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Par nada le 20 Décembre 2018 à 11:40
Trouver les mots simples et juste pour exprimer nos émotions est ce que nous invite à faire Vanessa Paradis avec la sortie de cette belle chanson , chanson totalement en harmonie positive avec ce ciel astral de ce 22 décembre 2018.
Vanessa Paradis qui est née avec un Soleil très exactement situé au même endroit que celui de cette Pleine Lune entre le 30 degré Sagittaire et le 1 degré Capricorne.
Pour la conscience collective de l'humanité, voici une pleine Lune ...au service d'elle même avec un ascendant Cancer pour Greenwich et qui s'extrait du trente degré Gémeaux pour entrer dans le Cancer, soutenue par le puissant rayonnement solaire du solstice d'hiver ...la pleine Lune est pile poil conjointe au Solstice .....ce qui annonce une puissante montée d'une communication très yin cet hiver ...
L'ascendant Cancer conjoint au noeud Nord de cette pleine Lune renforce la puissance lunaire de cette pleine Lune...
Homme ou femme , nous irons tous plus loin au coeur de nos émotions pendant les fêtes qui arrivent ! Nous allons continuer d'exterioriser tout ce que nous gardons depuis trop longtemps en nous même
Le soleil en maison 6 de Saturne et de Pluton Capricorne nous appelle à mettre notre pouvoir personnel de transformation et d'organisation au service de cette exteriorisation emotionnelle necessaire au puissant mouvement planetaire en marche d'instauration d'une nouvelle démocratie.
La puissance de la maison 5 en scorpion sagittaire habitée par 4 planètes appelle quand a elle à mettre une fraternelle créativité alchimique en oeuvre pour accomplir cette tâche ...
Voilà ce que j'ai écrit à propos du 30 degré Cancer et du 30 degré Sagittaire
Il est très amusant de voir ces deux symboles se faire face à face dans le Yi King Astrologique de Dane Rudhyar .....Je vous laisse en méditer toute la merveilleuse subtilité !
30° GEMEAUX, UN CONCOURS DE BEAUTE SUR UNE PLAGE NOIRE DE MONDE
Par nada le 26 Janvier 2010 à 17:54UN CONCOURS DE BEAUTE SUR UNE PLAGE NOIRE DE MONDE
SUPERIORITE INDIVIDUELLE ET NORMES SOCIALES
Dans cette scène typiquement américaine , nous découvrons un mécanisme fondamental extremement ancien qui peut s'exprimer sur plusieurs plans :. La société définit plusieurs rnormes culturelles acceptables par tous et donne en récompense prestige et célébrité à ceux qui les incarnent d'un point de vue phycique , artistique ou psychologique.
De là nait une certaine émulation et le désir de concrétiser au mieux ces images sociales . On place devant les yeux de tous l'incarnation d'un archétype , d'un "canon de proportion" pour qu'il soit admiré. C'est l'aboutissement d'un processus d'exteriorisation.
Séquence 18/Grade 5
Nous sommes dans la dernière phase de la scène IV
Dans le zodiaque la saison du printemps se termine C'est le solstice d'été
L'accomplissement exige à nouveau beaucoup de la conscience humaine individuelle . Le spectacle est terminé . A présent arrive l'heure de la décision .
LA DECISION est le mouvement qui caractérise les prochains degrés Cancer afin d'établir une stabilisation necessaire à l'évolution qui a besoin de repaires pour marquer la conscience des étapes de sa progression
LE PAPE BENISSANT LES FIDELESCe commentaire est de Dane Rudhyar :
"Dominante : La nécessité de rendre hommage AUX VALEURS TRADITIONNELLES sur lesquelles s'édifie la communauté invisible de l'esprit.
La réunion d'un nombre considérable de gens au sein d'une institution religieuse ou spirituelle jouissant d'une longue tradition reflète , autant qu'elle a produit , siècle après siècle, une communauté spirituelle invisible
Le " porte drapeau est a présent devenu un pape , lequel assume le fait d'être un représentant du divin sur terre. Il s'agit d'un rôle ; or la culture repose sur l'incarnation dans la réalité physique de grandes images et de symboles évocateurs.
Ce symbole demande à l'individu : " Veux tu mener une existence transpersonnelle en qualité de symbole ?" .
Voici l'affirmation finale et suprême de cette partie du cycle de l'année représentée par le Sagittaire .
Séquence 54 Grade 5 : Cette étape conclut la scène XVIII. On découvre une collectivité d'êtres humains ayant transféré le sens des valeurs spirituelles à un homme qui est devenu l'incarnation de leur idéal commun.
MOTS CLEFS : CULTE PERSONNALISE
Ce peut être bénédiction ou malediction parfois."
Il représente pour ses élèves une existence à caractère transpersonnel , même si pratiquant d'arts martiaux dits externes, il ne parle que très peu de la transmission pourtant bien réelle.
IL n'y a qu'un Pape pour des milliards d'humains aussi la signification de ce degré doit être ramenée dans son expression toute simple : Nous avons tous la possibilité de nous ouvrir à la perception d'être relié-e-s à un plus grand tout dont nous pouvons devenir canal de la force d'amour et la répandre autour de nous par le biais de la planète qui reveille cette force en nous.
Nous prendrons pour illustration la planète Mars de Maitre Hoang nghi, fils de Maitre Hoang Nam qui, dans sa maison deux, anime ce degré ; par le biais de l'action physique ( Mars) qu'il enseigne concrètement ( maison deux) en lui donnant une valeur transcendante ( Sagittaire), il est réellement l'incarnation d'un idéal de groupe (Renforcé par le Soleil qui en Balance s'interesse d'abord à être agréable aux autres) .
( ps j'ai ecrit en vert pour vous éviter de couper des sapins de Noel )
Béatrix Viard
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Par nada le 14 Février 2017 à 22:52
Née le : 16 décembre 1775 à 23h45 à : Steveston (Royaume-Uni) Soleil : 24°57' Sagittaire AS : 24°02' Vierge Lune : 14°56' Balance MC : 22°17' Gémeaux Dominantes : Sagittaire, Vierge, Gémeaux
Neptune, Soleil, Mercure
Maisons 4, 1, 2 / Terre, Air / MutableNumérologie : chemin de vie 3 Popularité : 34 004 clics, 531e femme, 1 214e célébrité Biographie de Jane Austen
Jane Austen (16 décembre 1775, Steventon, Hampshire - 18 juillet 1817, Winchester) est une femme de lettres anglaise.
