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    Né le  24 décembre 1919 ; Pierre Soulages ; Capricorne ascendant Taureau

     

    Un jour je peignais, le noir avait envahi toute la surface de la toile. Dans cet extrême, j'ai vu en quelque sorte la négation du noir, les différences de texture réfléchissant plus ou moins faiblement la lumière, du sombre émanait une clarté, une lumière picturale dont le pouvoir émotionnel particulier animait mon désir de peindre. J'aime que cette couleur violente incite à l'intériorisation. Mon instrument n'était plus le noir mais cette lumière secrète venue du noir .... 

     

     Le Lion , signe de la créativite est éclairé par Neptune sur le 11° qui nous dessine  des enfants jouant sur une balançoire suspendue aux branches d'un chêne , depeignant l'activité spontanée de l'esprit innocent.

    La faculté de Pierres Soulages a laisser la couleur Neptune  le guider en toute confiance conjointe Jupiter est absolument prodigieuse  

    Né le  24 décembre 1919 ; Pierre Soulages ; Capricorne ascendant Taureau

     

     

     

    Né le  24 décembre 1919 ; Pierre Soulages Capricorne ascendant

     

     

    Pierre Soulages, né le 24 décembre 1919 à Rodez et mort le 26 octobre 2022 1 à Nîmes, est un artiste peintre et graveur français. Associé depuis la fin des années 1940 à l' art abstrait, il est particulièrement connu pour son usage des reflets de la couleur noire, qu'il appelle « noir-lumière » ou « outrenoir ».
    Naissance: 24décembre1919 (102 ans), Rodez (AveyronFrance)
    Nationalité: Française
    Période d'activité: Depuis 1939
    Activité: Peintre, graveur
     

     

     

     


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    Né le 24 décembre 1887, Louis Jouvet, Capricorne ascendant Scorpion

     

    Né le 24 décembre 1887, Louis Jouvet, Capricorne ascendant Scorpion

    Biographie de Louis Jouvet

    Louis Jouvet est né le 24 décembre 1887 à Crozon, Finistère et décédé le 16 août 1951 à Paris, était acteur, metteur en scène, professeur au conservatoire et directeur de théâtre.

    Jules Eugène Louis Jouvet, né en Bretagne le 24 décembre 1887, orphelin de père à 14 ans, il part vivre avec sa mère chez son oncle qui est apothicaire à Rethel dans les Ardennes. Elève studieux et docile, sa famille l'oblige à entreprendre des études pour devenir pharmacien. A partir de 1904, il étudie à la faculté de Paris, mais passe tout son temps libre dans les théâtres amateurs de l'époque. En parallèle, il se présente au concours d'entrée au Conservatoire d'Art dramatique de Paris, il sera recalé trois fois (comme Bernard Blier).

    En 1912, son diplôme de pharmacien en poche, L. Jouvet se marie avec sa première femme Else Collin, avec laquelle il aura 3 enfants; A cette époque il court les cachets et fera ainsi une courte apparition dans un film aux côtés de Harry Baur;

    En 1913, il est engagé avec son ami Charles Dullin par Jacques Copeau directeur du Théâtre du Vieux-Colombier. C'est un veritable tourant dans sa carrière, il y est régisseur, décorateur, assistant et enfin comédien. Il masque alors son bégaiement par une diction syncopée qui le rendra célèbre par la suite .

    En 1914, la première guerre mondiale éclate, L. Jouvet est mobilisé comme ambulancier, puis comme médecin auxiliaire. Démobilisé en 1917, il retrouve la troupe du Vieux Colombier.


    En 1922, ce sera la rupture avec Jacques Copeau, commence alors sa carrière de metteur en scène, il installe sa propre troupe au théâtre des Champs-Élysées où il remporte l'année suivante son premier grand succès avec Knock ou le triomphe de la médecine de Jules Romains, qu'il jouera 1500 fois. En 1927, il rencontre Jean Giraudoux dont il présente plusieurs pièces. À partir de 1935, il dirige l'Athénée.

    Gaston Baty, Charles Dullin et Georges Pitoëff et lui fondent le 6 juillet 1927, une association d'entraide, « Cartel des Quatre », qui durera jusqu'en 1940. L'objectif: faire en sorte que le théâtre crée une poésie qui lui est propre, et faire jouer des auteurs contemporains.

