Cratère Copernic
le son de neptune
Thomas More (7 février 1478, Londres (15 février en calendrier Grégorien) – 6 juillet 1535, Londres), fut un juriste, historien, philosophe, théologien et homme politique anglais de la Renaissance.
Grand ami d'Érasme, philanthrope, il participa pleinement au renouveau de la pensée qui caractérise cette époque, ainsi qu'à l'humanisme chrétien, dont il était le plus illustre représentant anglais, dans une époque charnière entre le Moyen Âge et la Renaissance.
Sir Thomas More est devenu Saint Thomas More puisqu'il a été béatifié par l'Église catholique en 1886 et canonisé en 1935.
Thomas More est le fils du juge et chevalier John More. Il étudie à l'Université d'Oxford à partir de 1492, puis dans une école de droit, New Inn, et à Lincoln's Inn ; parmi ses maîtres, John Colet et Erasme, qui deviendront ses amis. Inscrit à vingt-et-un ans au barreau des avocats, il enseigne le droit jusqu'en 1504. Il devient l'avocat des marchands de la Cité, et est élu juge (under-sheriff) en 1510 par les habitants de Londres.
Il fait vers 1504 une longue retraite à la Chartreuse de Londres, puis épouse Jane Colt en 1505, dont il a trois filles et un fils. (Il préféra être un mari chaste plutôt qu'un moine impudique - Erasme). À son décès en 1511, il se remarie avec Alice Middleton, veuve et mère de deux enfants. Il sera réputé pour l'éducation de haut niveau qu'il faisait donner à ses enfants, filles comme garçons.
Membre du Parlement à partir de 1504, il s'élève contre les taxes demandées par le roi Henri VII pour la guerre d'Ecosse. Le roi fait emprisonner John More et Thomas More se retire en France (1508).
L'avènement d'Henri VIII (1509) marque le début d'une brillante carrière politique. Le roi le prend comme maître des requêtes, puis à son Conseil privé, et l'envoie en missions diplomatiques et commerciales aux Pays-Bas (1515), où il rédige L'Utopie, puis à Calais (1517). Il est nommé en 1521 trésorier de la Couronne, et en 1525 chancelier de Lancastre. Il fait partie de la délégation qui négocie en 1529 la paix avec l'Espagne.
Il est élu en 1523, contre son gré, speaker du Parlement.
La même année, il commence à participer à la polémique contre les thèses de Luther, ce pour quoi son ami l'évêque Tunstal le mandate en 1528 : il rédigera sept livres en anglais jusqu'en 1533.
Il accède en 1529 à la plus haute charge, celle de chancelier du Royaume, premier laïc nommé à ce poste.
Mais la volonté du roi d'épouser Anne Boleyn, dont il s'est épris en 1527, se heurte au refus du pape d'annuler son mariage avec Catherine d'Aragon, ce qui amène Henri VIII à rompre avec Rome. Ce schisme est à l'origine de l'Église anglicane.
Thomas More, fidèle à une chrétienté unie, démissionne alors, le 16 mai 1532.
Après diverses tracasseries, le roi fait exiger des prêtres et de Thomas More, puis d'autres laïcs, un serment reconnaissant la suprématie spirituelle du roi. More, s'y refusant, est emprisonné à la Tour de Londres, puis jugé coupable de haute trahison et condamné à mort. Le roi permettant qu'il fût décapité et non pendu, More commente : "Dieu préserve mes amis de la faveur du roi". Il est exécuté le 6 juillet 1535.
Thomas More a été béatifié en 1886 et canonisé en 1935. Le calendrier liturgique a étendu à partir de 1970 sa fête à l'Église universelle. Le pape Jean-Paul II l'a fait patron des responsables de gouvernement et des hommes politiques en l'an 2000.
