avec Jean Michel Jarre le premier à acquérir en France à grands frais le sampleur Fairlight en 1984, sorte de synthétiseur assisté par ordinateur dont l'usage façonnera toute la musique des années 80. Sa musique se définit par une mélodie recherchée, des percussions travaillées, et un usage prédominant de sons synthétiques soutenus sur les instruments traditionnels (synthèses proches du violon et de l'orgue), le tout mêlé à des effets synthétiques. S'ajoute à cela son univers rock; genre qu'il affectionne particulièrement. (voix écorchée, usage habituel de la guitare électrique...)

    Ainsi, il combine tous les atouts de l'auteur-compositeur accompli qui font de lui un monstre audiovisuel incontournable des années 80 au visage attachant de "poupon", au même titre par exemple que Coluche. Ses atouts étant : une musique populaire d'avant-garde donc, mais aussi des textes châtiés et engagés, qui dépeignent astucieusement diverses facettes de la société (célébrité, divorce, enfance, argent et réussite sociale, travail, guerres, drogue, torture, politique, amour, tolérance et racisme, drames humanitaires, vie et mort, etc.), enfin et surtout une voix unique, un timbre inimitable, d'aucuns diront de "cristal", puissante , un tantinet écorchée, et en mesure de couvrir pratiquement trois octaves. Il entre très tardivement en voix de tête, capable de soutenir des notes très aigües avec néanmoins suffisamment de coffre pour qu'un néophyte distingue clairement dans sa voix fine, un timbre masculin. Sa voix pourrait être de loin comparée à celle de Freddie Mercury, et se démarque clairement de celle de chanteurs comme Pascal Obispo, Michel Polnareff ou Sting, qui s'ils font souvent usage de leur voix de tête, se situent dans des fréquences où Daniel Balavoine aurait simplement mis à contribution sa voix pleine (normale).

    Nombreux artistes ont interprété ultérieurement des chansons de son répertoire dont Liane Foly, Léna Ka, Johnny Hallyday, Pascal Obispo, Patrick Fiori, Florent Pagny, Grégory Lemarchal, ainsi que la chanteuse Marie Denise Pelletier qui a connu, au Québec, un énorme succès avec son efficace reprise de la chanson "Tous les cris, les SOS" en 1987.


    Porte-parole de la jeunesse
    Daniel Balavoine est surtout un passionné. De musique tout d'abord, mais un passionné de la vie plus largement. Engagé, il met sa notoriété au service de causes qui l'émeuvent : la politique, la dénonciation de la guerre, de la famine, du racisme, la défense de la liberté et de la vie. Très prisé des Talk-shows, il n'hésite pas à donner son opinion sur tout, parfois avec véhémence, persuadé d'avoir pour mission de faire évoluer les mentalités. Cela lui valut de déclencher quelques polémiques, pour le plus grand bonheur des téléspectateurs.

    On le remarque la première fois lors d'un passage télévisé en 1980, où, se posant en porte-parole de la jeunesse, il s'oppose à François Mitterrand et aux hommes politiques en général, trop éloignés des soucis des jeunes.

    Ses textes sont engagés et dénoncent astucieusement et finement les aberrations de l'humanité que sont l'injustice et la guerre (notamment les injustices liées à la guerre froide) ainsi que tout ce qui est lié à ces deux notions. Ses albums à thème Loin des yeux de l'occident (1983) et Sauver l'Amour (1985) en sont une illustration.

    On le retrouve également dans une prise de position célèbre en octobre 1983, contre la guerre au Liban, la guerre en général et contre les personnes (notamment parmi les ancien-combattants de la guerre mondiale) qui la soutiennent, lors de l'émission de télévision sept sur sept. Le matin même, avait eu lieu l'attentat du Drakkar (23 octobre 1983), au cours duquel 58 soldats français avaient trouvé la mort. Le frère de Daniel était alors au Liban, ce qui explique peut-être sa réaction « épidermique ». Il s'excusera d'ailleurs en public, sur le plateau de Champs Élysées (Antenne 2) le 5 novembre 1983.


    Le Paris Dakar
    Une autre passion, celle des courses automobiles, le pousse à s'engager à partir de janvier 1983 dans le rallye Paris-Dakar.

    Il participe ainsi à 3 rallyes en tant que concurrent (83,84,85) et parvient à décrocher une honorable 30ème place à l'arrivée du Dakar 85.

    Au cours de cette course, il découvre l'Afrique, continent auquel il devient très attaché. Il participe d'ailleurs au concert français pour l'Éthiopie donné à la Courneuve le 13 octobre 1985.

    Il ne s'arrête pas là et fonde avec Michel Berger l'association Action Écoles, destinée à mobiliser les écoliers français contre la faim en Afrique.

    Au début de l'année 1986, il accompagne le Paris-Dakar non pas en concurrent, mais pour suivre l'installation de pompes à eau.

    Son action se poursuit aujourd'hui au Mali grâce à l'Association Daniel Balavoine


    L'accident mortel
    Le soir du 14 janvier 1986 vers 17 h 30, Thierry Sabine et Daniel Balavoine doivent rejoindre le bivouac de Gourma-Rharous (Mali) pour poursuivre le déroulement de la course. Initialement c'est Jean-Luc Roy qui doit monter dans le futur cercueil volant; mais Sabine avait prévu d'organiser un baptême de l'air pour Daniel. L'hélicoptère décolle donc avec ses cinq passagers : respectivement Sabine, Balavoine, la journaliste Nathaly Odent, le technicien radio Jean-Paul Le Fur et un pilote expérimenté François-Xavier Bagnoud. Surpris par la nuit ils suivent le fleuve Niger (un repère plat et simple). Mais quelques minutes plus tard une tempête de sable survient. Ayant une visibilité quasi nulle, ils se posent à 21 kilomètres de Gourma. Sabine sort et croise un concurrent. Il lui demande de signaler leur position au bivouac et de réquisitionner une voiture afin de les ramener. L'affaire semble ainsi s'arranger. Puis pour une raison inexpliquée l'appareil redécolle, et, alors en l'air, décide de se référer aux feux arrières d'un autre concurrent. L'hélicoptère est très bas et suit de très près la voiture. C'est alors qu'à 8 kilomètres du bivouac et après des kilomètres de ligne droite, le véhicule roule alors sur une bosse étendue (à peine une dune). L'hélicoptère, surpris par le terrain montant, se pulvérise au sol. Il est un peu moins de 20 heures. Les 5 passagers meurent sur le coup.

    Un mois après la catastrophe, il devait s'envoler pour l'Angleterre afin d'y fonder un groupe 100% anglophone dont les ambitions auraient été internationales. Il aurait bien évidemment poursuivit sa carrière française. D'ailleurs, un nouveau Palais des Sports était prévu en octobre 1986...

    Attaché à faire suivre ses paroles et convictions par des actes, Daniel Balavoine perdit la vie en allant la défendre face à la famine au Mali. La France voit disparaitre l'un de ses monstres sacrés, devenu figure emblématique des années 80, au même titre que Coluche ou Serge Gainsbourg. Et après pas moins de 214 émissions télévisées, sans compter les spectacles, interventions radio ou reportages (dont un réalisé juste la veille de sa mort sur son action en Afrique), à la surprise générale ce sera le grand silence. Pour toujours.

    Il repose au cimetière de Ranquine à Biarritz (Pyrénées Atlantiques).

     

    Source : Wikipedia

     

     


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