    On lui propose la direction de la Comédie-Française, mais il refuse car il est trop occupé par son propre théâtre de L'Athénée. Il y triomphe avec des œuvres de Molière, celles écrites par son ami Jean Giraudoux, et diverses autres issues du répertoire classique. Il assume de juin 1940 à juin 1941 le contrôle des grands théâtres nationaux, puis part en tournée avec sa troupe en Amérique latine, accompagné pendant un temps par Charlotte Delbo. Il ne reviendra en France qu'à la fin de 1944 et reprendra la direction du théâtre de l’Athénée qui a ajouté depuis son nom. Le 30 juillet 1950, il reçoit la Légion d'Honneur. Il aide également les nouvelles figures du théâtres, Jean-Louis Barrault et Jean Vilar notamment, et met en scène Le Diable et le Bon Dieu, pièce écrite par Jean-Paul Sartre en 1951.


    Jouvet et le cinéma
    Au cinéma, il joue dans trente-deux films, dont quelques grands chefs-d'œuvres sont passés à la postérité. Quai des Orfèvres de Henri-Georges Clouzot, pour beaucoup son meilleur rôle, Hotel du Nord aux côtés d'Arletty et de son fameux "atmosphère,atmosphère" et Drôle de drame, tous deux réalisés par Marcel Carné avec également Michel Simon, célèbre pour la réplique: "bizarre, j'ai dit bizarre, comme c'est bizarre". Knock ou le triomphe de la médecine sera porté à l'écran par l'acteur en 1933, puis il jouera dans la version de Guy Lefranc en 1951, peu avant sa mort. Dans Copie conforme, il tient le rôle d'un chef d'une bande de voleurs, et engage son sosie pour se faire innocenter. Aux côtés de Suzy Delair, Jouvet tient un double rôle. En 1948, il joue l'inspecteur Carrel qui enquête sur la mort du truand Vidauban, son sosie, dans Entre onze heures et minuit de Henri Decoin. Son ami et dialoguiste favori, Henri Jeanson, met en scène Lady Paname et reforme le duo Jouvet-Delair. Sous la direction de Pierre Chenal, il réalise un magnifique face-à-face avec Erich Von Stroheim dans L'alibi. Il joue dans deux films réalisés par Jean Renoir: Les bas-fonds, avec Jean Gabin, et La Marseillaise.

    Louis Jouvet aimait le théâtre plus que le cinéma. Sur la différence entre les deux, il répondit:"au théâtre on joue, au cinéma on a joué". Cela ne l'empêchera pas de jouer, au cinéma, d'excellentes adaptations théâtrales: Volpone avec Harry Baur et Charles Dullin, et Knock, par deux fois mais à 17 ans d'intervalle. Ami fidèle, il acceptait spontanément de jouer dans un film dont Henri Jeanson avait signé les dialogues, ou encore exigeait qu'il y ait de la place pour ses amis dans les films où il figurait (exemple avec Charles Dullin dans Volpone, et Quai des Orfèvres). Sa passion du théâtre l'a poussé a jouer dans Entrée des artistes de Marc Allégret, film où il joue son propre rôle de professeur de théâtre du Conservatoire, presque un reportage sur l'art de Jouvet, La Fin du jour de Julien Duvivier où il est un acteur de théâtre complétement habité par ses personnages et qui, confondant réalité et fiction, sombre dans la folie, et Miquette et sa mère de Clouzot, dans lequel il est le directeur d'une troupe de théâtre ambulant.


