• les balance nées entre le 16 octobre et le 23 octobre

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    (459) Signe
    Astéroide
    L'astéroïde (459) Signe a été découvert par Max Wolf le 22 octobre 1900. Wikipédia
     
     
    Découverte le 22 octobre 1900, l'asteroide Signe, sous un ciel Balance ,
     
     
     
     
    Date de découverte : 22 octobre 1900

     

     

    Cet asteroide a été découvert au degré 29 du Bélier dont la symbolique est on ne peut plus expressive :

    LA MUSIQUE DES SPHERES

    DEGRE D' HARMONIE AVEC L'ORDRE COSMIQUE

     

    ECOUTER LA VOIX INTERIEURE

      

    Dane RUDHYAR

     

    Le Soleil brillait très exactement en face au 29 degré Balance

     

    "LE GIGANTESQUE ET ETERNEL EFFORT DU GENRE HUMAIN POUR PARVENIR A UN SAVOIR TRANSMISSIBLE DE GENERATION EN GENERATION"  

     

    Ici est invoquée la participation consciente à la collectivité humaine en transmettant des connaissances .

     

    Ce face à face dans l'axe du je suis nous sommes appelle à s'interroger sur la maniere dont nous transmettons nos connaissances ...

    Le faisons nous en écoutant la musique des sphètes dont, pour qui ouvre son coeur,  les signes sont des notes de musique pour rester harmonieux lors de cette transmisson.

     

     

     

     


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    Biographie de Deepak Chopra

    Deepak Chopra (1947 -) est un médecin d'origine indienne, penseur et auteur à succès sur les thèmes de la spiritualité, synchronicité, médecine intégrative, etc.
    Bien connu aux États-Unis où il a établi un Centre de soins basé sur l'Ayurvéda, il est influencé par l'hindouisme et il s'inspire notamment de la Bhagavad-Gîtâ et du Védanta.


    Bibliographie
    Le Retour de Merlin
    La Voie du Magicien
    Les Clés Spirituelles de la Richesse
    Les Sept Lois Spirituelles du Succès
    Le Corps Quantique : Trouver la Santé grâce aux interactions corps/esprit
    Les Sept Lois Spirituellles du Yoga
    Le Chemin vers l'Amour
    La Blessure invisible : Guérir la Peur et les Traumatismes
    Le Livre des Secrets : Dévoilez les Dimensions cachées de votre Vie
    Santé parfaite
    Comment connaître Dieu
    Vivre en rajeunissant
    Dieux de Lumière
    Pouvoir Liberté et Grâce
    Sept lois pour guider vos enfants...

     

     

     

     

     

     

    Né le : 22 octobre 1946 à 15h45
    à : New Delhi (Inde)
    Soleil : 28°25' Balance AS : 17°29' Poissons
    Lune : 28°46' Vierge MC : 21°55' Sagittaire
    Dominantes : Scorpion, Balance, Poissons
    Uranus, Neptune, Jupiter
    Maisons 8, 7, 4 / Eau, Air / Mutable
    Astrologie Chinoise : Chien de Feu
    Numérologie : chemin de vie 7
    Popularité : 46 718 clics, 411e homme, 731e célébrité

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    Lettres d'un bachelier ès-musique, La Pensée de Benvenuto Cellini, 30 novembre 1838 de

    Franz Liszt

     

    Biographie de Franz Liszt

    Franz Liszt (Ferenc Liszt en hongrois) est un compositeur et un pianiste hongrois, sujet des Habsbourg, né à Doborján (all. Raiding, aujourd'hui en Autriche) le 22 octobre 1811 et décédé à Bayreuth (Allemagne) le 31 juillet 1886.

    Liszt est le père de la technique pianistique moderne et du récital. Avec lui, naissent l'impressionnisme au piano, le piano orchestral — Mazeppa, la quatrième étude d'exécution transcendante — et le piano littéraire — les Années de pèlerinage. Il est à l'origine — avec Frédéric Chopin — de toute une lignée de compositeurs : Ravel, Rachmaninoff, Scriabine.