Née dans le village de Steventon, dans l'Hampshire, Jane Austen est l'avant-dernière et deuxième fille d'une fratrie de huit enfants. Son père, George Austen, est pasteur ; sa mère, Cassandra Austen née Leigh, compte parmi ses ancêtres sir Thomas Leigh qui fut lord-maire au temps de la reine Elisabeth. Les revenus de la famille Austen sont modestes mais confortables ; leur maison de deux étages, le Rectory, est entourée d'arbres, d'herbes ainsi que d'une grange.
Education
De la jeune Jane Austen on sait que comme la plupart des héroïnes de ses romans, elle pouvait parfois préférer battre la campagne ou se rouler dans l'herbe du haut d'une pente ; en compagnie de son frère Henry (d'un an son aîné) ou de sa sœur Cassandra elle vivait là des activités moins convenables pour une fillette de l'époque que de coudre, jouer du piano, ou chanter.
L'éducation de Jane ne diffère pas de celle donnée à toute jeune fille de la Grande-Bretagne du XVIIIe siècle ; elle consiste en occupations artistiques et ménagères, indispensables pour la préparer à son avenir, le mariage. De fait, elle apprend le français et l'italien, le chant (sans enthousiasme), le dessin, la couture et la broderie, le piano et la danse. Evidemment, de toutes ces activités, sa préférée est de loin la lecture. Les petits Austen avaient également pour passion le théâtre ; la grange, l'été, leur servait de scène.
En 1782, Cassandra et Jane (qui dès lors ne se quittèrent plus de leur vie) furent envoyées à l'école, d'abord à Oxford, puis à Southampton, enfin à l'Abbey School de Reading. Les études leur laissaient beaucoup de temps libre, puisque les fillettes n'avaient qu'une ou deux heures de travail chaque matin. De retour au Rectory, les deux sœurs complétèrent leur éducation grâce aux conversations familiales et à la bibliothèque paternelle qui était remarquablement fournie et à laquelle elles semblent avoir eu un accès sans restrictions.
L'écriture
La famille Austen est friande de romans, qui paraissent à cette époque par centaines. De plus, tout le monde a pour loisir l'écriture : M. Austen rédige ses sermons, sa femme, des vers ; les frères, tous anciens étudiants d'Oxford, des essais pour les journaux étudiants de l'université ; tous touchent à la pièce de théâtre. Jane Austen commence très tôt à écrire, encouragée par l'exemple familial. Elle s'oriente vers le récit, s'inspirant des romans sentimentaux qui constituent le fonds des bibliothèques. Les œuvres de jeunesse qui ont été conservées, copiées à la main en trois cahiers intitulés Volume I,II et III, ont été écrites sans doute entre la douzième et la dix-septième année de l'auteur.
Les premiers romans
En 1795, Jane Austen commence un roman intitulé Elinor et Marianne, première version de ce qui allait être Raison et sentiments. Dans la foulée, elle écrit First Impressions, qui deviendra Orgueil et préjugés. Enfin en 1798, elle écrit Northanger Abbey, sous le premier titre de Susan. Ces trois romans majeurs sont écrits entre vingt et vingt-cinq ans. Son père tente de faire publier First Impressions, sans succès. Les œuvres de Jane Austen ne sortent pas du cercle familial pour le moment.
En 1800, M. Austen décide de quitter le Hampshire pour se retirer à Bath avec sa famille. Jane, à qui la vie à la campagne plaisait tant, n'aima pas être confinée dans cette ville. Elle écrit peu à cette période de sa vie, entreprend en 1805 un roman qu'elle abandonne en cours de route, The Watsons, mais malgré cela, Bath joue un rôle important dans son œuvre. Deux de ses romans se déroulent en grande partie à Bath, Northanger Abbey et Persuasion et la ville, autant que les habitudes de ses habitants et résidents de passage (car Bath est célèbre pour ses termes), y sont dépeints avec précision.
Le 21 janvier 1805, la mort de M. Austen met les femmes de la famille dans une situation peu confortable. Comme souvent au XIXe siècle britannique, elles devront dépendre de la générosité des frères Austen. Et il faut pour Cassandra et Jane abandonner tout espoir de mariage, et connaître le destin fréquent de bien des femmes de l'époque : être vieilles filles. Dear Aunt Jane s'occupe ainsi de ses nombreux neveux et nièces, les distrayant et les éduquant à l'occasion.
En 1808, les trois femmes quittent Bath et s’installent, après des passages à Southampton et à Clifton, dans le village de Chawton, entre Salisbury et Winchester. C’est là que l’œuvre de Jane Austen telle qu’elle est connue a été écrite.
Premiers succès
En 1809, Jane Austen parvient à racheter le manuscrit de Susan, autrefois vendu à l’éditeur Crosby. Puis deux ans plus tard, Raison et sentiments est accepté par l’éditeur londonien Thomas Egerton. La première édition, d’un peu moins de mille exemplaires, est écoulée en vingt mois, et Jane peut compter sur de nouveaux revenus, inespérés pour quelqu’un habitué à vivre très modestement. Comme il est d’usage pour les auteurs féminins, l’ouvrage paraît anonymement. Coup sur coup, Jane se met à la révision d’Orgueil et préjugés et à l’écriture de Mansfield Park. Orgueil et préjugés eut à sa sortie un succès encore plus grand.
Emma est le deuxième ouvrage écrit à Chawton, et sera tiré en première édition à 2000 exemplaires. Désormais, l’auteur peut se permettre une plus grande indépendance financière alors même que les affaires de son frère Henry périclitent. Emma reçut encore une fois un excellent accueil et valut à Jane Austen un admirateur de premier rang en la personne de sir Walter Scott. De plus, le prince régent, à qui Emma était dédicacé, lui fit demander si elle accepterait d'écrire un roman historique sur la maison de Coburg, affiliée à la fille du prince régent ; l’auteur déclina l’offre.
La maladie
Le 8 août 1815, Jane commence l’écriture de Persuasion, qu’elle ne verra pas publié de son vivant. En effet, avant l’achèvement de son dernier roman, elle contracte la maladie d'Addison, une dégradation chronique des glandes surrénales, encore non identifiée à cette époque (il faudra attendre 1855) et souvent causée par la tuberculose. En 1817, pour se rapprocher de son médecin, le docteur Lyford, elle s’installe à Winchester dans une rue proche de la cathédrale. C’est là qu’elle meurt, le 18 juillet 1817, à l'âge de 41 ans, laissant un roman inachevé, Sanditon.