    Filmographie
    1932 : Topaze de Louis Gasnier - rôle d'Auguste Topaze, humble professeur
    1933 : Knock de Louis Jouvet et Roger Goupillières - rôle du docteur Knock
    1935 : La Kermesse héroïque de Jacques Feyder - rôle du Chapelain
    1936 : Mister Flow de Robert Siodmak - rôle d'Achille Durin, valet de lord Scarlett et Mister Flow, le bandit
    1936 : Salonique, nid d'espions ou Mlle Docteur de Georg Wilhelm Pabst - rôle de Simonis, l'agent allemand
    1936 : Les Bas-Fonds de Jean Renoir - rôle du baron Débile, ruiné par le jeu
    1937 : Carnet de bal de Julien Duvivier - rôle de Pierre Verdier, dit Jo, ancien avocat devenu chef de bande
    1937 : Forfaiture de Marcel L'Herbier - rôle de Valfar, l'âme damnée de Tang-Si
    1937 : Drôle de drame de Marcel Carné - rôle d'Archibald Soper, évêque de Bedford
    1937 : Ramuntcho de René Barberis - rôle de Itchoua, le chef de la contrebande
    1937 : La Marseillaise de Jean Renoir - rôle de Roederer
    1938 : La Maison du Maltais de Pierre Chenal - rôle de Rossignol, agence de filature
    1938 : L'Alibi de Pierre Chenal - rôle du commissaire Calas
    1938 : Entrée des artistes de Marc Allégret - rôle de M. Lambertin, professeur de théâtre
    1938 : Le Drame de Shanghaï de Georg Wilhelm Pabst - rôle d'Ivan, aventurier et amant de Kay Murphy
    1938 : La Fin du jour de Julien Duvivier - rôle de Saint-Clair, l'ex-don Juan
    1938 : Education de Prince de Alexandre Esway - rôle de René Cercleux
    1938 : Hôtel du Nord de Marcel Carné - rôle de M. Edmond, le truand maquereau
    1939 : Sérénade de Jean Boyer - rôle du baron Hartmann
    1940 : L'École des femmes Film interrompu et inachevé de Max Ophuls - rôle de Arnolphe
    1940 : La Charrette fantôme de Julien Duvivier - rôle de Georges, dit l'étudiant, ami de David
    1940 : Volpone de Maurice Tourneur - rôle de Mosca, l'homme à tout faire de Volpone
    1940 : Untel Père et Fils de Julien Duvivier - rôles de Pierre Froment (le père) et de son fils Félix
    1946 : Un revenant de Christian-Jaque - rôle de Jean-Jacques Sauvage, directeur d'une troupe de ballet
    1947 : Les Amoureux sont seuls au monde de Henri Decoin - rôle de Gérard Favier, célèbre compositeur
    1947 : Copie conforme de Jean Dréville - rôle de M. Dupon, homme tranquille et Ismora le cambrioleur
    1947 : Quai des Orfèvres de Henri-Georges Clouzot - rôle de l'inspecteur Antoine
    1948 : Entre onze heures et minuit de Henri Decoin - rôle de L'inspecteur Carrel, sosie de Vidauban
    1948 : Lady Paname de Henri Jeanson - rôle de M. Gambier, dit Bagnolet
    1949 : Miquette et sa mère de Henri-Georges Clouzot - rôle de Monchablon directeur d'une troupe de théâtre
    1949 : Retour à la vie - Sketch « Le retour de Jean » de Henri-Georges Clouzot - rôle de Jean Girard, ancien déporté
    1951 : Knock de Guy Lefranc - rôle du docteur Knock
    1951 : Une histoire d'amour de Guy Lefranc - rôle de l'inspecteur Ernest Plonche

    Né le : 24 décembre 1887 à 05h00
    à : Crozon (France)
    Soleil : 2°08' Capricorne AS : 26°32' Scorpion
    Lune : 23°04' Bélier MC : 16°21' Vierge
    Dominantes : Scorpion, Gémeaux, Taureau
    Jupiter, Pluton, Neptune
    Maisons 1, 7, 5 / Eau, Terre / Fixe
    Numérologie : chemin de vie 6
    Popularité : 19 969 clics, 1 638e homme, 2 807e célébrité

     


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    Née le 24 décembre 1837, Cosima Wagner, Capricorne ascendant Vierge

    Biographie de Cosima Wagner

    Cosima Wagner, née Cosima Liszt à Bellagio (Italie) le 24 décembre 1837 et morte à Bayreuth le 1er avril 1930, était une personnalité allemande, fille de Franz Liszt et seconde femme du compositeur Richard Wagner, dont elle maintint le culte pendant un demi-siècle au Festival de Bayreuth.