    Jeunesse
    Son père, Adam Liszt, violoncelliste dans un orchestre local et secrétaire du prince Esterházy, lui enseigne le piano dès son plus jeune âge, au travers des œuvres de Haydn, Mozart et Beethoven.

    Il se révèle très vite un enfant prodige et, à dix ans, part pour Vienne (Autriche) afin de suivre pendant deux ans les cours d'harmonie de Salieri et de piano de Carl Czerny. L'on pressent en lui un second Mozart: Alain Martinville déclarant à la suite d'un de ses concerts Depuis hier, je crois à la métempsychose. Je suis convaincu que l'âme et le génie de Mozart sont passés dans le corps du jeune List (sic). La consécration viendra de Beethoven qui le reçoit chez lui à Vienne, bien que méfiant vis-à-vis des petits prodiges. À l'occasion d'une tournée à Paris, accompagné par son père, il tente d'entrer au Conservatoire (alors École royale de musique et de déclamation) mais est évincé par Cherubini sous le prétexte qu'il est étranger. En 1824 il devient l'élève de Ferdinando Paer et compose à 14 ans son opéra Don Sanche ou le Château d'amour. Après une première crise de mysticisme suite au décès de son père en 1827 lors d'un voyage à Boulogne-sur-Mer, il revient à Paris et donne des cours de piano afin de subsister.

    Voyages en Europe

    À Paris, il rencontre Hector Berlioz, George Sand, Alfred de Musset, Frédéric Chopin,Honoré de Balzac devient l'ami d'Eugène Delacroix et fait la connaissance de Niccolò Paganini, qui aura une grande influence sur le développement de son art.

    En 1833 commence sa liaison avec la comtesse Marie d'Agoult (connue sous son nom de plume Daniel Stern) qui lui donne trois enfants : Blandine (1835-1862), Cosima (1837-1930) et Daniel (1839-1859). Blandine devient l'épouse d'Émile Ollivier et Cosima celle de Richard Wagner après avoir été celle de Hans von Bülow. En 1836, Liszt entreprend une tournée à travers l'Europe (Suisse, Italie, Russie…) et donne des récitals dans toutes les grandes villes. Outre ses propres œuvres — ses Rhapsodies datent de cette époque — il joue des œuvres de Chopin et de la musique allemande.

    Vie de compositeur

    (1847).Comme en témoignent notamment ses correspondances, Liszt est un grand séducteur et connaît de nombreuses et célèbres femmes avant d'embrasser la carrière religieuse. Après s'être séparé de Marie d'Agoult en 1844, il rencontre à Kiev en 1847 la princesse Carolyne Sayn-Wittgenstein qui lui conseille d'interrompre ses tournées de concert pour se consacrer à la composition. C'est en 1848 qu'il s'installe à Weimar en tant que maître de chapelle où le grand-duc l'avait nommé en 1842. Débute alors une nouvelle période pendant laquelle il compose ses poèmes symphoniques, avec l'aide de son secrétaire particulier Joseph Joachim Raff et d'un matériel unique : le piano-melodium. Il se consacre également à la direction des œuvres de ses contemporains. Autour de lui se rassemblent de nombreux élèves — parmi lesquels Hans von Bülow, qui deviendra son gendre — auxquels il fait découvrir Berlioz, Wagner, Saint-Saëns. Toutefois, son talent et ses idées novatrices n'étant pas du goût de tout le monde, les conservateurs ne manquèrent pas de lui mener la vie dure, ce qui le conduit à démissionner de son poste en 1858. Jusqu'à cette date, Weimar est grâce à lui un centre exceptionnel de création et d'innovation. Après avoir tenté sans succès d'obtenir auprès du Pape leur divorce, Liszt et Carolyne se séparent et il entre dans les ordres mineurs en 1865. Il profite de son séjour à Rome pour découvrir la musique religieuse de la Renaissance.