Elle est enterrée dans la cathédrale de Winchester.
L'auteur
On sait relativement peu de choses d'elle, surtout tout ce qui est extérieur à sa carrière de romancière. On n'a que deux portraits d'elle, tous deux dessinés par sa sœur Cassandra, et un des deux est une vue de dos ! Comme seule description d'elle, on a une phrase d'un ami de la famille la décrivant comme "belle, petite et assez élégante".
Jane et Cassandra
Les deux sœurs sont restées toute leur vie durant extrêmement proches, ceci renforcé par le fait que ni l'une ni l'autre ne s'est mariée. C'est par leur correspondance que l'on trouve la plus grande source d'informations sur Jane Austen ; mais ces lettres ne nous renseignent que sur les périodes où les sœurs étaient séparées, ce qui était assez rare. De plus, au désespoir des admirateurs de l'auteur, Cassandra, qui lui survécut, détruisit une partie de cette correspondance, voulant éviter d'exposer l'intimité de sa sœur dont la célébrité allait grandissant. Ainsi beaucoup de mystère subsiste quant à la vie sentimentale de celle qui s'amusait tant à décrire les émois naissants d'une Elisabeth Bennet (Orgueil et préjugés) ou d'une Marianne Dashwood (Raison et sentiments) dans la campagne britannique pré-victorienne. On sait qu'elle accepta une proposition de mariage d'un riche propriétaire du nom de Harris Bigg-Wither, frère d'un de ses amis. Mais elle annonça le lendemain matin qu'elle avait changé d'avis, et partit avec Cassandra rejoindre un de leurs frères à Steventon sans donner plus d'explications.
Le contexte
Jane Austen fait partie de la petite noblesse provinciale du Royaume-Uni du début du XIXe siècle. C'est le cadre qu'elle donne à ses romans. Loin des passions frénétiques des œuvres des Brontë, son œuvre dépeint les relations entre jeunes miss et prétendants, analyse finement les hésitations, préjugés et autres élans du cœur jusqu'à la naissance du sentiment amoureux. A la veille des révolutions industrielles et économiques qui bouleverseront le paysage, et alors que les échos de Waterloo et Trafalgar annoncent la montée en puissance d'un empire britannique, le monde de Jane Austen appartient déjà à un autre siècle. C'est une société qui influence fortement les individus par les conventions sociales, notamment par le mariage. La femme ne peut hériter de son père ou de son mari, et bien des domaines passent aux mains d'un cousin lointain, faute d'héritier mâle. Seul le mariage met à l'abri de tels revers de fortunes. La vie sociale des villages et petites villes de province s'organise autour des bals. C'est d'ailleurs l'une des seules occasions pour les jeunes gens de cette classe sociale de se rencontrer ; c'est aussi, comme on le voit dans Northanger Abbey ou Orgueil et préjugés, le lieu de toutes les espérances matrimoniales.
Œuvres
Œuvres de jeunesse.
Lady Susan
The Watsons
Henry and Eliza
The Three Sisters
Love and Friendship
The History of England
Catharine, or the Bower
Œuvres majeures
Raison et sentiments (Sense and Sensibility) (1811)
Orgueil et préjugés (Pride and Prejudice) (1813)
Mansfield Park (1814)
Emma (1815)
Northanger Abbey (1818) posthume
Persuasion (1818) posthume
Roman interrompu par la mort de l'auteur.
Sanditon
Ouvrages critiques
Allan Bloom, Love and Friendship (tr.fr. L'amour et l'amitié, Livre de Poche. Biblio-Essais, 2003). Cet ouvrage, qui contient des commentaires suivis des œuvres de Jean-Jacques Rousseau, Platon et Shakespeare contient aussi un chapitre suggestif sur l'œuvre de J. Austen.
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Par nada le 15 Décembre 2014 à 09:11
L'esprit de Noel
Vie Art Photographie
UN MAGNIFIQUE DOIGT DE DIEU POISSONS CAPRICORNE TRES CONCRET ET COMPASSIONNEL POINTE SUR LA FOI EMANANT DU COEUR DE JUPITER EN LION DONNE TOUT SON SENS A CETTE MAGIQUE NOUVELLE LUNE DU 22 DECEMBRE QUI ANNONCE UN TOURNANT CAPITAL DANS LA PENSEE COLLECTIVE ...
MORT ET RENAISSANCE VERS DE NOUVEAUX HORIZONS AVEC UN LACHER PRISE RADICAL AVEC LE PASSE , TEL EST L'ECLAIRAGE PLEIN D'AMOUR DE LA LUNE ET LA TERRE DANS LEUR UNION EN TRANSITION GEMEAUX CANCER .....
Très exactement comme lors de la dernière nouvelle Lune , cette union soli-lunaire va opérer la transition entre deux signes , cette fois si le Sagttaire et le Capricorne , donc marquer le Solstice de toute son union yin yang pour pénétrer l'hiver .
Le 30 degré Sagittaire est illustré dans le Yi King par le Pape bénissant ses fidèles.
La question posée à chacun par cette image est " voulons nous , chacun d'entre nous , accepter notre role spirituel qui nous excluera définitivement dees émotions négatives et nous permettra de rayonner notre nature divine
UNE FOIS ACCEPTE EN CONSCIENCE CETTE INCARNATION SOCIALE DE NOTRE VRAIE NATURE IL EST ALORS POSSIBLE AU 1 DEGRE CAPRICORNE DE SE FAIRE ENTENDRE ET RESPECTER PAR TOUS TEL " UN CHEF INDIEN QUI BRIGUE LE POUVOIR AUPRES DE SA TRIBU ASSEMBLEE.
Cet appel à ce que chacun trouve sa place divine au coeur de la conscience planétaire est amplifié par l'ascendant Balance qui donne à ce message son caratère démocratique et harmonieux , en insistant sur le fait que pour opérer cette transformation en chaque humain, il est nécessaire de sceller à tout jamais l'union yin yang tel "deux prisonniers sous les verrous" , message du 18 degré Balance en restant l'esprit serein , 17 degré Balance .