    Elle est le fruit de la liaison extraconjugale du pianiste et compositeur Franz Liszt et de la comtesse Marie d'Agoult, qui écrivait sous le nom de plume « Daniel Stern ».

    En 1857, elle épouse un des élèves les plus doués de son père, le pianiste et grand chef d'orchestre Hans von Bülow, mais leur mariage ne sera pas heureux. Ils ont deux filles, Daniela et Blandine.

    C'est von Bülow qui la présente à Richard Wagner, de vingt-quatre ans plus âgé qu'elle et lui-même déjà marié. Une liaison commence en 1862, et en 1866, il s'installent au bord du lac des Quatre Cantons à Tribschen, dans une villa mise à leur disposition par le roi Louis II de Bavière, ami et protecteur de Wagner. Cosima, qui se sépare de von Bülow en 1867, donna à Richard trois enfants avant qu'ils ne pussent se marier le 25 juillet 1871 :

    Isolde von Bülow, née en 1865 ;
    Eva von Bülow, née en 1867 ;
    Siegfried Wagner, né en 1869.
    Leurs prénoms sont tirés d'opéras de Wagner, respectivement Tristan et Isolde, Les Maîtres Chanteurs de Nuremberg et L'Anneau du Nibelung.

    Née le 24 décembre 1837, Cosima Wagner, Capricorne ascendant Vierge

     


    Le matin du dimanche 25 décembre 1870, à l'occasion de son anniversaire, Richard lui offre une Tribschener Idyll mit Fidi-Vogelgesang und Orange-Sonnenaufgang (Idylle de Tribschen avec chant d'oiseau de Fidi et lever de soleil orange), exécutée par treize instrumentistes de l'Orchestre de la Zürcher Tonhalle sur le grand escalier de la villa. L'œuvre, plus tard éditée sous le nom de Siegfried-Idyll, est un hymne au bonheur conjugal qui célèbre le repos enfin trouvé par le couple. Les enfants Wagner la surnommeront plus prosaïquement « la musique de l'escalier » (« die Treppenmusik »).

    De 1869 à 1883, elle tint un journal de leur vie commune.

    Richard meurt le 13 février 1883. Il revient à Cosima d'avoir maintenu l'existence du Festival de Bayreuth, dont seules deux sessions exceptionnelles avaient eu lieu en 1876 et 1882. Aidée par son fils Siegfried et pour les aspects financiers par Adolf von Groß, elle le dirige jusqu'en 1911 et en fait le lieu de la célébration du culte de son défunt mari, dans une orientation résolument conservatrice, refusant par exemple jusqu'à sa mort tout changement dans la mise en scène, les décors et les costumes de la création de Parsifal.

    Elle meurt le 1er avril 1930 à l'âge de quatre-vingt-douze ans, quarante-sept ans après Richard et la même année que Siegfried. Elle est enterrée aux côtés de Richard dans le jardin de la Villa Wahnfried.

     

    Née le 24 décembre 1837, Cosima Wagner, Capricorne ascendant Vierge

    Cosima Wagner, née Francesca Gaetana Cosima Liszt à Bellagio (Italie) le 25 décembre 1837 et morte à Bayreuth le 1er avril 1930, est une personnalité allemande, fille de Franz Liszt et de Marie d'Agoult, seconde femme du compositeur Richard Wagner dont elle maintint le culte pendant un demi-siècle au festival de Bayreuth.

    Sommaire

     

    Biographie

    Cosima Liszt est le fruit de la liaison extraconjugale du pianiste et compositeur Franz Liszt et de la comtesse Marie d'Agoult1, qui écrivait sous le nom de plume « Daniel Stern ».

    En 1857, elle épouse un des élèves les plus doués de son père, le pianiste et chef d'orchestre renommé Hans von Bülow1, mais leur mariage n'est pas heureux. Ils ont deux filles : Daniela née en 1860 et Blandine Gravina (de)née en 1863.