    Dernières années

    Il se retire à Rome en 1861 et rejoint l'ordre franciscain en 1865, recevant la tonsure et quatre commandes mineures de l'Église catholique. Il était cependant excommunié en raison de son appartenance à la franc-maçonnerie.

    À partir de 1869 et jusqu'à sa mort, le père Liszt partage son temps entre trois capitales : Budapest, Rome et Weimar qui correspondaient à trois tendances : sa sentimentalité de Hongrois, son mysticisme religieux et sa musique d'influence allemande. À Budapest, pendant les mois d'été, il continue à recevoir des pupilles gratuitement, y compris Alexander Siloti. Il met alors de côté son activité de virtuose pour se consacrer essentiellement à la composition et à l'enseignement.

    De 1876 à sa mort, il enseigne également pendant plusieurs mois chaque année à l'Académie royale de musique de Budapest dont il fut un des fondateurs et qui sera d'ailleurs rebaptisé plus tard « Académie de musique Franz-Liszt ». Il meurt à Bayreuth le 31 juillet 1886 à 23 h 30, à la suite d'une pneumonie contractée pendant un festival.

    Les derniers jours du musicien :

    — le dimanche 25 juillet 1886, Liszt à bout de forces assistera à un dernier opéra de son ami Richard Wagner : Tristan und Isolde ;

    — le lundi 26, il est au plus mal et se voit privé par les médecins de son cognac quotidien ;

    — le vendredi, les tremblements et le délire frappent cet homme redoutant encore la mort. En effet, Liszt est né un vendredi, l'année 1886 commence un vendredi et il a pour ce jour la superstition des Italiens ;

    — le samedi 31, vers 2 heures du matin, après un sommeil anormalement agité, le compositeur hongrois se lève en hurlant, renverse son domestique accourant pour le recoucher puis s'effondre. Dernière intervention des médecins peu après. Vers 10 heures, Liszt prononce ses dernières paroles. Il murmure « Tristan... » et alors que ses proches lui demandent si il souffre celui-ci répond calmement « Plus... ». Cette parole aura été sa dernière elle fut également la dernière de Chopin.

    Né le 22 Octobre 1811, Franz Liszt, Balance ascendant Lion, Lune en Sagittaire

    Et si nous valions mieux que le bonheur?

    de

    Franz Liszt

     

    « Les idéaux »

    Les conceptions religieuses
    La première crise mystique qui affecte Liszt date de 1827, et est le résultat de deux causes : la rupture de la liaison amoureuse avec son élève, Caroline de Saint-Cricq, provoqué par le père de celle-ci ; d'autre part l'exigence et l'autorité paternelles, par trop écrasante. Le jeune Franz voudrait entrer dans les ordres, mais son père s'y oppose. La mort de celui-ci rendrait possible l'entreprise, mais l'intervention de sa mère y met fin. comme le montre une lettre de 1879 à Carolyne de Sayn-Wittgenstein : « Je suivais seulement en simplicité et droiture de cœur, l'ancien penchant catholique de ma jeunesse. S'il n'avait été contrarié dans sa première ferveur par ma très bonne mère et mon confesseur, l'abbé Bardin, il m'eût conduit au séminaire en 1830 et plus tard à la prêtrise et l'abbé Bardin, assez amateur de musique, tint peut-être trop compte de ma petite célébrité précoce, en me conseillant de servir Dieu et l'Église dans ma profession d'artiste ». Suivant à la lettre le conseil de l'abbé Baudin, le jeune Liszt va tenter d'unir sa profession musicale et son mysticisme : « Nous crions sans relâche qu'une grande œuvre, qu'une grande mission religieuse et sociale est imposée aux artistes. » . L'adultère commis avec Marie d'Agoult met fin à cette tentative.