Œuvres
Thomas More est surtout connu pour son essai politique et social De optimo statu rei publicae deque nova insula Utopia (L'Utopie). Celui-ci n'est toutefois qu'un élément d'une œuvre écrite considérable : traductions du grec, épigrammes latines, poésies, traités, mais aussi des ouvrages qui témoignent d'une spiritualité profonde.
Utopia
Article détaillé : Utopia.
Le mot « utopie » est formé à partir du grec ou-topos, qui signifie en aucun lieu ou bien, dans le monde des idées, en tout lieu (du grec eu-topos).
Dans cet ouvrage écrit sur le mode du dialogue avec un narrateur, l'explorateur Raphaël Hythlodée, Thomas More prône la tolérance et la discipline au service de la liberté, à travers le portrait d'un monde imaginaire, proche de l'idéal de l'auteur.
Thomas More est témoin des ravages sociaux qu'engendre dans l'Angleterre du XVIe siècle le premier mouvement des enclosures. Alors stimulée financièrement par le développement de l’industrie lainière, l'aristocratie tudorienne se met à créer de grands élevages privés de moutons. Cette irruption de la propriété privée capitaliste dans le monde rural se fait au détriment des terrains communaux et de leurs usages collectifs, liés aux anciennes tenures qui contribuaient à la subsistance des familles paysannes dans le cadre du régime féodal. Ce mouvement fut mené avec des conséquences sociales dramatiques, car il jetait sur les chemins une masse de gens dénués de tout moyen d'existence, mais aussi et surtout avec une brutalité inouïe. Thomas More dénonce ces conséquences et cette brutalité dans la première partie d'Utopia.
Dans la deuxième partie, More décrit l'île d'Utopie, contrepoint lumineux à l'Angleterre de son temps. Comme celle de la république de Platon, l'économie utopienne repose sur la propriété collective des moyens de production et l'absence d'échanges marchands. Cette société, composée d'une cinquantaine de villes gérées de manière semblable, vit sans monnaie, et les échanges collectifs y prennent la place de l’accumulation privée qui cause en Angleterre les malheurs du peuple. La première mission du Sénat, qui compte trois députés par ville, est la statistique économique, permettant la péréquation des richesses entre villes. Utopie commerce intensivement avec l'étranger.
Pacifiques et respectueux de la liberté religieuse, les Utopiens reconnaissent cependant, tous ou presque, un être suprême et l'immortalité de l'âme ; plusieurs embrassent la doctrine chrétienne que leur présentent leurs visiteurs. Fondée sur la volonté de "vivre selon la nature'', la morale publique d'Utopie est rigoureuse, condamnant la dissimulation, la chasse, les jeux de hasard, la polygamie et l'adultère ; le divorce par consentement mutuel est possible.
Postérité d'Utopia
Réalité n'est pas vérité mais seulement état du moment : grand humaniste et très instruit, Thomas More était un réaliste intransigeant , attentif à l'inacceptable. L'Utopie, satire de l'Angleterre de son temps, et affirmation du souhaitable, se conclut par un avertissement quant à la faisabilité d'une réforme allant dans ce sens : "je le souhaite plus que je ne l'espère". Il s'agit donc, sans doute, plutôt d'une invitation à l'action, considérant certes ses difficultés inhérentes, que d'une expectative, vaine car pleine d'une espérance stérile.
Au XVIIe siècle, la vision communiste de l'Utopie fut reprise par des mouvements à la fois sociaux et religieux (Diggers, Levellers) qui essayèrent de traduire en actes leur lecture de l’Évangile en collectivisant les terres.
Résurgence moderne de la République platonicienne, le terme d’utopie fut repris par les grands projets socialistes du XIXe siècle, avec bien d'autres sources souvent plus idéologiques :
Saint-Simon (comte de) (voir l'article saint-simonisme et l'analyse qu'en fait Pierre Musso)
Voltaire dans son conte philosophie Candide. Il développe les idées de l'utopie dans deux chapitres et donne un sens à cette utopie, dénonçant les dysfonctionnements de la société du XVIIIe siècle.
