• Découverte le 22 septembre 1987, (4486) Mithra, dans le signe du Bélier alors que le Soleil et la Lune transitaient la Vierge

     

    Découverte le 22 septembre 1987, (4486) Mithra,  dans le signe du Bélier alors que le Soleil et la Lune transitaient la Vierge

     

    (4486) Mithra

    Sa découverte scientifique

     
    (4486) Mithra
    Caractéristiques orbitales
    Époque 1er décembre 2005 (JD 2453705.5)
    Établi sur ? observations couvrant ?, U = 0
    Demi-grand axe (a) 329,66×106 km
    (2,20 ua)
    Périhélie (q) 111,84×106 km
    (0,75 ua)
    Aphélie (Q) 547,47×106 km
    (3,66 ua)
    Excentricité (e) 0,66
    Période de révolution (Prév) 1 194,84 j
    (3,27 a)
    Vitesse orbitale moyenne (vorb) 17,65 km/s
    Inclinaison (i) 3,03°
    Longitude du nœud ascendant (Ω) 82,32°
    Argument du périhélie (ω) 168,79°
    Anomalie moyenne (M0) 245,56°
    Catégorie Apollo, aréocroiseur
    Caractéristiques physiques
    Dimensions 2-5 km
    Période de rotation (Prot) 2,81 j
    (67.5 h)
    Classification spectrale S
    Magnitude absolue (M) 15,6
    Découverte
    Découvert par Eric Elst, Vladimir Georgiev Škodrov
    Date 22 septembre 1987
    Désignation so

    (4486) Mithra est un astéroïde Apollon et aréocroiseur. Il fut découvert par Eric Elst et Vladimir Georgiev Škodrov le 22 septembre 1987. Il est nommé d'après Mithra, dieu indo-iranien de la lumière. En Asie Mineure, aux environs de 330 av. J.-C., le dieu Mithra fut assimilé au dieu grec Apollon, d'où le nom adopté.

    L'astéroïde mesure entre 2 et 5 km de diamètre. Sa forme a été analysée par radar et s'est révélée très curieuse : c'est l'objet le plus biscornu du Système solaire, avec deux lobes distincts.

     

    Références

     

     

    THEME ASTRAL DE SA DECOUVERTE EN BELGIQUE A BRUXELLES

     

    Découverte le 22 septembre 1987, (4486) Mithra,  dans le signe du Bélier alors que le Soleil et la Lune transitaient la Vierge

     

     

     

    DÉCOUVERT ENTRE LES 7 ET 8 DEGRES BELIER LE 22 SEPTEMBRE 1987

     

    7 DEGRE BELIER , UN HOMME REUSSIT A S'EXPRIMER SUR DEUX SPHERES DIFFERENTES

     

    Prise de conscience initiale de notre double nature et des conséquences qu'elle implique

    QUI CONDUIT AU

    8 DEGRE BELIER UN CARRE DONT L'UN DES DEUX COTES EST ECLAIRE D'UNE VIVE LUMIERE

    Désir moral de mener une existence stable et concrète au plan individuel

     

    En ce 28 Mars 2017 ,  moment où je  découvre moi même l'existence de cet asteroide et  analyse le thème astral de sa découverte , le Soleil éclaire de ce jour  éclaire Mirtha  et Mirtha transit vient de se mettre en conjonction au Mithra du ciel natal ! Et c'est ainssi à chaque fois que le désir de me plonger dans la découverte d'un nouvel objet céleste. 

     

    Découverte le 22 septembre 1987, (4486) Mithra,  dans le signe du Bélier alors que le Soleil et la Lune transitaient la Vierge

    La barbarie du sacrifice du Taureau

    Ce désir est né d'un article découvert dur face book :

     

    Découverte d’un temple consacré au dieu Mithra en Corse

    Un sanctuaire du IVe  siècle a été mis au jour à Lucciana. Une première sur l’île de Beauté, où ce culte monothéiste concurrença le christianisme jusqu’à son interdiction en 392.

    LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 27.02.2017 à 15h15 • Mis à jour le 27.02.2017 à 15h47 | Par Pierre Barthélémy (Lucciana (Haute Corse), envoyé spécial)

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    image: http://s1.lemde.fr/image/2017/02/27/534x0/5086365_7_2c2d_fragments-d-une-stele-en-bas-relief_78cb9663081e980c1fc9e8b4d9497814.jpg

    Fragments d’une stèle en bas-relief représentant le sacrifice du taureau par Mithra, retrouvée à Lucciana.