    Marie d'Agoult, sa carrière de virtuose et son travail d'administrateur à Weimar font qu'il ne retrouve le zèle religieux de sa jeunesse qu'à partir de 1860. Il écrit à Carolyne Sayn-Wittgenstein en 1877 : « Après m'être douloureusement privé pendant trente année, de 1830 à 1860, du sacrement de pénitence, c'est avec une pleine conviction qu'en y recourant de nouveau j'ai pu dire à mon confesseur, notre curé Hohmann de weimar : "Ma vie n'a été qu'un long égarement du sentiment de l'amour." J'ajoute : singulièrement mené par la musique — l'art divin et satanique à la fois — plus que tous les autres il nous induit en tentation ». Dès lors, Liszt comprenant, ou croyant comprendre qu'il avait fait fausse route jusque là, se réfugie à Rome où il se fera franciscain. Il se met au service de la hiérarchie catholique en composant des œuvres très mal perçues : La Messe de Gran, Sainte Elizabeth, Christus. A la fin de sa vie il poursuit encore cet effort tout en recourant à des audaces techniques de plus en plus marquées tel que dans Via Crucis. Néanmoins il prend un peu plus de distance vis-à-vis de l'Église en composant les dernières Méphisto-valses et En rêve — nocturne.

    Il est d'ailleurs avéré que Liszt était franc-maçon et qu'il était par conséquent excommunié de la religion.

    Né le 22 Octobre 1811, Franz Liszt, Balance ascendant Lion, Lune en Sagittaire




    Un pianiste engagé
    L'engagement de Liszt prend naissance avec la révolution de juillet, un peu sous la forme d'un remède à la crise mystique qui couvait depuis 1828. Sous le coup de l'évènement, le pianiste hongrois conçoit une symphonie révolutionnaire qui deviendra plus tard l’Héroïde funèbre. Liszt s'attache d'autre part à Émile Barrault, professeur de rhétorique qui va lui ouvrir les cercles saint-simoniens. Il va ainsi notamment faire la connaissance de Lamartine, de Lamennais et de Lafayette. Plus que Saint-Simon, c'est Lamennais qui laissera sur lui une trace durable : Liszt le connaîtra personnellement et s'en fera un disciple jusqu'à la fin de ses jours. Toutes ces influences théoriques vont se traduire à la fois en écrits (De la situation des artistes et de leur condition dans la société in la Gazette musicale de Paris du 3 et du 17 mai 1835) en musique (transcription de La Marseillaise, pièce Lyon sur la révolte des Canuts intégrée à l'Album d'un voyageur) et en actes (concerts caritatifs). Avec le temps et des femmes, et sous le double impact de son travail de compositeur et d'interprète, cet engagement va progressivement disparaître. Ainsi, en 1848, loin de devenir le chef de la Hongrie révoltée comme le prêtait la rumeur, Liszt s'installe à Weimar tout en soutenant de loin ses compatriotes (composition de Funérailles). Si le Liszt de la maturité n'a plus la fougue de la jeunesse, celui de la vieillesse va abandonner tout engagement pour se consacrer aux affaires religieuses.


    Entre nationalisme et cosmopolitisme
    La question de la nationalité de Liszt demeure ouverte car elle appelle à de multiple interprétations, parfois fantaisistes (d'aucuns, ont ainsi voulu en faire un Français, un Italien, voire un Slovaque). En premier lieu, son origine allemande est à peu près hors de doute: du côté paternel, son grand-père, Georg, était un Autrichien du nom de List, qui avait magyarisé son patronyme en Liszt; et du côté maternel Anna Liszt était une Allemande de Bohème (son nom de jeune fille était Laager). Sachant que Liszt n'a jamais pu parler correctement hongrois (ainsi, lors de son concert à Budapest, il déclare je suis Hongrois en français) et connaissant l'impact qu'a eu sur lui la culture germanique (notamment le Faust), il semble aisé d'en faire un Allemand. Cependant, il n'a cessé de réaffirmer son attachement de cœur à la Hongrie, qui demeurait de toute évidence son pays natal (Raiding appartenant alors au comitat de Sopron en Hongrie): "Il n'y a rien qui puisse m'empêcher, en dépit de ma lamentable ignorance quant au langage hongrois, à m'affirmer depuis toujours magyar par le cœur et l'esprit" (Lettre au baron Antal Augusz du 7 mai 1873).