La méditation en action, véritable sens du non agir aidée par Pluton Vénus Mercure Vesta conjoints en Capricorne qui alchimisent en chaque être humain la mort de ses désirs qui avilissent sa vocation spirituelle, et aidée aussi par Ceres Amor en Sagittaire qui en purifiant la pensée collective permettent à l'Amour d'y prendre toute sa place.
Ces six objets célestes encadrent l'union yin yang soli-lunaire en maison trois , celle de l'apprentissage à la connaissance de soi par la communication , qui en contenant pas moins de huit objets celestes puissants annonce un cycle soli lunaire et un solstice d'hiver particulierement transcendant dans ce domaine d'autant plus qu'ils sont tous reliés par le biais du Soleil et de la Lune à Jupiter Lion qui les bénit, comme le Pape , par un superbe trigone!
HO TEMPS SUSPENDS TON VOL
VIE ART PHOTOGRAPHIE
Jupiter en Lion, conjoint Juno, son épouse céleste , en Maison 10, dans son rôle d'amplificateur de foi et de pensée positive, de confiance, prend le coeur pour cible de cette amplification , il amplifie l'amour et la passion d'une intégration sociale par l'amour et la confiance.
Focus du ciel astral de cette Pleine Lune , ils forment, Junon et lui, le mat du navire pour appeler le vent des esprits à accompagner ce beau message, qui va aussi parfumer le vent de l'esprit de Noel, période de miracles pour qui a la foi en la paix sur Terre,SUR LA BARQUE SOLI LUNAIRE DE LA CONSCIENCE COLLECTIVE
Une très belle Union en Maison deux de Noel à Pallas Saturne Lumière compassion et Paix, dans la maison deux dans laquelle nous, humains concretisons terrestrement nos pensées, ouvre un espoir particulierement important pour de belles décisions collectives partout sur terre dans la voie inéluctable de la pacification universelle .
Saturne posé sur le 30 degré Scorpion conjoint Noel et Spirit sur le 30 degré Capricorne encadrent la Nouvelle Lune avec une exactitude Géométrique extrement positive qui amplifie l'effort collectif de paix et d'union planétaire qui s'annonce.
Mars, l'énergie Vitale qui anime ce ciel astral en chaque humain en Verseau et en maison 4, domicile de la Lune, et en face à face exact à Jupiter, ancre sa puissante énergie Lumière dans les racines de la conscience ....Il allume la crèche pour y acceuillir notre enfant interieur par lequel seul peut s'operer toute cette magie.
Conscience en Vierge en Maison 11 et 12 est là pour nous y aider , nous branchant sur la co créative oeuvre de la Vierge Marie
Et pour conclure , peut on en cette préparation de Noel plus jolie Place que Christa à la pointe de la maison 9 , la maison de l'esprit au coeur de nos pensées, Gémeaux
NOEL HELIO 2014 AVEC TOUJOURS LE DOIGT DE DIEU ALCHIMIQUE ET MAGIQUE DE LA NOUVELLE LUNE
Père Soleil gardien de la structure en oeuvre de création divine très exactement en fond de ciel à Minuit
Mère Lune et enfant Lumière conjoints en Verseau en Maison 5, dynamisés par la foi de Jupiter Juno en Lion, , maison eclairée à sa pointe par Spirit ....
Béatrix Viard
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Par nada le 1 Mars 2014 à 10:11
Biographie de Jean-Patrick Manchette
Jean-Patrick Manchette (Marseille, 19 décembre 1942 - Paris, 3 juin 1995) est un écrivain français, auteur de romans noirs, critique littéraire et de cinéma, scénariste et dialoguiste de cinéma, et traducteur. Reconnu comme l'un des auteurs les plus marquants du polar français des années 1970-80, il est également connu pour ses opinions d'extrême-gauche.
Jeunesse et débuts professionnels
Né le 19 décembre 1942 à Marseille, où la guerre a temporairement conduit ses parents, Jean-Patrick Manchette passe la majeure partie de son enfance et de son adolescence à Malakoff, dans la banlieue sud de Paris. Issu d'une famille relativement modeste (un père ouvrier devenu cadre, une mère au foyer), il se montre bon élève et témoigne dès son plus jeune âge d'un goût très vif pour l'écriture. Au cours de son enfance, puis de son adolescence, il écrit des centaines de pages où les pastiches de mémoires de guerre ou de romans de science-fiction cèdent peu à peu la place à des tentatives de littérature "sérieuse".
Lecteur boulimique, passionné par le cinéma américain et le jazz (il joue lui-même du saxophone alto), il deviendra également fervent praticien du jeu d'échecs et des jeux de stratégie en général. Destiné par ses parents à une carrière d'enseignant, il abandonne à leur grand désarroi ses études à l'École normale supérieure sans terminer aucun diplôme, pour tenter de vivre de sa plume. Il enseigne un semestre le français en Angleterre, dans un collège pour aveugles de Worcester, puis revient en France.
Militant d'extrême-gauche pendant la guerre d'Algérie et auteur d'articles et de dessins pour le journal "La Voie Communiste", il s'écartera ensuite de l'action sur le terrain et se verra fortement influencé par les écrits de l'Internationale situationniste.
Son ambition initiale est de devenir scénariste pour le cinéma. Dans l'espoir d'y parvenir, il se lance dès 1965 dans une série de travaux alimentaires nombreux et variés : scénarios de courts métrages, écriture de synopsis, puis de deux films sexy pour Max Pécas (Une femme aux abois / La Prisonnière du désir et La Peur et l’amour). En 1968, il rencontre son premier succès en rédigeant, avec Michel Levine, les scénarios et dialogues de onze épisodes de la série télévisée Les Globe-trotters réalisée par Claude Boissol. Parallèlement, il écrit des novélisations de films à succès (Mourir d’aimer, Sacco et Vanzetti), et d’épisodes des Globe-trotters, des romans pour la jeunesse, des romans d'espionnage, etc. Seul ou avec son épouse Mélissa, il s'attaque également à la traduction de nombreux ouvrages de langue anglaise, majoritairement des romans policiers ou des livres sur le cinéma (mémoires de Pola Negri, biographies de Humphrey Bogart ou des Marx Brothers,...).
