• Né un 21 décembre , Thomas Sankara : "Le Soleil ne se couche jamais, c'est l'homme qui s'éloigne de la lumière"

     

      

    "Le Soleil ne se couche jamais, c'est l'homme qui s'éloigne de la lumière"

    Peut on plus belle sitation pour un être né au solstice d'hiver , au moment ou les nuits etant les plus longues , il nous convient de nous plonger dans notre monde interieur pour nous rapprocher de la véritble lumière, celle du coeur ?

    N'est ce pas de la part d'un homme né dans l'énergie du solstice d'hiver la plus jolie définition que l'on peut donner à cette période de l'année dans laquelle les nuits sont les plus longues?

    THOMAS SANKARA ETAIT UN VISIONNAIRE DE LA DEMOCRATIE AFRICAINE

    IL L'A POSE PAR DES ACTES CONCRETS ET SIMPLES, DEMONTRANT QUE L'AFRIQUE POUVAIT DEVENIR AUTO SUFFISANTE ET CAPABLE DE S'ARRACHER AU COLIONALISME

     

      

      

     Droiture, justice , dévouement, dignité, intégrité , ceux sont là les belles valeurs développées pour répondre aux besoins d'une Lune Capricorne qui montre l'exemple de décroissance des gouverneurs pour la croissance du peuple. Conjointe à Mercure lui aussi en Capricorne , cette Lune a donné à Sankara un mental profondement en empathie avec les petites gens.

     

    Mercure sur le 15° Capricorne révèle une image on ne peut plus juste relativement aux discours historiques de Sankara :

    26° A 30° POISSONS

     

    Sankara aurait voulu être médecin, mais alimenter un peuple pauvre n'est il pas la plus belle des médecines de prévention , en changeant les mentalités par des discours très concrets sur la capacité locale à s'auto gérer ?

    "LA DYNAMIQUE SOCIO CULTURELLE DOIT REGARDER TANT EN DIRECTION DE L'AVENIR QUE DU PASSé."

    Elle a créé des conditions qui sont susceptibles de faire du tort aux enfants destinés à poursuivre sa tache ; aussi doit-elle remédier à cet état de fait en leur procurant amour et soins; sur un plan personnel on devrait prêter une grande attention à ses intuitions immédiates et à ses rêves d'essor futur . Ils représentent souvent une évolution fragile que la pression du quotidien peut facilement dévier ou détruire.

    Séquence 57/grade 5 : Voici la dernière étape de la SCENE XIX commencée avec des vigoureuses revendication du pouvoir socio-politique.

    L'exercice de ce pouvoir peut en effet créer des conditions sociales mettant en péril , au plan spirituel, le développement salutaire d'une communauté , et en particulier de ses enfants . Il est par conséquent indispensable de faire preuve d'une ATTENTION BIENVEILLANTE et, aussi bien, d'une aptitude à amenuiser les tensions destructrices de la vie sociale."

    Dane Rudhyar

    Mars un 28° vierge éclaire " Un homme chauve qui s'est emparé du pouvoir" !

    C'est un degré qui signe la force pure de la personnalité en des moments ou une décision s'impose .

    CECI EST ON NE PEUT MIEUX MIS EN MOUVEMENT PAR SANKARA et conjoint à Neptune en Balance, cette force de la personnalité est mise au service, Mars Vierge, d'un idéal collectif transcendant, Neptune Balance.

    Le Taureau, Vénus et la Maison 2

    BURKINA FASO LE PAYS DES HOMMES INTEGRES

    Thomas Sankara est un homme politique anti-impérialiste, panafricaniste et tiers-mondiste burkinabé. Il est né le 21 décembre 1949 à Yako en Haute-Volta et mort assassiné le 15 octobre 1987 à Ouagadougou au Burkina Faso.

    Il incarna et dirigea la révolution burkinabé du 4 août 1983 jusqu'à son assassinat lors d'un coup d'État qui amena au pouvoir Blaise Compaoré, le 15 octobre 1987. Il a notamment fait changer le nom de la Haute-Volta, issu de la colonisation, en un nom issu de la tradition africaine le Burkina Faso, le pays des hommes intègres et a conduit une politique d'affranchissement du peuple burkinabé. Son gouvernement entreprit des réformes majeures pour combattre la corruption et améliorer l'éducation, l'agriculture et le statut des femmes. Son programme révolutionnaire se heurta à une forte opposition du pouvoir traditionnel qu'il marginalisait ainsi que d'une classe moyenne peu nombreuse mais relativement puissante.