    Plusieurs explications ont été avancées pour expliquer que Liszt se réclame d'une nation dont il ne possède ni la langue ni le sang. La première, c'est qu'au XIXème siècle les entités nationales sont encore floues (comme le montre Marcel Mauss dans son essai La nation), et que se maintient au sein de l'élite un idéal cosmopolite et européen hérité du XVIIIème siècle. D'où les nombreuses influences "nationales" (on serait tenté de dire "traditionnelles") sur la musique lizstienne (allemandes, tziganes, italiennes, françaises), le fait qu'il se sente partout chez lui (en Suisse, à Paris, à Rome, à Weimar, à Budapest, à Vienne…), ainsi qu'une double descendance française (via Blandine qui a épousé le premier ministre républicain de Napoléon III, Émile Ollivier) et allemande (via Cosima Wagner). La deuxième explication, avancée par Coby Lubliner, impliquerait qu'Adam Liszt se serait inventé une nationalité hongroise afin que des aristocrates hongrois (Esterhàzy) lancent, par fierté nationale, la carrière de son fils. Invention que Liszt aurait fini par croire.

     

     

    Né le 22 Octobre 1811, Franz Liszt, Balance ascendant Lion, Lune en Sagittaire

    Né le : 22 octobre 1811 à 01h16
    à : Raiding (Hongrie)
    Soleil : 27°42' Balance AS : 29°34' Lion
    Lune : 19°59' Sagittaire MC : 21°03' Taureau
    Dominantes : Scorpion, Balance, Sagittaire
    Uranus, Soleil, Vénus
    Maisons 3, 4, 5 / Feu, Eau / Fixe
    Numérologie : chemin de vie 7
    Taille : Franz Liszt mesure 1m85 (6' 1")
    Popularité : 26 991 clics, 965e homme, 1 710e célébrité

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  • Nouvelle Lune du 23 Octobre 2014, Cartes du ciel Géocentrique et Héliocentrique

    NOUVELLE LUNE GEOCENTRIQUE DU 23 OCTOBRE 2014

    Balance ascendant Cancer

    Un rééquilibrage , balance, au service des organisations tribales, familiales , organisations de ressourcement et de protection, domaine du Cancer et fonction Lunaire

    Après avoir vu le dernier cycle soli lunaire ouvrir la pensée collective aux enfants de Pacha Mama en décernant deux prix Nobel de la Paix à des protecteurs des droits de l'enfant,

    CETTE NOUVELLE LUNE  DEVRAIT VOIR AMPLIFIER CETTE  TRANSFORMATION DE LA CONSCIENCE COLLECTIVE  DANS SON APPROCHE DE LA JEUNESSE

     POUR ANCRER DE NOUVELLES VALEURS COLLECTIVES A SON EGARD PARTOUT SUR LA PLANETE

    En effet l'astéroide Child en Balance sur le 10 degré  , en maison 4 , est conjoint à Mercure ....

    Le 10 degré Balance dessine :

    LES SYMBOLES UNIVERSELS

    UN CANOE ATTEINT DES EAUX CALMES APRES LA TRAVERSEE DE RAPIDES DANGEREUX

    DOMINANTE : le sang froid et l'applomb necessaires pour parvenir à un état définitif de stabilité interieure .  

    Le mot Clef : SOULAGEMENT

     

     

     

    Nouvelle Lune du 23 Octobre 2014, Cartes du ciel Géocentrique et Héliocentrique

    Il est aussi important de noter que l'astéroide conscience en vierge, signe de la purification égotique, fait un aspect de 30 degré exact à mercure Balance ...