Mais ces travaux ne le rapprochent guère de la carrière à laquelle il aspire. L'idée d'écrire des romans lui apparaît alors comme une nécessité car il pense que, ses livres publiés, le cinéma s'y intéressera peut-être. Il considère en ce sens l'écriture de son premier roman comme un point de passage obligé vers le cinéma.
Œuvres romanesques
C'est assez logiquement que Manchette se tourne vers le roman noir, car il est déjà féru de ce genre littéraire et apprécie l'écriture « behavioriste » ou comportementaliste chère au romancier américain Dashiell Hammett. Ayant adressé son premier manuscrit, L'Affaire N'Gustro, aux éditions Albin-Michel fin 1969, il se voit orienté par l'éditrice et écrivaine Dominique Aury vers la collection Série noire que dirige Marcel Duhamel aux éditions Gallimard. Son travail y est accueilli avec intérêt, mais on lui demande des retouches ; il les exécute dans les mois qui suivent, tout en travaillant sur un autre roman en collaboration. Neuf des onze romans de Manchette seront édités dans la Série noire.
En février 1971 paraît ainsi un premier roman, Laissez bronzer les cadavres !, écrit à quatre mains avec Jean-Pierre Bastid, puis deux mois après, un second, L'Affaire N'Gustro. Ces livres marquent le coup d'envoi de ce que Manchette lui-même baptisera par la suite le « néo-polar », genre en rupture radicale avec la Série noire française des années 50/60. En s'appuyant sur la pensée situationniste, Manchette utilise la forme du roman policier comme tremplin à la critique sociale : le roman noir renoue ici avec sa fonction originelle. Le pittoresque de Pigalle et de ses truands cède la place à la France moderne des années 70, avec son contexte politique et social spécifique. Cette tendance s’affirme clairement dans L’Affaire N'Gustro, récit directement inspiré de l’enlèvement, en 1965 à Paris, de Ben Barka, leader de l’opposition marocaine, par les services de sécurité marocains avec la complicité du pouvoir français.
En 1972, Manchette publie Ô Dingos, ô châteaux!, roman dans lequel une jeune nurse et un garçonnet, fils de milliardaire, sont pourchassés par un tueur psychopathe et ses complices. Cette poursuite ponctuée d'éclats de violence est aussi l'occasion d'une peinture au noir de la société de consommation. Le roman obtiendra le Grand prix de littérature policière 1973.
En 1972 également paraît Nada qui relate l’enlèvement d’un ambassadeur américain par un petit groupe d'anarchistes, puis la destruction de ce groupe par la police. Dans ce livre, le plus directement politique de Manchette, l'auteur se penche sur l'erreur que représente le terrorisme d'extrême-gauche : « Le terrorisme gauchiste et le terrorisme étatique, quoique leurs mobiles soient incomparables, sont les deux mâchoires du même piège à cons… » déclare le personnage central, Buenaventura Diaz.
Dans son Journal 1966-1974, il écrit, le dimanche 7 mai 1972, à propos de Nada : « J'ai eu ce soir une discussion intéressante avec Melissa qui, de fait, pensait que mes personnages de desperados étaient en quelque mesure des « héros positifs » . J'ai taché de la détromper en exposant qu'ils représentent politiquement un danger public, une véritable catastrophe pour le mouvement révolutionnaire. J'ai exposé que le naufrage du gauchisme dans le terrorisme est le naufrage de la révolution dans le spectacle ».
Après l'exercice de style que constitue L’Homme au boulet rouge, collaboré avec Barth Jules Sussman, amusante novélisation d’un scénario de western américain, viennent deux romans utilisant le personnage d'Eugène Tarpon, Morgue pleine et Que d’os !. Tarpon est un détective privé à la française, ancien gendarme responsable de la mort d'un manifestant et rongé par le remords, qui jette sur le monde un regard désabusé et se trouve mêlé à des affaires fort embrouillées.
En 1976 paraît Le Petit bleu de la côte Ouest, qui suscite à sa sortie des articles de presse revenant sur « le malaise des cadres » dans les sociétés libérales. Dans ce livre, Georges Gerfaut, cadre commercial, témoin d’un meurtre, devient à son tour la cible des assassins. Il abandonne abruptement sa famille et sa vie trop parfaite avant de rentrer au bercail, une fois ses poursuivants éliminés, car au fond, il ne sait que faire d'autre. Jalonné de références au jazz West Coast et rempli de morceaux de bravoure, ce roman reste l'un des chefs d'œuvre de Manchette.
Vient ensuite Fatale, l'histoire d'Aimée Joubert, une tueuse à gages fragile qui affronte les notables d'une petite ville côtière. Le livre, refusé par la Série noire pour manque d'action, paraît hors collection chez Gallimard. Manchette explique qu’il a tenté dans ce « roman expérimental » de mettre en parallèle la dégradation idéologique du marxisme à la fin du XIXe siècle et la décadence du style flaubertien à la même époque, et précise que « ce n’est pas vraiment un sujet de polar. Je ne le ferai plus. » (in Ice Crim’s n°5/6, 1984).
En 1981, dans La Position du tireur couché, nouvelle expérience radicale d'écriture behavioriste à partir d'un thème classique, Martin Terrier, jeune tueur à gages désireux de prendre sa retraite, est de nouveau victime du monde qui l'entoure. Sa tentative de retour au pays tourne court, et son image d’aventurier se dégrade à mesure qu’il perd sa maîtresse, son argent, son ami, son adresse au tir. Il deviendra dans un final glaçant la copie pathétique d’un père qu’il voulait oublier.
Dans les années qui suivent, cependant qu'il est régulièrement identifié par la presse comme le père spirituel du courant néo-polar, Manchette ne publie plus de romans, mais il continue à écrire pour le cinéma ou la télévision, à traduire et à rédiger ses chroniques sur le roman policier. Il pense avoir conclu un cycle avec son dernier roman, qu'il conçoit comme une « fermeture » de son travail sur le champ du roman noir. Manchette explique dans une lettre de 1988 à un journaliste : « Après cela, comme je n'avais plus à appartenir à aucune sorte d'école littéraire, je suis entré dans un secteur de travail bien différent. En sept ans, je n'ai pas encore fait quelque chose de satisfaisant. J'y travaille encore. »
À partir de 1996, après sa mort, paraissent plusieurs ouvrages qui témoignent de son activité durant les années où il n'a pas publié, en particulier le roman inachevé La Princesse du Sang, thriller planétaire entamé en 1989, qui devait marquer le début d'un nouveau cycle romanesque intitulé Les gens du Mauvais Temps et voir s'ouvrir une autre phase de la carrière de Manchette, tournée vers une relecture sur le mode romanesque de l'histoire contemporaine depuis l'après-guerre.