Pierre Leroux
Charles Fourier
Pierre Joseph Proudhon
Karl Marx (qui oppose toutefois, pour s'en démarquer, "socialisme utopique" et "socialisme" dit "scientifique".).
Citations
On ne peut bien vivre là où tout est en commun. Comment l'abondance de produits peut-elle se réaliser là où chacun essaye de se soustraire au travail, étant donné qu'il n'est point stimulé par la pensée de son propre profit et que la confiance dans le travail de l'autre le rend indolent ? (Utopia)
La paresse est une injustice, elle est sévèrement condamnée. Mais rares sont les Utopiens qui y succombent, car on ne consacre que six heures par jour au travail : trois le matin et trois l'après-midi. Le reste du temps se passe à des plaisirs honnêtes « fondés sur la nature et la vérité », et à l'étude des belles-lettres dont nul n'est écarté.
En vérité, mon enfant, je suis bien décidé à ne jamais cheviller mon âme au dos de qui que ce soit, serait-ce même le plus saint des hommes que je connaisse de nos jours; car je ne sais où il pourrait la porter. (Lettre à sa fille, août 1534)
Depuis que tu nous as quittés, très cher Érasme, j'ai reçu en tout trois lettres de toi. Si je te disais que je t'en ai envoyé trois en réponse, tu ne me croirais probablement pas, même si je mens de l'air d'un petit saint. Car tu me connais bien : paresseux quand il s'agit d'écrire et ne poussant pas le culte de la véracité jusqu'à confondre dans une même horreur le mensonge joyeux et le parricide. (Première lettre à Erasme, 1516)
Si dans ce monde, rien ne me retient, si tout est immonde, que la vie ne vaut rien, je me perds à rester, rien ne sert de pleurer.
Postérité
Thomas More a inspiré à Érasme son Éloge de la folie, qu'Érasme lui a d'ailleurs dédiée (Extraits de l'Éloge de la folie).
Utopia est passé dans le langage courant : une utopie signifie un rêve impossible, un désir inaccessible, même si le caractère irrationnel d'une utopie n'est apparu qu'il y a peu.
Gargantua et Pantagruel, les héros éponymes de François Rabelais font séjour dans la ville d'Utopie, dont le nom est dû à Thomas More.
Il est la seule personnalité à la fois vénérée par les catholiques (saint Thomas More) et figurant en bonne place parmi les précurseurs du socialisme sur un obélisque au pied du Kremlin à Moscou.
Bibliographie
Œuvres de Thomas More
L'Utopie, 1516, p.ex. Editions sociales-Messidor, 1966, 1982.
Textes traduits et présentés par Germain Marc'hadour, Namur, 1962.
La tristesse du Christ, texte latin et traduction sous la responsabilité de Henri Gibaud, Pierre Téqui, 1990.
Ecrits de prison, précédés de La vie de Sir Thomas More par William Roper, choix et traduction de Pierre Leyris, Seuil, 1953, 1981.
Les vérités dernières, trad. M. Cl. Phélippeau, s.l. , 2001.
The Complete Works of Thomas More, 15 volumes, en 21 tomes, édités par Yale University, New Haven et Londres, 1963-1997.
Correspondence of Sir Thomas More, éd. E.F.Rogers, Princeton University Press (1947, réimpr. 1970).
Biographies
Philippe Godding, Petite vie de Thomas More, Desclée de Brouwer, 2002.
André Merlaud, Thomas More, Editions SOS, 1973.
Jacques Dufresne, L'expérience de Dieu avec Thomas More, (introduction et textes de Thomas More choisis par Jacques Dufresne), Fides, 1999.
Louis Bouyer, Sir Thomas More, humaniste et martyr, CLD, 1984.
Germain Marc'hadour, Thomas More, un homme pour toutes les saisons, Les éditions ouvrières, 1992.
Fiction
Jean Anouilh, Thomas More ou l'homme libre, La table ronde, 1987.