      

      

    L'ALCHIMIE DE L'AMOUR

    Tel est le merveilleux nom que peut porter ce nouveau cycle soli lunaire qui s'ouvre le 23 octobre en eclairant, conjoint à Vénus, Mercure, Amor et le Nœud Nord ,  le passage entre la Balance et le Scorpion !

     

     

    La Lune et le Soleil éclairent dans leur union le 30 degré Balance sur lequel se pose le symbole " Trois Bosses de savoir sur le crâne d'un philosophe "

    LA DOMINANTE DE CE DEGRE : LA REALISATION DE NOTRE POUVOIR DE COMPREHENSION QUELQUE SOIT LE NIVEAU AUQUEL ON SE SITUE.

    Un philosophe authentique fait plus que connaitre les choses, il les comprend au travers de son expérience directe de l'existence. Il est l'homme de sagesse et se distingue de l'homme de science. En effet, il est nécessaire de réunir des connaissances avant de comprendre les choses, ces connaissances seules peuvent être stériles et condamner toute sagesse.

    Ce tableau singulier fait bien sur référence à la "phrénologie" , taxée habituellement de pseudo science, mais qui à l'occasion, fournit des indications intéressantes . Le nombre trois indique toujours une étape de parachèvement .

    Ce symbole évoque la réalisation d'un savoir étranger, de toutes évidence, aux palmes accadémiques comme à la rédaction de doctes traités sur des idée abstraites.

    SEQUENCE 42 GRADE 5 : Entendement et sagesse s'expriment en fonction de la vie de la communauté et au travers d'expériences fournies par des relations interpersonnelles et collectives. Des facteurs culturels entre toujours en jeu, même si la sagesse véritable dépasse les valeurs culturelles et s'enracine dans la nature essentielle de l'homme , Il est question ici d'une

    CONCEPTION HOLISTE DU SAVOIR

    reposant sur des principes universels.

    Dane Rudhyar

     

    http://yi-king-astrologique.eklablog.com/26-a-30-balance-c202971

     

    1° SCORPION, phase 211, UN CAR BONDE DE TOURISTES EN VILLE

    Une fois bien intégrè le savoir holiste par la conscience humaine,  l'élargissement du chant d'expérience qui s'opère en entrant dans la constellation du Scorpion peut s'opérer pleinement  

     

    1° SCORPION : UN CAR BONDE DE TOURISTES EN VILLE

    DOMINANTE

     

    Le désir fondamental d'élargir son horizon social et de connaitre l'aboutissement de réalisations collectives et de nouveaux modes de vie .

      Dans ce symbole , un groupe fait la découverte d'une vaste réalisation collective , une ville. Des gens venus d'endroits et de milieux différents "communient" en découvrant un ensemble plus vaste d'existence humaine , un ensemble organisé avec des rythmes propres à une activité multiple .

    IL EN DECOULE DES SENTIMENTS NOUVEAUX, UNE CONSCIENCE PLUS ETENDUE .

      CE QUI COMMENCA DURANT LA PHASE BALANCE DU CYCLE PREND CORPS AU COURS DE LA PHASE SCORPION. L'INITIATION OUVRANT A DES VALEURS COLLECTIVES TOUCHE A PRESENT LES SENSATIONS.

    SEQUENCE 43 / GRADE 1: Ce degré concerne la première vision que l'on a de ce qui sous tend un ensemble plus vaste d'existence ( un cadre de référence au champ plus étendu), en des termes très secrets et peut être surprenants . Ce qui est en cause ici est

    un élargissement du champ d'expérience.