Travaux pour le cinéma
À partir de 1973, Manchette travaille régulièrement pour le cinéma comme adaptateur, scénariste et dialoguiste. Parmi ses travaux, Nada (Claude Chabrol, 1973) adapté de son propre roman, L’Agression (Gérard Pirès, 1974), L'Ordinateur des pompes funèbres (Gérard Pirès, 1976), La Guerre des polices (Robin Davis, 1979), Légitime Violence (Serge Leroy, 1982), La Crime (Philippe Labro, 1983). Par ailleurs, plusieurs de ses romans sont portés à l'écran, dont trois pour Alain Delon, mais après Nada qui ne le satisfait pas entièrement, Manchette refuse de travailler sur ces adaptations. Il considère la vente de ses droits au cinéma comme le moyen de financer son activité d'auteur. Son intérêt pour l'écriture cinématographique et son sens du dialogue l'amènent toutefois à se trouver sollicité pour de nombreux projets de films d'un intérêt très inégal, souvent adaptés d'autres auteurs de romans noirs (William Irish, Hilary Waugh, Wade Miller, etc). Il écrira ainsi un grand nombre de sujets et de scénarios sur commande, dont beaucoup ne verront pas le jour. Il travaille occasionnellement pour la télévision, par exemple à la collection de fictions TV « Série Noire » au début des années 80, écrivant deux téléfilms de la série et presque tous les textes de présentation des épisodes, dits par le comédien Victor Lanoux qui incarne un détective privé.
Autres travaux littéraires
La traduction est une activité que Manchette juge noble et qu'il pratique tout au long de sa vie : entre 1970 et 1995, il signe au total une trentaine de traductions, parmi lesquelles des romans de Donald E. Westlake, Robert Littell, Robert Bloch ou Margaret Millar, plusieurs titres de Ross Thomas ainsi que le comic Watchmen. Il s'est aussi essayé au scénario de bande dessinée avec l'album Griffu, réalisé avec Jacques Tardi, et au récit pour la jeunesse, a écrit des préfaces, des notes de lecture, des nouvelles et une pièce de théâtre. Parallèlement à ses romans et à ses travaux pour le cinéma, Manchette a également tenu un abondant journal intime de 1965 à 1995, qui forme au final un ensemble de plus de cinq mille pages manuscrites.
Autres écrits divers
Parmi ses multiples autres activités, Manchette a aussi été directeur de la collection de science-fiction "Futurama" (Presses de la Cité,1975-81), chroniqueur des jeux de l'esprit (Métal hurlant, 1977-79) sous le pseudonyme du Général-Baron Staff, rédacteur en chef de l'hebdomadaire BD (1979-80), critique de cinéma (Charlie Hebdo) bien que ne se donnant pas toujours la peine de voir les films dont il parle, et de romans policiers (Charlie Mensuel, 1977/81) sous le pseudonyme de Shuto Headline. Avec ses chroniques sur le roman noir et ses Notes noires, parues dans la revue Polar (1982-83 et 1992-95), il s’est confirmé comme un théoricien majeur de la littérature de genre.
Maladies et décès
Jean-Patrick Manchette souffre, entre 1982 et 1989, de symptômes notables d'agoraphobie, qui le laissent la plupart du temps retranché dans son appartement du XIIe arrondissement.. Grand fumeur depuis l'âge de treize ans (Celtiques, Gauloises, Gitanes, toujours des brunes sans filtre), il contracte en 1991 un cancer du pancréas, est opéré, connaît une période de rémission, puis en 1993 le cancer s'étend aux poumons. Il en meurt le 3 juin 1995 à Paris, à l'Hopital Saint-Antoine. .
Parutions posthumes
Après son décès, sont parus son ultime roman inachevé, La Princesse du sang (1996), ainsi que des recueils de ses articles sur le roman policier (Chroniques, 1996), de ses chroniques de cinéma (Les Yeux de la Momie, 1997) et de ses nouvelles accompagnées de son unique pièce de théâtre, Cache ta joie ! (1999), des extraits de romans abandonnés comme Iris (1997), un scénario inédit (Mésaventures et décomposition de la Compagnie de la Danse de Mort, écrit en 1968, publié en 2008 dans la revue Temps Noir) et un volume de son Journal couvrant les années 1966 à 1974. Ces parutions sont venues confirmer l'importance de Manchette dans le panorama littéraire français. Ses livres sont traduits dans de très nombreuses langues à travers le monde, y compris en langue anglaise ce qui est le cas de très peu d'auteurs de romans policiers français.
Bibliographie
I. Romans
Laissez bronzer les cadavres!, (1971), (en collaboration avec Jean-Pierre Bastid), Gallimard, Série Noire n° 1394; rééditions: Carré Noir n°429 (1982), Folio n°1854 (1987) Folio policier n°388 (2005)
L’Affaire N’Gustro (1971), Gallimard, Série Noire n° 1407; rééditions Carré Noir n°390 (1981), Folio Policier n°75 (2001)
Ô dingos, ô châteaux! (1972), Gallimard, Série Noire n° 1489; rééditions: Carré Noir n°209 (sous le titre Folle à tuer, 1975), Folio n°1815 (1987), Folio Policier n°257 (2002)
Nada (1972), Gallimard, Série Noire 1538; rééditions: Carré Noir n°152 (1973), Folio Policier n°112 (1999)
L’Homme au boulet rouge (1972), (en collaboration avec Barth Jules Sussman), Gallimard, Série Noire n° 1546; rééditions. Carré Noir n°451 (1982), Folio Policier n°444 (préface de Doug Headline,2006)
Morgue pleine (1973), Gallimard, Série Noire n° 1575; rééditions: Carré Noir n°511 (sous le titre Polar, 1984), Folio n°1933 (1988), Folio Policier n°89 (1999)
Que d’os! (1975), Gallimard, Super Noire n°51; rééditions; Carré Noir n°487 (1983), Folio n°1992 (1988), Folio Policier n°121 (2000)
Le Petit bleu de la côte Ouest (1976), Gallimard, Série Noire n° 1714; rééditions: Carré Noir n°368 (sous le titre Trois Hommes à abattre, 1980), Folio n°2250 (1991), Folio Policier n°23 (1998)
Fatale (1977), Gallimard hors collection; rééditions : Folio n°1502 (1983), La Noire (préface de Jean Echenoz, 1996), Folio policier n°44 (1998)
La Position du tireur couché (1982), Gallimard, Série Noire n°1856; rééditions: Carré Noir n°562 (1985), Folio policier n°4 (1998)
La Princesse du sang (1996), Rivages Thriller; rééditions: Rivages Noir n° (1999), Folio policier n°382 ((préface de Doug Headline, 2005)
Romans Noirs (2005) Gallimard, Quarto, volume réunissant tous les romans (excepté 5) et des textes inédits (projets inachevés, notes de travail, extraits du journal de l'auteur).