    C'est von Bülow qui présente Cosima à Richard Wagner, de vingt-quatre ans son aîné et lui-même déjà marié. Une liaison commence en 1862 et, en 1866, ils s'installent au bord du lac des Quatre Cantons à Tribschen, dans une villa mise à leur disposition par le roi Louis II de Bavière, ami et protecteur de Wagner. Cosima, qui se sépare de von Bülow en 1867, donne à Richard trois enfants avant qu'ils puissent se marier le 25 août 18702 :

    Leurs prénoms sont tirés d'opéras de Wagner, respectivement Tristan et Isolde, Les Maîtres Chanteurs de Nuremberg et L'Anneau du Nibelung.

    Le matin du dimanche 25 décembre 1870, à l'occasion de son anniversaire, Richard Wagner lui offre une Tribschener Idyll mit Fidi-Vogelgesang und Orange-Sonnenaufgang (Idylle de Tribschen avec chant d'oiseau de Fidi et lever de soleil orange), exécutée par treize instrumentistes de l'orchestre de la Zürcher Tonhalle sur le grand escalier de la villa. L'œuvre, plus tard éditée sous le nom de Siegfried-Idyll, est un hymne au bonheur conjugal qui célèbre le repos enfin trouvé par le couple. Les enfants Wagner la surnommeront plus prosaïquement « la musique de l'escalier » (« die Treppenmusik »).

    De 1869 à 1883, elle tint un journal de leur vie commune.

     

    Née le 24 décembre 1837, Cosima Wagner, Capricorne ascendant Vierge

    Richard Wagner meurt le 13 février 18833.

    Il revient à Cosima d'avoir maintenu l'existence du Festival de Bayreuth1 dont seules deux saisons exceptionnelles avaient eu lieu en 1876 et 1882. Aidée par son fils Siegfried et pour les aspects financiers par Adolf von Groß (de), elle le dirigea jusqu'en 1911. Elle en fit le lieu de la célébration du culte de son défunt mari, dans une orientation résolument conservatrice, refusant par exemple jusqu'à sa mort tout changement dans la mise en scène, les décors et les costumes de la création de Parsifal.

    Winifred Wagner, épouse de Siegfried Wagner, déclare à propos de sa belle-mère Cosima : « Elle était toujours, malgré ses soixante-dix-sept ans, un personnage tout en grandeur, qui inspirait le respect. De sa voix mélodieuse, un peu grave, elle ne manquait jamais de m'adresser quelques mots aimables quand nous allions la saluer à notre arrivée ou au moment de nous retirer. […] Par la suite, j'ai vécu quinze ans sous le même toit qu'elle, et nos relations étaient aussi bonnes que possible: il n'y a jamais eu le moindre malentendu entre nous. […] Elle avait la fibre pédagogique – et c'était très marqué – ; c'est ce qui l'incita à parfaire mon éducation durant la première année de mon mariage. […] Cosima a salué avec joie la naissance de nos quatre enfants et a suivi leur croissance en grand-mère attentive »4.

    Elle meurt le 1er avril 1930 à l'âge de quatre-vingt-douze ans, quarante-sept ans après Richard et la même année que Siegfried. Elle est enterrée aux côtés de Richard dans le jardin de la Villa Wahnfried.

     

    Née le : 24 décembre 1837 à 22h00
    à : Bellagio (Italie)
    Soleil : 2°57' Capricorne AS : 9°53' Vierge
    Lune : 27°31' Scorpion MC : 5°08' Gémeaux
    Dominantes : Capricorne, Vierge, Scorpion
    Mercure, Uranus, Jupiter
    Maisons 5, 3, 6 / Terre, Eau / Mutable
    Numérologie : chemin de vie 1
    Popularité : 5 594 clics, 7 469e femme, 21 520e célébrité

     


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    Biographie d'Elisabeth de Wittelsbach

    Élisabeth Amélie Eugénie de Wittelsbach (née le 24 décembre 1837 à Munich et décédée le 10 septembre 1898 à Genève) fut impératrice d’Autriche (1854–1898) et reine couronnée de Hongrie (1867–1898), née duchesse en Bavière, épouse de l’empereur François-Joseph Ier. Elle est universellement connue sous le surnom de Sissi.