      

    DANE RUDHYAR

    YI KING ASTROLOGIQUE

     

     

     

     

     

    Nouvelle Lune du 23 Octobre 2014

    NOUVELLE LUNE HELIOCENTRIQUE DU 23 OCTOBRE 2014

     

     


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  • Né le 18 octobre 1859, Bergson, philosophe , Soleil Balance, Lune Cancer

     

    Né le 18 octobre 1859, Bergson, philosophe , Soleil Balance, Lune Cancer

    Biographie de Jean-Paul Sartre

    Jean-Paul Charles Aymard Sartre (Paris 21 juin 1905 - Paris 15 avril 1980), connu généralement sous le nom de Jean-Paul Sartre compagnon pour la vie de Simone de Beauvoir, est un philosophe et écrivain français (dramaturge et nouvelliste) ainsi que critique du XXe siècle, dont l'œuvre a marqué une époque — le milieu du siècle —, et dont la vie d'intellectuel engagé a suscité polémiques et réticences. Intransigeant et fidèle à lui-même et à ses idées, il a toujours rejeté les honneurs, notamment en 1964 le prix Nobel de littérature, qui lui avait été décerné par l’Académie suédoise. Personnage prolifique et hyperactif, il est autant connu pour son œuvre, notamment ses paradigmes philosophiques que l'on regroupe sous le nom d' Existentialisme, que pour son engagement politique, de gauche radicale.

    Introduction
    Auteur prolifique, Sartre laisse derrière lui une œuvre titanesque, sous forme de romans, d'essais, de pièces de théâtre, d'écrits philosophiques ou de biographie. Sa philosophie a marqué l'après-guerre, et il reste le symbole, l'archétype de l'intellectuel engagé. De son engagement dans la résistance, en 1941, jusqu'à sa mort, en 1980, Sartre n'a cessé de défrayer la chronique. Il fut en effet de tous les combats, pleinement et totalement engagé dans son époque, embrassant avec ferveur toutes les causes qui lui ont semblé justes. Sorte de Voltaire du XXe siècle, Sartre aura milité inlassablement, jusqu'au bout de sa vie.

    Enfance
    Jean-Paul-Charles-Eymard-Léon-Eugène Sartre naît le 21 juin 1905, à Paris ; il provient d’une famille bourgeoise : son père est polytechnicien, militaire, sa mère descend d’une illustre famille d’intellectuels et de professeurs alsaciens, les Schweitzer. Le petit Sartre ne connaîtra pas son père : il meurt de la fièvre jaune peu après sa naissance.

    L’image du père est pourtant là : c’est son grand-père, Charles Schweitzer, homme à la personnalité imposante, qui l’éduque avant qu’il n’entre à l’école publique à 10 ans. De 1907 à 1917, le petit « Poulou », comme on l’appelle, va donc vivre chez les parents de sa mère. Il y passe 10 années heureuses. Le petit Poulou va être adoré, choyé, félicité tous les jours, ce qui va sans doute construire chez lui un certain narcissisme. Dans la grande bibliothèque de la maison Schweitzer il découvre très tôt la littérature, et préfère lire plutôt que de fréquenter les autres enfants (Enfance évoquée dans Les Mots).

    Cette période se termine en 1917 : sa mère se remarie avec un polytechnicien, que Sartre (il a alors 12 ans) ne finira jamais de haïr. Ils déménagent alors à La Rochelle, où il restera de 12 à 15 ans, et qui seront pour lui des années de calvaire : Sartre passe en effet du paradis narcissique schweitzerien à la réalité des lycéens violents et cruels, tandis que l'enfant doit partager avec le nouveau mari une mère qui était auparavant sa propriété exclusive.

    Vers l’été 1921, malade, Jean-Paul Sartre est rapatrié d’urgence à Paris. Soucieuse de son éducation qui pourrait être « pervertie » par les mauvais garçons du lycée du Havre, sa mère décide de l'y faire rester.

    L'homme de gauche
    De plus en plus fatigué et usé, Sartre continuera la lutte gauchiste en soutenant le mouvement Mao. Le journal révolutionnaire La cause du peuple étant menacé de disparaître sous la pression des autorités pompidoliennes, il décide en 71 de devenir le directeur du journal afin de le protéger, et descend dans la rue, avec Simone de Beauvoir, pour le vendre. Il fera de même avec deux autres journaux maoïstes, Tout et J'accuse. En 1973, Sartre va lancer, avec Serge July, Philippe Gavi, Bernard Lallement et Jean-Claude Vernier, un quotidien populaire, Libération, qui paraît au printemps. Atteint de démence vasculaire, il démissionnera de sa direction le 24 mai 1974. Pendant toute cette période il se lie avec divers autres mouvements gauchistes et féministes, prêtant volontiers son nom afin de les aider.