Le film Un Homme pour l'éternité (A Man For All Seasons) de Fred Zinnemann en 1966, avec Paul Scofield et Orson Welles, à partir de la pièce de Robert Bolt créée en 1960.
Né le : | 15 février 1478 à 02h30 (cal. julien) | |||
à : | Londres (Royaume-Uni) | |||
Soleil : | 5°25' Poissons | AS : | 11°50' Sagittaire | |
Lune : | 7°22' Lion | MC : | 12°18' Balance | |
Dominantes : | Bélier, Poissons, Sagittaire Jupiter, Neptune, Vénus Maisons 4, 3, 8 / Feu, Eau / Mutable |
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Numérologie : | chemin de vie 1 | |||
Popularité : | 11 616 clics, 3 892e homme, 6 501e célébrité |
Le regard de l'intelligence, même la plus raffinée, diffère de celui de la génialité, en ce qu'il porte l'empreinte du service de la volonté ; tandis que celui de cette dernière en est exempt.
Parerga et Paralipomena (1851) de
Arthur Schopenhauer est un philosophe allemand, né le 22 février 1788 à Dantzig (ancienne Prusse et actuelle Pologne)(source pour son heure de naissance : Lescaut, Astrodatabank, acte de naissance), mort le 21 septembre 1860 à Francfort-sur-le-Main.
Né le 22 février 1788 à Dantzig, Arthur est le fruit du mariage célébré en 1785 entre Johanna Henriette Trosiener qui avait alors 19 ans et de Henri Floris Schopenhauer qui en avait 38. Dès avant sa naissance, ce dernier voulait en faire un commerçant tout comme lui du fait de l’aisance et la liberté que la carrière commerciale procure, ainsi que l’exercice qu'elle donne à toutes les facultés intellectuelles. Il voulait aussi en faire un citoyen du monde. Pour cette raison, il l'appela Arthur, ce prénom étant, à quelques nuances près, le même dans toutes les langues.
En 1793, la famille Schopenhauer fuit devant l'occupation prussienne pour s'établir dans la ville libre de Hambourg. Son unique sœur, Adèle, naquit en 1797. La même année, Henri commence à s’occuper de l’éducation de son fils afin qu'il embrasse la carrière commerciale. Selon lui, deux moyens sont requis pour y parvenir : l’étude des langues et les voyages. Ainsi, en 1797, Arthur (9 ans) passe deux ans au Havre chez un correspondant de son père où il apprend le français. De retour à Hambourg, il poursuit ses études commerciales mais ne manque pas une occasion de suivre son père lors de ses déplacements (Hanovre, Cassel, Weimar, Prague, Dresde, Leipzig, Berlin). A la promesse d’un voyage en Europe, s’il achevait sa formation, Arthur se détourna de sa passion naissante pour les études littéraires. En effet, il aimait lire les poètes et s’appliquait au latin. Le voyage débuta en mai 1803 (Arthur avait donc 15 ans) et s’acheva au mois de septembre 1804. Au final, il aura séjourné à Londres (suffisamment longtemps pour parler l’anglais couramment), à Paris, dans le midi de la France, à Lyon, en Savoie, en Suisse, puis finalement en Bavière et en Autriche.
De retour de voyage, et devenu employé commercial, son travail lui répugne et l'engagement qu'il avait pris vis-à-vis de son père le ronge. Mais son père mourut quelque peu après, le 20 avril 1806, en tombant ou en se jetant (suicide ?) d’un grenier dans le canal qui passait derrière la maison. À la suite de ce funeste évènement, Johanna Schopenhauer vendit le fond de commerce et s'installa à Weimar pour se livrer à ses goûts littéraires. Elle tient chez elle un salon de thé où Goethe vient régulièrement. Elle devient même une romancière à succès. Quant à Arthur, il entreprit enfin des études classiques au "Gymnasium" (Lycée) de Gotha, puis à Weimar chez sa mère où il y rencontre Goethe pour la toute première fois. Ainsi, Schopenhauer devint un classique déterminé, nourri des poètes grecs et latins.