II. Autres publications
Les Globe-trotters : Objectif Mexico (en collaboration avec Michel Levine) Presses de la Cité, Rouge & Or n°262 (1968).
Les Globe-trotters : Des Andes à l’Amazonie (en collaboration avec Michel Levine) Presses de la Cité, Rouge & Or n°268 (1968).
Les Têtes brûlées, Aventures Pocket n°4, Presses Pocket (1969).
Les Têtes brûlées foncent tête baissée, Aventures Pocket n°8, Presses Pocket (1969).
Têtes brûlées contre zombies, Aventures Pocket n°11, Presses Pocket (1970).
Les Criminels de glace, chasse aux nazis en Amérique du sud, récit, signé Erich Erdstein, Solar (1970).
Le Cabochard, série d'espionnage, 6 volumes en collaboration avec Michel Levine, manuscrits perdus (1970).
Les Chasses d’Aphrodite, sous le pseudonyme de Zeus de Castro (en collaboration avec Michel Levine),Régine Desforges (1970).
Folie noire, signé Sylvette Cabrisseau, Presses de la Cité "Un Mystère" n°111 (1970).
Panthère noire, signé Sylvette Cabrisseau, Presses de la Cité "Espiorama" n°4 (1971).
Mourir d’aimer, novelisation (sous le pseudonyme de Pierre Duchesne) Solar (1971), rééd. PP n°921 (1972);
Sacco et Vanzetti, novelisation (sous le pseudonyme de Pierre Duchesne) Solar (1971), rééd. PP n°900 (1972).
Griffu, bande dessinée, scénario de Manchette, dessin de Jacques Tardi, Editions du Square (1978); rééditions: Dargaud, 1982; Casterman 1996.
Melanie White, roman de science-fiction illustré par Serge Clerc,"Éclipse", Hachette(1979); réédition in Cache ta Joie !, Rivages (1999).
Noces d'Or, ouvrage collectif pour le cinquantenaire de la Série Noire, Gallimard; le premier chapitre, 'Mise à feu' est écrit par Manchette (1995).
Chroniques, recueil de textes sur le roman policier, Rivages "Écrits noirs" (1996), réédition Rivages Noir n° 488 (2003)
Les Yeux de la momie, recueil des chroniques de cinéma, Rivages "Écrits noirs"(1997).
Cache ta joie !, théâtre et nouvelles, Rivages "Écrits noirs" (1999), réédition Rivages Noir n° 606 (2006)
Le Petit Bleu de la Côte Ouest, adaptation en bande dessinée par Jacques Tardi, Les Humanoïdes Associés (2005); réédition: Futuropolis (2008).
Journal 1966-1974, Gallimard (2008).
Filmographie
I. Adaptations cinématographiques des romans de Jean-Patrick Manchette
Nada (1973), (Claude Chabrol), scénario et adaptation Jean-Patrick Manchette et Claude Chabrol
Folle à tuer (1975), (Yves Boisset), adapté du roman O dingos, ô châteaux.
Trois Hommes à abattre (1980), (Jacques Deray), adapté du roman Le petit Bleu de la côte Ouest.
Pour la Peau d'un flic (1981), (Alain Delon), adapté du roman Que d'os !
Le Choc (1982), (Robin Davis), adapté du roman La Position du tireur Couché.
Polar (1983), (Jacques Bral), adapté du roman Morgue pleine.
II. Scénarios, dialogues ou adaptations écrits par Jean-Patrick Manchette (principaux films)
1966 - La peur et l'amour (Max Pécas) : scénario et dialogues (avec Max Pécas)
1967 - Une femme aux abois (Max Pécas) : scénario et dialogues (avec Max Pécas)
1968 - Le Socrate (Robert Lapoujade) dialogues (avec Colette Audry)
1972 - Les petits-enfants d'Attila (Jean-Pierre Bastid) : scénario et dialogues (non crédité à sa demande)
1972 - Ras l'bol (Michel Huisman) : scénario (avec Michel Huisman et Jean-Marie Vervisch)
1973 - Nada (Claude Chabrol) : scénario, adaptation et dialogues (avec Claude Chabrol)
1974 - L'agression (Gérard Pirès) : adaptation (avec Gérard Pirès)
1975 - L'ordinateur des pompes funèbres (Gérard Pirès) : adaptation (avec Gérard Pirès)
1979 - La guerre des polices (Robin Davis) : adaptation et dialogues (avec Patrick Laurent)
1981 - Les Maîtres du temps (René Laloux) : dialogues
1982 - Légitime violence (Serge Leroy) : scénario (avec Patrick Laurent)
1983 - La Crime (Philippe Labro) : adaptation et dialogues (avec Philippe Labro)
1989 - Cher frangin (Gérard Mordillat) : sujet et scénario original (non crédité)(avec Jean-Marie Estève)
Télévision
1968 - Série Les Globe-trotters (Claude Boissol) 3e série, scénario et dialogues de 11 épisodes (avec Michel Levine)
1979 - Série Histoires insolites, téléfilm Une dernière fois Catherine (Pierre Grimblat) : adaptation et dialogues, d'après William Irish
1984- 1991 - Collection Série noire : textes de présentation des téléfilms.
1985 - Série Le tiroir secret (Édouard Molinaro) : scénario d'un épisode sur les six.