     

    En une ronde presque incessante, les avions militaires tournoient dans le ciel, loin au-dessus des milans, avant de se poser à l’extrémité sud de la piste de l’aéroport de Bastia. Au cours de leur approche finale, les pilotes ne peuvent manquer de remarquer ces fourmis humaines qui grattent la terre à quatre pattes, ni les fondations qu’ils ont révélées depuis novembre 2016. Peut-être savent-ils qu’il y a près de deux mille ans, à la fin du I er siècle de notre ère, le général et consul romain Caius Marius fonda, dans cette plaine ­côtière où le fleuve Golo termine sa course, une colonie qui allait porter son nom, Mariana.

    Fouillée de manière discontinue depuis quatre-vingts ans, la petite ville romaine vient de surprendre les archéologues de l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives). A l’occasion de fouilles préalables au ­détournement d’une route, lui-même inscrit dans un projet de musée archéologique destiné à mettre en valeur le passé antique local, les chercheurs ont sorti de terre une bien curieuse structure. Entre deux crues hivernales du Golo, ils ont mis au jour une longue salle de 11 mètres sur 6, constituée d’un couloir central que bordaient et surplombaient, de part et d’autre, deux banquettes de 1,80 mètre de large. « Quand on a commencé à dégager, reconnaît Philippe Chapon, l’archéologue de l’Inrap responsable de la fouille, on s’est demandé ce que c’était, peut-être une cale à bateaux… »

    La découverte de trois fragments formant la partie inférieure d’un bas-relief carré qui devait mesurer 50 cm de côté a livré la clef du mystère. L’œil du profane n’y distingue, à grand-peine, qu’un fouillis de jambes humaines et de pattes animales. Mais les spécialistes reconstituent aisément la scène : il s’agit d’un classique de l’iconographie antique, la mise à mort du taureau par le dieu Mithra. A défaut de le voir vraiment, on finit par deviner la patte arrière de l’animal sur laquelle se surimprime la jambe du dieu, un scorpion qui pince les testicules du ­bovidé, un serpent et un chien qui se nourrissent là où le poignard divin a frappé et un personnage, tout à fait à droite de la scène, portant une torche à l’envers pour symboliser le soleil couchant et la mort.

    Pots à offrandes et restes d’animaux

    Ce n’était donc pas une cale à bateaux, mais un « mithræum », un sanctuaire dédié à Mithra, ­divinité d’origine indo-iranienne adoptée par des Romains au cours de la période...


    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/sciences/article/2017/02/27/decouverte-d-un-temple-consacre-au-dieu-mithra-en-corse_5086367_1650684.html#H3lzhVTXWqLJgJsz.99

     Je suis donc partie chercher qui était Mithra et j'ai découvert que la sacralisation de cette divinité est bien anterieure à sa récupération par les romains ....Comme se fut le cas de nombreuses divinités détournées de leurs cultes d'origines dans des rituels construits pour servir les intérets du nouveau pouvoir en place , dans ce cas celui de l'empire romain ! On garde la divinité , mais subrepticement on lui donne une autre fonction derriere laquelle se cache la plupart du temps une intention de mieux contrôler le peuple afin de  mieux l'exploiter .

    La liberté interieure est toujours dangereuse pour les chefs qui désire exploiter l'énergie des peuples à leur profit .

     

    C'est toujours aussi bien aujourd'hui !

     

    La barbarie de la corrida peut être née de cette déviation sacrificelle du Taureau sachant que l'on a retrouvé la pratique du culte de Mithra en Espagne aussi .

     

    CULTE INDO IRANIEN A L'ORIGINE

     

    Le culte de Mithra remonte-t-il

     

    aux Grecs seulement

     

    ou vient-il d'Iran ?

     

      Toujours est-il qu'il précéda celui du Christ,

     

    et qu'il lui fut contemporain

     

    aux premiers siècles du christianisme.