Après les études classiques qui l’avaient familiarisé avec l’Antiquité, il s’inscrit en 1809 à l’université de Goettingue (Göttingen). Il a 21 ans. Parmi ses professeurs, il compta le philosophe Schulze, antidogmatique, qui craignait de voir dégénérer l’idéalisme transcendantal en idéalisme absolu. Ce dernier fut le premier directeur philosophique de Schopenhauer. Il lui conseilla d’étudier d’abord Kant et Platon et d’y joindre ensuite Aristote et Spinoza, ce qui consistait pour lui, le fonds acquis et la matière indispensable du travail philosophique.
Enfin, il acheva sa carrière universitaire à Berlin, université dans laquelle il passa trois semestres (de 1811 à 1813). Ce qui le poussa dans cette ville, c’était son désir d’entendre Fichte pour lequel il avait conçu une admiration a priori qui ne résista pas à l’épreuve. Ce qui l’éloignait de Fichte, c’était le dogmatisme du fond et le caractère oratoire de la forme. Le cours de Schleiermacher sur l’histoire de la philosophie au Moyen Âge le laissa indifférent. Mais il se passionna pour les leçons de Boeckh sur Platon, et plus encore pour celles de Wolf (à ne pas confondre avec Christian von Wolff le célèbre Leibnizien) sur Aristophane et sur Horace, poète latin qui devint un de ses auteurs favoris. Sa formation s’achève en 1813 à l’âge de 25 ans. Il quitte donc Berlin pour commencer à s’occuper de sa thèse de doctorat, qui sera son premier ouvrage important.
En 1813, il soutient sa thèse dont le titre est La Quadruple Racine du principe de raison suffisante à l'université d'Iéna. La même année, il rencontre Goethe à Weimar avec qui il discute de la théorie des couleurs. Il fera, en 1815, son propre essai sur ce thème, Sur la vue et les couleurs, édité en 1816. Il découvre, ces années là, la philosophie hindoue, grâce à l'orientaliste Friedrich Majer et la lecture des Upanishads. En 1814, il se brouille avec sa mère et emménage seul à Dresde.
En 1819, il est chargé de cours à l'université de Berlin où enseignait Hegel qu'il critique vigoureusement et qui occupait toute l'attention philosophique dans l'Allemagne du XIXe siècle (il choisit d'ailleurs de faire cours à la même heure qu'Hegel). Il démissionnera au bout de six mois, faute d'étudiants. Il publie pour la première fois en 1819 Le Monde comme volonté et comme représentation (puis 2e édition en 1844, et 3e en 1859) où le principe est que « La volonté singulière d'un individu n'a qu'une existence illusoire, elle est de toutes parts immergée dans le jeu infini et absurde d'une réalité qui la dépasse et finit par la détruire. ». Les deux premières éditions sont des échecs éditoriaux. Après sa démission, il en profite pour voyager et va en Italie.
Il fait une dépression en 1823. En 1825, il arrive à vivre de ses rentes et retourne à Berlin et tente de relancer sa carrière universitaire. Il quitte cette ville en 1831 pour Francfort, puis Mannheim. Il retourne à Francfort en 1833. Il est récompensé en 1839 par la Société royale des sciences de Norvège pour son mémoire Sur la liberté de la volonté humaine, qu'il joindra à son Sur le fondement de la morale pour les publier sous le nom de Les Deux Problèmes fondamentaux de l'éthique en 1841. Il écrit Parerga et Paralipomena en 1851. C'est seulement vers la fin de sa vie que l'importance de son œuvre est reconnue, et que l'attention des philosophes se détourne presque entièrement de la philosophie de Hegel.