    Philosophie
    Article détaillé : Existentialisme.
    Contingence de l'être : le monde est « absurde », sans raison. Il est « en trop ». Il existe simplement, sans « fondement ». Les choses et les Hommes existent de fait, et non de droit. (Voir La Nausée.)
    L'Homme est défini par la conscience (le pour-soi qui s'oppose à l'en-soi). Or toute conscience est conscience de quelque chose (idée d'intentionnalité reprise de Husserl). L'Homme est donc fondamentalement ouvert sur le monde, « incomplet », « tourné vers », existant (projeté hors de soi) : il y a en lui un néant, un « trou dans l'être » susceptible de recevoir les objets du monde.
    La conscience est ce qui ne coïncide jamais avec soi-même, ce qui est puissance de néantisation (c'est-à-dire de négation, c'est-à-dire d'action) grâce à l'imagination (elle peut penser ce qui n'est pas). La conscience rend donc le projet possible.
    L'Homme est absolument libre : il n'est rien d'autre que ce qu'il fait de sa vie, il est un projet. L'existence précède l'essence (contre Hegel : il n'y a pas d'essence prédéterminée, l'essence est librement choisie par l'existant).
    L'engagement n'est pas une manière de se rendre indispensable, mais n'importe qui (interchangeable).

    "L'Homme est condamné à être libre" : ne pas s'engager, c'est encore une forme d'engagement : on en est responsable.
    De plus, Dieu n'existe pas (ou en tout cas "s'il existait cela ne changerait rien"), donc l'homme est seul source de valeur et de moralité ; il est condamné à inventer sa propre morale.

    Refus du concept freudien d'inconscient, remplacé par la notion de « mauvaise foi » : l'inconscient ne saurait amoindrir l'absolue liberté de l'Homme.
    Le critère de la morale ne se trouve donc pas au niveau des "maximes" (Kant) mais des "actes". La "mauvaise foi", sur un plan pratique, consiste à dire : "c'est l'intention qui compte".

    Intersubjectivité : le sujet a tendance à faire d'autrui un objet et à se ressentir comme l'objet d'autrui (exemple notamment du "geste sale" surpris alors que fait en cachette).

    Source : Wikipédia
     

     

     

      Né le : 18 octobre 1859 à 12h00 (inconnue)
    à : Paris (France)
    Soleil : 24°35' Balance    
    Lune : 14°55' Cancer    
    Dominantes : Balance, Cancer, Vierge
    Vénus, Neptune, Lune
    Air, Eau / Cardinal
    Numérologie : chemin de vie 6
    Popularité : 5 797 clics, 4 695e homme, 7 874e célébrité
     
     

     

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    Né le 18 octobre 1859, Bergson, philosophe , Soleil Balance, Lune Cancer

    résumé du livre

    Dans Les deux sources de la morale et de la religion, son dernier grand livre (1932), Bergson ne se contente pas d'établir la distinction entre le clos et l'ouvert comme critère absolu, en morale, mais aussi en religion (et même dans chaque religion) et en politique. Il en recherche le double fondement, dans la structure immuable de notre espèce, d'un côté dans les actes imprévisibles des grands hommes de bien ou des mystiques, de l'autre.
    Loin de s'appuyer sur une métaphysique toute faite, ce livre la renouvelle, en discutant aussi avec les sciences de son temps, dont la sociologie ; loin de prêcher une morale désuète, il se place au cœur de son époque ; loin de cautionner une critique de la démocratie, ou de la technique, il les place au centre des choix des hommes. Il est urgent de le relire.

     

     


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