    Duchesse en Bavière
    Élisabeth Amélie Eugénie de Wittelsbach, dite Sissi, naît le dimanche 24 décembre 1837 dans un palais de la Ludwigstrasse à Munich. Elle est le troisième enfant et la deuxième fille du duc Maximilien en Bavière et de la princesse Ludovica de Bavière. Le duc Max est le chef de la branche cadette des Wittelsbach et la duchesse Ludovica la fille du roi de Bavière Maximilien Ier Joseph et de la princesse Caroline de Bade.

    L’enfant reçoit le prénom d’Élisabeth en l’honneur de sa marraine et tante, la reine Élisabeth de Prusse, née princesse royale de Bavière (1801-1873).

    La petite Élisabeth grandit l’hiver à Munich, et l’été et dès que possible à Possenhofen, dit Possi. Élevée sans contrainte ni manières, elle est passionnée d’équitation, de poésie et adore faire de longues promenades en forêt.

    En août 1853, l'empereur François-Joseph d’Autriche fête son vingt-troisième anniversaire dans la résidence impériale d’été. C’est à cette occasion qu’il doit se fiancer officiellement avec sa cousine germaine la duchesse Hélène de Bavière, sœur aînée d’Élisabeth. Mais c’est de Sissi dont le jeune souverain tombe amoureux. À la surprise de sa mère l’archiduchesse Sophie d'Autriche, sœur de la duchesse Ludovica, il annonce le 19 août son intention d'épouser la jeune Sissi, à peine âgée de seize ans.

    Le mariage est célébré le 24 avril 1854 à Vienne (Autriche). Les premières années du mariage semblent heureuses, donnant au couple deux filles et un fils. Les relations entre Elisabeth et sa belle-mère et tante, l'Archiduchesse Sophie, furent souvent orageuses. Les deux femmes ne pouvaient se comprendre et bien au-delà du conflit familial traditionnel il y avait entre elle le fossé de deux visions différentes des devoirs d'une souveraine. Sophie avait sacrifié sans se plaindre les espérances d'une jeune fille romantique, acceptant son destin de princesse mariée malgré elle qu'elle jugeait avec raison tout à fait acceptable. Contrairement à la légende Sophie n'avait pas été déçue du choix d'Elisabeth. Elle en appréciait les qualités personnelles et elle l'aimait. De plus une duchesse de Bavière en valait bien une autre sur le plan dynastique. Elle reprochait à sa belle-fille de refuser de sacrifier sa vie privée, plaçant son intimité au dessus des devoirs de sa charge. Intelligente, sensible et cultivée, elle ne sut toutefois pas comprendre ni admettre qu'elle était une souveraine avant d'être Elisabeth. Ni la ville ni la Cour n'aimaient Elisabeth dont le mépris pour Vienne et ses institutions était connu de tous. Ironiquement un journal titra un jour de 1er janvier : "Nous remercions Votre Majesté d'avoir daigné passer quatre jours à Vienne cette année!" Elle ne refusa toutefois aucun des avantages financiers de sa position. Elle dépensait sans compter en toilettes, chevaux, équipages et voyages. François-Joseph paya toutes ses dépenses sans jamais lui en faire le reproche. En 1875, à la mort de l'Empereur Ferdinand, qui avait abdiqué en 1848, François-Joseph remit à Elisabeth des sommes importantes prélevées sur son héritage considérable car il avait conservé la possession de tous ses apanages. Elisabeth plaça lesdites sommes en Suisse. Elles furent ensuite partagées entre ses héritiers à sa mort.

    Sa beauté était unanimement admirée et célébrée. Ses aptitudes équestres étaient également remarquables. Elle fut considérée comme la meilleure cavalière de son temps.

    Souveraine meurtrie
    En quelques années, les morts successives de sa fille aînée Sophie (alors âgée de deux ans), de son cousin le roi Louis II de Bavière, retrouvé noyé dans le lac de Starnberg, de son père le duc Maximilien de Wittelsbach, de son fils unique l'archiduc Rodolphe à Mayerling, de son ami le comte Gyula Andrássy, de sa sœur la duchesse Sophie Charlotte de Wittelsbach brûlée vive dans le tristement célèbre incendie du Bazar de la Charité, et de sa mère la duchesse Ludovica de Bavière, plongent Élisabeth dans une douleur et une mélancolie indescriptibles.