     

      

     

    En Iran, Mithra était le premier des Izeds (anges), ou une personnification d'Ormuzd lui-même, considéré comme le principe générateur qui perpétue et rajeunit le monde.  Il était le fils de la déesse « Anahita, Vierge Immaculée, Mère du seigneur Mythras » (inscription datant de l'an 200 av. J.-C., dédicace d'un temple séleucide d'Iran) dont le temple à Kangavar est très important. Mithra était l'lzed du Soleil et donc le dieu de la lumière, l'ennemi d'Ahriman, dieu des ténèbres et de ses Devs (démons). Mithra fécondait la Terre, il concentrait en lui toutes les forces productives de la nature en sacrifiant le taureau qui les personnalisait. 

      311px-Fresque_Mithraeum_Marino.jpg

     

     

      Fresque de  Marino.

     

     

    Son culte a été adopté  par la Grèce et s'étendit à tout le monde gréco-romain lorsqu'il fut repris par les légions romaines. En Asie Mineure, son culte est confirmé chez les Hittites deux mille ans avant J.-C. Il arriva à Rome en même temps que le christianisme.

     

    (Source : Wikipedia)

     

     

     

    300px-Taq-e_Bostan_-_High-relief_of_Ardeshir_II_investiture.jpg

     

    Investiture de l'empereur sassanide Adashir I ou II, par le yazata Mithra.
    (3rd century CE bas-relief at Taq-e Bostan, Iran.)
       
     300px-Mithras_banquet_Louvre_Ma3441.jpg

     Fresque de  Marino.  

    A remarquer : le serpent, le caducée, les bonnets phrygiens. 

     

       

    Le sacrifice du taureau est sans conteste la scène la plus représentée dans les sanctuaires du dieu, qu'il s'agisse de sculptures, de bas-reliefs ou de fresques. Mithra chassait, rattrapait et tuait le taureau symbolisant l'origine de la vie, et le sang de l'animal fertilisait la terre.

      Mithra, "Dieu-Soleil" de Perse, précède le mythe chrétien d'au moins 600 ans. Comme le Christ, il serait né dans une grotte, d'une vierge (à entendre au sens juste de vierge de toutes notions), au solstice d'hiver et fut appelé "le bon berger". Il était appelé "la voie, la vérité et la lumière", "le rédempteur", "le sauveur", "le Messie".

    En Europe, Noël vient remplacer la fête du "Soleil Invaincu", Sol Invictus, fête romaine instituée sous l'empereur Aurélien au troisième siècle, reprenant des aspects du culte d'Apollon et de celui de Mithra.

    Associé au taureau, le jour sacré de Mithra était le dimanche, le "jour du Seigneur," des centaines d'années avant l'émergence du mythe christique. Il était particulièrement célébré autour de la période du renouveau printanier, comme Pâques. Il avait 12 compagnons ou disciples, accomplissait des miracles et fut enterré dans un tombeau. Après trois jours, il se leva et sa résurrection était célébrée chaque année. Les paroles de la Cène sont empruntées à celles des sectateurs de Mithra.  

     Mithra est ainsi un dieu sauveur. L'immolation du taureau a une dimension cosmique : " Le sacrifice est le fait non des hommes, mais des dieux, et c'est un acte de création : le sacrifice fonde le monde. " (R. Turcan, Mithra et le mithriacisme, p.103).  

    Dans le monde gréco-romain, le culte de Mithra est devenu un Mystère. Lors de son initiation, le néophyte passe de l'obscurité à la lumière, meurt symboliquement, puis renaît à une vie autre. Les initiés portaient chacun un grade : corbeau (corax), fiancé ou jeune marié (nymphus), le soldat (miles), le lion (leo), le Perse (Perses), l'Heliodrome (Heliodromus) et le Père (Pater). Ceci est principalement attesté en Italie, notamment par de nombreuses inscriptions et par la mosaïque du sanctuaire de "Sette Sfere" à Ostie.    

     (d'après http://www.webnietzsche.fr/mythes.htm)

     

       

    "O Providence, O Fortune, accordez-moi Votre Grâce - communiquez-moi ces Mystères  

    que seul un Père peut appréhender, & communiquez-les au seul Fils - son Immortalité -  

    au Fils initié, qui le mérite de par son Habileté, par lequel le Soleil Mithra, le Grand Dieu,  

    par Son Archange m'a commandé d'être investi ; pour qu'ainsi je puisse seul, moi l'Aigle  

    [tel que je suis, de par ma propre personne], m'élever vers les Cieux  

    & contempler toutes choses."

    http://lam.mithra.free.fr/doc/rituel_mithraique.pdf  

     

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