Né le : | 22 février 1788 à 12h01 | |||
à : | Danzig (Pologne) | |||
Soleil : | 3°33' Poissons | AS : | 8°10' Cancer | |
Lune : | 15°51' Vierge | MC : | 0°05' Poissons | |
Dominantes : | Poissons, Cancer, Vierge Soleil, Saturne, Mars Maisons 10, 1, 4 / Eau, Terre / Mutable |
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Numérologie : | chemin de vie 3 | |||
Popularité : | 26 827 clics, 976e homme, 1 727e célébrité |
Pleine Lune Héliocentrique
Pleine Lune Geocentrique
TRès interessant degré que celui ce cette pleine Lune 3 degré 33 33 !!!!
DES TRONCS D ARBRES PETRIFIES GISENT EPARS SUR LE SABLE DU DESERT
UNE CULTURE PARVENUE A SA MATURITE DETIENT LA CAPACITE DE GARDER LES TEMOIGNAGES DE SES REALISATIONS ; il en est de même pour l'être humain qui agit poussé par des forces transpersonnelles et rayonne sa créativité : Son oeuvre participe du développement de la pensée collective de son pays voir de la terre entière . A près sa mort elle continue de rayonner sa puissance bienfaisante à travers ses oeuvres.
L'uranus de Boris Vian, planète maitresse de son thème astral éclaire ce degré en parfaite resonnance avec tout son théme , et ceci d'autant plus puissament que cette planète est la tête d' un magnifique cerf volant formé par Saturne qui lui fait face en Vierge , Mars en Scorpion et pluton en Vierge.
Ce cerf volant est pointé sur la maison un de Boris Vian , donnant une grande puissance à sa personnalité profonde d'ascendant Verseau lui permettant d'incarner les valeurs de ce signe dont il est maitre .
Les "troncs d'arbres pétrifiés" de son oeuvre :
Romans et nouvelles [modifier]
Extrait du recueil Je voudrais pas crever (1962)
Tout a été dit cent fois
Et beaucoup mieux que par moi
Aussi quand j'écris des vers
C'est que ça m'amuse
C'est que ça m'amuse
C'est que ça m'amuse et je vous chie au nez
s'il pleuvait des larmes
lorsqu'on tue un enfant
s'il pleuvait des larmes
au rire des méchants
sur la terre entière
en flot gris et glacés
des larmes amères
roulerait le passé
Entre autres :
Amoureux de la culture américaine, Vian a traduit en français divers textes américains, en particulier des romans noirs et des romans de science-fiction :
Nicolas Copernic (pol. Mikołaj Kopernik, de son nom latin Nicolaus Copernicus), né le 19 février 1473 à Toruń, mort le 24 mai 1543 à Frombork – chanoine, médecin et astronome ; l'auteur célèbre de la théorie selon laquelle le Soleil se trouve au centre de l'Univers (héliocentrisme), et la Terre, que l'on croyait auparavant centrale, tourne autour de lui.
L'asteroide Hélio conjoint à Uranus en Scorpion dans la carte du ciel Héliocentrique donne toute la dimmension alchimique que les recherches de Copernic vont apporter à la conscience collective de même que le positionnement de l'asteroide Conscience entre le dernier degré des poissons et le 1er degré Bélier qui signe la fin d'un cycle et le début d'une nouvelle aventure sur le chemin de la connaissance .
Copernic a retardé de plusieurs années la parution de l'œuvre de sa vie. Ses croyances et la peur des foudres du Vatican et de Wittenberg en sont les principales raisons. Ce texte ne sera publié que le jour de sa mort.
Il n'oublie pas une dédicace au pape Paul III dans son œuvre rédigée en latin où il revendique le droit à la liberté d'expression. Copernic aura su libérer ses contemporains scientifiques et chercheurs de leurs préjugés théologiques, il amène aussi les théologiens à prendre une certaine distance vis-à-vis de l'interprétation trop stricte des textes sacrés.
À partir de Copernic la science et la religion vont prendre des routes différentes.
L'astéroïde 1322 Coppernicus a été nommé en son honneur (Coppernicus est une des épellations allemandes).