1987 - Noces de plomb, téléfilm (Pierre Grimblat): adaptation et dialogues, d'après Hilary Waugh
1993 - Aveugle, que veux-tu ?, téléfilm (Juan-Luis Bunuel): scénario, adaptation et dialogues (avec Juan-Luis Bunuel), d'après Robert Destanques
1994 - Match / Deux millions de dollars dans un fauteuil (Yves Amoureux): adaptation et dialogues (avec Jean-Pierre Fongea et Jacques Labib)
Ouvrages sur Jean-Patrick Manchette
Polar Hors-Série Spécial Manchette, numéro spécial de la revue Polar, éd. Rivages (1997)
Jean-Patrick Manchette par Jean-François Gerault, éd. Encrages (2000)
Jean-Patrick Manchette, le récit d'un engagement manqué par F. Frommer, éd. Kime (2003)
Manchette, le nouveau roman noir par Benoît Mouchart, éditions Séguier-Archimbaud (2006) ISBN 2-840-49495-7
Temps noir N° 11, mai 2008 (ISBN 978-2-910686-49-9) numéro entièrement consacré à Jean-Patrick Manchette.Télécharger « » site officiel de Jean Patrick Manchette
Jean-Patrick Manchette : astrologie et thème astral
Source : Wikipedia
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Par nada le 26 Février 2014 à 18:29
Biographie de Paco de Lucía
Paco de Lucía, de son vrai nom Francisco Sánchez Gomez, est un guitariste espagnol né le 21 décembre 1947 à Algésiras (province de Cadix, Espagne) et mort le 26 février 2014 à Cancún au Mexique.
Il est considéré comme l'un des meilleurs guitaristes flamenco au monde. Il a notamment apporté des innovations importantes à la guitare flamenca.Il est considéré par beaucoup, notamment par les joueurs de Flamenco, comme étant un des meilleurs guitaristes au monde . Il a notamment apporté des innovations importantes à la guitare flamenca.
Son environnement familial fut favorable à son travail musical, tout d'abord par son père lui-même guitariste qui lui donne ses premières leçons à l'âge de 5 ans, puis ses frères, Ramón de Algeciras reconnu comme guitariste de talent et Pepe de Lucía qui mena très tôt une carrière de chanteur de flamenco.
A Jerez, il participe à un concours de flamenco à l'âge de 12 ans et remporte le prix spécial. À l'âge de quatorze ans il est engagé comme guitariste pour la compagnie de danse José Greco et commence sa première tournée aux États-Unis. À New York il rencontre Mario Escudero et Sabicas, deux guitaristes espagnols de renommée qui l'encouragent à mener une carrière de soliste.
Après l'enregistrement en solo de son premier disque en 1965 et un concert au Teatro Real de Madrid son talent est reconnu unanimement. L'innovation de ses compositions dans le milieu du flamenco traditionnel associé à une grande technique instrumentale lui ouvre d'autres horizons musicaux.
Paco de Lucía adapte et enregistre plusieurs thèmes du compositeur espagnol Manuel de Falla, et quelques années plus tard il enregistre l'œuvre majeure de Joaquín Rodrigo, Le Concerto d'Aranjuez.
Entre-temps il collabore avec de nombreux musiciens de Jazz, Larry Coryell, Chick Corea... En 1981, un trio réunit les guitaristes John McLaughlin, Al Di Meola et Paco de Lucia, le disque « Friday Night in San Francisco » enregistré à l'issue d'une tournée mondiale se classe rapidement parmi les meilleures ventes de disques de guitare instrumentale.
Sans jamais oublier son univers musical d'origine il s'associera à l'enregistrement de 10 albums de la grande figure du chant flamenco Camarón de la Isla.
Paco de Lucía représente l'influence de nombreux guitaristes et participe avec eux à l'expression d'un nouveau flamenco qui élargit considérablement son audience à travers le monde.
En automne 2004 Paco de Lucía reçoit à Oviedo (Asturies - Espagne) le Prix Prince des Asturies des Arts patronnée par Felipe de Bourbon, héritier du trône d'Espagne.
« Considéré comme le plus universel des artistes flamenco, son style a fait école parmi les plus jeunes générations et son art est devenu un des meilleurs ambassadeurs de la culture espagnole à travers le monde », a estimé le jury.
« Tout ce qui peut s'exprimer avec les six cordes d'une guitare peut sortir de ses mains, qui s'animent avec l'émouvante profondeur de la sensibilité », a ajouté le jury.
À noter, qu'il a composé la musique du film The Hit de Stephen Frears en 1984.Si vous connaissez l'heure de naissance de Paco de Lucía, merci beaucoup de participer à l'amélioration de la base de données astrologique et d'envoyer votre information avec votre source. Un portrait astrologique complet (environ 35 pages) de cette célébrité pourra vous être envoyé gratuitement pour vous remercier.
Célébrités ayant la même date anniversaire : Jane Fonda, Corinne Touzet, Kiefer Sutherland, Frank Zappa, Samuel L. Jackson, Julie Delpy, Mathieu Chedid, Govinda (acteur), Florence Griffith Joyner, Chris Evert, Rachel Sutherland, C. Jérôme... Voir toutes les célébrités nées un 21 décembre.
Discographie
1965. Paco de Lucía y Ricardo Modrego. Dos guitarras flamencas
1965. Paco de Lucía y Ricardo Modrego. Dos guitarras flamencas en stereo
1965. Paco de Lucía y Ricardo Modrego. Doce canciones de García Lorca para guitarra
1967. Paco de Lucía y Ramón de Algeciras. Dos guitarras flamencas en America Latina
1967. La fabulosa guitarra de Paco de Lucía
1969. Hispanoamérica
1969. Fantasía flamenca
1971. Recital de guitarra
1972. El duende flamenco
1973. Fuente y caudal
1975. En vivo desde el teatro real
1976. Almoraima
1978. Interpreta a Manuel de Falla
1981. Castro Marín
1981. Al Di Meola, John McLaughlin & Paco de Lucía. Friday Night in San Francisco
1981. Solo quiero caminar
1983. Entre dos aguas
1983. Al Di Meola, John McLaughlin & Paco de Lucía. Passion, grace and fire
1984. Paco de Lucía & Sextet. Live one summer night
1987. Siroco
1990. Zyryab
1991. Concierto de Aranjuez
1993. Live in America
1996. Al Di Meola, John McLaughlin & Paco de Lucía. The guitar trio
1998. Luzia
2004. Cositas Buenas (Album Latin Jazz de l'année aux Billboard Latin Awards 2005)Source : Wikipedia
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