    L'héritage politique et « identitaire » de Thomas Sankara — tout comme ceux de Patrice Lumumba, Amílcar Cabral ou Kwame Nkrumah — est considérable en Afrique.

    Thomas Sankara était un « Peul-Mossi » issu d'une famille catholique. Son père était un ancien combattant et prisonnier de guerre de la Seconde Guerre mondiale. Il a fait ses études secondaires d'abord au lycée Ouezzin Coulibaly de Bobo-Dioulasso, deuxième ville du pays, puis à partir de la seconde et jusqu'au bac à Ouagadougou, au PKM, le Prytanée militaire du Kadiogo.

     Il a suivi une formation d'officier à l'Académie militaire d'Antsirabé, à Madagascar, et devint en 1976 commandant du CNEC, le Centre national d'entraînement commando, situé à Pô, dans la province du Nahouri, à 150 km au sud de la capitale. La même année, il se lie d'amitié avec Blaise Compaoré lors d'un stage d'aguerrissement au Maroc. Ensemble, ils fondent le Regroupement des officiers communistes (ROC) dont les autres membres les plus connus sont Henri Zongo, Boukary Kabore et Jean-Baptiste Lingani.

    En septembre 1981, il devient secrétaire d'État à l'information dans le gouvernement du colonel Saye Zerbo. Il démissionne le 21 avril 1982, déclarant « Malheur à ceux qui bâillonnent le peuple ! »

    Le 7 novembre 1982, un nouveau coup d'État portait au pouvoir le médecin militaire Jean-Baptiste Ouédraogo. Sankara devint Premier ministre en janvier 1983, mais fut limogé et mis aux arrêts le 17 mai, après une visite de Guy Penne, conseiller de François Mitterrand[1],[2],[3]. Le lien entre la visite de Guy Penne et l'arrestation de Sankara reste sujet à controverse, même si les soupçons d'une intervention française restent forts[4].

    Un nouveau coup d'État, le 4 août 1983, place Thomas Sankara à la présidence du Conseil national révolutionnaire. Il définit son programme comme anti-impérialiste, en particulier dans son « Discours d'orientation politique », écrit par Valère Somé. Son gouvernement retira aux chefs traditionnels les pouvoirs féodaux qu'ils continuaient d'exercer. Il créa les CDR (Comités de défense de la révolution), qui eurent toutefois tendance à se comporter en milice révolutionnaire faisant parfois régner une terreur peu conforme aux objectifs de lutte contre la corruption[5].

    Le 15 octobre 1987, Thomas Sankara fut assassiné lors d'un coup d'État organisé par celui qui était considéré comme son frère, Blaise Compaoré. Plusieurs jours plus tard, il fut déclaré « décédé de mort naturelle » par un médecin militaire. L'absence de tout procès ou de toute enquête de la part du gouvernement burkinabé a été condamnée en 2006 par le Comité des droits de l’homme des Nations unies (voir Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme)[6]. Par ailleurs, le gouvernement français de l'époque (cohabitation entre Jacques Chirac qui gouverne et François Mitterrand qui préside) est soupçonné d'avoir joué un rôle dans cet assassinat, ainsi que plusieurs autres gouvernements africains gouvernés par des amis de la France[7]. Kadhafi pourrait être impliqué et avoir utilisé ce meurtre pour redevenir un ami de la France. C'est notamment la famille Sankara, réfugiée en France, qui soutient ces hypothèses.

    Cette hypothèse est aussi soutenue par la plupart des historiens africains[8],[5]. Si la décision de condamner l'absence d'enquête constitue une première mondiale dans la lutte contre l'impunité, elle est insuffisante, puisqu'elle n'a conduit à aucune condamnation. Thomas Sankara a été proclamé modèle par la jeunesse africaine au forum social africain de Bamako 2006 et au forum social mondial de Nairobi en 2007.

    Depuis le 28 décembre 2005, une avenue de Ouagadougou porte son nom, dans le cadre plus général d'un processus de réhabilitation décrété en 2000 mais bloqué depuis lors[9]. Diverses initiatives visent à rassembler les sankaristes et leurs sympathisants, notamment par le biais d'un comité national d'organisation du vingtième anniversaire de son décès, de célébrer sa mémoire, notamment par des manifestations culturelles, tant au Burkina Faso qu'en divers pays d'implantation de l'émigration burkinabé. En 2007, pour la première fois depuis 19 ans, la veuve de Thomas Sankara, Mariam Serme Sankara, a pu aller se recueillir sur sa tombe présumée lors des 20es commémorations à Ouagadougou[5].


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