VIDEOS
Né le : | 19 février 1473 à 17h13 (cal. julien) | |||
à : | Torun (Pologne) | |||
Soleil : | 10°12' Poissons | AS : | 7°05' Vierge | |
Lune : | 5°33' Sagittaire | MC : | 29°00' Taureau | |
Dominantes : | Sagittaire, Poissons, Vierge Jupiter, Soleil, Lune Maisons 4, 8, 7 / Feu, Eau / Mutable |
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Numérologie : | chemin de vie 9 | |||
Popularité : | 36 648 clics, 334e homme, 607e célébrité |
American actress, producer, author, television director and singer-songwriter, best known for her TV series "Party of Five,"1995 and for the two horror flics, "I Know What You Did Last Summer." Originally a singer, she has put out an album, "Bare Naked" in 2002, along with a comedy-thriller, "The Tuxedo."
The daughter of a medical technician and a therapist (divorced when she was six weeks old), Jennifer has one older brother. Her film work began with TV commercials and guest roles in various series. After years of apartments, she and her mom, whom she considers a "best friend" moved into a five-bedroom home in the San Fernando Valley in 1998.
In late 2005, Hewitt began dating Scottish actor Ross McCall after he made an appearance on her show Ghost Whisperer. They became engaged in November 2007, while vacationing in Hawaii. People magazine reported that Hewitt called off their engagement in late 2008. She subsequently dated her Ghost Whisperer co-star Jamie Kennedy from March 2009 to March 2010. Hewitt began dating her The Client List co-star Brian Hallisay in March 2012. In June 2013, Hewitt announced that she and Hallisay are engaged and expecting their first child together.
LMR quotes Biography magazine 5/2000, time unknown.
http://www.imdb.com/name/nm0001349/bio gives under Trivia: "Born at 10:48 PM CST". This was found because Lepoivre quotes it.
Name |
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born on | 21 February 1979 at 22:48 (= 10:48 PM ) | ||||
Place | Waco, Texas, 31n33, 97w09 | ||||
Timezone | CST h6w (is standard time) | ||||
Data source |
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Astrology data | 02°58' 00°28 Asc. 01°05' |
Ghost Whisperer | |
Titre original | Ghost Whisperer |
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Autres titres francophones |
Mélinda, entre deux mondes (Québec) |
Genre | fantastique |
Création | John Gray |
Production | ABC Television Studio CBS Paramount Network Television CBS Productions Sander/Moses Productions |
Acteurs principaux | Jennifer Love Hewitt David Conrad Camryn Manheim Jay Mohr (saisons 2 et 3) Jamie Kennedy (saisons 4 et 5) Christoph Sanders |
Musique | Mark Snow |
Pays d’origine | États-Unis |
Chaîne d’origine | CBS |
Nombre de saisons | 5 |
Nombre d’épisodes | 107 (liste) |
Durée | 42 minutes |
Diffusion d’origine | 23 septembre 2005 – 21 mai 2010 |
Site web | www.cbs.com/primetime/ghost whisperer/ |
modifier |
Ghost Whisperer ou Mélinda, entre deux mondes au Québec est une série télévisée américaine en 107 épisodes de 42 minutes, créée par John Gray et a été diffusée du 23 septembre 2005 au 21 mai 2010 sur CBS.
Au Québec, la série est diffusée depuis le 23 août 2006 sur Ztélé. En France, depuis le 6 septembre 2006 sur TF6, dès le 3 juin 2007 sur TF1 et à partir du 26 août 2013 sur NT1[1]. En Suisse, depuis le 22 octobre 2006 sur RTS Un et en Belgique depuis le 13 décembre 2006 sur Plug RTL.
Cette série met en scène Melinda Gordon, une jeune mariée qui a hérité de sa grand-mère le don de communiquer avec les esprits des morts. Elle utilise cette faculté pour faire passer les messages des morts à leurs proches pour ainsi les faire passer « de l'autre côté ». Au fur et à mesure que l'histoire avance, on en apprend plus sur les personnages et sur la mythologie de la série. On découvre qu'il existe des esprits maléfiques voulant stopper Melinda.