    Impératrice assassinée
    Le 10 septembre 1898, elle est assassinée à Genève, en sortant de l’hôtel Beau Rivage de Genève, par un anarchiste italien, Luigi Lucheni (26 ans) qui veut à tout prix tuer un prince européen. L'anarchiste se met alors en faction près de l'hôtel Beau-Rivage où l'impératrice est descendue. À 13h35, celle-ci sort au bras de sa dame de compagnie. Passant près du jeune homme, l'impératrice reçoit ce qu'elle croit être un coup de poing et trébuche. Le meurtrier, qui vient de la poignarder au moyen d'une lime (exposée à Vienne dans un musée dédié à l'impératrice), s'échappe mais est interpellé quelques mètres plus loin. L'impératrice tient quand même à prendre le bateau, ce qu'elle fait avec peine, perdant connaissance une fois à bord. En ouvrant son corsage, sa dame de compagnie observe un infime point rouge au dessus du sein gauche. Ramenée dans ses appartements, elle décède dans les bras de Fanny Mayer, l'épouse du propriétaire de l'hôtel.

     

     

    Née le : 24 décembre 1837 à 22h43
    à : Munich (Allemagne)
    Soleil : 2°59' Capricorne AS : 18°17' Vierge
    Lune : 27°50' Scorpion MC : 15°18' Gémeaux
    Dominantes : Capricorne, Vierge, Scorpion
    Jupiter, Mercure, Mars
    Maisons 4, 1, 3 / Terre, Eau / Mutable
    Numérologie : chemin de vie 1
    Taille : Elisabeth de Wittelsbach mesure 1m73 (5' 8")
    Popularité : 37 078 clics, 456e femme, 1 027e célébrité

     


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  • Rappelons nous du ciel de nouvelle Lune qui nous à appelé à proteger notre authenticité en trouvant le lieu ou la proteger

     L'apogée de ce message se deroule le 25 decembre au 3 degré capricorne pour le Soleil et 3 degré cancer pour la Lune ...degré de Noel on ne peut mieux imagé! 

     

    Notre authenticité est donc appelée à vivre sa naissance : 

    UNE AME HUMAINE POUSSEE PAR LA SOIF D EXPERIENCE NOUVELLE ASPIRE A S INCARNER

     

    DOMINANTE : Un ardent désir de tout élément qui élargira l'étendue et la profondeur de nos contacts avec d'autres êtres vivants

     

    La Lune à 3 degré Cancer eclaire

     

    Un explorateur emmitouflé dans une épaisse fourrure conduit un cerf hisurte

    Ce  3° du cancer vers lequel tend la dynamique inter degrés nous renvoie au Soleil qui lui fait face en Capricorne :

      . Toute l'endurance demandée par cette recherche interieure  qui va bouleverser , en les realignant , les fondements ( axe cancer capricorne ) de notre  conscience humaine est depeinte dans cette image . Vaincre la force d'inertie de l'ordre établi demande une sacrée endurance, constance, patience , solidité, Les valeurs du Capricorne

     

    En plus , cette pleine Lune s'ancre dans la maison 4 eclairant l'axe 4 10 de la verticalisation, d'un réalignement

     

    L'asteroide NOEL est conjoint à Ceres en maison 12 nous appelant, par la purification, à connecter notre conscience universelle à la Lumiere purifiante

     

    Toute la Magie de Noel est contenue dans ce ciel de pleile lune par un ascendant Poissons conjoint Neptune avec Spirit , l'esprit de Noel , en maiosn 1

     

    Passez le plus joli Noel de votre vie!

     

     

    ESPRIT LUNAIRE DE NOEL 2015, JOUR DE PLEINE LUNE

     

     

    ESPRIT LUNAIRE DE NOEL 2015, JOUR DE PLEINE LUNE

                                                                                                                               carte du ciel géocenrique

     

    ESPRIT LUNAIRE DE NOEL 2015, JOUR DE PLEINE LUNE POUR GREENWICH

     carte du ciel héliocentrique

     

    Un esprit de Noel héliocentrique qui donne un très fort axe de service Vierge Poissons , esprit  relayé par l'ascendant Poissons Neptune en Géocentrique

     


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