La série commence sur le mariage de Mélinda et Jim. Cette saison marque le commencement et le principe de base (les fantômes sont en colère, ils réclament de l'aide et Mélinda les aide à trouver le passage vers l'au-delà) qui est exploré sous toutes ses formes. Ce quotidien est bouleversé par les derniers épisodes de cette saison.
Cette saison commence après le crash de l'avion qui s'est produit près de Grandview. Andrea, l'associée et amie de Mélinda, est morte durant cet accident alors qu'elle était en voiture. Celle-ci était sur la trajectoire de l'avion. Les premiers épisodes de la saison 2 sont donc consacrés au passage d'Andrea qui semble avoir été repérée par les esprits maléfiques. De plus, un certain Gabriel emménage à Grandview. Ce dernier et son équipe de fantômes bloquent la lumière. Plus incroyable encore, Mélinda croit voir son père…
Mélinda a des doutes sur la véritable raison de sa présence à Grandview. L'histoire s'élargit à la suite de l'apparition des souterrains, que voulait-on cacher en construisant Grandview par dessus une ancienne ville (maintenant fantôme) ? En parallèle, Mélinda cherche des informations afin de connaître la vérité sur ses parents.
À la suite d'un incendie à l'université, le professeur Eli James (psychologue) meurt cliniquement quelques secondes avant de revenir à la vie. Surpris, il se réveille avec seulement le don d'entendre les esprits. Il devient une aide supplémentaire pour Mélinda et remplace ainsi, le Professeur Payne, qui est parti étudier dans le tiers-monde. Un peu plus tard, Jim se fait tirer dessus par un policier involontairement puis meurt. Il erre quelques heures pour finalement prendre possession du corps de Sam Lucas afin de rester avec Mélinda mais il perd tous ses souvenirs. Même s'il ne se rappelle plus d'elle, Mélinda sait qu'il est Jim et essaye de l'en convaincre, tandis que Jim/Sam, plutôt terre-à-terre, réagit violemment à certaines déclarations de Mélinda. Ce n'est qu'à la fin de l'épisode 18 de cette même saison (Le Saut de l'Ange) que Jim retrouve la mémoire. Puis la saison se termine comme la série a commencé : Jim et Mélinda se (re)marient.
La saison est axée sur les dons du fils de Mélinda, Aiden (Aiden, étant le nom du père de Jim et Sam). En effet, deux entités coexistantes font leur apparition dans cette saison : les rayonnants et les ombres. Aiden est le seul à les voir, même les esprits ne peuvent pas les voir. Les ombres sont de mauvaises entités qui semblent s'intéresser aux enfants fantômes… Le seul moyen de les battre sont les rayonnants. L'intrigue s'intensifie davantage puisque chaque personnage ayant un rapport avec ces fantômes ou le Livre des Changements sont ciblés. Mélinda a remarqué une étrange signification apparue dans ce même Livre à côté du nom d'Aiden : « Quand les feuilles tombent, l'innocent tombera… »
Intitulé du coffret | Nombre d'épisodes | Sortie DVD | Nombre de disques | Éditeur | |
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Zone 1 (dont États-Unis) | Zone 2 (dont la France) | ||||
Saison 1 | 22 | 31 octobre 2006[5] | 5 décembre 2007[6] | 6 | Buena Vista Home Entertainment |
Saison 2 | 22 | 18 septembre 2007[7] | 4 juin 2008[8] | 6 | |
Saison 3 | 18 | 2 septembre 2008[9] | 13 mai 2009[10] | 5 | |
Saison 4 | 23 | 20 septembre 2009[11] | 3 mars 2010[12] | 6 | |
Saison 5 | 22 | 12 octobre 2010[13] | 7 septembre 2011[14] | 6 |